Cinéma
02/2019
Critique Roman
03/2022
Critique littéraire
01/2021
Littérature française
01/1992
Religion
11/1999
Beaux arts
10/2008
Vie de famille
01/2022
Sciences politiques
10/2018
Critique Théâtre
03/2024
Education de l'enfant
08/2023
Romans historiques (poches)
03/2018
Autres éditeurs (F à J)
02/2024
Philosophie
05/2017
Sociologie
06/2022
Histoire de l'art
09/2021
Témoins
06/2022
Livres-jeux
03/2022
Notions
10/2023
Romans policiers
01/2022
Développement durable-Ecologie
10/2014
Cuisine à petits prix
04/2022
Religion
06/2010
Cinéma
04/2018
Biographies
03/2023
Sciences historiques
12/2012
Essais
01/2022
Essais
01/2022
Cinéma
03/2020
Essais
#CNLCinema – Roland Topor a été dessinateur, écrivain, plasticien, illustrateur, peintre, chroniqueur satiriste, décorateur scénique, marionnettiste, scénariste télévisuel. Or, lui qui se moquait des clivages artistiques a entretenu une méfiance singulière vis-à-vis du cinéma.
Mais comme le génie du dilettantisme tient dans la contradiction, la méfiance ne l'a pas empêché de déployer une vaste activité en lien avec le monde cinématographique. D'abord à travers des commandes publicitaires, puis des projets d'animation, enfin l'adaptation par Roman Polanski de son premier roman.
En parallèle sont apparues des co-scénarisations, quelques seconds rôles et une pléthore de figurations. Activités auxquelles la coréalisation en 1989 d'un film remarqué, quoique encore mal compris, a apporté le point d'orgue. La rencontre de Topor et de l'art cinématographique évoque celle de l'enfance et du jouet...
10/2020
Essais
06/2021