Recherche

Poussière dans le vent

Extraits

ActuaLitté

Littérature étrangère

L'empire de la poussière

Valentina, douze ans, a une grand-mère pieuse et sévère et une mère sublime et insaisissable. Le père est absent la plupart du temps et se contente de faire des apparitions dans la vieille maison de campagne où les trois femmes cohabitent. Ses murs sont épais et ne sont percés que de rares fenêtres, ses fondations sont imposantes mais fragiles ; dans la région, on l'appelle "la maison aveugle", un empire de poussière qui a l'air d'exister depuis toujours. C'est l'été 1996 et un événement vient troubler les longues journées de vacances : le corps de Valentina change et tout autour d'elle semble vouloir crier le secret qu'elle a choisi de garder. La mère et la grand-mère deviennent de plus en plus distantes tandis que la maison elle-même semble vibrer et s'animer d'étranges présages. Alors que grenouilles, moustiques et sauterelles envahissent les champs alentour et progressent jusqu'à la bâtisse, Valentina explore le terrain dangereux de l'adolescence, découvrant les amitiés fusionnelles et leurs points de rupture, la sensualité âpre et curieuse ainsi que l'énergie féminine et mystique de la nature, la possibilité de mentir pour conserver l'illusion que tout résiste au temps, que rien ne change jamais. Un premier roman qui mêle avec brio réalisme social et réalisme magique dans un tourbillon qui sème perpétuellement le doute.

01/2021

ActuaLitté

Littérature française

Quelque chose de la poussière

Quelque chose de la poussière ou le récit des grands espaces et de la sauvagerie. Tout commence là. Sur une ile hors du temps, à l'ouest du monde. La vieille recueille la bleue, une grande fille -un peu fruste échouée sur la plage. La bleue intègre la famille hors-norme de la vieille. Sa présence subversive va, au fil du récit, faire éclater l'équilibre de ce clan singulier où les esprits des ancêtres côtoient les vivants, où les pierres sont des présences et les animaux des proies avec lesquelles on vit en symbiose. Rythmé par le temps des saisons, animé de l'haleine des bêtes, du souffle du vent, du bourdonnement des moteurs, nourri par la mémoire des morts et le savoir de la terre, le premier roman de Lune Vuillemin est une oeuvre profondément originale, mêlant le drame intimiste et familial au souffle épique d'un road-movie. A la puissance de l'écriture répond l'univers envoûtant des peintures de Benjamin Défossez et ce sont comme des âmes lumineuses qui bruissent dans les profondeurs de ses paysages enténébrés.

10/2019

ActuaLitté

Littérature étrangère

Les hommes et la poussière

Les hommes et la poussière regroupe l'intégralité des nouvelles d'Elio Vittorini des années 1930 et 1940 —toutes inédites en langue française. Elles ont été écrites au moment où Vittorini est au plus fort de son activité et de son rayonnement, et publie ses oeuvres les plus importantes. Deux voix se trouvent puis se rétractent dans le noir, une jeune fille se voit vieillir aux côtés d'un homme qui ne la touche pas, des ouvriers jouent aux cartes en évoquant leur désert, ou crient des noms de villes dans la nuit. Ces nouvelles brèves et énigmatiques, à l'écriture essentielle et d'une musicalité rare, témoignent de la mise au point d'un langage symbolique et prophétique, capable de "dire sans déclarer", appelant à une communauté humaine manquante et désirée.

11/2018

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Cité de la Poussière Rouge

Shanghai, cité de la Poussière Rouge. Dans cet ensemble de maisons traditionnelles, les habitants aiment se réunir dans l'une des allées pour leur « conversation du soir ». De la prise de pouvoir du Parti communiste en 1949 jusqu'à la période actuelle du « socialisme à la chinoise », en passant par la Révolution culturelle, chacun tisse son récit. Travail, précarité, ambition et amour se déclinent selon la grammaire socialiste, car rien n'échappe à l'idéologie. Avec ces nouvelles, Qiu Xiaolong pose un regard pénétrant et lucide sur la Chine contemporaine. Certaines d'entre elles ont été publiées dans Le Monde durant l'été 2008.

03/2013

ActuaLitté

Littérature française

L'éducation de la poussière

C'est la plus cruelle des réalités qui est dite ici : que Suzanne Klein a perdu il y a un an son fils unique alors âgé de vingt ans. C'est cette atroce douleur qui la tient encore debout, c'est avec elle qu'au cours d'une tournée de conférences aux Etats-Unis elle atterrit à La Nouvelle-Orléans, avec elle encore qu'elle se retrouve inopinément, à la suite d'un rendez-vous qu'elle a volontairement manqué à l'aéroport, femme de ménage chez Elise Brac, son mari et ses deux enfants. Sans papiers, sans passé avouable et sous un nom d'emprunt, elle sera désormais Noémie Rosencrantz, ultime maillon de la chaîne du désespoir humain, à la fois héroïne tragique et narratrice silencieuse, occupée à commenter pour elle-même, mais jour et nuit, la mort de son enfant. Femme solitaire et travailleuse clandestine, mère qui ne l'est plus, elle se livre à l'éducation de la poussière - qui est comme une psalmodie de l'absence - et à ce qu'elle appelle " la loi cannibale de la douleur ".

05/2000

ActuaLitté

Littérature française

L'écho de la poussière

Les habitants de St Gilmour sont en état de choc suite au trépas sous leurs yeux d'un des sept lieutenants du Capitaine Morgan, l'homme le plus puissant et dangereux de Casanova. Jack et le responsable de cette mise à mort lors du duel qui vient de l'opposer au lieutenant. Mais, malgré cet acte de provocation que les témoins considèrent comme insensé car il induit de féroces représailles de la part du Capitaine, Jack reste calme. Ce meurtre ne représente rien d'autre pour lui que le point de départ de son plan de vengeance. Son objectif ultime consiste à anéantir entièrement l'organisation de Morgan, autrement dit à faire disparaitre un par un les six autres lieutenants encore vivants. Cette traque conduit Jack à rencontrer divers personnages dont Eliakim, un Indien pacifiste qui lui vient en aide, puis John Colter, un vieil ermite grincheux au long passé. Ces nouvelles rencontres, en plus de ses retrouvailles avec les femmes de son passé, amèneront Jack à confronter son ambition mortelle aux valeurs de chacun, et donc aux siennes. Des assassinats, des captures, des séparations, des politiciens véreux et une armée frileuse... la route est longue jusqu'à la confrontation entre Jack et Morgan lors d'une bataille sanglante. La question qui demeure alors est : est-ce que toute cette violence en valait la peine ?

12/2018

ActuaLitté

Littérature française

Les particules de poussière. Nouvelles

" Elle regardait avec une attention toute particulière les particules de poussière dans l'air déjà saturé du matin. Elle était d'ailleurs la seule à le faire. Tous les autres voyageurs étaient occupés de multiples façons à ne pas suivre ce spectacle entropique fascinant car happés par leurs petits ou grands appareils. (...) Elle continua à regarder, émerveillée, les particules de poussière dans le wagon avec la vague inquiétude que si personne ne regardait ces particules, peut-être cesseraient-elles d'exister. "

02/2017

ActuaLitté

Littérature Italienne

L'Empire de la poussière

Valentina, douze ans, a une grand-mère pieuse et sévère, une mère sublime et insaisissable, et un père absent. Les trois femmes vivent dans une vieille maison de campagne, percée de rares fenêtres, surnommée " la maison aveugle " dans la région. C'est l'été 1996 et un événement vient troubler les longues journées de vacances : le corps de Valentina change et tout autour d'elle semble vouloir crier le secret qu'elle a choisi de garder. Sa mère et sa grand-mère deviennent de plus en plus distantes tandis que la maison elle-même semble s'animer d'étranges présages. Alors que grenouilles, moustiques et sauterelles envahissent les champs alentour, Valentina explore le terrain dangereux de l'adolescence, découvrant les amitiés fusionnelles et leurs points de rupture, la sensualité curieuse ainsi que l'énergie féminine et mystique de la nature... Un premier roman qui mêle avec brio réalisme social et réalisme magique dans un tourbillon qui sème perpétuellement le doute. " L'empire de la poussière plonge dans l'âme de ses personnages avec une intensité exceptionnelle. Chaque détail qui se révèle compose un puzzle narratif construit à la perfection. " Huffington Post traduit de l'italien par Lise Caillat

01/2023

ActuaLitté

Policiers

Il reste la poussière

Argentine, plateaux de la Patagonie. Une steppe infinie, balayée par des vents glacés. C'est là que Rafael, dix ans, grandit dans une famille haineuse. Sa mère s'est endurcie autour d'un secret qu'elle a su garder mais qui l'a dévorée de l'intérieur : une nuit, elle a tué leur ivrogne de père et a coulé son cadavre dans les marais. Depuis, elle fait croire que son mari les a abandonnés, et mène son maigre élevage de moutons et de boeufs d'une main inflexible, écrasant ses quatre garçons de sa dureté et de son indifférence. Mais depuis, aussi, les aînés détestent leur plus jeune frère, né après la disparition du père, et en ont fait la cible de leurs jeux brutaux. Alors Rafael, seul au monde, ne vit que pour son cheval et son chien. Voilà longtemps qu'il a compris combien il était inutile de quémander ailleurs un geste d'affection. Dans ce monde qui meurt, car les petits élevages sont peu à peu remplacés par d'immenses domaines, la révolte est impossible. Et pourtant, un jour, le jour le plus sauvage et le plus douloureux de la vie de Rafael, quelque chose va changer. Le jeune garçon parviendra-t-il à faire sauter l'étau de terreur et de violence qui le condamne à cette famille ? Avec ce roman sombre, planté dans une nature hostile et sublime, Sandrine Collette explore les relations familiales impossibles, et la rédemption, ou non, d'un petit garçon qui a gardé son humanité.

01/2016

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Chemins de poussière rouge

Victime de la répression menée par les autorités chinoises sur les artistes dans les années 1980, Ma Jian a trente ans quand il décide de quitter Beijing. Au cours d'un périple de trois ans, il découvre un pays aux multiples facettes déchiré entre ses traditions et les effets de sa modernisation. Des plaines de l'extrême ouest au Tibet aux côtes du sud, l'artiste-aventurier livre une vision sans concession du pays qui l'a vu naître, mais dans lequel il n'est plus qu'un étranger.

08/2014

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Demande à la poussière

Dans les années trente, Arturo Bandini, fils d' immigrés italiens, quitte le Colorado pour l'Eldorado, Los Angeles, avec son unique roman en poche et un rêve : devenir un écrivain reconnu. Vénérant les femmes et la littérature, il débarque dans une chambre d'hôtel miteuse, prêt à saisir la vie à bras-le-corps. Une errance sublime parmi les laissés-pour-compte du rêve américain.

11/2018

ActuaLitté

Littérature Allemande

La poussière des souvenirs

Depuis que Greta montre des signes de sénilité, Tom découvre chez sa mère une douceur inhabituelle : elle lui raconte son enfance en Prusse orientale, sa fuite vers l'ouest à la fin de la Seconde Guerre mondiale, et son premier grand amour avec un soldat afro-américain. Mais quand elle lui pose des questions sur une soeur dont il n'a jamais entendu parler, Tom se rend compte qu'il ne connaît qu'une infime partie de la vie de celle qui l'a élevé. Avec une tension narrative haletante et une plume tout en émotion, Susanne Abel lève le voile sur le sort des bébés biraciaux nés de l'occupation américaine en Allemagne.

08/2023

ActuaLitté

BD tout public

La Poussière des aïeux

La scène se passe au Mexique. Eusebio Ramirez est le gardien du musée des Masques. De retour d'une visite au cimetière, pour tromper son ennui il écrit des lettres à propos de la famille Rojas dont il est l'ami, et dont les membres défunts ont chacun leur autel des morts, où leur photo voisine avec… un masque. Les différents chapitres de l'album relatent, à travers le témoignage de ce narrateur pas toujours fiable, les circonstances de la mort de ces différents personnages, à des époques elles-mêmes diverses : XIXe siècle, révolution mexicaine, années trente, années soixante-dix, époque contemporaine. D'autres séquences, réminiscentes de l'inspiration macabre d'un Posada, matérialisent les rêves d'Eusebio et nous entraînent dans une crypte pour célébrer la vie après la mort. Fasciné par les rites funéraires du Mexique - pays dans lequel il a séjourné en 2005-2006, et où la mort, loin d'être un tabou, fait partie de la vie quotidienne et est célébrée de manière éminemment festive -, Felix Pestemer a conçu ce livre original et spectaculaire, entièrement dessiné au crayon, et dont l'esthétique rappelle celle des grands muralistes mexicains. Le récit contient de nombreuses allusions à des personnalités ayant marqué l'histoire du pays, comme le peintre Diego Rivera ou Léon Trotzki.

01/2012

ActuaLitté

Policiers

Retour à la poussière

Comment feriez-vous si vous deviez résoudre un meurtre sans la moindre petite preuve exploitable ? C'est la difficulté que rencontre le privé Nils Shapiro. Nils qui, par ailleurs, essaie d'oublier son ex et de ne pas avoir trop froid dans une Minneapolis en proie à un hiver aux températures proprement glaciaires. Son ancien collègue de la police d'Edina, Anders Ellegaard, vient en effet de l'appeler au sujet d'une affaire pour le moins étrange : Maggie Somerville vient d'être retrouvée assassinée dans sa chambre. Problème : le cadavre, la scène de crime et la maison entière sont noyés sous une épaisse couche de poussière, résultat de centaines de sacs d'aspirateur éventrés. Y espérer retrouver l'ADN de l'assassin relève de l'utopie pure et simple. Nils se lance malgré tout dans l'enquête et découvre une mystérieuse jeune femme dont l'identité, si elle était révélée, pourrait détruire toute la famille Somerville... Complication supplémentaire : le FBI s'empare de l'affaire. Contraints d'enquêter en douce, Nils et Ellegaard se rendent rapidement compte qu'il ne s'agit pas seulement d'une simple histoire de moeurs. Le crime a des ramifications qui dépassent de loin les frontières du Minnesota... Paysages glacés, scènes décrites avec beaucoup d'humour et de tendresse : un roman policier solide, à l'ancienne, écrit par un auteur qui a fait ses preuves dans l'écriture de séries télévisées.

11/2017

ActuaLitté

Science-fiction

Nous sommes la poussière

Véritable parabole sur l'autisme, l'anti-validisme et le handicap invisible, Nous sommes la poussière est une dystopie magnétique. Militante LGBT et autiste, Eva D. Serves livre dans ce premier roman un récit sensible et personnel.

05/2023

ActuaLitté

Policiers

Poussière d'os

Deux pieds et une main : c'est tout ce qu'il reste d'un cadavre calciné sur une petite île des Hébrides. David Hunter, anthropologue et médecin légiste, est envoyé sur les lieux. Assisté d'un inspecteur à la retraite, bourru et désabusé, il enquête auprès des îliens, prêts à tout pour garder leurs secrets. Battue par la tempête, l'île est coupée du monde, et le meurtrier rôde toujours.

01/2010

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Poussière et sueur

Employé comme jardinier par la municipalité de Pékin, un ancien paysan, père de quatre filles, vit avec d'autres ouvriers migrants dans un foyer près du canal entourant la ville. Son modeste salaire est destiné à subvenir aux besoins de sa famille restée en province. Sa fille cadette et son gendre ont également décidé de vivre à la capitale. Une loterie offre à ses compagnons un bref espoir d'enrichissement, mais une menace plane en raison d'un jeune délinquant dont il est le "protecteur", lié à lui par d'ancestrales coutumes… Comme dans La Cendrillon du canal , l'action de ce récit se déroule sur une seule journée, près des anciennes douves et aborde le thème des migrants, vivant dans les interstices d'une société à deux vitesses. Cette fiction s'appuie sur les observations personnelles de l'auteur. Le baraquement occupé par les jardiniers se trouve à quelques centaines de mètres d'un des quartiers les plus animés de Pékin, Andingmen, où Liu Xinwu réside. Portrait naturaliste et attendri d'une société dans laquelle les paysans migrants, marqués par leur mode de vie traditionnel, tentent de s'intégrer.

09/2012

ActuaLitté

Littérature étrangère

Cette paisible poussière

Première oeuvre non romanesque de William Styron, Cette paisible poussière rassemble quarante et un textes, essais ou critiques, parus dans la presse entre 1953 et 1982. Sélectionnés par l'auteur pour la permanence de «leur intégrité et leur résistance à l'usure du temps», ces «écrits», en apparence disparates, reflètent avec cohérence les préoccupations majeures qui, de Un lit de ténèbres au dernier en date des romans, Le choix de Sophie, marquent chacune des étapes de l'oeuvre : la vie du Sud, la vie carcérale et la vie militaire, les trois thèmes fusionnant en une lancinante réflexion sur l'irréductibilité du Mal. Cette méditation sur l'Histoire, prétexte à une méditation sur l'Homme teintée de pessimisme, se double d'une méditation littéraire, sous la forme de brillants portraits des «grands ancêtres» - Thomas Wolfe, F Scott Fitzgerald, Faulkner - ou d'hommages à des proches, dont certains disparus - Malcolm Cowley, Robert Penn Warren, Peter Matthiessen, Philip Rahv, James Jones - : autant de clefs sur les influences, affinités et convergences qui placent l'auteur et son ouvre au carrefour de la littérature américaine d'aujourd'hui. Toujours présent en filigrane dans ses romans, Styron est ici omniprésent : la trame personnelle, partout apparente, donne à l'ensemble l'authenticité d'une tranche de vie ; les réminiscences et confidences qui émaillent les diverses rubriques culminent en une évocation nostalgique des années de jeunesse et de la genèse de l'ouvre : ardent et passionné, lucide et angoissé, foncièrement honnête envers soi-même et autrui, débordant d'amour pour la vie et pénétré du sens de la mort, William Styron affirme sa stature de moraliste et d'idéaliste, mû par ce qu'il considère comme son devoir d'homme et d'écrivain - comprendre le phénomène dominant de notre temps : le Mal protéiforme. Cette obsession fait de lui, au sens le plus noble, un auteur engagé dans la défense de causes indissociables de la vocation, souvent proclamée et parfois trahie, de l'Amérique : liberté, justice, humanité. Dans un genre ardu, parfois ingrat et austère, le style demeure vibrant de ferveur, la prose ample et soutenue, riche en images et métaphores où se retrouvent de multiples échos de la somptuosité et de la luxuriance des romans.

03/1985

ActuaLitté

Livres 3 ans et +

Poussière d'étoiles

"Le big bang et la naissance de l'univers raconté aux tout-petits, ces poussières d'étoiles qui illluminent notre quotidien de parents émerveillés..."

01/2019

ActuaLitté

Littérature française

Poussière d'ivoire

Theo est un petit garçon parmi d'autres de son âge. Il n'a pas de signe distinctif. Un peu gauche peut-être, empoté sans doute. Sans filtre face au monde qui l'entoure. Et peut-être pense-t-il être l'océan quand il s'y baigne, la latérite surchauffée quand sa poussière le recouvre, l'harmattan quand il se lève et décape la peau... Comme si, né d'une réminiscence, il échappait à son auteur pour briser le miroir où ce dernier imaginait retrouver son reflet. A travers Theo, l'auteur traduit la sensualité de la terre africaine au travers du prisme de l'âge dit tendre. Il restitue la puissance des émotions de l'enfance, quand elles surgissent et traversent le corps, les sens, à cette période de la vie où le langage est d'abord celui des sensations pures.

03/2018

ActuaLitté

Poches Littérature internation

Chaleur et poussière

Dans les années soixante-dix, une jeune femme arrive à Bombay, attirée par l'histoire d'Olivia, la première épouse de son grand-père. En 1923, celle-ci avait bravé toutes les conventions et ses propres peurs pour rejoindre un prince indien, nawab décadent d'une province musulmane. Cette aventure trouve une étrange résonance dans la vie de la voyageuse ; se dessinent alors les portraits croisés de deux femmes qu'un demi-siècle sépare, mais que semble animer une même soif de liberté. Par petites touches intimistes, la grande Ruth Prawer Jhabvala nous livre l'histoire d'une passion qui tend à se confondre avec une quête spirituelle. Avec comme toile de fond l'Inde éternelle, à la fois sombre et flamboyante, cette terre d'accueil où les Occidentaux désenchantés tentent de panser leurs plaies. Couronnée par le Booker Prize en 1975, adaptée au cinéma en 1982 par l'auteur et James Ivory, Chaleur et poussière est une oeuvre forte qui entremêle le passé et le présent de manière émouvante. Les livres de la cosmopolite Ruth Prawer Jhabvala traitent souvent de l'Inde et du "choc des civilisations" . Scénariste de cinéma, elle a gagné deux oscars, l'un en 1987 pour Chambre avec vue, et l'autre en 1993 pour Retour à Howards End de James Ivory.

04/2013

ActuaLitté

Fantastique

Poussière Tome 3

Tout juste enfuis des geôles de la capitale altienne, la reine Kiba et le professeur Nansen aidés par la mystérieuse organisation des merles, préparent une expédition au bois des masus dans l'espoir de briser le lien entre les deux mondes. pendant ce temps sur terre, Poussière tente de convaincre sa soeur Ayame d'apaiser la colore des cyclopes et de mettre ainsi fin a la guerre de destruction menée par Rachel et Valéria.

02/2021

ActuaLitté

Contes et nouvelles

Poussière d'étoiles

Ce livre est un 2 en 1. Un livre interactif où l'auteur s'adresse aussi à l'enfant. Conte d'un jour et brèves de vies, il se veut croustillant et distrayant pour les petits comme pour les grands. On y partage la tendresse, la magie, le charme et les délices de l'enfance. On y cultive le plaisir et le bonheur de la lecture en famille. On y côtoie la fantaisie et la fraicheur enfantine. Léger et sucré, il se déguste au coin du feu ou dans le jardin ; en hiver ou en été comme un dessert velouté.

07/2021

ActuaLitté

Travail social

Poussière d'espoir

Un regard croisé dans la rue... Et si c'était lui, ce garçon qui a défrayé la chronique et interrogé ma profession, ma pratique, au début de ma carrière d'éducatrice spécialisée. Enfance maltraitée, abus, traumatismes. Comment trouver un sens à la vie, à l'avenir, se libérer du passé ? Jour et nuit, je les ai côtoyés, hébergés, accompagnés, arrosant les graines de leur potentialité, semant des poussières d'espoir, "jardinant" avec eux le sens de cette vie.

12/2021

ActuaLitté

Policiers

Poussière d'anges

Une jeune fille est découverte assassinée, la peau du visage dévorée. Le docteur Marcel Fortesse, médecin urgentiste et généraliste, se met en quête du tueur pour disculper son fils accusé à tort. Et comme l'existence est rarement simple, il doit mener de front ses multiples activités professionnelles tout en accompagnant sa chère maman, atteinte d'un cancer, jusqu'à son dernier souffle. Avec l'aide de quelques amis, et seulement armé d'un sens de l'humour salvateur, Marcel Fortesse va devoir s'aventurer dans une valse équivoque avec la mort.

10/2013

ActuaLitté

Littérature française

Poussière d'or

Par un après-midi ensoleillé du fécond mois d'avril arrive, du parking de l'école qui donne sur la cour de récréation où nous passons le plus clair de notre temps, une petite et jeune femme précédée d'une poussette. Je ne la connais pas mais je soupçonne que c'est la directrice de l'école et son bébé. Je n'aime pas les directrices et pas beaucoup plus les bébés qui ne sont que des adultes en sursis. Et puis, un bébé ressemble à tous les autres quand ce n'est pas le vôtre qui, seul, est unique et incomparable, comme chacun sait. Elle vient nous présenter son petit garçon. Il a trois mois, elle rayonne sans sourire, elle a le monde dans les mains et une sorte de foi inébranlable qui me déplaît d'emblée. Je jette un œil peu intéressé par-dessus les têtes à moitié pouilleuses de nos élèves agglutinés autour du berceau. Tout de même, je le reconnais, le petit garçon est singulièrement beau, serein, souriant, auréolé de soleil. Un bébé comme celui-ci, c'est une des merveilles de ce monde qui va de tromperies en échecs, de laideurs en souffrances. Et je m'éloigne sans faire connaissance ni avec la mère ni avec le bébé. Le spectacle a cessé de m'intéresser, je ne me soucie pas même du prénom de l'enfant. Toujours les mêmes enfants, toujours les mêmes prénoms. A aucun moment je n'ai pressenti que ce prénom-là, je m'en souviendrais jusqu'à l'obsession, ni que c'était la première et la dernière image que j'aurais de Tristan.

04/2014

ActuaLitté

Policiers

Poussière tu seras

Adrian Calvert, 14 ans, a disparu. Dans le salon poussiéreux du barbier, les lames de rasoir s'activent et les langues se délient : ce n'est pas la première disparition dans la région. Depuis plusieurs années, des jeunes manquent à l'appel dans l'orphelinat voisin. Personne ne sait ce qu'ils sont devenus. Récemment, la pluie cinglante a exhumé des os autour d'une clinique désaffectée. Des os d'enfants...

03/2013

ActuaLitté

Littérature française

Poussière d'écume

Le jeune Karel, gratte-papier dans un commissariat sordide de Prague, rêve de voyager sans trouver le courage de partir. Il se lie d'amitié avec Dashnor, un vieux marin dont les aventures lointaines le fascinent. Parmi ses compagnons de fortune, le sombre Vodnik l'incite à consommer une drogue dure. Il sombre peu à peu dans la folie, tandis qu'un tueur sanguinaire rôde dans les rues froides de la ville. Un polar intense.

11/2010

ActuaLitté

Policiers

Poussière du désert

Revoilà Carlos Hernandez, le flic polygame de Mexico, jouisseur sympathique, rusé, fidèle en amour comme en amitié, mais " ayant tant d'amour à donner " qu'il est obligé d'avoir deux femmes car une seule, il pourrait la tuer. Un flic si honnête qu'il finance ses enquêtes avec le produit de ses magouilles. Cette fois, il fait l'aller-retour entre Tijuana et Mexico pour récupérer la dépouille d'une gamine morte d'une overdose au cours d'une partouze chic. Bien sûr, les choses se compliquent salement quand il apprend que la jeune fille appartenait à un chef du cartel de Tijuana et qu'elle avait un amant de cœur qui voulait l'emmener dans le désert pour la purifier... Comme dans L'effet tequila, Rolo Diez s'amuse à nous raconter un Mexique qui continue à faire ce qu'il peut pour maintenir sa tête hors de l'eau.

10/2001

ActuaLitté

Littérature française (poches)

Poussière d'homme

« Ce dimanche 3 avril, au soir, tes jours d’homme m’ont filé entre les doigts. Au presque commencement de ma vie, je t’ai perdu, toi avec qui je voulais la finir. Nous avions oublié d’être mortels, le temps nous a rattrapés… La voix blanche et la colère noire, j’ai eu beau t’appeler, tu étais déjà parti, loin. Ta vie, minuscule tourbillon de quelques lunes et soleils, cessait là de tournoyer, sur le rivage carrelé, blanc et glacé, d’un hôpital. Je fais le rêve que l’on nous redonne quelques heures, une poignée d’heures d’une toute petite nuit, ravies entre le tomber d’un jour et le lever d’un autre. Ce ne sera qu’un tout petit moment, le temps de refermer les portes de notre vie ensemble, de nous serrer une dernière fois l’un contre l’autre avant que nos corps volent en éclats. Une minuscule escale pour rattraper ce temps échappé, arraché, et te dire l’après-toi, le sans-toi, la béance à chaque seconde de mes jours, la douloureuse colère depuis ta vie suspendue, l’amour de toi qui me cogne au-dedans ».

07/2012