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Poétique N° 99 : La description

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Poésie

Poétique N° 101 / 1995-2

Gérard Genette La clé de Sancho Cécilia Cavillac Vraisemblance pragmatique et autorité fictionnelle Bruno Monfort Sherlock Holmes et le " plaisir de la non-histoire " Claudie Bernard Le roman historique, le roman d'aventures et la mort Jean Kaempfer Fers chauds, glaives froids Pierre Campion La catégorie de l'ennemi dans " Les liaisons dangereuses "

03/1995

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Poésie

Poétique N° 158, Avril 2009

Les essais réunis dans ce volume interrogent aussi bien le temps des œuvres que le temps à l'œuvre, c'est-à-dire sa formulation narrative mais également son pouvoir d'érosion et de genèse qui affecte les hommes, auteurs et lecteurs, les livres qu'ils écrivent ou qu'ils lisent et les genres littéraires qu'ils pratiquent. Si l'on veut explorer l'œuvre du temps, on ne peut s'en tenir à l'hypothèse que les intrigues se contentent de mettre en ordre l'histoire et de la doter d'un sens, il nous faut à l'inverse définir les fondements d'une poétique de la discordance narrative qui permette de suivre le glissement du sens dans le temps. Cette réflexion sur le temps soulève une question subsidiaire mais non moins essentielle: "D'où vient le récit et où va-t-il?" Tenter de répondre à cette question exige de sortir de l'emprisonnement textualiste pour (rejpenser la manière dont la narration émerge de la vie et retourne à elle. Il s'agit aussi de marquer la différence qui existe entre les récits qui visent à clarifier le passé, ceux qui veulent en témoigner fidèlement, et ceux enfin qui tentent de mettre en scène le caractère tâtonnant et ouvert des histoires inachevées, tournées vers un avenir à vivre, à écrire ou à lire. Face à la crise que connaissent aujourd'hui les études littéraires et à l'inquiétude que génèrent les usages médiatiques, politiques ou économiques du storytelling, il s'agit de rappeler que la théorie narrative permet de reconnaître dans la littérature le plus fascinant des laboratoires du récit. Si l'homme n'est pas autre chose qu'un faisceau d'histoires, alors l'analyse narratologique des œuvres littéraires demeure la voie royale pour accéder à son humanité.

05/2009

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Poésie

Poétique N° 174/2013-2

L'invention des écritures du moi ne saurait être attribuée à un auteur, une doctrine, un milieu ou une époque. Très tôt, au Moyen-Orient, en Grèce, à Rome, à Byzance, en pays d'Islam, en Chine, au Japon, dans l'Europe médiévale et renaissante, des individus ont tenté de signaler leur existence, de retracer leur itinéraire, de définir leur identité. Qui étaient-ils, quand, pourquoi et comment sont-ils passés à l'acte ? L'Histoire de leurs histoires fait certes apparaître la diversité des mobiles, des modèles et des pratiques. Mais elle montre aussi une corrélation constante entre le pluralisme de l'environnement culturel et l'émergence du sujet autobiographique. En quête de légitimité, le "je" va se glisser dans un genre bien établi - prière, rapport, chronique, biographie, éloquence, récit de voyages ou poésie - avant de subir l'attraction du roman. En cédant à la tentation autobiographique, Aristide, Augustin, Ge Hong, Nijô, Blemmydès, Abélard, Ibn Khaldûn, Cellini et cent autres ont ouvert un nouvel espace anthropologique. Si les expériences dont ils témoignent sont souvent fort éloignées des nôtres, leurs stratégies de communication annoncent les développements ultérieurs du genre. De leur désir de se justifier et de se survivre est né un registre littéraire fondamentalement problématique.

11/2013

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Critique littéraire

Poétique N° 167, Septembre 2011

Quelle sorte d'enfance Sherlock Holmes a-t-il eue ? Que devient vraiment Blanche Neige après son mariage avec le Prince Charmant ? Que se seraient dit Charles Bovary et M. de Rênal si leurs chemins s'étaient croisés ? Ces questions, il arrive que des écrivains s'essaient à y répondre dans des oeuvres qui donnent un supplément d'existence à des personnages - les leurs ou ceux des autres. C'est à cette pratique, qu'on propose d'appeler transfictionnalité, que cet ouvrage est consacré. S'il s'interroge sur son étendue, s'il en répertorie les formes et les ramifications, c'est, chaque fois, pour examiner les enjeux d'un phénomène qui a quelque chose de proliférant. Une fiction est-elle bornée par le récit qui l'instaure ? Qu'advient-il de l'autorité d'un auteur sur "ses" personnages lorsque des continuateurs s'aventurent dans les interstices de leurs histoires, jettent sur eux un nouvel éclairage ou réinventent leurs destins ? Les récits transfictionnels ne répondent pas à ces questions mais, les faisant surgir, nous enjoignent de reconnaître à quel point l'exercice de la fiction nous confronte à des contradictions inextricables et fertiles.

10/2011

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Revues Poésie

Poétique N° 193, 2023-1

Sommaire ARNAUD WELFRINGER Le sens du détail factuel FRANK WAGNER Narrations contradictoires _____ JEAN-CLAUDE MÜHLETHALER Modulations dialogiques de la parodie JEAN-MARIE PRIVAT Le cimetière entre arraisonnement graphique et ensauvagement symbolique JEAN-FRANCOIS PERRIN Des tensions historiques comme subjectivité en crise GILLES PHILIPPE Sur les contradictions stylistiques de "L'Etranger" _____ JEAN-NICOLAS ILLOUZ Mallarmé, Boulez

05/2023

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Revues Poésie

Poétique N° 189/2021-1

Sommaire Florian Pennanech, Arnaud Welfringer Vérité et motivation Christine Noille Le montage dramatique Philippe Dufour Du style descriptif _ Christian Michel Paroles gelées, paroles dégelées, paroles en l'air Maxime Cartron L'air et le regard : le souffle de l'image Franc Schuerewegen Astyanax, je pense à vous Emilie Ieven Que peut-on savoir d'un homme aujourd'hui ? _Maxime Pierre D'un récit à l'autre

05/2021

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Revues Poésie

Poétique N° 190, 2021-2

Sommaire PHILIPPE HAMON Pour une poétique du chauvinisme BERTRAND GIBERT Des avatars littéraires : le cas du docteur Pozzi _____ JEAN-FRANCOIS LOUETTE Le jeu des influences _____ MARIE PARMENTIER Poétique de l'intérêt ANTONIA ZAGAME Le double mouvement de la sympathie selon Adam Smith _____ Relecture ARNAUD BUCHS Le positivisme de Taine au miroir de la littérature

12/2021

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Critique littéraire

Poétique N° 171, septembre 2012

Cet ouvrage s'attache à définir le nouveau paradigme de la forme dramatique qui, apparaissant dans les années 1880, se perpétue jusque dans les dramaturgies contemporaines. Un pont est ainsi jeté entre les premières pièces de la modernité du théâtre, celles d'Ibsen, Strindberg, Tchekhov, et les plus récentes, qu'il s'agisse des oeuvres de Heiner Müller, de Bernard-Marie Koltès ou de Jon Fosse. Jean-Pierre Sarrazac met en évidence la dimension rhapsodique du drame moderne: une forme ouverte, profondément hétérogène, où les modes dramatique, épique et lyrique, voire argumentatif de dialogue philosophique contaminant le dialogue dramatiquej'ne cessent de s'ajointer ou de se chevaucher. Loin de souscrire aux idées de "décadence" (Lukacs), d'obsolescence (Lehmann) ou de mort du drame (Adorno), Poétique du drame moderne dessine les contours, toujours en mouvement, d'une forme la plus libre possible, mais qui n'est pas l'absence de forme.

10/2012

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Poésie

Poétique N° 165 : Questions génériques

Pourquoi se préoccuper des brouillons, de tous ces manuscrits de travail illisibles qu'ont laissés derrière eux les écrivains ? N'y a-t-il pas assez de livres à lire ? Ne posent-ils pas suffisamment de problèmes en eux-mêmes ? L'idée d'une génétique littéraire, voire d'une critique génétique fondée sur l'étude des brouillons, laisse perplexe. On se demande si une telle bizarrerie peut revendiquer sérieusement le statut d'une véritable discipline. Pour répondre à ces interrogations, ce livre propose une série de modèles, empruntés aux domaines les plus divers, de la recette des oeufs brouillés aux truffes au transfert freudien, de la bathmologie barthésienne à la sémantique des mondes possibles, qui s'efforcent de rendre compte, de manière à la fois rigoureuse et imagée, des enjeux de la genèse et des logiques qui lui sont propres - car, malgré les apparences, l'univers des brouillons n'est pas chaotique, il est régi par des logiques qui ne sont pas les mêmes que celles du texte achevé. Ces modèles sont la trace de l'expérience que représente la plongée dans les manuscrits d'écrivains, à la fois expérience vécue, dont on ressort avec un regard transformé, et pratique expérimentale d'une discipline encore neuve. C'est à partir de là qu'on peut espérer apporter une réponse à la plus difficile des questions : "à quoi bon ?" et montrer ce que la dimension génétique apporte à l'expérience de la littérature et, plus généralement, de l'oeuvre d'art.

02/2011

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Poésie

Poétique N° 160, Novembre 2009

Lire la poésie, la réciter, l'étudier, l'interpréter, ce n'est pas seulement savoir en compter les syllabes et s'assurer de la conformité du poème à l'idée que l'on se fait de la justesse métrique. C'est surtout en comprendre les mécanismes de fabrication les plus profonds, saisir les choix individuels et collectifs qui y président, considérer les négociations d'un poète avec les traditions formelles qui encadrent son écriture, savoir comment s'articulent langue et poésie. Ce livre retrace l'histoire du vers français, de la fin du XVe siècle à aujourd'hui. Alliant perspectives d'ensemble et microlectures, il offre un regard renouvelé sur de nombreux poèmes, canoniques ou non. On y trouvera aussi un examen des théories savantes de la versification et des représentations subjectives dont le vers peut être l'objet. Enfin, on y verra comment des usages ont pu devenir des principes, et comment peuvent naître toujours de nouvelles formes.

11/2009

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Poésie

Poétique N° 161, Février 2010

La vocation du roman est de donner à penser. Prodigue en détails qui laissent songeur, il en dit à la fois trop et trop peu : il esquisse et esquive la pensée. Son langage consiste en idées esthétiques, non en concepts : suggestives, impossibles à circonscrire, comme ouvertes sur l'incertain. La fiction se méfie du discours de la vérité. Le XIXe siècle français représente de ce point de vue un tournant dans l'histoire du genre, le moment où se manifeste son essence : le romancier, bon gré mal gré, renonce à la pensée catégorique. Alors que, dans un tourbillon d'idéologies en concurrence, s'édifie le monde nouveau de la société démocratique, le roman explore " le présent qui marche ", comme dit Balzac. Il s'interroge sur la place de l'homme dans cette société mouvante, sur ses désirs et ses angoisses. Pour ce faire, il se renouvelle lui-même : apparaissent le roman intime, le roman historique, le roman réaliste. Face au discours spécialisé du savant, du psychologue, du sociologue, de l'historien (de Maine de Biran, de Tocqueville, de Michelet, par exemple), le romancier se pose en " docteur ès sciences sociales ", cherchant à saisir le réel dans sa complexité - et avouant sa perplexité. Le roman donne à penser, mais ne prétend plus instruire. Tel est le paradoxe de la pensée romanesque : à la fois prolixe et sceptique.

03/2010

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Poésie

Poétique N° 163, Septembre 2010

La vocation du roman est de donner à penser. Prodigue en détails qui laissent songeur, il en dit à la fois trop et trop peu : il esquisse et esquive la pensée. Son langage consiste en idées esthétiques, non en concepts : suggestives, impossibles à circonscrire, comme ouvertes sur l'incertain. La fiction se méfie du discours de la vérité. Le XIXe siècle français représente de ce point de vue un tournant dans l'histoire du genre, le moment où se manifeste son essence : le romancier, bon gré mal gré, renonce à la pensée catégorique. Alors que, dans un tourbillon d'idéologies en concurrence, s'édifie le monde nouveau de la société démocratique, le roman explore " le présent qui marche ", comme dit Balzac. II s'interroge sur la place de l'homme dans cette société mouvante, sur ses désirs et ses angoisses. Pour ce faire, il se renouvelle lui-même : apparaissent le roman intime, le roman historique, le roman réaliste. Face au discours spécialisé du savant, du psychologue, du sociologue, de l'historien (de Maine de Biran, de Tocqueville, de Michelet, par exemple), le romancier se pose en " docteur ès sciences sociales ", cherchant à saisir le réel dans sa complexité - et avouant sa perplexité. Le roman donne à penser, mais ne prétend plus instruire. Tel est le paradoxe de la pensée romanesque : à la fois prolixe et sceptique.

09/2010

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Poésie

Poétique N° 166, Avril 2011

Pourquoi se préoccuper des brouillons, de tous ces manuscrits de travail illisibles qu'ont laissés derrière eux les écrivains ? N'y a-t-il pas assez de livres à lire ? Ne posent-ils pas suffisamment de problèmes en eux-mêmes ? L'idée d'une génétique littéraire, voire d'une critique génétique fondée sur l'étude des brouillons, laisse perplexe. On se demande si une telle bizarrerie peut revendiquer sérieusement le statut d'une véritable discipline. Pour répondre à ces interrogations, ce livre propose une série de modèles, empruntés aux domaines les plus divers, de la recette des oeufs brouillés aux truffes au transfert freudien, de la bathmologie barthésienne à la sémantique des mondes possibles, qui s'efforcent de rendre compte, de manière à la fois rigoureuse et imagée, des enjeux de la genèse et des logiques qui lui sont propres - car, malgré les apparences, l'univers des brouillons n'est pas chaotique, il est régi par des logiques qui ne sont pas les mêmes que celles du texte achevé. Ces modèles sont la trace de l'expérience que représente la plongée dans les manuscrits d'écrivains, à la fois expérience vécue, dont on ressort avec un regard transformé, et pratique expérimentale d'une discipline encore neuve. C'est à partir de là qu'on peut espérer apporter une réponse à la plus difficile des questions : "à quoi bon?" et montrer ce que la dimension génétique apporte à l'expérience de la littérature et, plus généralement, de l'oeuvre d'art.

05/2011

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Poétique N° 164, Novembre 2010

La vocation du roman est de donner à penser. Prodigue en détails qui laissent songeur, il en dit à la fois trop et trop peu : il esquisse et esquive la pensée. Son langage consiste en idées esthétiques, non en concepts : suggestives, impossibles à circonscrire, comme ouvertes sur l'incertain. La fiction se méfie du discours de la vérité. Le XIXe siècle français représente de ce point de vue un tournant dans l'histoire du genre, le moment où se manifeste son essence : le romancier, bon gré mal gré, renonce à la pensée catégorique. Alors que, dans un tourbillon d'idéologies en concurrence, s'édifie le monde nouveau de la société démocratique, le roman explore " le présent qui marche ", comme dit Balzac. Il s'interroge sur la place de l'homme dans cette société mouvante, sur ses désirs et ses angoisses. Pour ce faire, il se renouvelle lui-même: apparaissent le roman intime, le roman historique, le roman réaliste. Face au discours spécialisé du savant, du psychologue, du sociologue, de l'historien (de Maine de Biran, de Tocqueville, de Michelet, par exemple), le romancier se pose en " docteur ès sciences sociales ", cherchant à saisir le réel dans sa complexité - et avouant sa perplexité. Le roman donne à penser, mais ne prétend plus instruire. Tel est le paradoxe de la pensée romanesque : à la fois prolixe et sceptique.

11/2010

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Poétique N° 159, Septembre 2009

Lire la poésie, la réciter, l'étudier, l'interpréter, ce n'est pas seulement savoir en compter les syllabes et s'assurer de la conformité du poème à l'idée que l'on se fait de la justesse métrique. C'est surtout en comprendre les mécanismes de fabrication les plus profonds, saisir les choix individuels et collectifs qui y président, considérer les négociations d'un poète avec les traditions formelles qui encadrent son écriture, savoir comment s'articulent langue et poésie. Ce livre retrace l'histoire du vers français, de la fin du XVe siècle à aujourd'hui. Alliant perspectives d'ensemble et microlectures, il offre un regard renouvelé sur de nombreux poèmes, canoniques ou non. On y trouvera aussi un examen des théories savantes de la versification et des représentations subjectives dont le vers peut être l'objet. Enfin, on y verra comment des usages ont pu devenir des principes, et comment peuvent naître toujours de nouvelles formes.

09/2009

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Poésie

Poétique N° 134 / 2003-4

Comme dans la nouvelle éponyme d'Henry James, un jeune peintre s'efforce en vain de rivaliser avec une célèbre Madone de Raphaël. Après plusieurs mois de tentatives avortées, un conservateur de musée le trouve, tel le héros de la nouvelle, hagard et désespéré, devant une toile complètement vierge, craquelée et décolorée par le temps. Mais plus d'un siècle a passé depuis l'époque de James, et l'avisé conservateur réconforte notre peintre, et le félicite : sa toile intacte et pourtant fatiguée constitue d'ores et déjà un chef d'œuvre de l'art contemporain. On l'intitulera, comme il se doit, La Madone du Futur. Cette variation imaginaire illustre bien, cum grano salis, le propos que poursuit Arthur Danto à travers une éblouissante série d'essais consacrés, pour l'essentiel, à l'art de notre temps : le même objet, monochrome plus ou moins blanc, qu'on aurait autrefois tenu pour la trace d'un échec, peut aujourd'hui valoir pour un superbe accomplissement artistique. Entre James et nous, les critères d'évaluation - et même de définition - de l'art ont plus changé qu'ils n'avaient fait entre Raphaël et James : ils doivent désormais moins à l'appréciation esthétique qu'à l'interprétation historique et philosophique.

05/2003

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Poésie

Poétique N° 150, Avril 2007

Suspendus aux lèvres d'un conteur, incapables d'interrompre la lecture d'un roman, captivés par un film haletant, nous faisons tous l'expérience quotidienne de ce plaisir apparemment paradoxal que nous tirons de notre insatisfaction provisoire face à un récit inachevé. Bien qu'une mode esthétique et théorique ait tenté de nous convaincre que ce plaisir était honteux, on peut néanmoins avoir l'intuition que le cœur vivant de la narrativité réside précisément dans ce nœud coulant, toujours plus serré à mesure que nous progressons dans l'histoire, qui nous attache à l'intrigue et creuse la temporalité par l'attente impatiente d'un dénouement. Si le récit a quelque chose à voir avec la manière dont nous éprouvons le temps, cette expérience n'apparaît jamais avec autant d'éclat que dans le suspense, la curiosité ou la surprise qui font la force des intrigues fictionnelles. La compréhension des fonctions narratives engage donc non seulement l'analyse littéraire, linguistique et sémiotique, mais aussi l'analyse cognitive et la psychologie des émotions.

04/2007

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Poésie

Poétique N° 132 / 2002-11

La musique est un art peu considéré par la philosophie et l'esthétique, spontanément poéticistes et picturalistes. Trop vague, trop louche, trop rebelle au concept : comment penser ce que l'on ne peut que si mal décrire ? L'expérience musicale est pourtant, sous ses deux aspects (le jeu, l'écoute), susceptible d'une approche rigoureuse. Dans les deux cas, le corps est primordial : producteur de musiques, il est aussi soumis aux pouvoirs de la musique qui règle ses mouvements (danse) ou qui les dérègle (transe). La musique nous révèle quelque chose du corps et de la corporéité ; elle nous révèle aussi quelque chose du temps. Le temps musical est un temps non narratif, un temps extérieur ou antérieur à l'ordre humain du récit. On rassemble ici ces diverses puissances de la musique sous un concept, celui d'altération. L'altération musicale se déploie dans la construction et la vie des codes musicaux, dans l'interprétation et l'histoire des oeuvres, mais, d'abord, dans l'œuvre elle-même, qui n'est pas objet mais processus : rythme, non-redondance, polyphonie, immanence et retour. Le philosophe a quelque chose à apprendre de la musique, s'il veut bien l'écouter.

11/2002

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Poésie

Poétique N° 146, Avril 2006

Qu'entend-on par journal personnel en ce début de XXIe siècle, à un moment où le genre connaît un développement sans précédent ? Quels sont, du journal de Stendhal au Mausolée des amants d'Hervé Guibert, les caractères de ces textes, qu'on les appelle journaux intimes, journaux littéraires, journaux de voyage, journaux de guerre... ? Tenter de répondre à cette question, c'est d'abord rencontrer la figure du diariste, source et objet du discours personnel, en retrait du monde et penché sur ses propres profondeurs, développant le discours qu'il ne tient pas devant autrui. C'est ensuite lire les notes quotidiennes comme autant de saisies de l'instant et de jalons du passage du temps, qui font du journal une " espèce d'histoire ", un récit apparemment sans structure, disparate et bigarré. C'est encore poser la question de la destination, ou plus précisément de la figure de lecteur que le texte pose ou présuppose : comment le diariste, qui affirme souvent n'écrire que pour lui-même, prévoit-il, voire met-il en place une lecture extérieure ? C'est enfin s'interroger sur le statut du genre : quelle littérarité le journal peut-il se voir reconnaître, par renversement des valeurs littéraires ? Car, finalement, décrire le journal, c'est se demander ce que peut être une littérature intime. Et c'est se demander ce qu'est la littérature.

05/2006

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Poésie

Poétique N° 114 : Flaubert / Proust

La vie est une longue série d'essayages et de retouches : on " bâti " peu à peu son identité, en suivant la mode, en cherchant son style. Un des apprentissages essentiels de la petite enfance est celui de l'identité narrative : savoir dire " je ", se construire une histoire, avoir ses mythes fondateurs et son système de valeur. Au lieu d'observer cette construction de l'identité dans l'enfance, on peut la saisir dans l'écart entre les brouillons dune autobiographie : influence des textes déjà lus, les doutes sur les souvenirs d'enfance, les rêveries sur les possibles inaccomplis et les tournants décisifs... Puis il examine en détail, brouillons à l'appui, la genèse de trois " classiques " du récit d'enfance ou d'adolescence : Les mots de Sartre, Enfance de Nathalie Sarraute et le Journal d'Anne Franck.

05/1998

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Poésie

Poétique N° 147, Septembre 2006

Qu'entend-on par journal personnel en ce début de me siècle, à un moment où le genre connaît un développement sans précédent? Quels sont, du journal de Stendhal au Mausolée des amants d'Hervé Guibert, les caractères de ces textes, qu'on les appelle journaux intimes, journaux littéraires, journaux de voyage, journaux de guerre... ? Tenter de répondre à cette question, c'est d'abord rencontrer la figure du diariste, source et objet du discours personnel, en retrait du monde et penché sur ses propres profondeurs, développant le discours qu'il ne tient pas devant autrui. C'est ensuite lire les notes quotidiennes comme autant de saisies de l'instant et de jalons du passage du temps, qui font du journal une "espèce d'histoire, un récit apparemment sans structure, disparate et bigarré. C'est encore poser la question de la destination, ou plus précisément de la figure de lecteur que le texte pose ou présuppose: comment le diariste, qui affirme souvent n'écrire que pour lui-même, prévoit-il, voire met-il en place une lecture extérieure? C'est enfin s'interroger sur le statut du genre: quelle littérarité le journal peut-il se voir reconnaître, par renversement des voleurs littéraires? Car, finalement, décrire le journal, c'est se demander ce que peut être une littérature intime. Et c'est se demander ce qu'est la littérature.

09/2006

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Poésie

Poétique N° 148, Novembre 2006

Qu'entend-on par journal personnel en ce début de XXIe siècle, à un moment où le genre connaît un développement sans précédent ? Quels sont, du Journal de Stendhal au Mausolée des amants d'Hervé Guibert, les caractères de ces textes, qu'on les appelle journaux intimes, journaux littéraires, journaux de voyage, journaux de guerre... ? Tenter de répondre à cette question, c'est d'abord rencontrer la figure du diariste, source et objet du discours personnel, en retrait du monde et penché sur ses propres profondeurs, développant le discours qu'il ne tient pas devant autrui. C'est ensuite lire les notes quotidiennes comme autant de saisies de l'instant et de jalons du passage du temps, qui font du journal une " espèce d'histoire ", un récit apparemment sans structure, disparate et bigarré. C'est encore poser la question de la destination, ou plus précisément de la figure de lecteur que le texte pose ou présuppose : comment le diariste, qui affirme souvent n'écrire que pour lui-même, prévoit-il, voire met-il en place une lecture extérieure ? C'est enfin s'interroger sur le statut du genre : quelle littérarité le journal peut-il se voir reconnaître, par renversement des valeurs littéraires ? Car, finalement, décrire le journal, c'est se demander ce que peut être une littérature intime. Et c'est se demander ce qu'est la littérature.

11/2006

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Poésie

Poétique N° 151, Septembre 2007

Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - 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Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure Poétique 151 septembre 2007 Sommaire Raphaël Baroni Histoires vécues, fictions, récits factuels - Normand Doiron Terreur et supplication Emmanuelle Hénin Plaisir des larmes et plaisir de la représentation - Jean-Yves Tilliette Ovide métamorphosé Pierre Dufour Une dédicace secrète des " Fleurs du Mal " Philippe Geinoz Pierre Reverdy et la statique du poème - Document Cleanth Brooks L'ironie comme principe de structure

09/2007

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Poésie

Poétique N° 172, novembre 2012

Cet ouvrage s'attache à définir le nouveau paradigme de la forme dramatique qui, apparaissant dans les années 1880, se perpétue jusque dans les dramaturgies contemporaines. Un pont est ainsi jeté entre les premières pièces de la modernité du théâtre, celles d'Ibsen, Strindberg, Tchekhov, et les plus récentes, qu'il s'agisse des oeuvres de Heiner Müller, de Bernard-Marie Koltès ou de Jon Fosse. Jean-Pierre Sarrazac met en évidence la dimension rhapsodique du drame moderne : une forme ouverte, profondément hétérogène, où les modes dramatique, épique et lyrique, voire argumentatif (le dialogue philosophique contaminant le dialogue dramatique) ne cessent de s'ajointer ou de se chevaucher. Loin de souscrire aux idées de "décadence" (Lukacs), d'obsolescence (Lehmann) ou de mort du drame (Adorno), Poétique du drame moderne dessine les contours, toujours en mouvement, d'une forme la plus libre possible, mais qui n'est pas l'absence de forme.

01/2013

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Poésie

Poétique N° 180/2016-2

Les frontières entre fait et fiction, réalité et Imaginaire, ont la réputation d'être désormais brouillées. Pourquoi les défendre ? Parce qu'elles sont une nécessité cognitive, conceptuelle et politique ; parce que leur disparition élimine le plaisir de passer d'un monde à l'autre. Françoise Lavocat propose ici de repenser les frontières de la fiction dans la littérature, le cinéma, le théâtre et les jeux vidéo. La première ambition de son livre réside dons le bilan très complet qu'il dresse des controverses anciennes et récentes sur le statut de la fiction dans les domaines de la théorie littéraire, du droit, de la psychanalyse et des sciences cognitives. A la faveur de ces éclairages multiples, l'ouvrage prend notamment en compte le phénomène du storytelling, l'histoire des rapports entre Histoire et poésie, lu question du blasphème. Le parti pris de distinction qu'il adopte, tout en défendant l'idée d'une hybridité essentielle de la fiction, en constitue le second intérêt et la stimulante nouveauté. Les conditions de possibilité d'une culture de la fiction sont interrogées, ainsi que ses limites. Le point de vue défendu renouvelle entièrement les termes du débat : l'auteur s'emploie en effet à définir la fiction comme un monde possible possédant son ontologie propre, en concentrant l'intérêt sur la relation aux personnages, la question des paradoxes et de la métolepse, cette figure qui confirme la frontière entre les mondes en donnant l'illusion de la franchir.

11/2016

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Poésie

Poétique N° 182/2017-2

Philippe Hamon : Le roman vrai à l'âge de l'ersatz ; Raphaël Baroni : Pour une narratologie transmédiale ; Christine Noille : Le montage d'un roman ; Jean-François Perrin : Portrait de l'artiste en intellectuel ; Jean-François Louette "Les Ames fortes", miroir de sorcière ou machine à coudre ? ; Ines El Serafi : D'un Moi l'autre ; Frank Wagner "Marbot" à l'épreuve de la relecture.

11/2017

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Poésie

Poétique N° 183/2018-1

Poétique, n° 183 Mai 2018 Sommaire PHILIPPE DUFOUR Complainte des Icares LUDIVINE FUSTIN Cynisme, " parrêsia " et scène littéraire ARNAUD BUCHS L'invention du réel DANIELE CARLUCCIO Le deuil de Barthes ou la religion de la littérature - SOPHIE JOLLIN-BERTOCCHI Du mélange des styles VICTOIRE FEUILLEBOIS Chapitrages hétérodoxes dans le récit romantique - DANIEL GROJNOWSKI Le langage jeu SOPHIE MENARD Poésie surréaliste, conte et comptine - Mise au point MATTHIJS ENGELBERTS A quoi bon ?

05/2018

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Revues Poésie

Poétique N° 191/2022-1

Sommaire PHILIPPE JOUSSET Michel Foucault et la littérature ANNICK LOUIS Terrains d'auctorialité _____ JEAN-FRANCOIS PERRIN Mémoire et histoire dans Bruges-la-Morte GUILLAUME MCNEIL ARTEAU Enquête et documentation dans Lourdes _____ GERALD PURNELLE 1854, invention du vers libre _____ ARTHUR BRÜGGER Narrer au nous Discussion critique FRANK WAGNER Sur les récits dans le récit

05/2022

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Littérature française

Description de la Terre (Éd.1843)

Description de l'Egypte ou Recueil des observations et des recherches qui ont été faites en Egypte pendant l'expédition de l'armée française. Tome 7 / [par Edme- François Jomard... et al.]Date de l'édition originale : 1821-1830Sujet de l'ouvrage : Égypte -- Descriptions et voyages -- 19e siècleÉgypte -- Antiquités -- 19e siècleLe présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site hachettebnf.fr

06/2012

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Histoire internationale

Description de la grotte de Versailles

Description de la grotte de Versailles. Date de l'édition originale : 1674 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

06/2020