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Rue Blondel

Extraits

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Divers

Les rues de Lyon N° 74 : La rue Mercière. Histoire

L'histoire emblématique d'une rue au cœur de Lyon : la rue Mercière.

02/2021

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Littérature française

Le Messager de Sérapis. Tome 2, La Reine Blonde

La Reine Blonde 1884. Dix ans déjà depuis la fuite des prisonniers du Kilimandjaro. Dix ans depuis l'enlèvement de Natalia. Dix longues années sont passées quand John apprend l'existence en Afrique d'une Reine blonde. Parti aussitôt à sa recherche en compagnie de son ami François, il se heurte à la révolte mahdiste, à l'immensité d'un continent hostile et à la froideur de Natalia, jadis abandonnée aux mains des Egyptiens. L'aventure continue, des nouveaux personnages apparaissent, d'autres resurgissent. Le roman de John et Natalia s'inscrit bien malgré eux dans l'histoire de la fin du XIXème siècle, celle de la colonisation à marche forcée de l'est de l'Afrique.

07/2019

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Vivre célibataire

Drague, Sexe et Internet. L'avis d'une blonde

L'avis et la vie d'une femme sur les rencontres grâce aux sites de rencontres en ligne et aux applis ! Avec une touche d'humour.

09/2021

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BD tout public

Jérémiah Tome 33 : Un gros chien avec une blonde

Sûr, Kurdy n'est pas du genre gracieux, avec son casque toujours vissé sur la tête. Mais il est solide, teigneux, armé. Et inséparable de Jeremiah, un type efficace qu'il vaut vraiment mieux avoir de son côté ! Du coup, la bande de bras cassés qui a enlevé Kurdy doit avoir une sacrée bonne raison de le faire. Des diamants, par exemple... A moins que cette femme étrange qui tente de séduire Jeremiah n'ait une idée plus raffinée derrière la tête... Les héros les plus libertaires et désinvoltes de la bande dessinée évoluent, sous la plume de Hermann, dans un monde détruit par la guerre, où violence, inégalités et injustice sont le lot courant. Nomades, indépendants et à l'occasion redresseurs de torts, Jeremiah et Kurdy manient l'humour comme leurs poings, de manière plutôt percutante.

09/2014

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Religion

Teilhard posthume. Réflexions et souvenirs. Précédé de Blondel-Teilhard de Chardin, Correspondance 1919

Ce recueil réunit trois textes dont le dernier écrit du P. de Lubac consacré à son ami Pierre Teilhard de Chardin, Teilhard posthume, Réflexions et souvenirs de 1977. Henri de Lubac a déjà beaucoup écrit sur le savant La Pensée religieuse du père Teilhard de Chardin (1962) et La Prière du père Teilhard de Chardin (1964). Teilhard posthume est un écrit personnel et engagé, en forme de mise au point: loin d'avoir été "un rêveur grandiloquent", comme T'ont affirmé certains critiques, le P. Teilhard s'est toujours enraciné dans la Tradition chrétienne et a renouvelé la place de l'homme dans la nature. Ce texte est précédé de Blondel-Teilhard de Chardin, Correspondance 1919, préfacée et annotée par le P. de Lubac, où s'amorce un débat récurrent autour des analogies familières à Teilhard et à son désir de relier les domaines du savoir sans les confondre. Et aussi un débat autour de la mystique et du panchristisme de Teilhard. Enfin, "Autour de "teilhardogénèse"", article paru en 1964, répond à celui très critique de Mgr Combes sur La Pensée religieuse du père Teilhard de Chardin. Dans Paradoxes, le P. de Lubac écrivait: "Rien ne se conserve intact sans effort. [...] On ne peut confier un trésor doctrinal à la passivité de la mémoire. Il faut que l'intelligence participe à sa conservation en le réinventant pour ainsi dire à mesure."

11/2008

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Littérature française

Brûler ses vaisseaux

" Où est la vérité ? Dans ces livres dont il était le héros ? Ou dans celui qu'il aurait pu écrire, où Charlotte aurait porté un autre prénom, ne serait pas cette blonde jeune bourgeoise de province résumant toutes celles avec qui il est sorti entre ses quinze et ses vingt ans ? Une fille dont la peau serait noire, l'enfance métissée entre Guadeloupe et banlieue parisienne, les excès ceux d'une orpheline et d'une négresse ? Il a fait de Charlotte - de cette fille - une moribonde blonde. Parce que, blondes, la souffrance et la mort paraîtraient plus " universelles " ? Une négresse, c'est pittoresque - donc ses lecteurs, se disait-il, ne verraient pas crûment la souffrance et la mort, mais une négresse malade en train de crever. Ses lecteurs ne s'identifieraient pas. S'il voulait qu'ils pleurent, autant valait leur raconter l'agonie d'un clebs. "

02/2000

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Romans historiques

La rue

La rue n'a-t-elle pas sa vie pittoresque et joyeuse ? Qu'est-ce donc par exemple, que cet homme habillé en officier supérieur, avec un képi à cinq galons, un pantalon tout frangé d'or, teint jaune, barbe grise, qui a dix-huit bagues à chaque main, des traînées de crachats sur la poitrine, et dont les doigts de pied trouent les souliers ? Chaque boulevard, chaque quartier, ce jardin, ce square, ont leurs habitués excentriques, entêtés, qui font retourner la tête à tous les passants. Leur biographie, si on la tenait, aurait une saveur sans pareille. Je choisirais, de préférence, je l'avoue, les endroits ignorés, les terrains populaires, et je rechercherais les tableaux émouvants, bizarres, contrôlant la légende, ressuscitant les drames. Les ouvriers, les malheureux, tous les laborieux et les souffrants auraient en moi non pas un avocat, mais un historien. Je ferais la statistique du salariat et si je n'avais pas peur d'effrayer, celle de la misère. Je suis du peuple, et ma chronique aussi.

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Critique littéraire

Rue Corneille

Un écrivain, et rien d'autre, ainsi se définit Denis Tillinac, en épilogue à ce récit d'une balade en zigzags sur les routes de son imaginaire. On le cherche dans sa maison d'édition au quartier Latin, on le surprend en Afrique où Kabila doit le rejoindre. On le croise en terre d'Ovalie avec Pierre Dauzier et André Boniface, on l'aperçoit à l'Elysée en conciliabule avec Chirac. Mais comme il se joue des frontières, le voilà dans l'avion de Sarkozy avant de reprendre son train pour la Corrèze. Puis de repartir à un autre bout de ses mondes intimes. Tout le passionne, surtout les coulisses et surtout les irréguliers. D'où ces scènes de genre et cette galerie de portraits, crayonnés avec autant d'ironie que de tendresse. Car si Denis Tillinac n'aime pas son époque, il a de la sympathie pour les personnages qui tâtonnent aux marches de la gloire. Ou aux frontières du désespoir. Entre les lignes d'une prose de styliste, miroir parfois cruel des moeurs contemporaines, on perçoit les désarrois d'un écrivain que l'Histoire a floué. Même s'il s'est bien amusé.

03/2009

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Littérature française

Cette rue

Sur un des carrefours qui délimite la rue, un homme regarde passer les voitures. Il a l'air de venir de très loin. D'au-delà de tous les périphériques. De si loin qu'on l'appelle "L'Abyssinien". Sur l'autre carrefour, un magasin, épicerie et épicentre, où se croisent parfois les habitants. Un couple de vieux, un autre de jeunes. Une ancêtre plus que bizarre. Un solitaire de retour après quinze ans. Tout cela n'a l'air de rien. Mais aussi l'air inquiétant. Une menace semble monter, des caves jusqu'aux astres, comme une marée. Un grand dérangement se prépare, que tous ces gens sentent venir sans pour autant le comprendre. Roman fable, où l'intime sensation des corps rejoint l'infini cosmique, Cette rue évoque ce qui couve pour les hommes et pourtant dépasse leur entendement.

08/2007

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Littérature française

Rue Solitude

Erika l'a plaqué, Téo n'est plusau rendez-vous, Mario se fait attendre : Victor a dix huit ans, la vie lui file entre les doigts. Venu faire le deuil de Téo, c'est la mort qu'il croise partout au Mexique, intimement mêlée au quotidien, au détourde chemins hasardeux qui le conduiront vers lui même. Lazaro lui fait découvrir d'autres mondes, ils'embarque pour un voyage insensé au coeur de la Sierra Madre, connaît Lupita. Entre les trois se tisse une étrange relation. Rue Solitude, dans les bas-fonds de Mexico, Victor fera son apprentissage de la mort, pour en tirer une leçon de vie : il découvrira que les hommes ne sont pas si forts et offrent au monde le trompe-l'oeil de leur virilité, la poudre aux yeux de leurs éclats de violence.

06/2022

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Littérature française

Rue Darwin

Après la mort de sa mère, Yazid, le narrateur, décide de retourner rue Darwin dans le quartier Belcourt à Alger, où il a vécu son adolescence. « Le temps de déterrer les morts et de les regarder en face » est venu. Son passé est dominé par la figure de Lalla Sadia, dite Djéda, sa toute-puissante grand-mère adoptive, qui a fait fortune installée dans son fief villageois, fortune dont le point de départ fut le florissant bordel jouxtant la maison familiale. Né en 1949, Yazid a été aussitôt enlevé à sa mère prostituée, elle-même expédiée à Alger. Il passe une enfance radieuse au village, dans ce phalanstère grouillant d’enfants. Mais quand il atteint ses huit ans, sa mère parvient à l’arracher à l’emprise de la grand-mère maquerelle. C’est ainsi qu’il débarque rue Darwin, dans une famille inconnue. Il fait la connaissance de sa petite soeur Souad. D’autres frères et soeurs vont arriver par la suite, qui connaîtront des destins très divers. La guerre d’indépendance arrive, et à Alger le jeune Yazid y participe comme tant d’autres gosses, notamment en portant des messages. C’est une période tourmentée et indéchiffrable, qui va conduire ses frères et soeurs à émigrer. Ils ne pourront plus rentrer en Algérie (les garçons parce qu’ils n’ont pas fait leur service militaire, les filles parce qu’elles ont fait leurs études aux frais de l’État algérien). Le roman raconte la diaspora familiale, mais aussi l’histoire bouleversante de Daoud, un enfant de la grande maison, le préféré de Djéda, dont Yazid retrouve un jour la trace à Paris. Encore une fois, Sansal nous emporte dans un récit truculent et rageur expliquant la difficulté d’avoir deux mères : c’est le cas de Yazid, mais aussi celui de tous les Algériens… Il décrit la corruption, le « grouillement de la misère », l’absence de perspectives, la tristesse générale, l’ennui… Rue Darwin est le récit d’une inguérissable douleur identitaire, génératrice d’un chaos politique et social.

08/2011

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Littérature étrangère

Rue Involontaire

Rien n'est jamais trop étrange pour Krzyzanowski. Voilà qu'un de ses grands textes - tout petit en nombre de pages - que l'on croyait perdu à jamais vient de réapparaître aux archives à Moscou, restitué en 1995 par le FSB (ex-KGB) puis oublié au fond d'une réserve. S'il n'a pas valu à son auteur d'être arrêté, c'est peut-être parce que celui-ci portait par hasard le même nom qu'un grand révolutionnaire, ou parce qu'il était un écrivain à ce point invisible que l'absence de reconnaissance dont il a tant souffert lui a pour finir sauvé la vie. Et l'on ne sait toujours pas de quelle "affaire" relevait ce dossier. S'agissait-il du texte original confié à une dactylo qui aurait été arrêtée ? D'un exemplaire donné à lire à un écrivain qui se serait fait confisquer ses écrits ? Mystère... Quant à la rue Involontaire, elle existait réellement à l'époque : quelques coudes zigzaguant dans le quartier de l'Arbat où vivait Krzyzanowski avaient "involontairement" formé une petite rue. Celle-ci figure aujourd'hui encore sur les cartes, mais... est introuvable dans la réalité. Rue Involontaire est composé de sept lettres écrites par l'écrivain et son coauteur, la vodka. N'ayant personne à qui écrire, Krzyzanowski les adresse au premier venu ou à la fenêtre qui reste allumée la nuit, et les expédie par la fente de son vasistas. Avec une noirceur joyeusement désespérée, il approche à pas grincés de l'autobiographie. Ce récit est accompagné de deux petits textes ivres et foutraques, et d'extraits des carnets de l'écrivain.

03/2014

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Romans historiques

Rue Bassano

Nommé attaché à l’ambassade de France à Bonn en 1954, j’y suis tombé amoureux d’Alissa, la jeune épouse d’un grisonnant baron prussien. Ce n’était pas très diplomatique, mais j’étais trop jeune pour m’en soucier. Pour ne rien arranger, l’amour se doubla d’une énigme quand j’appris qu’Alissa était française, juive, et qu’elle avait rencontré son mari pendant la guerre. Tandis que mon ambassadeur parlait d’avenir et de réconciliation, tout me ramenait une dizaine d’années en arrière, dans Paris occupé, plus précisément rue Bassano, où s’était joué, derrière la façade respectable d’un immeuble cossu, un des actes les plus méconnus et les plus troubles de la tragédie de la shoah en France.

05/2012

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Romans de terroir

Rue Paillassère

Dans un cadre autobiographique, un récit à plusieurs voix sur la vie béarnaise à Arette, avant et après le séisme de 1967, et sur la vie en Bigorre, à Aureilhan. Née après-guerre, Janette Ananos trouve sa place auprès de Pierre et Marie, son frère et sa soeur issus d'une première union. L'enfant met du temps à comprendre que sa mère a épousé en secondes noces le frère cadet de son premier mari mort à la guerre, le père de ses aînés. C'est l'histoire d'une famille béarnaise, des liens sociaux entre les habitants du village, voisins, amis et parenté, que s'attache à décrire avec beaucoup de douceur et de finesse, Janette Ananos. Une vie simple, tranquille où le quotidien est rythmé par des faits anodins et de menus plaisirs. Pour écrire ce livre de souvenirs et être au plus près de la réalité, Janette Ananos s'est livrée à une véritable enquête, recherchant les témoins de cette époque. Aucune nostalgie dans son propos, juste l'évocation d'un temps à jamais révolu, celui de l'enfance.

10/2020

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Théâtre

RUE NOIRE

Cette Nathalie, sur qui l'âge ne semble pas avoir prise, apparaît dans La Rue noire comme quelque Père éternel. Elle tient en ses mains de femme d'affaires - vieilles mains, mais fermes - le destin de toute une famille, sa famille, sur laquelle elle règne et entend régner jusqu'au bout, se plaisant au spectacle de tant d'ambitions, petites ou ridicules, qu'elle peut à son gré satisfaire ou décevoir. Nathalie joue, de tout et de tous, avec la même insolente et cruelle impassibilité que ce Dieu vers qui les héros d'Armand Salacrou se tournent souvent, pour lui demander des comptes. Mais Nathalie n'a pas de comptes à rendre, sinon à elle-même. Nathalie a, sur l'Eternel, un terrible avantage : elle a fait partie de cette humanité qu'elle régente aujourd'hui, elle en connaît les tristesses, les humiliations ; dans la "Rue noire" où s'est déroulée son enfance, et qu'elle n'oubliera jamais, elle a fait le pari de découvrir la lumière. C'est de ce pari qu'il est question dans la nouvelle pièce de Salacrou. Quant à la lumière sur laquelle Nathalie débouchera, elle est crue et féroce.

05/1967

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Littérature étrangère

La rue

La rue, roman inclassable, se situe quelque part entre Joseph Roth, Kafka, Bruno Schultz et Hermann Ungar, entre Otto Dix, Chaïm Soutine et Georg Grosz. Récit d'un soldat démobilisé vers 1920, après quatre années de guerre contre les armées prussiennes d'abord et bolchéviques ensuite, c'est une longue errance hallucinée à travers une ville, à travers la mémoire, à travers un univers où la frontière entre le rêve et la réalité est brouillée, où le fantastique, le grotesque, le macabre se mêlent. Pour échapper à la rue, le narrateur se réfugie dans des caves moisies, dans des hospices louches où grouille une humanité constituée de monstres et de fous des enfers de Bosch. Pour échapper à la faim, il va s'engager comme homme-sandwich dans un cirque dont l'arène devient le symbole du monde. Pour tromper la solitude il va côtoyer des clowns moribonds, des athlètes entre amour et mort, des poètes suicidaires, venant la nuit réciter leurs vers dans des théâtres vides. Chacun lui fera le récit de sa vie. Cauchemars savamment distillés par une voix narrative, toujours la même et toujours différente, dont on ne sait si elle est celle des personnages qui peuplent le roman ou les hallucinations, du héros anonyme. Espaces clos disloqués par la parole qui entraîne le lecteur dans des périples insensés à travers le monde. Temps déchiqueté par des oscillations incessantes entre présent et passé, faisant surgir des scènes de guerre, de chevaux éventrés, d'hommes ensanglantés pris en croix par le gel dans l'immensité de la steppe d'Ukraine. R. E.

01/1992

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Poches Littérature internation

Rue Katalin

Ils s'étaient soudain rendu compte que le temps avait désagrégé leur passé, alors que durant leur enfance et leurs années de jeunesse, ils l'avaient considéré comme un ensemble compact bien cimenté". Budapest. Des années après la disparition d'Henriette en 1944, les membres de trois familles demeurent sous l'emprise ténue de sa présence. Et, d'outre-tombe, la jeune fille nous introduit dans la vie naufragée de ceux qui furent ses amis : Bálint, Irén, Blanka, M. et Mme Elekes... Qu'est-il arrivé pendant la guerre, rue Katalin ? Quels événements ont bouleversé l'existence de ses habitants pour toujours ?

04/2018

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Poches Littérature internation

La rue

Des rues comme la 116e, réservées aux Noirs, ont tué Mom, fait de Pop un ivrogne, poussé Mrs Hedges au bordel, et broyé des milliers d'autres avant eux. Mais cela ne lui arrivera pas à elle, Lutie : parce qu'elle a la volonté de lutter. Contre l'argent-roi, qui manque toujours, contre la folie des hommes, qui abusent inlassablement des femmes, contre la loi de la rue, qui tôt ou tard risque de lui prendre son fils. Et quel choix peut avoir une jeune femme noire, pauvre, mère célibataire, piégée dans le ghetto de Harlem au cœur des années 1940 ? Celui de livrer un combat acharné pour tenter de déjouer sa condition, et rêver du meilleur, en espérant ne pas récolter le pire... Ode aux âmes fortes, ce roman paru aux Etats-Unis en 1947 est un morceau de bravoure – noir, brut, poignant. Un chef-d'oeuvre à découvrir absolument.

09/2018

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Romans noirs

Rue Mexico

" Les gens qui habitent dans des ports gardent toujours espoir ". Des voitures brillent aux quatre coins du monde. A Hambourg également. Dans l'une d'elles, on retrouve le cadavre d'un fils du clan Saroukhan. Ces anciens mercenaires de l'Empire ottoman sont devenus de puissants trafiquants installés à Brème. Qui a tué Nouri Saroukhan ? La procureure Chastity Riley est de retour avec son collègue Ivo Stepanovic. Doivent-ils chercher la mystérieuse jeune femme qui observait la voiture du toit d'un immeuble ? La vérité se cache-t-elle au sein de l'entreprise d'assurances où Nouri travaillait et gagnait beaucoup d'argent ? Rue Mexico raconte comment deux jeunes, tels Roméo et Juliette, tentent d'échapper à leur milieu et à sa violence. De son côté, la vie de Chastity Riley est bouleversée par le retour d'un ancien amant... Simone Buchholz cartographie les différents visages de la criminalité, dans les gangs comme dans les grandes entreprises.

02/2023

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Policiers

Rue sombre

Dans une rue sombre d'une ville de province, deux adolescents voient passer une voiture dont le coffre laisse dépasser des cheveux. Quelques heures après, une alerte signale la disparition d'Ambre Libois. L'enquête est confiée au commissaire Berthier, un homme prudent et efficace, mais qui piétine jusqu'à ce que Anna accepte de lui dire ce qu'elle a vu. Philippe est arrêté, mais est-il le vrai coupable ? Quels sont ses liens avec la jeune femme ? A partir d'un fait réel, Bénédicte Rousset a construit plus qu'une histoire policière. C'est la vie d'une ville de province qu'elle nous raconte par le prisme de ses personnages.

05/2017

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Littérature classique

Rue Bouboulina

1967, pour toute une génération en Europe, c'est l'année des Colonels. Un coup d'Etat fomenté par une junte d'officiers supérieurs renverse le gouvernement et installe une dictature. Comme beaucoup d'autres jeunes Grecs, Maro Douka, alors étudiante et militante est arrêtée à Athènes et emprisonnée rue Bouboulina, au siège de la Sûreté générale. Elle a vingt ans. Elle écrira le récit de cette arrestation cinq ans plus tard, il ne sera publié qu'en 1974, après la chute des Colonels. Curieusement, il n'avait jamais été traduit en français. C'est chose faite avec le texte de Laurence Maire-Maison. Maro Douka a reçu en mai 2020 le Prix National grec de Littérature pour l'ensemble de son oeuvre.

03/2023

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Littérature française

La rue

La rue n'a-t-elle pas sa vie pittoresque et joyeuse ? Qu'est-ce donc par exemple, que cet homme habillé en officier supérieur, avec un képi à cinq galons, un pantalon tout frangé d'or, teint jaune, barbe grise, qui a dix-huit bagues à chaque main, des traînées de crachats sur la poitrine, et dont les doigts de pied trouent les souliers ? Chaque boulevard, chaque quartier, ce jardin, ce square, ont leurs habitués excentriques, entêtés, qui font retourner la tête à tous les passants. Leur biographie, si on la tenait, aurait une saveur sans pareille. Je choisirais, de préférence, je l'avoue, les endroits ignorés, les terrains populaires, et je rechercherais les tableaux émouvants, bizarres, contrôlant la légende, ressuscitant les drames. Les ouvriers, les malheureux, tous les laborieux et les souffrants auraient en moi non pas un avocat, mais un historien. Je ferais la statistique du salariat et si je n'avais pas peur d'effrayer, celle de la misère. Je suis du peuple, et ma chronique aussi.

08/2010

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Littérature anglo-saxonne

Rue Krochmalna

Varsovie, début du XXe siècle. Après avoir fait fortune en Argentine, Max et Flora rentrent au pays chercher de la "marchandise" pour leur fabrique de sacs à mains, qui n'est autre que le bordel local. La marchandise - c'est-à-dire des filles -, Flora, experte en la matière, la choisira, et Max s'assurera qu'elle a bien toutes les qualités requises... A peine arrivés, ils renouent avec leurs vieux amis, Meir et Leah, membres éminents de la pègre de Varsovie, tout disposés à les aider dans leur recherche. Quand Meir présente à Max une très jeune fille innocente et pleine de grâce, Rashka, Max est sous le charme. Le seul problème étant que, finalement, il aimerait bien la garder pour lui seul. Flora, sentant venir le danger, renoue avec un ancien amant tandis que Max promet mariage et enfant à Rashka - passant sous silence le fait qu'il est déjà marié - et la convainc de s'enfuir avec lui à Paris. Paris, qui se transforme très vite en Otwock, petite bourgade sans intérêt à deux pas de Varsovie. Malgré les qualités de sa jeune maîtresse, Max ne tarde pas à s'ennuyer de ses amis truands, de leurs combines louches et des tavernes de la rue Krochmalna, et décide de rentrer à Varsovie, quitte à devoir affronter la justice et l'ire de Flora. Est-ce-que tout cela peut bien finir ? Non, certainement pas, sinon ça ne serait pas du Singer ! Dans ce nouveau roman inédit, Singer renoue avec ses thèmes de prédilections et signe un texte foisonnant et haut en couleurs - avec le noir en dominante - qui n'est pas sans rappeler l'univers de Keila la Rouge. Traduit de l'anglais par Marie-Pierre Bay et Nicolas Castelnau-Bay

02/2022

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Romans policiers

Rue Legendre

Les premiers secours traversent les rues de Paris, éclairant les façades de leurs gyrophares. Les sapeurs-pompiers vont tenter de réanimer une femme qui se serait pendue. Dans l'appartement, Etienne de Kerlève, leur capitaine, a un étrange sentiment. L'enquête dirigée par le commissaire Maussard lève le voile sur un secret de famille aux répercussions inattendues. Un roman haletant à la poursuite d'un malfrat dans un triangle Rennes-Paris-Lille.

04/2022

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Littérature française

Rue Amélie

Rue Amélie est le parcours initiatique de l'auteure. Il est le témoin de la force mystérieuse qui l'anime depuis sa naissance, se manifestant par les turbulences de sa petite enfance au début de la Seconde Guerre mondiale, puis par la violence de son adolescence dans les ruines de Düsseldorf, jusqu'à la jubilation et la résilience à l'âge adulte en Corse et à Paris. Elle vous livre ici le film de sa vie, telle une tragi-comédie dont les séquences sont extatiques et burlesques ; une palette émotionnelle dont seule l'existence a le secret. . .

04/2022

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Histoire urbaine

Pavages, garages, dallages. La rue vue de Lyon, XIXe-XXe siècles

Les rues font partie de ces paysages du quotidien tellement banals qu'ils ont peu intéressé la recherche historique. Cet ouvrage propose une histoire de la rue aux XIXe et XXe siècles, à travers ses réalités matérielles : du lampadaire à l'abribus, en passant par le pavé et le bitume des chaussées, chaque élément de la rue a sa propre histoire. Ces divers éléments, combinés de manière plus ou moins intentionnelle par les techniciens et urbanistes, forment des paysages de rues identifiables à des idéaux-types qui peuvent renvoyer à des époques bien identifiées (le grand boulevard dit "haussmannien") ou être vus comme intemporels (la petite rue résidentielle de quartier périphérique). Fondé principalement sur des observations de rues de Lyon mais destiné à toute personne intéressée par les villes et leur aménagement, cet ouvrage propose d'éclairer le fonctionnement de l'aménagement des rues : domaine technique en apparence, politique dans les faits, avec des usagers qui s'affirment de plus en plus, obligeant les pouvoirs publics à mettre très tôt en place des espaces de concertation. Chaque rue a une histoire, souvent différente de celle d'à côté, par la diversité de ceux qui la gèrent et s'en préoccupent : l'histoire des rues est aussi une histoire sociale, faite de débats entre techniciens, de mobilisations habitantes et de choix politiques variables selon les territoires et les époques. En remontant le temps à la recherche des rues, le lecteur pourra trouver des clés de lecture de la ville d'aujourd'hui, à travers ses paysages et certaines problématiques d'aménagement : l'adaptation de la ville aux évolutions des déplacements, l'aménagement des espaces publics ou la protection face aux nuisances des transports sont plus que jamais d'actualité.

10/2023

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Littérature française

Un si petit monde

1989 : la planète entière, fascinée, suit heure après heure la chute du mur de Berlin ; la peur du SIDA se diffuse ; la mondialisation va devenir la norme... Un avenir meilleur serait-il possible ? La guerre du Golfe va très vite confirmer que le nouveau monde ressemble à l 'ancien. Pendant que les évènements se précipitent, les habitants du groupe scolaire Denis Diderot redéfinissent leur place dans la société. Janick Lorrain et Michèle Goubert découvrent qu'on peut vivre sans hommes. Philippe Goubert, indécis, va être soudain confronté à la révélation d'une vocation. Geneviève Coudrier semble inamovible, mais c'est le secret qu'elle cache jalousement qui va soudain faire bouger les lignes. Après La Grande Escapade, Un si petit monde joue avec la confusion dess sentiments, l'attirance pour la vie et pour la mort, l'amertume et le plaisir... Le lecteur retrouvera dans ces pages tout ce qui fait le charme délicat des romans de Jean-Philippe Blondel.

05/2022

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Récits de voyage

Comment voyager seule quand on est petite, blonde et aventureuse ?

Comment voyager dans le delta du Mékong sans être Duras ? Comment se faire des copines qui aiment Poutine ? Comment se débarrasser d'un Indien plus collant qu'un naan au fromage ? Comment camper dans le Connemara quand on a une cystite ? C'est à ces questions existentielles - que se pose toute voyageuse en solitaire - et à bien d'autres encore, que ce livre répond avec mordant et auto-dérision. Un guide hors des sentiers battus, riche en anecdotes croustillantes, qui sera utile aux petites, blondes et aventureuses, ainsi qu'à toutes les globe-trotteuses et à ceux qui ne peuvent s'empêcher de dire : "Vous voyagez... toute seule !?"

05/2018

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Comédie romantique et humorist

Adé. Version intégrale avec le spin off Blonde and Disaster

Aimer implique de sauter dans le vide. Adé est une talentueuse danseuse de hip hop, dont le cour dégringole toujours après une histoire douloureuse. Brisée et usée par sa dernière relation, la jeune femme va, sans réfléchir, accepter le marché saugrenu de sa prof de danse : vivre sous le même toit que son fils. Elle va alors faire la connaissance d'Antony... Une rencontre choc qui va remettre en cause tous ses principes. Les pieds touchant enfin le fond, cela ne sera pourtant pas aisé de remonter la pente... Adé va découvrir que les sentiments blessent davantage que les coups et que les pactes les plus risqués ne sont pas toujours signés avec le diable... Retrouvez Lisa, la copine déjantée d'Adé dans sa propre histoire ! Entre humour, passion et mariage qui tourne mal, Adé et toute sa bande ne sont pas au bout de leurs peines...

10/2021

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Policiers

Arsène Lupin contre Herlock Sholmes Tome 1 : La dame blonde

Retrouvez un face à face inédit : celui d'Arsène Lupin, l'homme qui défie toutes les polices françaises contre Herlock Sholmès, le plus grand des détectives anglais. Qui a volé le petit secrétaire d'acajou contenant un billet de loterie gagnant ? Arsène Lupin, toujours lui, plus insolent, plus ingénieux que jamais, déjouant une à une toutes les ruses du célèbre détective anglais.