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La guerre

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Ouvrages généraux

Pourquoi la guerre ?

La guerre, pour reprendre l'expression du général Le Borgne, serait "morte à Hiroshima" il y a plus d'un demi-siècle. Et pourtant elle n'a jamais cessé. Actes terroristes, conflits israélo-palestiniens et moyen-orientaux, implosion de la Yougoslavie, pays déchirés par les factions, sans même parler des autres guerres : économiques, psychologiques, informatiques, guerres des sexes ou des générations... L'invasion de l'Ukraine par la Russie a pourtant rebattu les cartes. Cette fois, dit-on, c'est le retour de la vraie guerre, avec ses exactions, ses horreurs, sa violence. Mais qu'est-ce qu'une vraie guerre ? En convoquant de grands philosophes politiques, de Platon à Marx, en passant par Machiavel et Hobbes, ce livre tente de répondre à cette question, qu'elle accompagne d'une série d'autres : qu'est-ce qu'une guerre juste ? Quelles sont les forces morales engagées dans un conflit ? Est-ce l'Etat qui fait la guerre ou la guerre qui fait l'Etat ? Enfin, après avoir exploré les significations et les enjeux du spectre de la guerre "totale" , il affronte l'ultime question : pourquoi la guerre ?

01/2023

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Histoire antique

La guerre antique

Le livre de référence, illustré, sur la guerre antique Ramsès II, Nabuchodonosor, Alexandre le Grand, César, Attila, qui ne connaît ces grands conquérants de l'Antiquité ? Comment faisaient-ils la guerre, comment assiégeaient-ils les villes, comment nourrissaient-ils leurs soldats, où trouvaient-ils le fer pour leurs armes, les chevaux pour leurs chars et le bois pour leurs vaisseaux ? Il manquait aux premiers millénaires de l'Histoire leur grande fresque guerrière, nourrie des dernières découvertes de l'archéologie et éclairée par les commentaires d'historiens d'exception. En quatre grandes parties ("Guerres et batailles", de Qadesh en - 1274 av. JC aux Champs catalauniques en 451 apr. JC ; "Armes et tactiques" ; "Les chefs" ; "Les troupes") et en près de 65 chapitres, voici une histoire globale sans précédent, dont la matrice est forgée d'articles parus dans Guerres & Histoire, augmentés de nombreuses contributions inédites. Fidèle à sa méthode, qui a fait le succès notamment de l'Infographie de la Seconde Guerre mondiale, Jean Lopez illustre largement cet ouvrage par une iconographie abondante mais choisie, associant 100 cartes et de somptueuses reconstitutions de Giuseppe Rava, l'illustrateur virtuose de la bataille antique. Une somme incontournable.

10/2021

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Littérature française

Pas la guerre

Dans ce roman à deux voix, le temps d'une nuit, Sandrine Roudeix raconte la passion de deux jeunes d'aujourd'hui et explore avec subtilité, sensualité mais aussi lucidité, la peur d'aimer et la complexité du " vivre ensemble ". " Ce foutu feu entre eux. Sauf que les feux, parfois, brûlent tout sur leur passage. Les feux, parfois, ne laissent derrière eux que des cendres et des paysages dévastés. " C'est l'histoire d'une fille qui se croit émancipée. C'est l'histoire d'un garçon qui se croit libre. Assia a 24 ans et est née en France de parents marocains. Franck a 25 ans et a grandi à Paris auprès d'un père militaire. Entre les deux, la possibilité d'un amour. Un emménagement. Le mélange des corps et des territoires. Mais un soir, l'entente se rompt. Comme du barbelé, des paroles les séparent. Comment aimer l'autre quand on traîne sa culture et sa famille avec soi comme autant d'ombres cachées sous le matelas ? Dans ce roman à deux voix, le temps d'une nuit, Sandrine Roudeix raconte la passion de deux jeunes d'aujourd'hui et explore avec subtilité, sensualité mais aussi lucidité, la peur d'aimer, le poids des origines et le pouvoir des mots.

01/2022

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Historiens

De la guerre

Texte intégral révisé suivi d'une biographie de Carl von Clausewitz. Conçu, écrit et constamment remanié entre 1816 et 1830, demeuré inachevé mais publié à titre posthume en 1832, "De la guerre" doit sa célébrité et son influence au fait qu'il est le premier traité de stratégie militaire à envisager la guerre comme constante anthropologique et à en élaborer une philosophie. Tirant la leçon des bouleversements introduits dans la conduite des guerres par les campagnes de la Révolution française et de l'Empire, Clausewitz insiste sur le rôle décisif que jouent les forces morales dans les conflits, alors que les auteurs spécialisés jusqu'alors ramenaient l'art de la guerre à de simples séries de mouvements de troupes. Selon lui, les soldats doivent être galvanisés par de puissantes motivations idéologiques et la force d'âme, faite de courage et de détermination mais aussi de clairvoyance intellectuelle, est la qualité suprême du chef de guerre. S'opposant au cosmopolitisme et à l'humanisme pacifiste de la génération des Lumières en Prusse, qui avait accueilli avec enthousiasme le traité d'Emmanuel Kant "Pour la paix perpétuelle", il met ici véritablement en relation la guerre et la politique en développant sa célèbre formule selon laquelle "la guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens". Selon lui, la guerre n'est "ni un art, ni une science, mais un acte de la vie sociale". De théories sur le concept de "guerre absolue" ("La guerre est un acte de violence à l'emploi de laquelle il n'existe pas de limites") en réflexions sur la doctrine stratégique ou la guérilla, "De la guerre" sera lu et relu avidement par la plupart des responsables politiques et militaires des 19e et 20e siècles, dont notamment Marx, Engels et Lénine, même si l'enseignement que ces générations ont cru devoir en tirer montrent que son interprétation a donné lieu à de graves contresens, dont le plus éclatant a consisté à faire de lui un précurseur de la guerre totale. Indéniablement, Clausewitz est un belliciste pour qui la guerre est l'épreuve la plus haute et la plus salutaire dans la vie des Etats, et le moyen privilégié de l'affirmation nationale, mais ce bellicisme n'est pas sommaire. Il découle d'une conception nouvelle de la nation, inspirée par la leçon de la défaite d'Iéna qui a failli entraîner la disparition de la Prusse et la transformation de l'Allemagne en satellite de la France.

12/2022

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Littérature française

Aime la guerre !

En 2010, guidée par Kessel et Bouvier, Hanna s'envole vers L'Afghanistan. Kaboul offre mille sujets : corruption et désert institutionnel, trafic, bavures des armées régulières et coups tordus confiés à des sociétés privées. Mais enquêter implique de côtoyer aussi les aventuriers qu'un autre genre d'ambition attire vers les régions du monde sous tension.Or Hanna aime les hommes aux manches retroussées. Qu'ils aient un revolver dans la poche et dorment sur un matelas rempli de billets ne la dérange pas. À compter de sa rencontre avec Robert, ancien mercenaire, et Bastien, ancien agent de renseignement, le séjour d'Hanna prend une autre tournure. Les deux hommes n'entravent en rien son goût extrême pour la vérité, son plaisir diabolique à relever les contradictions. Au contraire, il suffit d'entrer dans leur sillage pour tout voir, tout comprendre, même à leur insu. Mais près d'eux Hanna découvre que son penchant pour les hommes odieux et formidables cache une fascination pour le mode de vie qu'impose un pays en guerre. Quand les pires moments sont aussi les meilleurs. Quand on a l'impression de danser sur un volcan. Alors ne faudra-t-il pas qu'elle s'en détache ? Que l'intelligence l'emporte sur l'instinct ? Ce qu'ils vivent est homérique. Mais elle est la seule à en avoir pleinement conscience et à pouvoir le raconter.Si la passion pour la guerre ne cesse jamais de troubler la narratrice, au moins lui permet-elle d'en révéler toutes les facettes. La guerre et ceux qui la font, l'orchestrent ou en meurent, la guerre dont Paulina Dalmayer décrit l'énergie archaïque avec le raffinement intellectuel de la Mitteleuropa.

08/2013

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Littérature française

La Guerre secrète

"...Avec toi j'irai même en enfer!" Lucie n'aime pas la réalité. Depuis l'enfance elle refuse la mort de sa mère et rêve d'épouser Émilien, bien qu'il soit atteint par la tuberculose honteuse. Ils se marient et vont vivre à Lorient, port de guerre, à la veille de la Seconde Guerre. Entre le bacille et les bombes, les sentiments de Lucie aussi se déclarent la guerre. Où l'amour peut-il trouver refuge? Le travail, une rencontre, le refus de la réalité suffiront-ils? La ville de Lorient ayant été détruite en 1943, l'auteur, née "en exil" au cœur de la Bretagne, en pleine guerre secrète, tente ici de percer une fenêtre.

10/2011

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Littérature française

La guerre amoureuse

Le narrateur est un écrivain sans oeuvre. A plus de cinquante ans il anime une revue d’art confidentielle soutenue par une riche mécène, Mme Delachenal. Invité par une université finlandaise, il se rend à Helsinki pour participer à un colloque sur la critique littéraire. Là-bas, il retrouve une ancienne connaissance suédoise, Birgitt Bollstrom-Borjom, laquelle est mariée à un puissant industriel, qui est aussi le mécène du fameux peintre Gustav Molnar (le premier mari de Birgitt). Malgré l’accueil chaleureux qui lui est réservé et la beauté sauvage des paysages nordiques, le narrateur s’ennuie et ne peut s’empêcher de maudire cette nation protestante austère et rigoriste. Mais une rencontre imprévue va adoucir ce premier jugement sévère. Elle s’appelle Helena, elle est blonde, jolie, elle est étudiante en Lettres et termine une thèse sur l’oeuvre de l’écrivain français Fromentin. C’est le coup de foudre. Le narrateur rentre à Paris la mort dans l’âme. Quelques mois après, il reçoit un coup de téléphone d’Helena lui annonçant qu’elle débarque à Paris pour terminer son mémoire de doctorat. Dès lors commence entre eux une relation orageuse, passionnelle, où chacun des amants cherche à prendre l’ascendant sur l’autre. Helena voudrait convaincre le narrateur de l’épouser, tandis que ce dernier vit dans la hantise que l’étudiante ne le quitte pour un homme plus jeune. Afin de faire céder le narrateur, Helena va s’employer à le rendre jaloux. A l’occasion d’une grande exposition consacrée à l’oeuvre de Molnar, l’artiste est présenté à Helena, qui se laisse ostensiblement charmer par le vieux séducteur. Elle va ensuite habilement entretenir une relation ambiguë avec Molnar afin de pousser le narrateur dans ses derniers retranchements… Un livre mordant, qui assume pleinement la dynamique romanesque et le genre du « roman d’amour ». L’écriture brillante, rapide, entraîne le lecteur dans le tourbillon sentimental du narrateur. Car au rythme où se déroule sa passion, il s’agit bien d’une guerre, avec ses attaques, ses blessures et ses stratégies de conquête. En dépit de la violence des sentiments, le narrateur ne se départit jamais de son sens de l’humour, faisant de ses maladresses des moments désopilants. Mais en mettant son coeur à nu, il prend aussi le parti d’émouvoir et de parler sans fausse pudeur de ses blessures. Un splendide roman d’amour contemporain.

01/2011

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Encyclopédies de poche

La guerre économique

Depuis la fin de la guerre froide, les rapports de force entre les puissances s’articulent autour d’enjeux économiques. Les gouvernements de la planète, dans leur grande majorité, ne cherchent plus aujourd’hui à conquérir des terres ou à établir leur domination sur de nouvelles populations, mais à construire un potentiel industriel et une force de frappe commerciale capable d’apporter devises et emplois sur leur territoire. En parallèle, l’essor de la mondialisation a transformé la libre-concurrence « aimable », limitée et encadrée, en une « hypercompétition » généralisée. Quelles sont les raisons qui ont amené le monde vers cette guerre économique ? Sous quelles formes se manifeste-t-elle ? Quels acteurs fait-elle s’affronter ? Quelles conséquences peuvent en découler pour les nations, les collectivités, les organisations et les individus au XXIe siècle ? Et enfin, est-il possible d’inventer la « paix économique » ? Illustré par de nombreux exemples concrets de batailles économiques récentes, cet ouvrage propose une synthèse sur un concept né dans les années 1990 aux Etats-Unis, celui de « guerre économique ». Il propose une analyse des stratégies géoéconomiques actuelles.

01/2011

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Sciences historiques

La guerre irrégulière

Le phénomène de la guerre irrégulière n'est pas dans son essence inédit, ses racines plongent en fait profondément dans le passé et sont présentes dans les guerres qui ont jalonné l'histoire européenne depuis le milieu du XVIIe siècle...:Mais ses formes actuelles, qu'il s'agisse de théâtres comme l'Irak ou l'Afghanistan, comportent des aspects originaux et nouveaux. La réflexion sur la guerre irrégulière oblige à s 'interroger sur la normativité implicite de la " guerre régulière ", à considérer en profondeur le rôle des peuples impliqués, à examiner sans tabou les atouts tactiques de l'adversaire irrégulier. II s 'agit de, faire appel non seulement à l'histoire, mais aussi à la géographie, à l'économie, aux sciences sociales et politiques, au retour d'expérience des conflits en cours.

01/2011

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Policiers

La guerre fantôme

De retour à Washington après avoir sauvé New York d'un attentat ourdi par les talibans, l'espion John Wells a bien du mal à retrouver la vie civile. Aussi, lorsque la CIA l'informe d'un regain d'activité des talibans en Afghanistan, il n'hésite pas à repartir. Mais la mission de Wells tourne vite au fiasco... Pendant ce temps, en Chine, des manoeuvres militaires et des tentatives de confrontations navales avec les Etats-Unis se préparent. Et l'Iran, qui aimerait bien avoir la bombe atomique, se rapproche dangereusement... de cette même Chine.

04/2010

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Beaux arts

Après la guerre

Que représente l'art en France après la Seconde Guerre mondiale ? On a beaucoup parlé de " reconstruction " à propos de cette période, mais le terme limite considérablement le paysage réel car il ne dit rien du désastre, si bien traduit dans les oeuvres d'art qui sont comme l'envers du décor. Encore une fois, ce sont les oeuvres des artistes - dont le métier est de dire l'indicible - qui livrent le plus justement les signes de la libération et de la joie, de la misère et de la colère, de l'amertume, du doute, de la fragilité, du trauma profond, de la mémoire du génocide et de la violence de guerre. L'auteur montre à quel point ces années sont dominées par une forme de liberté étrange où l'art n'a plus à respecter quoi que ce soit après avoir failli disparaître : attaqué, instrumentalisé, censuré par tous les pouvoirs à vocation totalitaire en Europe depuis les années 1920. Que le retour aux origines, l'automatisme et l'expressivité sous toutes ses formes dominent une large part de la production des artistes après la guerre, rien de surprenant. Malgré toute la littérature fondée sur le poncif d'une France raisonnable et cartésienne, l'art est fait d'excès, de fureurs et d'hybridations : il n'est pas plus homogène que cette identité nationale dont l'Etat français sous Vichy avait espéré la " purification ". Il ne répond plus aux traditions usées par la catastrophe qui vient de se produire. Il est comme la réaction contre " les années sordides ", comme les appelait André Pieyre de Mandiargues.

02/2010

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Histoire de France

La Grande Guerre

" La guerre, dit Alain, naît des passions. Assurément, celle de " 14-18 " ne peut se réduire à un jeu de causalités politiques ou économiques. Aujourd'hui encore, elle n'a pas fini de susciter des réactions passionnelles, que l'on parle des mutineries françaises ou des crimes de guerres allemands. On ne met pas impunément en ligne des millions d'hommes sans que, dans toute l'Europe, les traces n'en soient profondément inscrites dans plusieurs générations. La " grande " guerre était déjà " totale " et doit être envisagée aujourd'hui comme telle. Elle a eu, dans l'horreur, un rôle pionnier. Les innovations " scientifiques " de la civilisation industrielle ont permis d'envoyer sans crier gare de nombreuses victimes au fond de l'Océan, dans les hôpitaux des gazés par milliers, dans les camps de concentration les premiers déportés et les populations " déplacées ", sans oublier le " génocide " des Arméniens. De ce point de vue, la Grande Guerre n'est pas du XIXème siècle, elle est bien du nôtre, de l'atroce XXème siècle. On l'appelle aussi " Première Guerre mondiale ". Elle le mérite à plus d'un titre. D'abord parce qu'elle a justifié en partie la prédiction de Lénine : elle a bien engendré la révolution - dans un seul pays, il est vrai. Ensuite, parce qu'elle a fait franchir l'océan à près de deux millions d'Américains, ce qui, pour les adeptes de la doctrine de Monroë, constituait une première. Le propre de cette guerre est d'avoir confronté, plus que rapproché dans la mort, des peuples jusque-là dominés par des " empires " ou des " alliances "plus ou moins inégales. Ce que l'on appelle, d'un mot peu clair, " l'impérialisme ", tenait, en 1914, les peuples d'Europe et du Moyen-Orient dans un carcan serré de contraintes. Le carcan, avec la guerre, a volé en éclats. La Grande Guerre a éveillé, contre les rapports inégaux de peuples inégaux, un formidable désir de liberté. De ce point de vue aussi, elle est résolument moderne. Ajoutons que, pour nous, elle reste par excellence une guerre française. Notre peuple a participé jusqu'à l'épuisement, avec un étonnant esprit de sacrifice, mais aussi avec une efficacité cardinale, à un grand mouvement de l'Histoire. "

12/1995

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Littérature française

La guerre sexuelle

Bobèche est un homme d'aujourd'hui, c'est-à-dire une touille molle. Mari, père de famille et employé ordinaire, tout va bien pour lui : il s'ennuie. Sa femme, Auque, s'occupe de tout : l'argent, les sorties, les vacances, l'éducation de leur fils Julot. Sexuellement, c'est plus compliqué. Manipulé par un certain Lothaire, chirurgien de guerre pervers, envoûté par Esmeralda la troublante épouse de celui-ci, débauché au Japon par son vieil ami Diodore, écœuré par ses parents et ses collègues, Bobèche devient malgré lui un parfait cynique, prêt à " assassiner " sa femme pour échapper à la médiocrité de sa vie. Bigamie, adultère, inceste, masochisme : les personnages de ce bref roman affrontent les visages imprévisibles de la guerre sexuelle. Une guerre qui révèle leurs secrets, leur cruauté, leur impuissance, mais surtout leur volupté - sans oublier la part comique qu'appelle toute évocation du désespoir.

01/2006

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Policiers

La 3e Guerre

Le Monde sera bientôt assujetti à une Caste puissante. Aten Daleth, agent clandestin pour la plus grande armée privée de la planète, en est parfaitement conscient, et cumule les missions dans un unique objectif : remplir son compte bancaire et se retirer de la société, vite. Mais, mandaté pour espionner le réseau altermondialiste "3" , il découvre l'existence d'une structure organisée, nantie de moyens considérables et d'une stratégie secrète. Baladé de Genève à Jérusalem, du Bangladesh à l'Equateur, il plonge dans une force latente et surprenante, déterminée à modifier le cours de l'Histoire. Une force qui va le contraindre à choisir un camp : celui des Elites, ou celui des Populations... Solidement documentée, rédigée avec l'appui d'un ex-agent gouvernemental, "La 3e Guerre" ne parle pas de conflit militaire ni d'explosion ultime. Elle relate un affrontement bien plus exaltant, empreint du souffle épique de notre Présent, et renoue avec l'action pour réinventer notre horizon. Plongez dans son bras de fer colossal, et tenez la tension.

09/2014

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Littérature étrangère

La Guerre civile

"Il faut bien évoquer les étapes de notre vie publique, si l'on veut comprendre la génération qui a connu la guerre et l'occupation. Certains affectent aujourd'hui d'être las de cette évocation du passé. Ils y voient un rappel inutile de nos divisions, un besoin morbide de gratter nos plaies. Qu'ils cessent alors de me lire. Les "problèmes d'actualité" m'intéressent peu. Et d'ailleurs ne renvoient-ils pas tous aux problèmes éternels de l'ordre et de la justice, qui règlent la vie des sociétés. C'est seulement l'histoire qui permet de les comprendre".

02/1986

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Littérature française (poches)

La grande guerre

Les balles de fusil rentrent dans l'air comme dans du feutre. C'est un bruit mat. Encore des coups. On ne les a pas dénombrés, l'esprit n'est pas au calcul. Ils semblent trois fois plus nombreux. Les bombes tombent. Des femmes entassées dans un café poussent des cris de femme. C'est un bombardement. Pendant les premiers mois de la Grande Guerre, Albert Londres est correspondant militaire sur le front français, l'occasion pour lui, selon une de ses formules qui restera célèbre, de " porter la plume dans la plaie ". Dans un style lyrique et enlevé, où souffle un patriotisme non dénué de lucidité, le jeune journaliste qui vient d'avoir trente ans partage le quotidien des soldats, erre au plus près des batailles et, chronique après chronique, se fait le témoin de la grande Histoire

11/2010

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Histoire de France

De la guerre

Les dits et écrits militaires de Napoléon sont à la fois nombreux et dispersés. Bruno Colson a eu l'idée de rassembler les meilleurs, puis de les présenter en épousant le plan du De la guerre de Clausewitz. Le résultat est stupéfiant d'intelligence et de limpidité. Une rencontre au sommet entre le maître des batailles et le plus grand stratège de son temps qui fait déjà figure de classique.

09/2018

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Science-fiction

La guerre éternelle

Imaginez une guerre si vaste que l'écho des batailles peut mettre plusieurs siècles à parvenir aux oreilles de ceux qui les ont ordonnées... enfin, de leurs descendants, en tout cas. Pour le soldat Mandella, membre de l'une des unités d'élite chargées de combattre les Taurans, le problème est inverse : lorsqu'il revient sur Terre après plusieurs mois de campagne, des décennies se sont écoulées. Comment continuer à vivre, quand tout ce pour quoi on s'est battu n'existe plus ?

08/2016

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Littérature française

Finir la guerre

Confronté au brutal suicide de son père, Alex va se mettre en tête de comprendre les raisons qui ont poussé le vieil homme à commettre l'irréparable. Une mystérieuse lettre en provenance d'Algérie, arrivée quelques jours avant sa mort, éveille sa curiosité...

03/2015

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Sciences politiques

La guerre occulte

Emmanuel Malynski a passé trente années de son existence à observer sur place, à travers le monde, l'évolution du mouvement révolutionnaire moderne et il a mis au service de cette observation une intelligence d'une lucidité presque visionnaire. Né et élevé en Pologne russe à une époque où l'organisation sociale était encore presque féodale, il a vu la naissance et le développement du capitalisme industriel qui a abouti au bolchevisme. Pratiquement il a ainsi vécu plusieurs siècles d'histoire, car cette évolution a débuté chez nous à la Renaissance pour n'acquérir son plein épanouissement qu'après la révolution française. Il a vu sur place l'effondrement du tsarisme et il a assisté en témoin au triomphe du bolchevisme. Redevenu Polonais à la suite de la reconstitution de la Pologne il a vu l'application des réformes agraires qui ont suivi la grande guerre. Homme de sport, escrimeur réputé, pilote d'avion de la première heure, parlant et écrivant plusieurs langues avec une égale perfection, doué d'une culture prodigieuse et universelle, il n'est pour ainsi dire pas un coin du monde qu'il n'ait visité et étudié. Des Indes au Japon, il a parcouru l'Asie millénaire avant quelle ne fût complètement bouleversée par le contact de l'Occident. Il a observé sur place en Amérique les étapes du capitalisme et de l'industrialisme triomphant. Il a connu tous les principaux Ghettos d'Europe orientale, il a vu ceux de New York et il est allé en Palestine observer le sionisme à l'oeuvre. Il a regardé toutes choses avec l'objectivité d'un penseur qui observe "Sub Specie Aeternitatis" et ses conclusions sont parmi les plus profondes qui aient été formulées sur la crise du Monde Moderne. Des années à l'avance il a prévu et annoncé tout ce qui se réalise aujourd'hui, tellement en avance sur la pensée contemporaine qu'il est alors resté incompris. Un des tout premiers, avant même les célèbres études de Max Weber et de Werner Sombart, il a saisi l'essence profondément judaïque du Capitalisme moderne et démontré les affinités qui l'unissent au Bolchevisme. Un des tout premiers il a su voir l'appui involontaire que certains nationalismes suraigus apportaient à la subversion internationale. Un des premiers il a pénétré l'essence métaphysique du mouvement révolutionnaire, montrant qu'il s'agissait d'une guerre religieuse, du choc séculaire et international de deux conceptions antagonistes du monde.

03/2022

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Géopolitique

Vers la guerre

La Chine et les Etats-Unis se dirigent vers une guerre dont ils ne veulent pourtant ni l'un ni l'autre. Pour éclairer ce paradoxe, Graham Allison invoque ce qu'il appelle le Piège de Thucydide, qui se met en place quand une puissance émergente vient défier la puissance régnante. C'est Athènes se dressant face à Sparte. Au cours des cinq derniers siècles, cette configuration mortelle s'est présentée seize fois ; à douze reprises, elle s'est soldée par une guerre. Aujourd'hui, alors que les gouvrenements chinois comme américain prétendent "restaurer la grandeur" de leur pays, la dix-septième occurrence se profile à l'horizon de manière sinistre. A moins que Pékin n'accepte de modérer ses ambitions ou que Washington ne renonce à sa suprématie dans le Pacifique, un conflit commercial, une cyberattaque ou un simple incident maritime pourraient bien entraîner une rapide escalade vers la guerre... Vers la guerre offre la meilleure grille de lecture pour comprendre les relations sino-américaines au XXIe siècle. En s'appuyant sur de nombreux cas historiques, Graham Allison rappelle que les puissances rivales d'hier ont su bien souvent préserver la paix. Reste à espérer que la Chine et les Etats-Unis sauront prendre les difficiles mesures qu'il préconise, seules à même d'éviter le désastre.

10/2023

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Histoire antique

La guerre antique

Quarante siècles de conflits armés. Ramsès II, Nabuchodonosor, Alexandre le Grand, Hannibal, César, Attila : qui ne connaît ces grands conquérants de l'Antiquité ? Comment faisaient-ils la guerre, comment assiégeaient-ils les villes, comment nourrissaient-ils leurs soldats, où trouvaient-ils le fer pour leurs armes, les chevaux pour leurs chars et le bois pour leurs vaisseaux ? Il manquait aux premiers millénaires de l'Histoire leur fresque guerrière, nourrie des dernières découvertes de l'archéologie et éclairée par les commentaires d'historiens d'exception. Voici une histoire militaire de l'Antiquité sans précédent, dont la matrice est forgée d'articles parus dans Guerres & Histoire, augmentés de nombreuses contributions inédites. Quand la guerre apparaît-elle dans l'histoire de l'humanité ? Pourquoi devient-elle, dès l'époque sumérienne, le mode usuel de régulation des conflits ? Pour quelles raisons les Assyriens ont-ils autant valorisé l'agression, la conquête, l'usage de la terreur, et, les premiers, rêvé à la domination du monde ? Pourquoi la construction d'Assurbanipal ou celle d'Alexandre n'ont pas duré quand l'empire de Rome a semblé s'éterniser ? Comment les invincibles légions ont-elles pu se faire étriller par les cavaliers virevoltants, surgis des steppes, ou par des cohues de Germains ? Comment ne pas s'étonner qu'en dépit d'une économie de stricte subsistance, l'Antiquité n'ait cessé de lever des armées, d'édifier des remparts, d'inventer des machines pour les faire tomber, d'exécuter les vaincus ou de les réduire en esclavage ? Autant de questions, parmi beaucoup d'autres, auxquelles répondent les meilleurs spécialistes dans cet ouvrage sans équivalent. Une somme incontournable sur les armées antiques. Un classique.

02/2024

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Histoire des idées politiques

La guerre culturelle

Trop peu de personnes se rendent compte que nos nations occidentales sont toutes divisées en deux camps, les agresseurs et les agressés, et qu'il faut choisir son camp, car le déni de réalité n'est plus permis. Des Etats qui s'occupent de tout sauf du régalien, des institutions qui sont presque toutes politisées, des citoyens qui ont de moins en moins de contrôle sur leur avenir, des systèmes de justice défaillants ou à deux poids deux mesures, une science politisée, des médias également politisés, partout, dans tous les pays occidentaux... L'ensemble constitue une agression en règle contre les peuples. C'est par la connaissance de l'histoire de cette agression-révolution contre nos traditions, normes et valeurs, que l'on peut appréhender dans son ensemble l'envergure du phénomène et comment on en est venu aux aberrations woke, aboutissement d'un siècle de guerre culturelle qui est aussi guerre politique au quotidien. Il est bien tard, mais peut-être pas trop tard pour stopper et inverser cette dérive suicidaire.

02/2024

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Poésie

Guerre contre la guerre. Recueil de poèmes

Guerre contre la guerre constitue un recueil de treize poèmes. Des poèmes bien croustillants concoctés par des gamins, dont l'âge oscille entre 10 et 13 ans, qui fréquentent tous le collège privé mixte Guchanrolain de Yopougon (Côte d'Ivoire). Chacun de ces poèmes attire l'attention de l'homme sur certains faits et fléaux qui constituent son quotidien : l'amour, la joie, la guerre, la moralité etc. et leur essence. Vous y trouverez donc des titres comme Aimer pour aimer, Console-toi, Louange au livre, La Paix, L'Angoissé... Il est ainsi nécessaire et utile de découvrir ce que les enfants pensent de leur propre existence, de celle des adultes, des fléaux de ce monde et du monde lui-même, à travers des textes de leur propre cru, de leur propre réflexion ! On peut penser que la volonté consciente et inconsciente de transformer leur monde les habite et précède leurs pas existentiels. Mais ce qui reste certain, c'est que les auteurs ci-dessous sont de petites merveilles à ne pas négliger.

10/2015

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Sciences politiques

Ma guerre contre la "guerre au terrorisme"

Depuis le 11 Septembre, l'Axe du Bien est en guerre, au risque de la plus absurde inhumanité. C'est sur le terrain du langage que Terry Jones contre-attaque, dans la grande tradition satirique britannique : " Il y a une chose, écrit-il, qui m'inquiète particulièrement dans la " guerre au terrorisme " du président Bush : c'est la grammaire. Comment livre-t-on une guerre contre un substantif abstrait ? Comment le " terrorisme " pourra-t-il capituler ? Les linguistes savent qu'il est très compliqué d'obliger un substantif abstrait à se rendre. " Orwell écrivait dans 1984 qu'en matière de mots, " moins le choix est étendu, moindre est la tentation de réfléchir ". Avec Ma guerre contre la guerre au terrorisme, l'ancien Monty Python prouve qu'en ces temps d'anxiété politique, l'humour, l'ironie et la richesse d'une langue sont des antidotes souverains contre le venin des spin doctors, ces spécialistes du mensonge officiel. Un jubilatoire exercice d'hygiène linguistique et civique.

03/2006

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Sciences historiques

De la guerre. Extraits de La Guerre du Péloponèse

Si Thucydide (né vers 465 et mort entre 400 et 395 av. J.-C.) nous permet de suivre en détail, dans La Guerre du Péloponnèse, l'un des plus grands conflits qui secoua le monde antique, les passages retenus pour cette nouvelle traduction mettent en lumière des considérations intemporelles sur l'art et la nature de la guerre. Général et pionnier de la science historique, Thucydide aborde avec une vivacité prodigieuse des questions tactiques, stratégiques, politiques, logistiques et psychologiques, en bannissant anecdotes, rumeurs et sentimentalisme, dans des pages qui n'en frapperont que plus le lecteur d'aujourd'hui. "La guerre n'est que la poursuite de la politique par d'autres moyens", écrivait au XIXe siècle Clausewitz dans son célèbre traité "De la guerre". C'est un principe qu'illustrent plusieurs passages de "La Guerre du Péloponnèse", de Thucydide, qui retrace en détail le conflit entre Sparte et Athènes. On découvrira dans ces pages des considérations stratégiques, tactiques, des techniques de combat sur terre comme sur mer, des harangues à la rhétorique imparable, et quelques tableaux de batailles saisissants.

02/2019

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Histoire militaire

Guerres secrètes. Renseignement et opérations spéciales de la Grande Guerre à l'Afghanistan

Les guerres secrètes sont depuis toujours une réalité incontournable des luttes armées et constituent l'une des formes les plus subtiles et les plus abouties de l'art militaire. A l'ombre des regards, loin des médias et des observateurs, se déroule de manière permanente une guerre sourde, invisible et pourtant bien réelle. Les hommes qui la mènent servent au sein d'unités hautement spécialisées, rompues aux techniques dites "non conventionnelles" de la guerre, que les forces armées classiques ne peuvent généralement assurer pour des raisons qui tiennent tant à un manque d'instruction ou de disponibilité, qu'au caractère parfois discret, voire même clandestin, attaché à ces missions si particulières. Cet ouvrage est avant tout une invitation à la découverte de ces procédés non orthodoxes et du secret qui les entoure. Il couvre une période allant de la Grande Guerre aux conflits les plus récents – en passant par la Seconde Guerre mondiale, la guerre froide, les guerres d'Indochine, de Corée, d'Algérie et du Vietnam - à travers une série de récits et de cas emblématiques illustrant toute la gamme des actions spécifiques attachées aux guerres secrètes : renseignement, contre-espionnage, guerre psychologique, désinformation, opérations spéciales et clandestines...

11/2021

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Autres

Quelles entre-deux-guerres ? Guerre et climat : le péril de la nostalgie toxique

Eclipsé par la guerre en Ukraine, le dernier rapport du GIEC souligne l'irrémédiabilité des effets du changement climatique. Si Poutine porte aujourd'hui un coup de semonce inédit à l'idéal de paix issu de 1945, quels bouleversements de l'ordre mondial planétaire découleront du dérèglement climatique ? Au-delà de l'analogie entre ces deux tragédies concomitantes, il s'agit moins de les hiérarchiser que de tenter de les articuler. Saurons-nous tirer partie de cette urgence pour agir en faveur du climat ou succomberons-nous à un ultime et fatal boom des hydrocarbures ? Le sociologue Bruno Latour et la journaliste Naomi Klein éclairent de manière complémentaire la collision inédite de la guerre et du climat.

05/2022

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Critique littéraire

Guerre et traduction. Représenter et traduire la guerre

Guerre et traduction, guerre et paix, la traduction est souvent présentée comme le meilleur moyen de rapprocher les peuples et les cultures, d'instaurer le dialogue et l'intercompréhension. Pourtant, dans un monde marqué par les conflits à répétition, le traducteur peine à remplir cette mission et se trouve empêtré dans les questions politiques et ethniques. Traduire en temps de guerre pose des questions théoriques et pratiques de première importance : comment le traducteur peut-il contribuer à la paix alors qu'il est pris dans les tourments de la guerre ? Le traducteur est-il par définition un pacifiste ou un pacificateur ? S'il n'a pas de prise sur la réalité de la guerre, une " paix textuelle " est-elle au moins possible ? Autant de questions qui restent en suspens car il existe peu de travaux théoriques et d'études de cas pratiques. C'est pourquoi, cet ouvrage collectif vise avant tout à combler une lacune dans la réflexion traductologique. Pour ce faire, il propose des études touchant la manière de traduire dans divers contextes guerriers, allant de la Seconde Guerre mondiale et de la guerre froide, jusqu'aux guerres plus récentes, que ce soit dans le monde arabomusulman (guerre d'Afghanistan, guerre en Irak et en Syrie) qu'en Europe de l'Est (guerre des Balkans, guerre d'Ukraine). Il offre ainsi un aperçu de la diversité des approches et des études actuelles dans le vaste champ de la traductologie appliquée à la géopolitique.

11/2016

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Histoire internationale

La guerre de Sécession. La "Grande Guerre" américaine. 1861-1865

Avril 1861-avril 1865. Il y a 160 ans. Quatre années pendant lesquelles un peuple encore mal soudé, miné par ses contradictions, d'un peu plus de 30 millions d'âmes dont 4 millions d'esclaves noirs, s'est affronté en continu, divisé en deux camps inégaux, invoquant chacun sa propre définition de la liberté, et ce sur un territoire plus vaste que l'Europe. Une guerre mobilisant 3 millions de combattants, voyant plus de 10 000 engagements militaires distincts. Une guerre ayant des implications politiques, économiques, sociales, sociologiques, démographiques, diplomatiques d'une infinie complexité et aux ramifications encore si présentes aujourd'hui. Avec 750 000, peut-être 850 000 morts, c'est la guerre de très loin la plus meurtrière de l'histoire des Etats-Unis, ayant provoqué 160 ans de débats historiographiques qui n'en finissent pas de rebondir de polémique en polémique, référence, comme un écho lointain mais toujours bien présent, lors de chaque crise de la démocratie américaine, jusqu'aux plus récentes. C'est pour comprendre ce cataclysme dans toutes ses composantes que Vincent Bernard offre enfin la grande synthèse de notre temps sur la guerre civile américaine.