Littérature française (poches)
03/2013
Critique littéraire
10/2005
Musique, danse
11/1992
BD tout public
Brésil, années 1950, dans la Baie de Guanabara (état de Rio de Janeiro). Au bord de la plage, Hélcio - un jeune défenseur prometteur de l'équipe de football du Canto do Rio de Niterói, et Noël, l'un de ses plus fidèles amis, vendeur dans une échoppe de boissons et atteint d'une impressionnante malformation physique - aperçoivent au loin quelqu'un en train de pêcher à la dynamite. Ils partent en barque dans l'intention de récupérer une partie des poissons morts pour les revendre sur l'île de Paquetá, située non loin de là. L'expédition va se transformer en dangereux périple et les deux larrons se retrouveront embarqués dans une aventure qui va mettre leur amitié à rude épreuve.
Après avoir tenté sans succès de revendre une partie de leur butin à des naturistes, les deux compères devront affronter une énorme tempête, alors que Hélcio est attendu à Niterói le soir même par toute son équipe pour la préparation d'un match important qu'ils doivent jouer le lendemain. Librement inspiré de la vie du père de Marcelo Quintanilha, Hélcio Carneiro Quintanilha, Les Lumières de Niterói est une nouvelle démonstration de la virtuosité de Quintanilha devenu en quelques années l'un des principaux auteurs de la bande dessinée brésilienne. Prenant de bout en bout, le récit entraîne le lecteur dans un suspense haletant mais est avant tout une formidable histoire d'amitié.
11/2018
BD tout public
Rosângela souffre du syndrome de la femme parfaite. Cette habitante de la ville de Niterôi est une dentiste reconnue, son mari - un cardiologue à succès - est très amoureux d'elle, ses enfants sont de véritables petites merveilles, elle a une belle voiture neuve et un compte bancaire bien rempli... Le seul problème, c'est cette cousine aux magnifiques cheveux blonds. Cette cousine qui, en dépit d'être pauvre, de s'être séparée de son mari et de vivre chez ses parents dans une banlieue sordide, fait face à ses problèmes avec une tranquillité d'esprit désarmante. Et surtout, avec ce sourire toujours éclatant qui, aux yeux de Rosângela, semble refléter les feux de l'enfer...
08/2016
BD tout public
10/2017
Lycée parascolaire
12/2019
Décoration
10/2018
Enseignement primaire
01/2017
Policiers
03/2019
Psychologie, psychanalyse
10/2020
Développement personnel
10/2003
Psychologie, psychanalyse
11/2019
Encyclopédies de poche
10/2009
Littérature étrangère
04/2011
Littérature étrangère
09/2015
Romans de terroir
10/2011
Poésie
02/2018
Sciences politiques
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10/2015
Littérature française
04/2015
Couple, famille
01/2012
Policiers historiques
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Histoire de la psychologie
04/2023
Mal de dos
06/2023
Littérature française
Sociologie
10/2019
Littérature étrangère
02/2005
Littérature française
Ce premier roman est rédigé sous les auspices de Jaurès, Romain Rolland et Séverine, dédié à cette dernière, qui disait qu' "il faut toujours dire la vériité" . Il reçoit le prix Séverine en 1930, créé pour couronner un ouvrage utile à la paix, écrit par une femme. Le jury récompense un texte témoignant pour les femmes, au nom des femmes, pour mieux condamner l'absurdité d'une guerre qui ébranle toutes les existences. Ancrée dans l'univers rural, cette chronique d'un village déserté par les hommes partis au front forme le théâtre des souffrances féminines, soulagées tardivement pour le travail de la terre par l'envoi en renfort de prisonniers allemands, puis russes. Dans le quotidien des paysannes, de leurs renoncements, des rencontres - "ces hommes étaient des Allemands. Eh bien... et après ? " , - le bon sens des femmes atteint l'universalité de la condition humaine et la vie simple. S'exprime ici l'immensité d'un traumatisme qui n'épargne pas les femmes restées seules, dépouillé de toute idéologie. "Des Hommes passèrent... est l'histoire vraie d'un village de France à travers la guerre, un village soulevé d'abord, comme les autres, de patriotisme et de haine, et qui apprend lentement, par la douleur, la nécessité du pain, en écoutant la grande voix sourde de la terre, qui apprend la fraternité des hommes à travers les frontières. Pas de littérature, de lyrisme facile, d'apostrophes. Seulement des faits. Et par la seule accumulation des faits, c'est comme une grande plainte monotone qui monte, qui grandit, qui s'élève, qui remplit tout, avec tout ce qu'on sent derrière, - la pitié, la colère, l'indignation, la révolte, la pitié surtout, la pitié". Simone Téry, Les Nouvelles littéraires.
03/2023
Histoire internationale
05/1998