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Question de démocratie. La démocratie en question

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Sociologie

Sociologie et démocratie

Conçu comme une porte d'entrée sur l'oeuvre de Pierre Bourdieu, ce bref ouvrage remet au jour un texte important qui souligne en quoi la sociologie, outil de dévoilement social, peut contribuer à renforcer la démocratie. Replacé en préface dans le contexte intellectuel et politique de sa parution, il est complété par une postface qui propose une vision actuelle de ses analyses. . En novembre 1995, Pierre Bourdieu prononce à HEC une conférence intitulée Sociologie et démocratie. Dans ce texte, il revient sur plusieurs points essentiels de sa pensée. D'abord, il rappelle que " l'illusion démocratique " consiste à oublier que tous les individus n'ont pas tous la même capacité à élaborer leur opinion politique. De ce constat découlent deux risques pour la démocratie : la tyrannie des experts (décider sans les citoyens) et le piège démagogique (suivre aveuglément les scores de l'audimat ou les résultats des sondages). Or, comme le rappelle Bourdieu, le rôle de la sociologie consiste justement à dévoiler ces illusions et travers sociaux, afin de tendre vers des choix réellement démocratiques. C'est en cela que la sociologie peut déranger ceux qui ont avantage à ne rien changer, c'est en cela également qu'elle peut être considérée comme désespérante car trop déterministe. Mais comme le note Bourdieu, " ce que le monde social a fait, le monde social, armé de [nouveaux savoirs], peut le défaire ". Dès lors, la sociologie doit être considérée comme un outil démocratique qui pourrait même contribuer à fonder un " utopisme réaliste ".

06/2023

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Sciences politiques

Démocratie et mensonges

C'est peu de dire que la politique est au coeur de notre vie, et l'actualité récente en donne une fois de plus la preuve. Le quotidien des citoyens sera façonné par des lois et des règlements élaborés par ceux que nous aurons élus d'une manière ou d'une autre. Comment donc ne pas s'intéresser à un sujet mal connu, souvent vilipendé, et tellement rempli d'approximations ? Comment faire le tri entre les propositions plus ou moins réalistes pour se déterminer en toute liberté ? Il convient de ré échir avant de voter, sauf à être condamnés à subir, et chercher à séparer le bon grain de l'ivraie. Les idées simples sont souvent des idées simplistes. Ce livre évoque quelques pistes de réflexion et propose des solutions sur un bon usage de la démocratie avant que les circonstances ne viennent nous en priver et que nous en prenions conscience trop tard. Car si la décision appartient au citoyen, il est préférable qu'il soit bien informé.

06/2023

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Sciences politiques

Migration et démocratie

L'accroissement persistant des flux migratoires révèle une tension entre la démocratie comme institution et la démocratie comme idéal. Or, il serait inacceptable de limiter l'appréciation démocratique de l'immigrant à la seule dimension institutionnelle ; parce que la démocratie, même envisagée dans sa réalité institutionnelle ou totalitaire ne peut jamais être dissociée de son idéalisation. Cela étant, les contributions réunies dans cet ouvrage collectif ont tenté d'analyser le nexus migration et démocratie, selon différents angles d'étude répartis sur quatre principales parties : la première traite de la migration, la démocratie et la citoyenneté, la seconde s'articule autour de la migration, la démocratie et l'identité, la troisième touche à la migration, la démocratie et le populisme, tandis que la quatrième partie porte sur la sécurisation de la migration.

09/2023

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Sciences politiques

Quelle démocratie délibérative ?. La démocratie directe délibérative : bilan et perspectives

Nous poursuivons dans ce deuxième volume la démonstration du dépassement nécessaire et urgent de la "représentation" par la démocratie directe délibérative. Ni l'architecture territoriale et institutionnelle, ni la Nation, ni la Citoyenneté, ni l'Etat n'échapperont à cette révolution. Les sciences sociales, contraintes de sortir de leur immobilisme et de leur pseudo "neutralité axiologique" , devront cesser d'ignorer cette explosion d'exigence : la démocratie directe délibérative et sociale frappe à la vitre. Protagoras ne nous l'avait-il pas annoncé ? La politique s'enseigne et le peuple souverain s'apprête à envahir la scène de l'histoire.

11/2022

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Allemagne

La Fondation de la démocratie en Allemagne

Aux sources d'une pensée démocratique et socialiste ou social-démocrate en Allemagne, longtemps occultée par le(a) marxisme(s) et parla pensée antilibérale et antidémocratique, voire crypto-nazie, ce texte intéressera ceux qui, au sujet du "couple franco-allemand" en Europe, souhaitent réfléchir au-delà des clichés sommairement pessimistes ou naïvement optimistes. Alors que l'échec des révolutions de 1848 est général, Arnold Ruge, hégélien de gauche et député au Parlement de Francfort, exprime l'espoir d'une "seconde révolution" plus radicale que la première, celle de mars 1848, et qui fonderait une république sociale et démocratique. l.a formule est du socialiste français Louis Blanc, avec qui Ruge, avant sa rupture avec Marx, fut en contact à Paris en 1843-1844. Opposé au despotisme ancien, au libéralisme bourgeois et au communisme et anticipant, en citant Proudhon, sur les projets autogestionnaires du XXe siècle, Ruge propose la suppression du salariat et un coopératisme généralisé avec maintien d'un Etat régulateur.

03/2021

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Sciences politiques

La question agraire. Les révolutionnaires et la question de la terre

Lenine l'analysait déjà à son époque, "la question agraire" est toujours un enjeu des luttes des classes. Elle est aujourd'hui au coeur des réalités et des évolutions de la mondialisation des systèmes alimentaires, mondialisation capitaliste et impérialiste qui touche à tous les domaines de notre vie. Faire triompher une réforme agraire progressiste et révolutionnaire au sens large, soit donner "la terre à ceux qui la travaillent" et organiser collectivement les moyens de production, nécessite une alliance des classes dominées, notamment celles des paysans moyens, pauvres et sans terre, et des classes ouvrières, parmi elles, les travailleurs agricoles et ruraux. Cette anthologie de textes à remettre dans leur contexte constitue un corpus théorique essentiel pour la réflexion, pour la compréhension e situations où l'approfondissement de la crise systémique du capitalisme n'offre plus aucune perspective pour l'humanité, pour construction de propositions alternatives, de luttes concrètes permettant des avancées sociales et progressistes immédiates, des changements révolutionnaires et socialistes, au sens élevé que leur donnaient Marx et Engels.

09/2019

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Autres encyclopédies (6 à 10 a

La dictature et la démocratie

Dans une démocratie, on vote. Le moment des élections, c'est le moment où le peuple utilise son pouvoir : celui de choisir ses représentants. Mais c'est aussi le moment où le peuple peut renvoyer les représentants qu'il juge mauvais. C'est extraordinaire ! La démocratie est un système qui permet de se débarrasser des dirigeants politiques sans violence, sans couper de têtes, sans bain de sang. Qu'est-ce qu'une dictature ? Est-ce possible de vivre ensemble en étant chacun complètement libre de faire tout ce qu'on veut ? "Les Goûters philo", ma collection pour aborder les grandes questions de la vie, dès 8 ans ! www. lesgoutersphilo. com : un site complet dédié aux enseignants pour parler philo en classe et à la maison.

09/2021

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Philosophie

La démocratie et la raison

Les démocraties occidentales traversent une grave crise de légitimité. La montée des inégalités comme celle des idéologies identitaires menacent aussi bien nos institutions que les valeurs qu'elles incarnent. Si l'ampleur de ces évolutions continue de surprendre ceux qui, après la chute du communisme en 1989, croyaient à une "fin de l'histoire" et au triomphe définitif d'une " révolution libérale " dans un monde globalisé, la crise était, à bien des égards, prévisible. Face à cette évolution inquiétante, quels recours avons-nous ? Publiée en 1971, la Théorie de la justice de John Rawls (1921-2002) a révolutionné la pensée politique et économique avec sa conception anti-utilitariste de la justice comme équité. Pour Rawls, l'égalité et la liberté, loin de s'opposer comme le soutiennent bon nombre de libéraux comme de socialistes, sont compatibles à condition qu'elles oeuvrent pour les plus défavorisés (le " principe de différence "). On a souvent interprété cette approche comme un pur produit, aujourd'hui dépassé, des valeurs et des espoirs des Trente Glorieuses. La thèse ici présentée est tout autre. Plus que le contenu de la théorie, elle interroge l'actualité et la radicalité politiques de la démarche de Rawls — Habermas parle à ce sujet d'une "braise radicale-démocratique" — et la relation constitutive entre raison et démocratie qui la sous-tend. Fidèle à l'inspiration de Rousseau et de Kant, Rawls nous invite à comprendre les principes fondateurs de la démocratie comme l'oeuvre des citoyens eux-mêmes et de leur raison. Bien loin d'être historiquement contingents et arbitraires, ces principes et les raisons d'y adhérer peuvent être réappropriés par chacun et justifiés comme les conditions de toute coopération humaine, même dans un contexte pluraliste. Cet empowerment est constitutif de la citoyenneté et impose une critique vigilante des institutions comme des pouvoirs politiques. Oser cet appel à "la raison humaine libre" (Kant) pour défendre la démocratie et les principes de justice, d'égalité et de liberté contre leurs ennemis était un geste " philosophiquement raisonnable " en 1971. En ce début du XXIe siècle, ne serait-il pas devenu encore plus indispensable et " politiquement radical" ?

03/2019

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Histoire internationale

La Chine et la démocratie

Cet ouvrage se situe dans une perspective dynamique : partant des ressources politiques inhérentes à la société chinoise, il s'interroge sur la capacité de celle-ci à évoluer vers une démocratie dans le contexte économique et juridique nouveau qui résulte de la mondialisation. Enraciné dans l'histoire de l'Empire et du premier XXe siècle, appuyé sur des recherches pour la plupart inédites, l'inventaire porte sur les institutions publiques et " civiles ", les mentalités et les pratiques, les débats d'idées et les expériences. Il montre que la vision des réformateurs de la Chine républicaine, bien qu'influencée par l'Occident, était nourrie d'une tradition juridique chinoise forte, et même " moderne " à certains égards. Mais le retour actuel au droit, tel que l'analysent les dernières parties, ne suffit pas à garantir l'ouverture politique. Faut-il y voir une sorte de compensation illusoire ou bien le détour par lequel pourrait émerger une nouvelle forme de citoyenneté ? L'ambition des auteurs n'est ni de poser un diagnostic ni de faire des prévisions, mais d'éclairer un processus dont les racines remontent très loin et qui est encore inachevé.

04/2007

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Sciences politiques

La démocratie comme liberté. Démocratie, représentation et monarchie de l'environnement urbain

L'auteur aborde la modernité à la lumière du monde grec, c'est-à-dire comme une phase de celui-ci, qui, constitué en cosmosystème anthropocentrique, a réalisé depuis la haute Antiquité jusqu'au seuil du xxe siècle un parcours politique complet, avant de passer de la cité à l'Etat-nation. Par comparaison, la modernité, loin d'avoir atteint la démocratie et la perfection anthropocentrique, et donc la fin de son évolution, reproduit simplement à l'échelle de l'Etat-nation un segment, antérieur à la période classique, du parcours du cosmosystème hellénique : le système politique moderne n'est encore qu'une monarchie élective, la représentation et la démocratie étant des étapes qui restent à atteindre. En soulevant ce paradoxe, l'auteur apporte à la science les prémisses axiomatiques dont elle a besoin : la conceptualisation et une typologie des phénomènes, la biologie évolutive de l'être social, une méthode qui confère à ses conclusions une applicabilité universelle. Suivre cette voie amènera la modernité à reconnaître ce qu'elle est vraiment et la dotera à nouveau d'un avenir.

01/2023

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Sciences politiques

Au nom de la démocratie

Dans la société de consommation, la démocratie rappelle parfois un label, apposé pour rassurer : soyez tranquilles, le peuple reste souverain. Pourtant, l'acheteur sait se faire exigeant. Il lui arrive de douter de sa qualité, regrette que la teneur soit si pauvre, exige qu'on augmente les proportions. Moins d'additifs, plus de démocratie ! Entre l'idéal du XVIIIe siècle et celui du XXIe, un dialogue s'installe. Sur la scène de la Ve République, où se répètent les révolutions démocratiques de Macron et Mélenchon, on entend également les Gilets jaunes donner la réplique aux révolutionnaires français. Au nom de la Démocratie, une investigation sur les pistes de la démocratisation de la France révolutionnaire de 1789 a nos jours.

10/2019

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Sciences politiques

Le crépuscule de la démocratie

"Tout a toujours très mal marché." C'est la leçon que Péguy avait tirée de l'histoire. En observant que tout va mal, nous n'avons donc aucune raison de nous lamenter. C'est la preuve que tout va aussi bien que jamais. Dans ce court essai, Nicolas Grimaldi dresse un constat de la situation politique contemporaine. Ni critique, ni polémique, c'est un état des lieux. Qu'en est-il de ce qui nous tient lieu de démocratie ? Dans un aussi vaste pays que le nôtre, il va de soi que la volonté populaire ne peut être que déléguée. Son expression se résume donc à ce qu'en manifestent ses représentants. Toute la vie politique se réduit par conséquent au mode de leur désignation, à leur capacité d'instruire les problèmes de la nation, et à l'indépendance de leur jugement par rapport aux initiatives du gouvernement. Or que représentent aujourd'hui ceux qu'une ancienne coutume nous fait encore désigner comme "les représentants du peuple" ? Les plus audacieux représentent ceux qui les ont élus. Ils représentent les intérêts très particuliers d'une population locale. Les plus disciplinés représentent leur parti. Lorsqu'ils appartiennent à la majorité, la voix de leur parti est celle du gouvernement. Mais comme leur investiture dépend de quelques caciques du parti, ils représentent dans le parti la tendance de ces barons. Autant reconnaître, par conséquent, que ces régimes parlementaires n'ont quasiment plus rien ni de démocratique ni de républicain. Aussi ne peut-on se retenir d'en poser aujourd'hui la question : la démocratie n'est-elle pas chose trop précieuse et trop importante pour être abandonnée à ses représentants ?

05/2014

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Economie

Le prix de la démocratie

Une personne, une voix : la démocratie repose sur une promesse d'égalité qui trop souvent vient se fracasser sur le mur de l'argent. Financement des campagnes, dons aux partis politiques, prise de contrôle des médias : le jeu démocratique est de plus en plus capturé par les intérêts privés. Se fondant sur une étude inédite des financements politiques privés et publics dans une dizaine de pays sur plus de cinquante ans, Julia Cagé passe au scalpel l'état de la démocratie, décortique les modèles nationaux, et fait le récit des tentatives - souvent infructueuses, mais toujours instructives - de régulation des relations entre argent et politique. En France, l'Etat a mis en place un système de réductions fiscales permettant aux plus riches de se voir rembourser l'essentiel de leurs dons aux partis politiques, alors que les plus pauvres, eux, paient plein pot. Ces dérives ne viennent pas d'un complot savamment orchestré mais de notre manque collectif d'implication. La question du financement de la démocratie n'a jamais véritablement été posée ; celle de la représentation des classes populaires doit l'être sur un mode plus radical. Pour sortir de l'impasse, voici des propositions qui révolutionnent la façon de penser la politique, des réformes innovantes pour une démocratie retrouvée.

01/2020

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Droit

L'avènement de la démocratie

Visant à éclairer le sens des principes générateurs de la démocratie moderne (l'égalité des conditions, l'autonomie de l'homme, l'indépendance des individus), Robert Legros tente, dans cet ouvrage, de montrer qu'ils ne sont pas simplement issus d'idées nouvelles, d'une compréhension de l'homme qui serait enfin libérée des préjugés et de l'obscurantisme, ni le simple produit d'un processus historique ou social, ou d'une transformation du mode de production, mais émanent plus profondément d'une expérience neuve d'autrui, de soi, de notre humanité ; mais aussi, dans le même temps, de l'au-delà, de la nature, de l'origine des normes, en un mot du monde. Il est vrai que l'égalisation des conditions, l'autonomisation et l'individualisation qui sont à la source de la démocratie suscitent une dissolution de toute image de l'homme, et font naître l'idée d'une indétermination essentielle de notre humanité. Pourtant la reconnaissance de l'autre comme semblable, instaurée par la démocratie, ne relève pas d'une abstraction mais d'une expérience sensible de notre humanité. Dans quelle mesure l'expérience démocratique est-elle libératrice ? Telle est la question qui est au centre de cet ouvrage. Robert Legros tente de la traiter en s'inspirant de l'enseignement de la phénoménologie. Il montre en effet que la démocratie est libératrice dans la mesure où son avènement (l'égalisation progressive des conditions) est lié à une mise en suspension des identités d'appartenance, qui est indissociable de ce que la phénoménologie appelle une suspension du monde " naturel ", une mise entre parenthèses de toutes les évidences du monde quotidien. Et dans la mesure où cette mise en suspension collective des identités d'appartenance ouvre à une expérience d'autrui, de soi, du monde, qui incite à préserver l'indétermination essentielle de l'homme sans le dissoudre dans le vide d'une universalité abstraite.

11/1999

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Philosophie

Les Pathologies de la démocratie

Où en sommes-nous de la démocratie française ? Qu'avons-nous fait des valeurs et des principes prônés par la démocratie naissante de 1789 ? Dans quelle mesure sont-ils toujours opérants ? Pourquoi, et par quels processus, certains d'entre eux se sont-ils pervertis Quel prix payer pour que la démocratie reste le meilleur garant des principes qu'elle instaure ? Comment concevoir un destin commun à l'ère de l'individualisme collectif ? En un mot, comment conduire la démocratie à l'âge adulte ?

10/2009

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Littérature française

Le soleil de la démocratie

Le soleil de la démocratie est un roman de fiction politique qui dresse un diagnostic généralisé et condensé de l'avènement du multipartisme et ses effets sur les relations humaines et sur la gouvernance économique dans une contrée dénommée Miriya. A travers le parcours et l'attitude des politiciens miriyanais, l'auteur fait ressortir le contraste démocratie-dictature et les volte-face auxquelles se livrent les hommes politiques selon qu'ils soient au pouvoir ou dans l'opposition. Le personnage principal, Sininko, après avoir milité activement pour l'avènement de la démocratie dans son pays, est contraint de prendre une décision grave pour sa survie. Ce roman nous montre que le pluralisme incontrôlé a entraîné la prostitution politique qui n'est pas sans conséquence sur la stabilité socioéconomique d'un pays. Le soleil de la démocratie place l'homme africain face à ses contradictions, son malaise et la perte de ses valeurs. C'est un excellent réquisitoire contre la décadence de la société moderne africaine.

09/2019

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Sciences politiques

La démocratie dictatoriale de Kayaded

Depuis des siècles, l'Afrique a été et reste confrontée à d'autres civilisations et réalités qui ont tant soit peu influé sur son devenir. Aujourd'hui, les impacts de ce "clash" des civilisations se font remarquer sur plusieurs plans dont la vie sociétale, sociale, économique, culturelle et surtout politique des Etats africains. Difficile donc pour la plupart des dirigeants de ces pays de penser ou d'agir sans se référer à un modèle politique, pour ainsi plaire à une puissance esclavagiste ou colonisatrice. Dans cet ouvrage, à la limite d'un reportage téléguidé sur un personnage fictif, dirigeant d'un pays imaginaire d'Afrique subsaharienne, l'auteur questionne les notions de gouvernance dite démocratique et dictatoriale, à l'aune du développement et du bien-être des populations. C'est donc un livre qui propose aux décideurs et intellectuels africains une sorte d'alternative de gouvernance sociopolitique, ayant pour soubassement la valorisation de la personne humaine et la recherche permanente de son bien-être.

12/2022

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Sciences politiques

Le procès de la démocratie

"La démocratie a été jugée et condamnée, à plusieurs reprises, par les représentants les plus lucides de la pensée européenne. Et il ne me semble pas que leurs arguments, jusqu'ici, aient jamais été réfutés. Mais, tant qu'il y aura des parents conscients de leur mission, ils ne cesseront de répéter à leurs enfants : "faites bien attention ; couvrez-vous. n'attrapez pas froid ; ne nagez pas trop loin, etc." [...]. De même, ne devons-nous jamais nous lasser de crier aux peuples "casse-cou ! " et, à la propagande intensive, sans scrupule, de la démocratie, qui, sous le couvert de slogans idéalistes, exploite en fait les passions des hommes, leurs faiblesses, leur tendance naturelle à la facilité, nous devons opposer les arguments de la Contre-Révolution ; ceux-ci s'adressent à l'intelligence des hommes, à leur bon sens, à leurs instincts les plus nobles qui, par conséquent, doivent finir par triompher ; ou bien alors, avec eux, s'effondrera l'humanité." C'est ainsi que Jean Haupt. dans les colonnes de la revue Découvertes, commençait en 1965 l'instruction du Procès de la démocratie. Livre paru pour la première fois en 1971, le voici à nouveau entre vos mains, enrichi d'une substantielle présentation de l'auteur et de son oeuvre. Cet ouvrage demeure un précieux vade-mecum politique.

04/2020

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Sciences politiques

L'espoir de la démocratie

Rejoignez Vincent Harding, ami et conseiller de Martin Luther King, et le leader d'un mouvement bouddhique, Daisaku Ikeda, dans un passionnant dialogue interculturel illuminant les moments historiques du Mouvement des droits civiques aux Etats-Unis. Selon ces auteurs, les victoires du Mouvement furent celles d'une conception profonde de la liberté, de l'égalité et d'un changement social non violent qui peut et qui devrait guider nos efforts modernes pour la démocratie. Par-dessus tout, ce livre est un message d'espoir dans les capacités humaines.

02/2017

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Actualité médiatique France

Les fossoyeurs de la démocratie

Tout ce qu'ils vous cachent Pandémie, vaccins, traitements, conflits d'intérêts, nouvel ordre, génocide... Ce texte, écrit en pleine crise sanitaire historique, fait l'alliance entre les données scientifiques sur un virus qui nous gâche la vie, et la communication d'un gouvernement qui dirige la France, en anéantissant toute l'économie du pays, plongeant ainsi bon nombre de nos concitoyens dans la précarité. Mon activité professionnelle a toujours été axée sur la science et la santé, et me permet donc à ce titre de pouvoir porter un jugement sur les décisions prises et dissocier la crédibilité du mensonge. Le lecteur pourra ainsi découvrir tout ce qu'ils nous cachent, tant au niveau sanitaire qu'au niveau politique (l'origine du virus, l'hydroxychloroquine, les études et les conflits d'intérêts, la vérité sur l'efficacité des traitements, The Lancet, la vérité sur les vaccins et la vaccination, l'affaire scandaleuse du Rivotril, la 5G, le confinement bis, l'avenir qui nous est réservé, le triste sort préparé de longue date par une caste funeste et qui fait froid dans le dos.) Notre liberté se voit ainsi entravée, les droits de l'homme et du citoyen sont bafoués, les droits au travail anéantis pour bon nombre d'indépendants, les plaisirs de la vie réduits à néant. Un climat dictatorial s'instaure, et la visibilité sur notre avenir, même proche, est engluée dans un brouillard difficile à pénétrer. Les fossoyeurs de la démocratie sont à l'oeuvre ! Ce manuscrit vous offre également des conseils de prévention, qu'aucun média ne propose aujourd'hui pour faire face au virus, ainsi que des attitudes à adopter pour passer cette période stressante, angoissante, source de désordres psychologiques. Ce livre a enfin pour but de sensibiliser le lecteur au fait qu'il se passe quelque chose d'anormal, que nous sommes roulés dans la farine pour mieux nous tromper, pour mieux dissimuler leurs funestes objectifs, et qu'il est nécessaire d'élever notre niveau de conscience, de nous éveiller, pour pouvoir reprendre et conserver nos droits, et offrir à nos enfants et petits-enfants, un avenir dans lequel la liberté aura retrouvé tout son sens.

04/2022

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Sociologie politique

Les ratés de la démocratie

Depuis des décennies, les réseaux sociaux tentent en vain de pousser les gouvernements à poser autrement la question du progrès social. La crise des Gilets jaunes de 2018 et celle de la COVID-19 ont changé brutalement la trajectoire humaine au XXIe siècle : un tournant dans la lutte des classes et une mutation de l'idéologie de la résistance. Pour Luc Lamin viendra le jour où il faudra poser la question sur le nouveau monde et arbitrer entre risques humains et risques économiques. Une occasion en même temps d'épurer les idées et les réalités. La pandémie qui touche le monde entier depuis 2020 restera certainement dans l'histoire l'un des événements les plus marquants de ce siècle. Celui qui aura transformé les comportements des peuples. Si la démocratie et la dictature ont été longtemps dans une idéologie divergente, les crises qu'ont traversé les sociétés ont atténué cette opposition historique. Faudrait-il parler de démocratie étourdie en parallèle à dictature éclairée ? La violence, l'agressivité et l'insolence se sont introduites dans le quotidien de la démocratie, si bien que les auteurs se confortent, les victimes s'en accommodent et les témoins banalisent. Comment dispenser l'homme d'un conflit quand les termes tels que pacifisme, réconciliation, dialogue, affrontement, violence, etc. se mélangent dans les têtes et dans les conversations sans aucune importance ? C'est un défit considérable que toutes les démocraties ont à surmonter.

04/2021

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Autres philosophes

L'avenir de la démocratie

Figure majeure de la pensée contemporaine, Jürgen Habermas continue d'exercer une influence considérable sur l'ensemble des sciences sociales. Dernier héritier d'une grande tradition inspirée des Lumières, il jouit d'une renommée internationale et a dialogué avec les principaux penseurs de son temps (Adorno, Rawls, Derrida). Il a élaboré une théorie originale, connue sous le nom de l'"éthique de la discussion", qui a totalement renouvelé la philosophie politique. Intellectuel engagé, il est aussi fréquemment intervenu dans les polémiques de l'époque, prenant position sur des sujets aussi divers que la réunification allemande, la place de la religion dans l'espace public, la construction européenne, la bioéthique. En donnant à lire des textes essentiels et accessibles, parfois peu connus et, pour certains, traduits en français pour la première fois, ce volume permet de restituer la singularité foisonnante d'une pensée qui, depuis les années 1950, s'est attachée à explorer comme nulle autre tous les ressorts de la question démocratique. Jürgen Habermas se livre également, dans un grand entretien inédit, à une relecture en profondeur de son parcours et de ses thèses à la lumière des enjeux d'aujourd'hui. A l'heure où les démocraties occidentales sont confrontées à des défis existentiels, la puissance et la vivacité d'une telle oeuvre apparaissent plus que jamais salutaires.

01/2024

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Sciences politiques

Crise et avenir de la démocratie

" Ce qui, pour les pouvoirs publics, est désormais primordial, c'est leur efficacité et leur continuité. Nous vivons en un temps où des forces gigantesques sont en train de transformer le monde. Sous peine de devenir un peuple périmé et dédaigné, il nous faut, dans les domaines scientifique, économique, social, évoluer rapidement. [...] Il y a là des faits qui dominent notre existence nationale et doivent, par conséquent, commander nos institutions. La nécessité de rénover l'agriculture et l'industrie, de procurer les moyens de vivre, de travailler, de s'instruire, de se loger, à notre population rajeunie, d'associer les travailleurs à la marche des entreprises, nous pousse à être, dans les affaires publiques, dynamiques et expéditifs ", expliquait le général de Gaulle le 4 septembre 1958 pour justifier et fonder le passage à une cinquième République. C'était il y a soixante ans, et on ne saurait mieux décrire la situation d'aujourd'hui, mot pour mot, à la réserve près que la population " rajeunie " d'alors a beaucoup vieilli. Elle voit cette exigence " d'efficacité et de continuité " s'illustrer de nos jours dans des régimes comme celui de la Chine, aux antipodes de l'évolution qu'a connue notre République. A force de se vouer à toutes sortes d'ayant-droits, privilégiant l'égalité et la fraternité, celle-ci a perdu des degrés de liberté. Pire, s'étant ainsi soumise au " jamais assez ", elle passe (injustement) pour inefficace. Comment " être dans les affaires publiques, dynamiques et expéditifs" sans rien changer au " modèle français " est devenu un problème insoluble, causant durant trente ans l'essai décevant et discontinu de toutes les formules politiques envisageables, jusqu'à devoir finalement opter entre celles qu'on n'envisageait pas, et choisir enfin l'audace. Tout se passe comme si les démocraties étaient prises à contre-pied dans le monde présent : par l'évolution technologique qui dépouille l'autorité de tout magistère au profit des individus, par les forces qui orientent le monde, et sur lesquelles le suffrage n'a guère prise. Au regard de cette mutation globale, les fautes et carences qui expliqueraient la crise de la démocratie dans tel ou tel pays sont secondaires. Elle est le symptôme d'une transformation d'ensemble qui met partout en cause les formes et principes de la gouvernance. Ayant cependant à l'esprit que " le reniement de l'idéal démocratique de dignité, d'égalité et de respect de la personne humaine " serait nécessairement une nouvelle fois ta matrice d'une régression dramatique de l'humanité, la Fondation Prospective et Innovation et la Revue Futuribles concourent par le présent livre à frayer les chemins d'un avenir pour la démocratie. " C'est en un temps où il lui fallait se réformer ou se briser que notre peuple, pour la première fois, recourut à la République ", observait de Gaulle le 4 septembre 1958. Ce souvenir fécondait ce jour-là la création de la Ve République. Il reste germinal en 2018.

02/2018

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BD tout public

La question/La réponse : Derrière la réponse la question

Ouvrages "La Question" de Moolinex et "La Réponse" d'Aurélie William Levaux rassemblés dans un coffret. "La Question" de Moolinex : Un couple s'enlace, s'embrasse, fait l'amour, les sueurs se mélangent comme les couleurs sur la palette du peintre. L'énergie qui se décharge, tantôt crue, tantôt douce, jusqu'au subtil point d'orgue de la jouissance, révèle un désarroi, celui du doute cyclique, de la perpétuelle Question. Ce récit illustré de Moolinex donne un point de vue très poétique de l'artiste sur la relation charnelle du couple, avec ses moments d'extase et ses creux, ses aspirations et ses doutes... "La Réponse" de Aurélie William Levaux : Au départ il y avait un livre : La Question de Moolinex. Et comme toute question appelle une réponse, Aurélie William-Levaux a choisi de construire la sienne, à sa manière. Elle donne sa version au "pourquoi" final de Moolinex, existentiel, qui parle d'amour et de mort, préférant s'attarder sur les détails qui font le couple, l'histoire d'amour, et comment ceux-ci sont oubliés si facilement...

05/2015

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Histoire et Philosophiesophie

De la science et de la démocratie

"Les démocraties sont, à leur manière, des systèmes vivants. Mais il ne suffit pas qu'elles vivent : il faut qu'elles survivent. Par conséquent, il nous faut identifier et analyser, de façon lucide et critique, les dispositifs qui, dans une démocratie, surveillent et corrigent les inévitables dysfonctionnements et imprévus, internes et externes, que son existence lui réserve. Ce sont ces mécanismes qui la rendent robuste et en assurent la survie. La robustesse d'une démocratie est son assurance sur la vie". P. K. Philippe Kourilsky s'exprime ici en citoyen et en scientifique. Appliquant les concepts de robustesse et de complexité, centraux en biologie, il met au jour les défauts de démocratie qui expliquent la crise actuelle : défauts d'altruisme qui fonde le devoir de solidarité, de discussion qui permet la participation à la vie démocratique, d'efficacité sans laquelle il n'y a pas de bien-être... Puis il ouvre des pistes pour rajeunir notre système politique, parmi lesquelles la science et l'éducation jouent un rôle primordial. La réflexion d'un scientifique de haut niveau sur l'un de nos biens les plus précieux : la démocratie.

05/2019

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Sciences politiques

Construire la démocratie citoyenne

La " démocratie " représentative est en crise comme le système capitaliste dont elle est le miroir. La société a le devoir de répondre à cette exigence humaine et légitime d'égalité et de liberté. Le libéralisme sauvage dans lequel nous vivons empêche une éducation citoyenne de la population, son seul but étant d'imposer sa dictature, celle de l'argent, au service d'une infime minorité. Cet ouvrage se fixe donc comme objectif de faire triompher le respect du sens des mots pour assurer la victoire de la vérité politique, sociale, économique, et par ricochet que les citoyen.ne.s prennent confiance en eux-mêmes et s'engagent en politique. C'est, pour eux, le seul moyen de décider de l'organisation quotidienne de leur vie dans le respect de l'intérêt général.

05/2019

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Histoire internationale

Algérie, la démocratie interdite

Interdite par l'intervention de l'armée après l'avoir été par le FNL, parti unique, interdite par l'extrémisme du FIS, interdite par le manque de responsabilité et les luttes intestines des partis dits démocratiques, la démocratie en Algérie semble avoir perdu jusqu'à la volonté de se prendre en charge. A la violence religieuse comme à ceux qui, en fin de compte, crurent devoir interdire la démocratie au nom de la sauvegarde de la démocratie, le peuple ne paraît plus opposer que l'indifférence morose d'une nation qui finirait par penser qu'elle n'a pas de chance. C'est à l'étude de ce phénomène, de ses causes et de leur influence sur l'évolution des institutions algériennes, que tend ce livre né d'une observation attentive des événements qui se sont produits en Algérie des émeutes d'octobre 1988 à l'assassinat de Mohamed Boudiaf le 29 juin 1992.

04/1993

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Littérature étrangère

La démocratie comme violence

« Bien que l’égalité, dans son degré le plus extrême, se confonde avec la liberté », dans la réalité — disait Tocqueville — « le goût que les hommes ont pour la liberté et celui qu’ils ressentent pour l’égalité sont deux choses inégales » ; « la liberté donne, de temps en temps, à un certain nombre de citoyens de sublimes plaisirs ; l’égalité fournit chaque jour une multitude de petites jouissances à chaque homme ». C’est justement le tableau que l’auteur anonyme de la Constitution d’Athènes a esquissé à propos de la cité démocratique par excellence, Athènes. Là, à son avis, les jouissances de l’égalité ont tué, grâce à la démocratie, le plaisir sublime de la liberté. S’appuyant sur une relecture de ce texte, Luciano Canfora déroule le fil conducteur qui relie les républiques antiques aux démocraties modernes et constate l’antinomie toujours renaissante entre élan démocratique et désir de liberté. Y a-t-il donc entre les deux idées dominantes de la pensée politique occidentale une opposition inconciliable ?

12/1989

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Sciences politiques

La démocratie aux marges

Résumons en quelques mots la vulgate, hyperdominante, à laquelle David Graeber s'en prend dans ce livre avec allégresse : la démocratie est une invention occidentale, due aux Grecs de l'Antiquité, puis ravivée aux XVIIE et XVIIIe siècles en Europe et aux Etats-Unis, qui en sont à la fois le berceau et la terre d'accueil par excellence. Non, ce n'est pas la "culture occidentale" qui a fait apparaître et prospérer la démocratie. Bien plus : si l'on entend le mot "culture" au sens anthropologique, il apparaît que la culture occidentale est introuvable. Et si l'on entend par ce mot la culture des lettrés, alors il n'est pas difficile de vérifier que ces derniers, en Occident comme en Orient, se sont constamment opposés à la démocratie. Celle-ci, défend Graeber, ne naît et ne vit en réalité que dans les marges des systèmes de pouvoir : elle est indissociable de l'anarchie. Une réflexion puissante, qui invite à mettre en question de façon radicale nos systèmes politiques contemporains et leur histoire.

09/2018

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Sciences politiques

La démocratie, état critique

Ces dernières années, l'extraordinaire fortune du terme « gouvernance » n'est certainement pas due au hasard, pas plus que la terminologie de l'évaluation et celle de la transparence qui l'accompagnent. « Gouvernance », « évaluation », « transparence » : voilà la nouvelle trinité d'une religion elle-même nouvelle, la religion managériale. Mais cette gouvernance est-elle compatible avec la démocratie ? Ne s'apparente-elle pas plutôt à une technologie gestionnaire qui aurait pour objectif à la fois d'esquiver la démocratie et, à terme, de lui substituer un nouveau paradigme de légitimité ? C'est là l'un des points majeurs que cet ouvrage tente d'élucider.Le paradigme de la légitimité démocratique a été attaqué de trois côtés : par la mondialisation du capitalisme, par des pratiques de gouvernance qui ruinent la dimension publique du politique et par une dérive de la démocratie elle-même, soit la distance qui s'est créée entre « la caste de pouvoir » et les citoyens ordinaires. Au-delà du diagnostic de l'état critique de la démocratie, le présent ouvrage a également pour ambition de montrer par quelles voies en sortir. Yves Charles Zarka est philosophe, professeur à la Sorbonne et à l'Université Paris Descartes. Il dirige la revue Cités (PUF) et a entrepris depuis une quinzaine d'année, entre autres choses, de repenser les fondements des démocraties occidentales. Son travail connaît une large réception internationale. Il a récemment publié Le Monde émergent 1 « Lieux » (Armand Colin), Le Monde émergent 2 « L'inappropriabilité de la Terre » (Armand Colin), Repenser la démocratie (Armand Colin) et Refaire l'Europe (avec Habermas) (PUF). Ont également contribué à ce volume : Gianfranco Borrelli (Naples), Maeve Cooke (Diblin), John Dunn (Cambridge), Franck Fischbach (Nice), Christian Godin (Clermont-Ferrand), Christian Lazzeri (Paris-Nanterre), Paul Mathias (Paris), Jacques de Saint Victor (Paris-Saint-Denis), Stefano Petrucciani (Rome), Jacques Taminiaux (Boston), Francesco Saverio Trincia (Rome), Hans Vörlander (Dresde).

10/2012