Recherche

Catherine Grenier, Christian Boltanski

Extraits

ActuaLitté

Grands couturiers

Christian Dior et moi

Les mémoires d'un génie de la mode Peu avant sa mort soudaine en 1957, Christian Dior, alors au faîte de sa gloire, entreprit de publier ses Mémoires où, avec humour et style, il retrace le destin exceptionnel d'un homme qui, inconnu un jour, célèbre dans le monde entier le lendemain, révolutionna la mode. Rien, pourtant, ne semblait l'y prédestiner. C'est sur le tard que, pressé par la nécessité, il s'initie à la gravure de mode, puis travaille avec les plus grands. En 1946 (il a alors 41 ans), naît la maison Christian Dior. Quelques mois plus tard, sa première collection rencontre un succès immédiat et éclatant : son existence en sera irrémédiablement bouleversée. C'est ce parcours hors du commun que, dans un style surprenant d'élégance, Christian Dior nous fait découvrir. Il nous invite à passer les portes du 30, avenue Montaigne pour assister à la naissance d'une collection ou pénétrer dans les coulisses d'un défilé. Et, surtout, il dit ses intuitions géniales, avoue ses doutes, ses audaces, son obsession du détail et du travail soigné, tout ce qui en fit l'un des plus grands noms de la haute couture.

10/2022

ActuaLitté

BD tout public

Christian en Bandes Dessinées

Vous avez un fils portant le prénom de Christian... Ou bien un frère, un père, un neveu, un petit-garçon, un prof', chef du personnel, dentiste, concierge, voisin, ministre ou PDG... Vous devez en épouser un prochainement, vous fiancer, vous pacser avec lui, ou encore vous en séparer... Peut-être même en attendez-vous un pour très bientôt ? Bref ! Quel que soit votre Christian, vous souhaitez certainement le connaître plus intimement. Eh bien, grâce à ce recueil à la fois drôle et plutôt savant, les Christian n'auront désormais plus de secrets pour vous !

04/2009

ActuaLitté

Histoire des arts décoratifs

Christian Bérard. Excentrique Bébé

Christian Bérard est connu pour avoir révolutionné l'art du décor théâtral dans les années 1930 et 1940 mais il était aussi peintre illustrateur dessinateur de mode et architecte d'intérieur. Il a transposé son univers pictural sur la scène des Ballets russes de Monte-Carlo aussi bien que dans La Belle et la Bête de Jean Cocteau en 1946. Ses dessins publiés en couverture et dans les pages de Vogue et Harper's Bazaar ont su saisir avec une précision sensible le monde de la mode parisienne. A la Libération il a créé le désormais emblématique Théâtre de la mode un panorama de la couture française présenté sur des mannequins de fil de fer dans une installation qui a fait le tour de l'Europe et des Etats-Unis. Ses aménagements intérieurs les plus prestigieux comme ceux imaginés pour Charles et Marie-Laure de Noailles témoignent d'un rapport unique à l'espace à la fois lieu de création et objet de représentation fantasmé et théâtralisé. Célébré par ses contemporains qui l'avaient affectueusement surnommé Bébé Christian Bérard est pourtant de ces artistes "modernes excentriques" oubliés par les historiens de l'art. Plus de deux cents tableaux dessins photographies correspondances intimes et décors d'intérieur sont ici réunis autour de textes inédits pour le redécouvrir enfin.

07/2022

ActuaLitté

Résistance

« Catherine ». Catherine Varlin-Winter, résistante, militante, journaliste (1925-2004)

Née de parents juifs russophones arrivés en France au début des années 1920, Judith Haït-Hin a quinze ans lorsqu'en juin 1940 elle fuit la capitale devant l'avance allemande. Dès 1941, à Montpellier où sa famille s'est réfugiée, elle intègre un groupe de la MOI (Main-d'oeuvre immigrée). Fuyant l'entrée des Allemands en zone Sud, elle se retrouve, en novembre 1942, à Grenoble, en zone d'occupation italienne. C'est là qu'elle s'engage dans les FTP-MOI (Francs-tireurs et partisans de la Main-d'oeuvre immigrée). En 1943, elle gagne Toulouse et devient Commissaire aux effectifs de la " 35e Brigade ". En 1944, elle est en Meuse, membre de l'état-major départemental des FTP, chargée d'organiser les nombreux étrangers qui séjournent dans les forêts du département. A la Libération, elle accompagne quelque temps le " Bataillon de la Meuse " qui sera intégré à la Colonne Fabien, puis à la 1ère Armée du général de Lattre de Tassigny. De retour à Paris, elle écrit pour diverses publications liées au PCF, avant de devenir journaliste à L'Humanité. A ce titre, elle est notamment envoyée en 1948 en Palestine et rend compte de la création de l'Etat d'Israël. En 1953, c'est elle qui sera, au sein du journal, la principale animatrice de la campagne de protestation contre la condamnation à mort des époux Rosenberg. Ebranlée par les révélations du 20e Congrès du Parti communiste de l'URSS, puis par l'intervention soviétique à Budapest, elle quitte le PCF. Tentée un moment par la littérature, elle écrit et publie des poèmes, mais c'est vers le cinéma qu'elle se tourne finalement et devient productrice. Elle accompagnera des réalisateurs parmi les plus prestigieux, Joris Ivens, Chris Marker, Alain Resnais et bien d'autres.

06/2022

ActuaLitté

Décoration

Greniers de France

Les greniers, reflets de notre mémoire, racontent l’histoire de nos maisons, de nos familles. Transformés en combles habitables, ils disparaissent hélas rapidement. Les enfants d’aujourd’hui n’ont plus guère l’occasion d’y vivre les aventures qui ont fait rêver leurs parents. Peut-on déchiffrer, entre mélancolie et abandon, les va-et-vient des objets à demi oubliés, à demi vénérés qui se font, dans nos greniers, les auxiliaires les plus précieux de la mémoire ? C’est à cette singulière aventure que s’est attaché Jean Belondrade qui saisit, photographiquement, les visages du temps arrêté sous les toits, l'infini des objets qui les peuplent et les parfums d'éternité qui les embaument. Le futur est dans les caves, avec le vin et les conserves ; le passé, lui, sous les toits, près du ciel, comme si les souvenirs protégeaient la maisonnée. Font écho à ces clichés, les textes, éclairants ou méditatifs, de Christiane Amiel et de Jean Pierre Piniès, qui s'efforcent de lire ces cabinets de merveilles à la lueur de l'ethnologie.

12/2012

ActuaLitté

Romans historiques (poches)

Catherine Tome 3 : Les Routes incertaines. Catherine des grands chemins ; Catherine et le temps d'aimer

Arnaud de Montsalvy a contracté la lèpre dans la geôle immonde où Georges de La Trémoille, le tout-puissant favori de Charles VII, l'a fait jeter pour avoir tenté de délivrer Jeanne «la sorcière». Catherine, désespérée, se retranche du monde et s'enferme avec leur fils Michel dans sa forteresse auvergnate. Pourtant, le monde n'oublie pas Catherine. Tous ceux qui veulent que le sacrifice de Jeanne d'Arc n'ait pas été vain se liguent pour abattre Georges de La Trémoille. C'est pour se venger de cet homme que Catherine trouve enfin la force de quitter son refuge, et de se lancer à nouveau dans les plus périlleuses aventures.

04/2015

ActuaLitté

Revues

Critique N° 920-921, janvier-février 2024 : Luc Boltanski

Luc Boltanski, depuis un demi-siècle, apporte à la sociologie une contribution majeure. Curieux de tout, il s'est intéressé à la puériculture et à la formation des groupes sociaux, aux transformations du capitalisme et à l'engendrement, à l'action humanitaire et à l'évolution des médias, à notre rapport au corps et à la bande dessinée. Son oeuvre, souvent pionnière, s'est tournée vers les théories du complot et les métamorphoses de l'économie post-industrielle bien avant que ces sujets n'envahissent le débat public. Foisonnante, elle est aussi inquiète, et porte sur les interactions humaines un regard tragiquement attentif à la précarité invisible, c'est-à-dire imprévisible, des édifices sociaux. Scientifique avant tout, elle se double, depuis toujours, d'une autre vie d'écriture - de poésie et de théâtre. Cette livraison de Critique, conçue et dirigée par Laurent Jeanpierre, voudrait, pour la première fois sans doute, rassembler toutes ces facettes.

02/2024

ActuaLitté

Témoignages

Moi, Christiane P.

Que reste-t-il de notre identité ? Lorsque, petit à petit, nous perdons ces bribes de mémoire qui nous disent qui nous sommes, d'où nous venons, où nous allons ? Lorsque, doucement, s'effacent notre parcours, nos idées, nos plaisirs ? Et puis notre notion du temps, du monde, de l'autre ? Imaginez un instant que vous ne sachiez plus qui vous êtes, où vous êtes, pourquoi vous êtes là, ni qui sont les gens qui vous entourent... Et pourtant, ne sommes-nous pas vivants jusqu'au dernier instant ? Nos sentiments, nos émotions, ne demeurent-ils pas intacts même quand notre esprit s'égare ? Tous ces gens bien portants qui jugent et décident à votre place, pour votre sécurité, pour la leur, ou qui se transforment en tortionnaires ordinaires dans un système où l'humain n'est plus qu'un numéro. Ce texte n'est cependant ni un pamphlet ni un réquisitoire. Tout juste un témoignage. Un hommage, peut-être. A la mémoire de tous ceux qui ont vécu cet enfer-là. Parce qu'il faut dire et faire savoir. Ne pas se taire. Parce qu'un jour, peut-être, vous serez Christiane P.

07/2022

ActuaLitté

Théâtre

La Clef du grenier d'Alfred

Nous sommes en septembre 1851. La servante et le cocher d'Alfred de Musset cherchent des harnais ; ils pénètrent dans le grenier du poète, jonché de papiers épars, de vieux livres oubliés, de lettres abandonnées, d'objets poussiéreux, prétextes habiles pour évoquer en quelques phrases, poèmes ou extraits de pièces, l'œuvre légère et douloureuse d'un grand romantique épris d'absolu. Quelques anecdotes piquantes épicent un dialogue qui atteint son apogée dans le jeu intégral de la comédie-proverbe : Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée. Le temps est à la pluie, un jeune comte rend visite à sa voisine, la charmante Marquise... Mais comment faire la cour à une femme sans plonger dans les clichés maladroits, sans lui déclarer avec fadeur : " Vous êtes jolie " ? Isabelle Andréani, en amoureuse passionnée (et passionnante) de l'œuvre de Musset, a écrit avec La Clef du grenier d'Alfred, un préambule facétieux à ce succulent duel à fleurets mouchetés ; grâce à elle, cette Clef et cette Porte sont devenues un spectacle à part entière couronné d'un succès discontinu à Paris, aux festivals d'Avignon, dans toute la France et même à l'étranger. Il était donc juste que la Fondation de France récompense la ravissante Isabelle en lui attribuant le prix Charles Oulmont 2008.

01/2010

ActuaLitté

Littérature française

La malle au fond du grenier

L'auteur nous invite à partir en voyage à la rencontre de quelques personnages particuliers qui ont marqué sa vie. Du "Juif errant", joueur de violon qui l'interroge sur la vie d'ici et celle d'au-delà, de la nécessité de croire ou de ne pas croire, l'auteur nous invite à franchir la mer pour rejoindre son ami Targui de la tribu des Kel-Rhéla, qui lui a fait découvrir " La vierge noire à l'enfant " ; traces anciennes sur les ocres d'une grotte dans le Tassili algérien. Après l'Afrique, nous l'accompagnerons jusqu'en Australie sur les terres des aborigènes Warumungu, au coeur du " Pays des rêves ". Et puis il nous invite à revenir sur sa terre natale, la Tunisie, le pays du jasmin, à la rencontre d'un peuple épris de liberté, au point de sacrifier la vie de ses enfants. A ce moment des souvenirs lui vient l'image de son père adoptif, "El Gozo", son héros ordinaire, venu en France depuis Xaghra, son village sur l'île de Gozo. A Lyon où "écrivaillon de fortune" il vit ses rêves et construit ses châteaux en Espagne, il finit par rencontrer un jour l'amour, sur les quais de Saône devant l'étal d'un bouquiniste. Sont-ils finis les longs voyages au lointain parcours ? Revenu à Paris devant la fontaine Wallace sur le trottoir devant chez lui, il songe à ce qu'il écrira demain... et puis, toutes ces feuilles jaunies par le temps iront somnoler dans la malle au fond du grenier.

04/2021

ActuaLitté

12 ans et +

Au nom de Catherine

Catherine est de retour à la Maison des enfants de Sèvres. Poussée par Goéland et Pingouin, elle commence une carrière de photographe-reporter. Mais, au début des années 1950, il ne fait pas bon être une femme dans ce milieu exclusivement masculin. Et si la guerre est finie, les combats, eux, ne manquent pas... A commencer par le féminisme, que Catherine découvre avec Simone de Beauvoir. Sa rencontre avec Mavis, chanteuse noire américaine qui a fui les Etats-Unis pour s'installer en France, la pousse à réaliser un vieux rêve. La voilà partie pour trois mois en Amérique, où le meilleur côtoie le pire... Au nom de Catherine est la suite de La guerre de Catherine.

06/2020

ActuaLitté

Romans de terroir

Le pensionnat de Catherine

A la mort de sa mère adoptive, Samuel, jeune professeur, apprend qu'il a été recueilli en mai 1943, non loin de la frontière suisse où un réseau de passeurs aidait les Juifs à fuir. Il commence une enquête à Annecy, épluche la presse, interroge, pour obtenir une vérité terrible : des réfugiés étaient abattus dans un chalet des alpages. Lardener, riche notable, aurait trempé dans ce trafic avant d'être assassiné à la fin de la guerre. En Haute-Loire, Camille travaille dans le pensionnat pour jeunes filles tenu par sa mère, Catherine Sforza, veuve. Un jour, se présente une nouvelle enseignante, Miss Rawelle. Elle a une vive altercation avec Catherine, qui feint de ne pas la reconnaître. L'enseignante lui hurle alors qu'elle connaît son véritable nom, Lardener, et la vérité sur ses activités pendant la guerre. Dans la nuit, Miss Rawelle est défenestrée. Samuel et Camille vont se trouver par hasard dans les ruines du chalet des anciens passeurs de Juifs. Samuel parce qu'il espère y retrouver la trace de sa mère. Camille pour comprendre qui était vraiment ce Lardener dont elle serait la fille. De rebondissement en rebondissement, tous deux vont percer le mystère de leurs parents et, surtout, s'aimer avec passion...

10/2019

ActuaLitté

Historique

Au nom de Catherine

Après plusieurs mois passés aux côtés d'Etienne, Rachel Cohen décide de conserver Catherine Colin comme nouvelle identité et revient à Sèvres pleine d'incertitudes. Etienne lui suggère de s`accorder une année loin de lui pour réfléchir à ses sentiments, à ses aspirations comme photographe et à ses envies de femme adulte. Après en avoir discuté avec Goéland, Pingouin et son ami de toujours Jeannot, Catherine décide de se consacrer pleinement à son art et se lance comme photographe professionnelle pour gagner ainsi son indépendance. Entre la fête de l'Humanité, une utopique colonie de vacances franco-allemande et un sujet social qui va la conduire jusqu'aux Etats-Unis, elle connaît un début de carrière fulgurant. Toujours en proie avec les traumatismes de son passé, Catherine va néanmoins, à travers son art et les relations qu'elle noue, s'ouvrir au monde et s'affirmer comme femme dans une société encore marquée par la guerre et la domination masculine.

03/2023

ActuaLitté

Photographie

Catherine Deneuve. Portraits choisis

Sous la responsabilité d'Antoinette Fouque pour les éditions des femmes et de Jean-Pierre Lavoignat pour Studio Magazine Catherine Deneuve débute très jeune à l'écran, dans le sillage de sa soeur, Françoise Dorléac. En plus de cinquante ans de carrière, elle s'est imposée comme la plus célèbre représentante du cinéma français. De son impressionnante filmographie, on peut citer Les Parapluies de Cherbourg et Les Demoiselles de Rochefort (Jacques Demy, 1964 et 1967), La Chamade (André Cavalier, 1968), Tristana (Luis Bunuel, 1979), Le Dernier Métro (François Truffaut, 1980), Drôle d'endroit pour une rencontre (François Dupeyron, 1988), Hôtel des Amériques et Ma saison préférée (André Téchiné, 1981 et 1993), Mères et Filles (Julie Lopes-Curval, 2009). Ce livre est pour l'essentiel constitué de photos exposées au Pavillon des Arts, à Paris, en novembre 1990 à l'initiative de Studio Magazine dans le cadre du Mois de la Photo. Répondant au souhait de Catherine Deneuve, les photographes ont accepté de céder gracieusement leurs droits de reproduction et de publication afin que les bénéfices de ce livre soient intégralement reversés à l'association Arcat-Sida pour le développement de ses actions dans la lutte contre la maladie : information, recherche et action sociale. Photographies de : Richard Avedon, David Bailey, Raymond Darolle, Marie-Laure de Decker, Dityvon, Milton H. Greene, Pamela Hanson, Dominique Issermann, Just Jaeckin, Mikaël Jansson, Brigitte Lacombe, Jean-Jacques Lapeyronnie, Annie Leibovitz, Sam Levin, Peter Lindbergh, Barry McKinley, Harry Meerson, Sarah Moon, Helmut Newton, André Rau, Man Ray, Bettina Rheims, Marianne Rosenstiehl, Luc Roux, Jerry Schatzberg, Jean-Loup Sieff, Bert Stern, Studio Harcourt.

03/1993

ActuaLitté

Récits de voyage

Tokyo, Catherine et moi

"A Tokyo, je ne reconnais rien, aucune image, aucune description, aucun signe du connu. Je n'y retrouve aucun plan d'aucun film, aucun mot d'aucun texte. Je n'ai rien lu, je n'ai rien vu. Les images des autres mondes, européens, américains, s'imposent d'elles-mêmes, elles nous sont imposées tout le temps et partout. Celles-ci nécessitent un travail, une recherche. Je n'ai pas cherché, je n'ai pas travaillé. Et je ne retrouve rien, je ne trouve pas, je perds tous repères, et j'ai tout à bâtir." La voix de Pierre Notte est multiple, en pleine métamorphose. Elle parle, tant elle redoute qu'on ne l'occulte. C'est sa façon d'exister, sa manière de dire "Je suis là", de faire partir la peur. Dans ce Japon déroutant où tout existe et son contraire, écoutons la ville et la voix assourdir ou se taire.

04/2017

ActuaLitté

12 ans et +

La guerre de Catherine

Nous allons changer de nom, et nous devrons tous oublier, le temps de la guerre, ceux qui nous ont été donnés par nos parents. Rachel s'appelle désormais Catherine, Catherine Colin. Lorsque les lois contre les Juifs se sont intensifiées, ses parents l'ont confiée à la Maison des enfants de Sèvres. Mais bientôt il ' n'y a plus de sécurité nulle part en zone occupée. Un réseau de résistance organise la fuite des enfants juifs en zone libre. Ils doivent du jour au lendemain quitter l'école, leurs camarades et partir avec des inconnus. Ils ne savent pas comment feront leurs parents pour les retrouver. Ils ne savent même pas si leurs parents sont encore en vie. Dans sa fuite, Catherine emporte avec elle un Rolleiflex et quelques rouleaux de film. La directrice de la pension qu'elle quitte lui a confié une mission : Fais des photos, collecte des images et rapporte-nous tout cela à latin de la guerre. Nous en aurons besoin. Elle va alors photographier les personnes qui l'hébergent et la protègent, les enfants qu'elle croise, ceux avec qui elle partage la peur et la solitude mais aussi la tendresse et les instants de joie : la petite Alice, qui n'a plus de parents et s'accroche à la pensée que son frère l'attend quelque part, Luco, qui n'arrive pas à retenir son nouveau nom. Catherine a le don de saisir la vérité des enfants et des adultes qu'elle photographie. Elle écrit sa guerre en images sans savoir encore jusqu'où celles-ci la conduiront.

04/2012

ActuaLitté

BD jeunesse

La guerre de Catherine

1941. Rachel étudie à l'internat de la maison de Sèvres, où ses parents l'ont placée par sécurité. Elle y noue de belles amitiés mais y découvre surtout sa passion, la photographie. Bientôt, les lois contre les Juifs s'intensifient, il n'y a plus de sécurité nulle part en zone occupée. Un réseau de résistants organise la fuite des enfants juifs. Du jour au lendemain, ils quittent tout et doivent oublier, le temps de la guerre, tout de leur vie d'avant, à commencer par leurs prénoms. Rachel devient Catherine. Raconte, lui intiment ses professeurs en l'envoyant sur les routes de la zone libre, un appareil photo à la main. C'est ainsi que nous découvrons le quotidien d'une adolescente juive dans la guerre, ses rencontres, ses peurs mais aussi les quelques moments de répit et de grâce que lui offrira son art. BD Jeunesse.

05/2017

ActuaLitté

BD jeunesse divers

La guerre de Catherine

1941. Rachel étudie à l'internat de la maison de Sèvres, où ses parents l'ont placée par sécurité. Elle y noue de belles amitiés mais y découvre surtout sa passion, la photographie. Bientôt, les lois contre les Juifs s'intensifient, il n'y a plus de sécurité nulle part en zone occupée. Un réseau de résistants organise la fuite des enfants juifs. Du jour au lendemain, ils quittent tout et doivent oublier, le temps de la guerre, tout de leur vie d'avant, à commencer par leurs prénoms. Rachel devient Catherine. Raconte, lui intiment ses professeurs en l'envoyant sur les routes de la zone libre, un appareil photo à la main. C'est ainsi que nous découvrons le quotidien d'une adolescente juive dans la guerre, ses rencontres, ses peurs mais aussi les quelques moments de répit et de grâce que lui offrira son art.

03/2023

ActuaLitté

Romans de terroir

Le secret de Catherine

Catherine a vu le jour dans une modeste famille paysanne, elle fréquentera l'école primaire de son village et deviendra servante au château de Parsac. C'était à la fin du 19e siècle au temps des derniers loups et des grands châtaigniers. Puis à "l'Auberge du Pêcheur Gourmand", serveuse, elle rencontrera Etienne, décorateur sur porcelaine. En 1905 les émeutes ouvrières de Limoges lui arracheront l'homme de sa vie : elle devra fuir... Au début de la Grande Guerre elle reviendra en Limousin, épousera Louis et, ensemble ils mettront en valeur le domaine de Bonneval. Enfin, retirée au Dognon, à l'orée de sa vie Catherine confiera à sa jeune voisine Marguerite son secret.

02/2011

ActuaLitté

Actualité et médias

L'ombre de Christian Ranucci

Christian Ranucci, 22 ans, a été guillotiné le 28 juillet 1976 dans une cour de la prison marseillaise des Baumettes. Etait-il coupable ou innocent ? Publié deux ans après son exécution, Le Pull-Over rouge posait la question. Les recherches et enquêtes conduites depuis trois décennies n'ont fait que renforcer l'angoissante probabilité de l'innocence du jeune décapité. L'Ombre de Christian Ranucci révèle les résultats de ces travaux et évoque les rebondissements les plus récents, y compris la possible intervention d'un présumé tueur en série. L'Ombre de Christian Ranucci marque une nouvelle et importante étape dans la quête de la vérité.

08/2006

ActuaLitté

Photographes

Paolo Roversi par Christian Caujolle

Si on le connaît surtout pour ses photographies dans le domaine de la mode, Paolo Roversi n'est surtout pas photographe "de" mode. Ce grand connaisseur de la photographie - qu'il collectionne avec un goût très sûr -, cet amateur, au plus beau sens du terme, de livres qui, dès sa jeunesse l'ont familiarisé avec les classiques comme avec les auteurs de sa génération, est photographe, tout simplement. Il considère chaque photo comme un "portrait", qu'il s'agisse d'un visage, d'une robe, d'un paysage ou d'une cafetière, et affirme sa passion pour August Sander, Diane Arbus ou Richard Avedon. Et évidemment Robert Frank dont il fut proche. Simplement parce qu'il cherche à "placer au centre du monde" ce qu'il photographie, qu'il s'efface pour pouvoir éliminer et épurer au maximum. Avec une grande élégance. Au début, cela n'a pas été facile. Le COVID 19 nous a empêchés de nous voir en face à face et nous avons dialogué par écrans interposés, ce que ni l'un ni l'autre n'aimons et qui ne se prête guère au type d'échange qui est la règle, la base et le fondement de ces discussions. Dès la première rencontre physique sur la terrasse du Studio Luce et malgré l'intempestif passage d'un hélicoptère, la parole est devenue plus fluide. D'autant que le lieu est accueillant, que le studio, dans un immeuble des années trente au sud de Paris fait cohabiter espaces de vie et de travail. Comme une évidence. Retrouvailles complices, échanges, partage. Et toujours cette bonne humeur élégante, ce sourire qui plisse au coin des yeux, ce rire fréquent et jamais haut, cet humour léger, une façon de ne pas se prendre au sérieux, une forme de prédestination au bonheur comme une décision de vie. On sent à chaque instant une exigence, par nécessité et, tout aussi forte, l'indispensable liberté qui ouvre les portes. Le rythme est souple, musical, à la fois ferme dans ses convictions et jamais arrogant. Français parfait et précis pour le plus italien des parisiens, ou, peut-être, le plus parisien des italiens. Peu importe, d'ailleurs. Oui, une évidente élégance. Comme, plus tard, dans son appartement lumineux au dernier étage d'un bel immeuble. Un univers habité, ni en désordre ni vraiment rangé, surtout pas arrangé. Un monde de livres, dès l'entrée et dans presque toutes les pièces. Des livres de tous types, poésie, roman, philosophie, littérature, photo évidemment, livres d'art et de remarquables exemplaires reliés de belles éditions anciennes - vu une originale de Paul et Virginie, un ouvrage de 1776 sur l'Italie avec des aquarelles magnifiques ou un exemplaire des Œuvres complètes de Jules César - qui viennent de son épouse, Laetitia, ancienne top model descendante des imprimeurs typographes Firmin Didot. Un monde de photographies, partout, dans toutes les pièces, au mur ou sur des rangements en bois à croisillons. Peu de photographies du maître des lieux, finalement, mais beaucoup de pépites, de Robert Franck - beaucoup - à Diane Arbus - dont le si rare autoportrait enceinte - à Kertész - un petit tirage inédit d'une vue de Paris –, plusieurs Shoji Ueda ou Louis Faurer. Et tant d'autres, mêlés à quelques photos de famille. Face à un mur entièrement couvert de photographies, bouleversant, un Lucio Fontana blanc, d'un format inhabituellement grand, très pur d'une seule entaille verticale. On aperçoit, dans une bibliothèque dont les portes vitrées protègent des livres particulièrement précieux, un petit paquet carré, emballage mystérieux des tout débuts de Christo. D'autres peintures au mur, dont une d'un ami. Ici, rien n'est décoration, on vit dans un environnement où l'art trouve tout naturellement sa place pour que l'on vive avec lui. On le respire. Mais il ne s'agit ni d'un musée, ni d'une monstration, encore moins d'une démonstration. Pas de logique, pas de hiérarchie, une manière plutôt d'autoportrait fait de bribes de souvenirs, de moments d'une vie, d'émotions préservées. Nous n'avons, finalement, pas tellement parlé de mode. Sans doute parce que ce n'est pas vraiment le propos, même si celui qui dit avoir été fortement influencé par August Sander est catalogué comme photographe "de mode" et que c'est son activité professionnelle principale. Mais il est évident que pour celui pour qui " tout est portrait " l'enjeu, le seul, est la photographie. Donc la lumière. Et une indispensable liberté que l'on retrouve dans la façon d'évoquer et sa pratique et des souvenirs, de se dire sans toujours se dévoiler, avec une pudeur qui n'est pas un calcul ou une cachotterie. La parole est fluide, les émotions et les souvenirs reviennent, les convictions, les commentaires, sans affectation. On se parle. Juste entre nous.

11/2022

ActuaLitté

Animaux, nature

Souvenirs de chasse pour Christian

Remises en grande solennité la veille au soir, en présence de notre mère, très inquiète: "Surtout soyez très prudents!" notre père lui soufflant à mi-voix: "Rien à craindre, ça ne peut pas tuer une mouche! ", les deux carabines avaient fait irruption à 7 h du matin, le lendemain, à grand fracas, dans la chambre paternelle et maternelle, portées par deux chasseurs en délire, ayant à peine attendu le rituel "Entrez!" et brandissant quatre oiseaux parfaitement tués et tués à 15 pas, à travers feuilles et branches. Mon frère trois, moi un. " Encore couchés, notre mère et notre père avaient accusé de manière différente le choc de cette brutale révélation; la première, les mains jointes: "Mon Dieu, c'est épouvantable! Je savais bien que c'était de la folie, ces carabines!" le second avec un demi-sourire, à la fois gêné et satisfait: "Eh bien, ma foi, voilà qui n'est pas mal tiré!" " Nous étions repartis en coup de vent. A midi, la brochette se montait au chiffre que nous nous étions fixé, deux par personne. Douze oiseaux, en comptant la cuisine. Quelle chasse! Douze oiseaux bien choisis; rien que des becs-fins, sauf trois gros-becs; deux moineaux et un verdier. Nous étions déjà de vrais chasseurs, se connaissant en gibier. "

11/2012

ActuaLitté

Essais biographiques

Christian Gardair, paysageur d'estuaire

Etre sans plis. Une belle nappe, dans les hôtels, est sans plis. Comme je suis un type compliqué, j'aimerais bien me simplifier. Sans plis, ni replis (Christian Gardair). ?Si diverses qu'elles soient, les expériences du peintre Christian Gardair n'en gardent pas moins une unité, celle d'une quête de vérité : Je vous dois la vérité et je vous la donnerai, écrivait Cézanne. Pour Christian Gardair qui aime se définir comme un ?anonyme du XXe siècle, la vraie peinture c'est?la langue coupée? (Matisse), c'est le silence, rejoignant le précepte de Wittgenstein? : Ce dont on ne peut parler, il faut le taire. Il ne faut pas dénaturer le tableau, qui pose la question de sa présence, d'elle seule ; il est et reste avant tout une Enigme.

11/2021

ActuaLitté

Criminologie et sicence pénite

Christian Ranucci. La mémoire guillotinée

Du temps où la peine capitale était appliquée en France, la justice inhumait les suppliciés dans une sépulture anonyme. Etre condamné à mort, c'était aussi être condamné à l'oubli perpétuel. Christian Ranucci, guillotiné en 1976 à l'âge de 22 ans pour le meurtre d'une petite marseillaise de huit ans, Marie-Dolorès Rambla, aurait dû connaître ce destin posthume. Mais deux ans après son exécution, un livre signé de Gilles Perrault, Le pull-over rouge, inscrivait son nom dans la mémoire collective en évoquant la possibilité d'une erreur judiciaire. A l'écart des polémiques stériles sur la responsabilité de certains acteurs dans ce qui est devenu une tragédie judiciaire, l'auteur a convoqué des psychologues anglo-saxons pour nous éclairer sur le fonctionnement de la mémoire humaine, sur ses fragilités, ses égarements, ses défaillances. Car un dévoilement convaincant de la vérité ne saurait faire l'économie de questions sur notre mémoire : un témoin sincère peut-il faire un faux témoignage ? Quelle est la fiabilité de la reconnaissance d'un suspect par un témoin ? Peut-on vraiment, et si oui, comment convaincre un innocent qu'il a commis un crime ? Quelle est la fiabilité d'un aveu ? Non pas seulement pour un jeune homme exécuté à vingt-deux ans, mais surtout pour la mémoire d'une petite victime et de sa famille traumatisée par le destin, cette affaire exige qu'on ne laisse pas la mémoire guillotinée.

03/2021

ActuaLitté

Littérature érotique et sentim

La passion du Dr Christian

A Holloman (Connecticut), ville rongée par le désespoir et la dépression, le docteur Joshua Christian prodigue à ses patients une attention particulière. Son charisme et l'aura magnétique qu'il dégage suffisent souvent à soulager les maux. Judith Scariott, une femme manipulatrice et sans scrupules, semble avoir trouvé en sa personne une figure d'espoir et une voix libératrice pour tous les Américains. Elle fait alors de Joshua une star des médias, dont la seule apparition suffit à convaincre les foules. Joshua se prête admirablement au jeu, jusqu'à se sentir investi d'une véritable mission. Ses initiales, J. C. , ne seraient-elles pas celle d'un nouveau prophète ?C'est alors qu'il décide de s'affranchir de ceux qui le manipulent.

11/2015

ActuaLitté

Policiers

L'ombre de Granier

Le corps sans vie d'Anthony Gavot est retrouvé au pied des vertigineuses falaises du mont Granier, en Savoie. En l'absence de preuves contraires, la police privilégie la thèse de l'accident. Pourtant, Marc Vilot, son meilleur ami et compagnon de randonnée, n'arrive tout simplement pas à croire à cette hypothèse. Anthony connaissait trop bien la montagne, et en particulier ce coin-là. Se pourrait-il, alors, qu'il ait mis fin à ses jours ? L'enquête qu'il menait sur la disparition de sa soeur aurait-elle un lien avec cette chute mortelle ? Entre détails troublants et simples coïncidences, le doute s installe peu à peu dans l esprit de Marc. Mais saura-t-il faire face à ses découvertes ?

08/2015

ActuaLitté

Contes et nouvelles

La fée des greniers

Que feriez-vous si vous rencontriez une fée ? Ou du moins une personne se présentant comme telle ? Peut-être que vous tomberiez amoureux, allez savoir... Publiée à plusieurs reprises, cette nouvelle certainement insensée et sûrement sentimentale offre un petit moment de magie. Scénariste de bande dessinée et de jeu vidéo (sous la griffe de Greg Newman et pour des univers comme Night Watch, Renaissance, Popeye, Zorro, Noeland, Les Gardiens de la pierre, Blake & Mortimer, Pinocchio, Jenny Everywhere), l'auteur écrit également des nouvelles et a reçu le prix in-ternational Hemingway 2015. Il a publié chez Hispaniola Littératures les recueils Sapin président, Petit traité de sorcellerie et d'écologie radicale de combat. Ainsi que Douleur fantôme. Photographie : Morgane Aubielle (recto) et illustration : Lucas Aubert (verso). HISPANIOLA LITTERATURES Collection 1 nouvelle

05/2021

ActuaLitté

Divers

Little Katherine Johnson

Qui a dit que les maths n'étaient pas amusantes ? Pour la petite Katherine Johnson, tout est une question de calcul ! Avant de devenir mathématicienne et de mettre son talent au service des programmes habités de la NASA, la petite Katherine passait son temps à faire du monde son laboratoire, de la Terre à la Lune, et de la Lune aux étoiles ! Armée de son esprit logique, rien ne lui résiste, pas même les mythes les plus tenaces : comment Noé a-t-il réussi à mettre 48 000 animaux sur son arche, sans compter les quantités incroyables de nourriture nécessaires ? Rien n'échappe à qui, comme elle jongle, avec les chiffres ! Accompagnée de son frère Charlie et de sa poule Lucinda, Katherine fait de l'univers entier son terrain de jeu et se prend parfois même à rêver d'une société plus égalitaire où blancs et noirs auraient les mêmes droits... ou d'une Lune qui répondrait à ses questions ! Au fil des histoires (et des problèmes à résoudre), William Augel nous brosse le portrait amusant et tendre d'une femme hors du commun.

06/2022

ActuaLitté

Autres collections (6 à 9 ans)

June, tome 1. Le Grenier des mystères

Jeune fille intrépide et passionnée de sciences, June déménage avec sa famille en Californie. Là-bas, son papa va rejoindre un centre de robotique spatiale qui accompagne l'exploration de Mars par les premiers hommes. Ils sont logés dans la maison d'un grand professeur qui a mystérieusement disparu. June va y découvrir un grenier mystère où elle va trouver plein d'objets scientifiques. Avec l'aide de ses nouveaux amis, elle va mener l'enquête sur ces objets et la disparition du professeur.

06/2021

ActuaLitté

Sculpteurs

Alberto Giacometti

Alberto Giacometti n'est pas seulement un artiste majeur du XXe siècle : il est aussi l'une de ses personnalités les plus originales. Fruit de recherches nouvelles, cet ouvrage nous introduit dans l'intimité d'un artiste hanté par son oeuvre, toujours poussé en avant par une exigence sans concession. Après une jeunesse passée dans l'atelier de son père en Suisse, puis dans celui du sculpteur Antoine Bourdelle à Paris, le jeune artiste s'affranchit de ses premiers mentors en se tournant vers le cubisme, puis le surréalisme. Malgré la reconnaissance quasi-instantanée de son travail et l'amitié admirative d'André Breton, il se détourne rapidement des objets surréalistes qui l'ont rendu célèbre, pour s'engager dans une échappée solitaire qui le mènera à la marge des courants dominants. Ami des plus grands artistes et intellectuels, il trace son sillon personnel dans l'intimité solitaire de son mythique atelier de Montparnasse. Profondément attaché à la représentation humaine, influencé par les arts archaïques et non occidentaux, il s'éloigne d'une représentation naturaliste, pour adopter une vision synthétique et parfois hallucinée de la figure, chargée d'une puissance mystérieuse. Catherine Grenier nous livre le destin et le parcours singulier d'Alberto Giacometti, de sa vie et de son oeuvre, dans une biographie à lire comme un roman.

03/2022