Musique, danse
01/1993
Photographie
08/2019
Littérature française
08/2017
Sociologie
02/2021
Critique littéraire
02/2019
Géographie
03/2017
Philosophie
01/1997
Littérature anglo-saxonne
06/2016
Histoire de France
09/2004
Documentaires jeunesse
01/2018
Histoire internationale
06/2011
Histoire du droit
03/2021
Cinéma
07/2020
Histoire ancienne
01/1999
Philosophie
01/2011
Ethnologie
07/1997
Erotique
11/2022
Science-fiction
05/2021
Science-fiction
11/2016
Science-fiction
05/2014
Littérature française
02/2023
Mondes futuristes
05/2022
Sociologie
04/2023
Sciences de la vie
Depuis la sortie du film Jurassic Park, qui n’a jamais imaginé, avec bonheur ou effroi, tomber sur un tyrannosaure rugissant au détour d’un chemin ?
Depuis des millénaires, l’homme bricole les gènes des plantes et des animaux qui l’entourent grâce à la sélection artificielle. Aujourd’hui, d’autres procédés plus high-tech cherchent à recréer des espèces disparues.
Ces prouesses scientifiques nous placent devant une évidence : les espèces s’éteignent lorsqu’elles sont inadaptées ou lors d’extinctions de masse, en particulier celle que nous provoquons depuis quelques dizaines de milliers d’années et qui s’accélère dangereusement.
Il est de notre devoir de protéger les espèces menacées. Mais ne devrions-nous pas aussi faire revenir des espèces disparues par notre faute ? Par exemple, une Europe en partie ré-ensauvagée devrait-elle accueillir des mammouths, recréés ou transformés à partir d’éléphants, qui habitaient ce continent avant que les humains ne participent à leur extermination ?
Vouloir faire revivre des espèces disparues soulève des questions d’ingénierie génétique, mais cela interroge aussi notre définition de la nature, notre acceptation du monde dit sauvage et la relation que nous souhaitons entretenir avec lui pour les siècles à venir.
02/2022
Coloriages adultes
05/2022
Humour
04/2021
Réalistes, contemporains
05/2021
Historique
08/2021
Histoire de France
04/2011
Architecture
06/2021