Recherche

Habermas et la théologie

Extraits

ActuaLitté

Philosophie

Théologie et aliénation dans la pensée du jeune Hegel

Dans les premiers écrits de Hegel, G Rohrmoser retrouve un problème actuel : la confrontation du christianisme avec la Cité Séculière moderne. Hegel, qu'on ne peut comprendre que dans une double perspective à la fois religieuse et politique, dépend d'une situation ecclésiastique et politique très particulière : d'une part un piétisme dans l'attente d'une société parfaitement démocratique et, d'autre part, un courant philosophique révolutionnaire. Contestant vigoureusement les institutions ecclésiastiques et politiques de son temps, il apporte une solution d'ensemble : dépasser l'intériorité subjective religieuse s'isolant du monde et s'engager dans le monde, ce qui est possible par la confiance en la Résurrection du Christ. La contribution de la religion chrétienne à l'Etat hégélien, c'est qu'elle produit un sujet qui, dans la foi, étant libéré en soi-même de toute fixation à sa particularité naturelle, est libre pour faire l'universel, comme cela se réalise dans l'Etat. Réciproquement, ce qu'apporte l'Etat à la religion c'est de permettre que, dans l'actualité historique, l'exigence de liberté, née de l'intériorité religieuse, se manifeste au grand jour. La raison, pour Hegel, n'a jamais consisté qu'à entendre intégralement, sans se laisser restreindre par quelque opinion ou représentation subjective que ce soit, l'oeuvre de Dieu, manifestée dans le Christ, accomplie et s'accomplissant encore dans la Nature et dans l'Histoire.

04/1970

ActuaLitté

Magie

La tradition martinésiste. Théologie et théurgie des élus coëns

La Tradition martinésiste apparaît en France, au XVIIIe siècle, portée par l'homme qui lui a donné son nom : Martines de Pasqually (1710 - 1774), fondateur et premier grand souverain de l'Ordre des chevaliers maçons élus coëns de l'Univers. Elle a été transmise à sa suite par Louis-Claude de Saint-Martin, le Philosophe inconnu, dans son oeuvre, et par Jean-Baptiste Willermoz, dans les grades et les instructions du Rite écossais rectifié. Cette tradition à part entière s'apparente à certaines formes de la kabbale, sans être pour autant de nature kabbalistique. Mais elle se rattache surtout, par des relais qui restent encore mystérieux, à certains courants du judéo-christianisme des premiers siècles de notre ère. La Tradition martinésiste comprend une doctrine théosophique d'une richesse inouïe. On y enseigne la nature de Dieu, l'émanation des esprits ou des anges, et de l'homme, leur prévarication et leur chute dans les formes célestes et terrestres, les rapports entre les êtres, la nature des corps et des âmes, sous l'angle de l'arithmosophie, c'est-à-dire de la sagesse des nombres, comme expression de ces réalités supérieures. Mais la Tradition martinésiste enseigne aussi une pratique théurgique complexe, spécifique à l'Ordre des élus coëns : le culte primitif transmis par les grands élus, depuis Adam jusqu'au Christ, et confié par Martines de Pasqually aux élus coëns. Après avoir décrypté et commenté les rituels de réception des élus coëns (" Les Sept sceaux des élus coëns ", Le Mercure Dauphinois, 2011), Serge Caillet nous livre aujourd'hui une explication, point par point, des grands thèmes de la Tradition martinésiste, basée sur l'étude des textes et de nombreuses figures explicatives du XVIIIe siècle. Avec cette synthèse sans pareille, Serge Caillet éclaire d'un jour nouveau la Tradition martinésiste, en donnant à tous les amateurs de choses cachées les clefs de la théosophie et de la théurgie des élus coëns.

10/2021

ActuaLitté

Religion

Le Christ dans la théologie byzantine

Pendant longtemps, la théologie de l'Orient a eu pour principal objet de scruter la personne du Christ : le mystère du Verbe engendré avant les siècles, s'incarnant dans le temps et né de la Vierge. Une telle démarche ne semble guère avoir de points communs avec les soucis de notre époque, qui s'inquiète surtout des rapports entre le Jésus de l'histoire et le Christ de la foi. Pourtant, le travail de l'exégèse scientifique, si nécessaire soit-il, ne saurait répondre seul aux questions que se pose l'homme dans sa recherche de la plénitude de l'humanité. En étudiant le cheminement de la christologie orthodoxe depuis le concile d'Ephèse (431), de Chalcédoine (451) et les deux conciles de Constantinople (553 et 681) jusqu'à la chute de Byzance (1453), le père Meyendorff montre que l'anthropologie orientale, en restant fidèle à l'intuition des Pères " Dieu s'est fait homme pour que l'homme devienne Dieu ", rejoint les aspirations de notre époque et confirme la remarque de Kart Rahner : l'incarnation " se présente comme le cas unique et suprême de l'achèvement essentiel de l'humaine réalité "

09/2010

ActuaLitté

Philosophie

La théologie mystique de saint Bernard

Etienne Gilson se propose ici de résumer l'aspect le moins étudié de la mystique cistercienne : ce que l'on pourrait nommer sa systématique. " Bernard ne fut aucunement un métaphysicien, mais il devra aussi rester un théologien que sa puissance de synthèse et sa vigueur spéculative apparentent aux plus grands. Sans doute, sa théologie mystique est essentiellement la science d'une pratique, mais j'espère montrer que c'est bien une science et qu'il était difficile de pousser plus loin la rigueur de la synthèse. Les principes et la langue de l'auteur une fois connus, ses traités, et même ses sermons, s'expliquent aussi exactement et techniquement que les pages les plus denses de saint Anselme ou de saint Thomas d'Aquin. Nul ne commettra la faute d'oublier l'âme du mystique ; je pense qu'on la connaître mieux, au contraire, si l'on oublie moins à l'avenir la pensée du théologien ".

12/1985

ActuaLitté

Religion

La théologie baptismale de Saint Ephrem

Essai de théologie historique La typologie baptimale Le baptême chrétien

01/1991

ActuaLitté

Théologie

L'apologétique, avenir de la théologie ?

La théologie vit l'exil. Qui de nos jours s'intéresse à elle, hormis une frange engagée ? Où sont les théologiens dans le débat public, les médias ? Qui lit leurs publications ? Frappé d'insignifiance, le visage de la théologie s'attriste d'une obsolescence funeste. Et si son avenir passait par une apologétique forte et renouvelée ? Telle est la thèse audacieuse soutenue par Jean-François Gosselin qui trouve, dans l'exil même, le motif de soutenir cette proposition. Insensé ! diront certains, qui rappelleront aussitôt la déroute de l'entreprise apologétique au siècle dernier, et ses échecs retentissants. De science et de coeur, cet ouvrage procède d'une conviction raisonnée. Pour Jean-François Gosselin, pas question de ressusciter les gloires déchues, mais bien d'accueillir la mal-aimée comme une part essentielle de nous-mêmes. N'est-il pas dans la nature de la foi que d'être annoncée dans des milieux qui lui sont hostiles, que d'entendre et de confronter la contradiction ? Prestigieuse dans l'Eglise ancienne, la littérature apologétique (Fredouille) fut de toutes ces rencontres. Encore faut-il affronter des décennies d'inimitié, et surmonter le " complexe antiapologétique " ambiant, défi auquel l'auteur se mesure en première partie de l'ouvrage. De cette traversée périlleuse émerge une vision d'avenir où l'apologétique tiendrait sa place comme théologie soucieuse de l'expérience humaine (de Lubac) qui, sans s'oublier elle-même, se décentre et rayonne audelà d'elle-même, au devant et au service de ceux et celles qui cherchent et qui doutent. C'est à l'aune de la pensée d'Adolphe Gesché (1928-2003) que l'auteur cueille les prémices d'une apologétique d'avenir qui renoue avec sa raison d'être au creuset de l'épreuve et au feu de l'objection.

07/2021

ActuaLitté

Théologie

La théologie symbolique de saint Bonaventure

Trop souvent la théologie est vue comme une science difficile, abstraite, qui traite de questions complexes ou ennuyeuses. Comment, dans ces conditions, ne pas accueillir avec joie la bonne nouvelle toute franciscaine de saint Bonaventure : il existe une théologie concrète, dont nos sens sont les instruments de prédilection ? Le maître franciscain du XIIIe siècle a en effet élaboré une " théologie symbolique ". Cette expression ne désigne pas une discipline ésotérique ou fantaisiste, mais bien une théologie qui prend appui sur notre expérience quotidienne et sensible du monde. Si donc nous n'avons pas de goût pour les subtilités de la théologie intellectuelle, ni pour les obscurités de la mystique, il nous reste la théologie symbolique de Bonaventure. Peut-être nous conduira-t-elle dans les profondeurs désormais lumineuses des deux autres. Ce cahier a pour but de familiariser le lecteur avec la pensée du " Docteur séraphique ", traduction théologique et pastorale extrêmement riche et sensible de l'expérience franciscaine.

12/2021

ActuaLitté

Littérature française

Le Christ, source de la théologie

La théologie chrétienne naît de la parole de Dieu. Réfléchissant sur ses fondements, elle doit donc expliciter ce qui caractérise la parole de Dieu. Or, c'est dans le Christ que Dieu s'adresse en personne aux hommes. Dans le Christ, parole et geste sont relatifs à son "Je Suis" divin et sont portés par une intention et un jugement nouveaux, divins. Il est en outre nécessaire de préciser quelle philosophie est capable de servir d'instrument à cette réflexion théologique en précisant la relation de la personne et de la parole. Cette étude reprend ainsi des questions fondamentales : foi et intelligence ; histoire et métaphysique ; théologie et mystique : en terre chrétienne, elles sont inséparables et une sagesse théologique demande d'être à la fois savoureuse et rigoureuse du point de vue de la vérité - ce qui permet de l'expliciter est une philosophie qui explicite la cause finale grâce à l'amour. Enfin, c'est à partir du Christ que s'explicite l'ordre de la théologie dans le développement organique de ses parties.

12/2015

ActuaLitté

Religion

Pour une théologie de la tolérance

" La tolérance, il y a des maisons pour cela ", disait Paul Claudel, exprimant sans doute par cette boutade la méfiance de toute une tradition catholique à l'égard d'une notion qui, il y a peu, sentait le soufre et la libre pensée. Pas question alors de concilier la foi religieuse et l'ouverture à d'autres opinions ! Aujourd'hui, le contexte apparaît radicalement différent, dans un cadre profondément marqué par la sécularisation et la mentalité démocratique. Depuis le concile Vatican II, l'Eglise est entrée dans une démarche de dialogue, tant avec l'incroyance qu'avec les autres religions. Par ailleurs, on a parfois le sentiment que nombre de nos contemporains se montrent plus tolérants que leurs ancêtres pour la triste raison que leurs options politiques ou religieuses ne leur tiennent pas vraiment à cœur. Comment, dès lors, articuler cette valeur de la tolérance qui semble issue d'un univers culturel fort éloigné du christianisme - notamment catholique -, avec la foi et la vision du monde proposées par celui-ci ? Car, pour qui considère que toute rencontre humaine est rencontre de Dieu, la tolérance se doit d'interpeller l'idéal et le vécu chrétiens. Qu'est-ce que la foi, l'Eglise, la relation au Christ au regard de la tolérance ? Qui sait si la tolérance, bien loin de constituer un affadissement de la foi, de l'espérance et de la charité, n'en serait pas le cœur vivant ?

11/1999

ActuaLitté

Religion

Abrégé de La théologie du corps

Plus de trente ans après que Jean Paul II a achevé d'en dispenser l'enseignement à travers les audiences générales, La théologie du corps fait l'objet d'une large redécouverte. Des initiatives de plus en plus nombreuses font connaître cet enseignement qui s'avère d'une grande actualité et auquel le pape François fait de très nombreux emprunts dans son exhortation Amoris Laetitia. Réalisé à partir des indications de Jean Paul II lui-même dans la version intégrale, cet abrégé met à la portée d'un vaste public la substance de la pensée des catéchèses sur la théologie du corps tout en respectant une totale fidélité au texte original. Yves Semen, auteur de l'édition critique française, répond ici aux besoins des lecteurs en leur offrant une présentation plus accessible notamment avec un lexique d'une centaine de termes et expressions.

09/2016

ActuaLitté

Théologie

Saint Joseph. Théologie de la paternité

Le pape François a déclaré 2021 comme "Année saint-Joseph". Dans la Lettre Apostolique Patris corde (avec un coeur de père), il rappelle le 150e anniversaire de la proclamation de saint Joseph comme Patron de l'Eglise universelle. Ce Cahier de la NRT regroupe plusieurs études de biblistes et théologiens reconnus qui ont étudié la figure de saint Joseph dans l'histoire de la dévotion et contribuent ainsi à construire une théologie de la paternité.

05/2021

ActuaLitté

Religion

Essais sur la théologie de la grâce

En 1912, rendant compte des remarquables essais du Père Rousselot, un professeur de l'institut catholique souhaitait qu'on nous donnât enfin "une scolastique intériorisée" . Depuis lors, un petit nombre de théologiens, en France ou ailleurs, se sont orientés dans cette direction. Sans renoncer aucunement aux précisions de la théologie thomiste, ils ont cherché à en nuancer et à en assouplir les formules, en s'inspirant des pères de l'Eglise, des définitions du Concile de Trente et des acquisitions de la pensée philosophique. Ainsi a fait le P. Rondet. Connu pour divers travaux, en particulier sur saint Augustin, il est pour bien des prêtres l'auteur de Gratia Christi. Cet ouvrage a trouvé, malgré une ou deux voix discordantes, le plus bienveillant accueil. Il devait être suivi sans trop tarder d'un second volume qui, sans être ni un manuel n ; un "supermanuel" , eût cherché à vivifier l'enseignement commun. Mais l'homme propose et Dieu dispose. Appliqué à d'autres tâches, le P. Rondet n'a pu réaliser son premier projet. Tout le monde lui saura gré d'avoir rassemblé, avec quelques retouches, un certain nombre d'articles qui, dans des revues diverses, préparaient le second volume annoncé. Les voici dans l'ordre actuel : L'anthropologie religieuse de saint Augustin. La grâce libératrice. - Grâce, vertus, mérite. - La divinisation du chrétien, a) mystère et problèmes, b) panthéisme et christianisme. - Prédestination, grâce et liberté. - La liberté et la grâce selon saint Augustin. Telles quelles, ces études offriront aux maîtres et aux élèves, ainsi qu'à tous les prêtres, le mayen d'approfondir ou de repasser, de façon moins scolaire, la théologie de la Grâce. Après les avoir lues, on éprouvera le besoin de revenir à Gratia Christi pour en mieux comprendre les exposés un peu denses, puis on reviendra à l'exposé théologico-philosophique ; revu au terme de l'exposé historique, il révèlera à son tour de nouvelles richesses.

01/1964

ActuaLitté

Religion

La théologie et l'avenir des sociétés. Colloque du cinquantenaire de la Faculté de théologie de Kinshasa (avril 2007)

A l'occasion de ses cinquante ans (1957-2007), la Faculté de Théologie de l'Université Catholique du Congo s'est proposée de réfléchir d'une manière critique sur l'impact de la théologie pour l'avenir de la société congolaise mais aussi des sociétés humaines dans un monde globalisé. Considérer la théologie au service de la Communauté, c'est indiquer qu'elle n'est pas un discours purement spéculatif et a priori, fait pour le plaisir de quelques spécialistes, ni un discours impérialiste, élaboré pour d'autres temps et d'autres lieux. Le théologien doit demeurer au contraire à l'écoute de la Communauté dans laquelle il se trouve. C'est ce lien intime entre théologie et société que le Colloque du cinquantenaire a voulu réexaminer afin d'en évaluer la profondeur et d'en indiquer les perspectives. Le débat sur la théologie africaine a pris naissance à la Faculté de théologie de Kinshasa dès les premières années de sa création. Le problème de l'inculturation comme propos d'une théologie africaine critique a toujours été au coeur des préoccupations de cette école théologique. Les contributions de ce copieux volume des Actes du Colloque de la Faculté de théologie de Kinshasa font le bilan de cette ambition et en réactualisent les points forts. A travers la méthode dite contextuelle, telle qu'elle est mise en oeuvre et pratiquée à l'Ecole de Kinshasa, la matière s'organise autour de regards croisés. Un regard sur le contexte africain (qui est le lieu d'où nous parlons), un regard sur les sources (Ecriture et Tradition) pour poser les fondements, un regard plus en profondeur pour examiner les questions fondamentales, un regard sur d'autres contextes pour recueillir un éclairage latéral et un regard prospectif pour regarder vers l'avenir en vue de dessiner le paysage de cette théologie qui, par son amour et sa passion de la vérité, apporte un service éminent à la mission de l'Eglise et à la marche des sociétés. Dans ce nouveau monde du XXIe siècle, le travail théologique est invité à un effort qualitatif pour ouvrir des chemins inédits d'espérance et de renaissance des sociétés. Les théologiens africains sont solidaires de leurs frères et contemporains dans l'épreuve. Traversés par leurs déchirures et leurs doutes, ils sont habités par les mêmes combats. Une belle leçon de lucidité et d'optimisme nous est donnée dans cet ouvrage par l'Ecole théologique de Kinshasa.

05/2010

ActuaLitté

Philosophie

Leçons de métaphysique allemande. Tome 2, Kant, Heidegger, Habermas

Pourquoi Kant, qui fut par excellence le penseur des Lumières, est-il aujourd'hui encore au cœur des débats philosophiques les plus actuels - en Allemagne, bien sûr, avec ses héritiers directs, Apel et Habermas, mais aussi en France, jusque chez nos " postmodernes ", et aux Etats-Unis où l'œuvre imposante d'un John Rawls se réclame des principes kantiens ? Comment sa pensée a-t-elle pu prêter à des interprétations aussi diverses, nourrir des traditions aussi hétérogènes ? Impossible de le comprendre sans affronter son livre majeur, Critique de la raison pure. Avec une intelligence pédagogique proprement époustouflante, ce cours de Jacques Rivelaygue nous permet de la lire ou de la relire pas à pas, d'en élucider les moments décisifs, mais aussi d'en saisir le sens et les enjeux authentiques. Avec la même limpidité, il expose les grandes lignes de la lecture heideggerienne. On perçoit alors tout ce qui sépare le grand critique du monde moderne que fut Heidegger de ceux qui entendent rester, comme Habermas, fidèles au projet de la Modernité. Ces cours constituent une des meilleures introductions aux questions centrales de la philosophie contemporaine.

12/1992

ActuaLitté

Ouvrages généraux

Entre philosophie et théologie. Une provocation réciproque

La complexité inédite de notre époque tend à rendre anachroniques les prétentions totalisantes du savoir non moins que du croire. Ces conditions nouvelles pourraient inciter philosophes et théologiens à ne plus s'affronter en vue d'une hégémonie suspecte, mais à s'allier pour garder sa pertinence à la responsabilité d'une pensée d'expérience soucieuse de s'opposer également à la stupidité et à la violence mortifères des illusions et des idoles. Loin de confondre, cependant, les démarches d'une raison s'ouvrant au risque éclairé de la confi ance et celles d'une foi s'exposant aux interrogations partagées de l'existence, ce livre d'un " chrétien philosophe " plaide pour la reconnaissance d'une juste distance entre des convictions et des trajectoires contrastées qui pourraient contribuer, ensemble mais de manière distincte, à maintenir la liberté de l'esprit au travail dans la vie du monde et de l'histoire.

09/2021

ActuaLitté

Notions

Bibliologie, Philosophie et Théologie. Quid de primauté

Exploiter la Bibliologie, la Philosophie et la Théologie, dans une approche synergique prônant la recherche fondamentale, est une entreprise d'érudition cognitive complexe ; elle favorise une élévation de la pensée tendant vers la consolidation de l'interdisciplinarité. Ce livre construit un schème pluriel expliquant la primauté de la Bibliologie sur la Philosophie et la Théologie ; pour ce faire, il a été démontré, du point de vue de l'appropriation scientifique, que la philosophie est la science mère, la théologie est la science divine et la bibliologie est la science elle-même. En outre, il a également été question d'expliquer que la Bibliologie est un champ de recherche ayant à la fois un état de jouvence éprouvé et vieux de par ses considérations scripturaires. Sur ce, elle exploite l'antériorité des phénomènes relatifs à l'écriture et à lecture qui ont permis le changement du paradigme civilisationnel de l'humanité. Enfin, il sied de noter que les auteurs ont aussi l'exploitation des thèmes tels que l'herméneutique, la scientométrie, l'éditologie, la schématisation, notamment.

06/2021

ActuaLitté

Théologie

Revue d'éthique et de théologie morale

La Revue d'Ethique et de Théologie Morale (RETM) est une revue oecuménique qui publie des articles et des dossiers scientifiques sur les débats et les questionnements éthiques contemporains. Seule revue francophone spécialisée en éthique théologique, elle se veut ouverte aux interrogations venant de diverses disciplines : théologie, philosophie, sociologie, histoire, sciences humaines. Elle édite des articles varia et des dossiers thématiques sur des sujets divers (bioéthique, éthique fondamentale, éthique sociale, questions politiques, familiales, environnementales...) dans une perspective chrétienne attentive aux questionnements du monde présent. L'animation intellectuelle de la revue est assurée par l'Association de Théologiens pour l'Etude de la Morale (ATEM), association oecuménique internationale francophone (www. ethique-atem. org). La revue livre quatre numéros par an et un numéro hors-série qui reprend les actes du colloque annuel de l'ATEM. Chaque numéro, sauf exception, présente un dossier thématique, des articles varia, des comptes-rendus critiques, et des résumés en français et en anglais. Les articles proposés à la rédaction sont soumis de manière anonyme à un examen par deux réviseurs spécialistes de la question.

03/2023

ActuaLitté

Prière et spiritualité

Et tu ne réponds pas. Une théologie de la prière

Une manière originale dappréhender la prière chrétienne. Un essai de spiritualité avec les réflexions de grands maîtres spirituels.

08/2021

ActuaLitté

Théologie

La théologie comparée. Vers un dialogue interreligieux et interculturel renouvelé ?

La théologie comparée renouvelle depuis plusieurs décennies les manières d'envisager le dialogue entre les traditions religieuses, notamment en prônant une lecture attentive et informée de textes issus d'autres traditions. L'exposition à ces textes nous interroge, nous déplace et nous enrichit. Elle renouvelle notre regard non seulement sur cette tradition, mais aussi sur notre propre culture. Il s'agit là d'une manière relativement nouvelle d'envisager le rapport entre les religions, et ce dans une perspective théologique. La théologie comparée offre en effet une alternative par rapport à la " théologie des religions " , qui s'est concentrée sur le rapport entre les traditions religieuses et la vérité (ou le salut) à travers trois principales perspectives : le pluralisme, l'exclusivisme et l'inclusivisme, parfois en les corrélant ou en cherchant à les dépasser. Le présent ouvrage présente l'approche de la théologie comparée, qui demeure encore méconnue dans le contexte francophone, ainsi que les débats nourris qu'elle suscite aujourd'hui. L'ouvrage donne à la fois à voir comment travaille la théologie comparée très concrètement, par exemple dans le rapport à l'islam, et comment elle réfléchit aux méthodes et aux approches qui sont les siennes.

12/2021

ActuaLitté

Religion

HISTOIRE DES RELIGIONS ET DESTIN DE LA THEOLOGIE. Volume 3

Théologien, historien, philosophe, sociologue et homme politique libéral, Ernst Troeltsch (1865-1923) fait partie du groupe des théologiens protestants allemands appelé " Ecole de l'histoire des religions ". Revendiquant l'héritage de Kant et de Schleiermacher, proche de Max Weber et du néo-kantisme de l'Ecole de Bade, Troeltsch est le théoricien classique du néo-protestantisme. Surtout connu en France comme sociologue de la religion, il est redécouvert aujourd'hui comme philosophe et théologien, éclipsé un temps par Barth, l'existentialisme et Heidegger. Les huit essais rassemblés ici sont écrits à l'horizon d'une réflexion sur le religieux marquée par les sciences humaines et sociales et par une conscience accusée de la pluralité des formes de la religion. Troeltsch y dessine un programme qui inscrit délibérément la théologie dans une perspective historique, tout en s'efforçant d'articuler approche empirique et interrogation touchant les jugements de valeur. Il récuse ainsi toute tentative pour faire valoir un domaine théologique réservé : non seulement le christianisme n'est pas la religion dans sa forme achevée ou " absolue ", mais les tentatives pour déterminer une " essence " du christianisme par-delà ses inscriptions socioculturelles diverses devront également être refusées. En désenclavant la réflexion théologique, Troeltsch oblige à redéfinir son objet et son statut : elle ne sera plus explicitation du croire, mais devra esquisser une théorie du christianisme précisant le statut, la fonction et les limites du religieux dans une modernité marquée par la diversification des instances de rationalisation et de légitimité. Ce faisant, son propos tranche avec les discours théologiques dominants dans la seconde moitié du XXe siècle, tant en protestantisme qu'en catholicisme. Et il ouvre à nouveau la question d'une pertinence sociale et culturelle du religieux et du théologique. A l'heure où les paradigmes modernes se trouvent en profonde interrogation sur eux-mêmes et où la question religieuse fait retour - peut-être pour le meilleur mais souvent pour le pire -, la lecture de Troeltsch peut apporter une contribution bienvenue à un ensemble de questions parmi les plus centrales de notre temps. Publiés pour la première fois en français, les textes présentés ici sont accompagnés d'un important appareil de commentaires historiques aidant le lecteur à reconstituer le contexte et la genèse des débats en cause.

09/1996

ActuaLitté

Religion

Manuel de théologie fondamentale

Ce traité de théologie fondamentale n'a pas d'équivalent en langue française. Sur la base d'une documentation remarquable aussi bien d'ordre philosophique qu'exégétique et théologique, il aborde les questions les plus centrales d'une théologie fondamentale classique, à savoir la connaissance de Dieu, la Révélation, le Jésus historique, le mystère de la Résurrection, la structure de l'Eglise, la Tradition... En même temps, conformément à la dimension apologétique de toute théologie fondamentale, il entend bien fournir une justification rationnelle de la foi chrétienne dans le contexte du monde actuel. Ce souci de contextualité (cf. le titre allemand : Kontextuelle Fundamentathelogie) donne sa note propre à tout l'ouvrage et explique l'importance accordée au dialogue œcuménique, à la nouveauté du dialogue judéo-chrétien, à la rencontre avec les grandes religions du monde (hindouisme, bouddhisme, Islam) ainsi qu'au dialogue avec les idéologies athées. Cette volonté d'écoute du monde d'ouverture avec " l'autre " du christianisme va de pair avec le maintien de l'axe central de la foi chrétienne : la révélation du Père et son Fils qui se communique à l'Eglise. On a donc affaire à une véritable somme de théologie divisée en trois parties : 1. Le donné de base : Dieu parle ; 2. La voie : Jésus-Christ ; 3. Le lieu : l'Eglise. La dernière partie, " La connaissance de foi à la lumière de l'Evangile " veut être une ultime synthèse de la structure même de la théologie fondamentale. Il s'agit donc d'un ouvrage de base qui constitue un instrument de travail indispensable pour tous ceux qui veulent prendre conscience des derniers développements de la théologie chrétienne.

10/1990

ActuaLitté

Philosophie

Théologie politique. 1922, 1969

En dépit de ses engagements politiques, dont sa réputation a porté le poids, Carl Schmitt apparaît aujourd'hui comme une des figures majeures de la pensée politique du XXe siècle, dont l'influence souterraine s'est exercée en profondeur, en particulier sur la réflexion constitutionnelle. Dans sa théorie, la théologie politique est une pièce essentielle pour l'interprétation de la nature du politique : " Presque tous les concepts prégnants de la théorie moderne de l'Etat sont des concepts théologiques sécularisés. " Le Dieu tout-puissant est devenu le législateur omnipotent ; la " situation exceptionnelle " a finalement pour le droit la même signification que le miracle. De ce vaste transfert, le grand juriste et philosophe souligne les implications et les conséquences pour l'évolution des sociétés modernes. Sous ce titre, sont réunis deux essais écrits à près de cinquante ans d'intervalle, 1922 et 1969. Le premier contient, entre autres, le chapitre sur la souveraineté, dont la première phrase - " Est souverain celui qui décide de la situation exceptionnelle " - est devenue célèbre. Le second est une réponse aux critiques de toute théologie politique inspirée du christianisme, critiques développées en 1935 par le théologien Erik Peterson et reçues depuis lors comme un dogme.

08/1988

ActuaLitté

Théologie

Petit dictionnaire de théologie

Dans ce petit dictionnaire alerte et précis, Denis Müller tente de cerner les contours du christianisme et de la théologie en prenant également en compte leur dimension éthique. Le pari se veut de définir avec concision et indépendance plus de 550 mots de base dont la combinaison permet de saisir quelque chose de l'essence du christianisme. Ecrit par un seul auteur, un tel ouvrage porte inévitablement la marque d'une subjectivité singulière, mais il débouche aussi sur une forte recherche de cohérence et de consistance. Toutes les définitions proposées ne puisent pas à une même conception classique de la théologie ; certaines se veulent même délibérément provocantes et dissidentes, afin de stimuler de nouvelles créativités, aussi éloignées de la répétition de la tradition que des modes en cours. Le lecteur est ainsi invité à reconstruire lui-même, à partir des thèmes esquissés, la possibilité d'une identité et d'tine conviction fortes.

04/2021

ActuaLitté

Théologie

Le jansénisme. Une théologie

Le jansénisme se confond-il avec la théologie augustinienne de la grâce, que l'Eglise catholique aurait condamnée sans se l'avouer ? N'est-il qu'un nom désignant des doctrines diverses et sans unité ? Est-il principalement politique, le dogme étant une question accessoire, voire un prétexte ? Est-il insaisissable hors des propositions qui ont servi à le condamner ? A rebours des thèses qui ont contesté la légitimité ou la pertinence d'une étude théologique du jansénisme, Simon Icard présente une doctrine spécifique, fondamentale et continue défendue par Jansénius et ses disciples, comme Pascal. En étudiant leur conception de l'attribution des mérites avant et après le péché originel, il met au jour les difficultés du catholicisme moderne à penser une oeuvre commune à Dieu et à l'homme qui soit à la fois totalement divine et totalement humaine. Chercheur en histoire de la théologie au CNRS, Simon Icard est membre du Laboratoire d'études sur les monothéismes. Il a récemment publié, aux Editions du Cerf, L'Apocalypse janséniste. Port-Royal et la défense de la vérité.

04/2024

ActuaLitté

Vie chrétienne

Introduction à la théologie de la nouvelle alliance

"Introduction à la théologie de la nouvelle alliance explique les liens entre la théologie des Pères de l'Eglise, des frères suisses du XVIe siècle, des baptistes particuliers du XVIIe siècle et l'émergence moderne de la théologie de la nouvelle alliance (TNA), fondée sur la théologie biblique et l'histoire du salut. L'auteur examine les réponses que la TNA apporte à la question suivante : "Qu'est-ce qui rend l'organisation de la Bible si harmonieuse ? " Trois grands axes sont explorés : la nouvelle alliance anticipée dans l'Ancien Testament et accomplie dans le Nouveau Testament, la nouvelle loi du Christ qui remplace celle de Moïse, et le nouveau peuple de Dieu unifié en son Fils. Cet ouvrage permettra aux lecteurs de mieux comprendre la distinction entre la TNA et les deux grands systèmes théologiques courants, soit l'alliancisme réformé et le dispensationalisme, en se fondant sur le triple principe de continuité, de discontinuité et de transformation. Il met Jésus Christ et la nouvelle alliance, qu'il a si chèrement établie, en premier plan".

11/2022

ActuaLitté

Religion

Initiation. De l'anthropologie à la théologie

La pratique et la notion d'initiation ont des racines plus vieilles que le christianisme. Elles naissent en milieu païen, dans la Grèce archaïque. Depuis, la notion a été reprise et réinterprétée dans diverses traditions, dès l'Antiquité et jusqu'à nos jours. Actuellement, l'idée d'initiation désigne tout à fait globalement "les premiers pas" dans à peu près n'importe quelle discipline ou activité. Or, à voir de plus près, il s'agit plus précisément "du premier pas" , "le pas décisif" , essentiellement cultuel et communautaire, par lequel un sujet est agrégé à un nouveau corps social. La notion d'initiation n'est pas biblique, et les auteurs chrétiens des premiers siècles paraissent éviter délibérément le vocabulaire typique lié aux pratiques d'un paganisme encore bien vivant, alors qu'à la même époque les modalités d'intégration de la communauté chrétienne - essentiellement rituelles et communautaires - se fixent. Le thème de l'initiation chrétienne est relativement récent : il date de la fin du XIXe siècle. L'un des rituels majeurs de l'Eglise catholique en porte d'ores et déjà le nom. Cette étude se pose trois questions : qu'est-ce que l'initiation en tant qu'acte humain, en-deçà de la polyvalence actuelle du terme ? En quoi la pratique appelée "initiation chrétienne" est-elle une initiation ? Comment la Révélation de Dieu en Jésus Christ appelle-t-elle une pratique de ce genre ? Jean-Marie Brauns (1969) est Docteur en théologie. Prêtre de la Compagnie de Saint-Sulpice, il enseigne au séminaire Saint-Sulpice d'Issy les Moulineaux.

03/2019

ActuaLitté

Religion

Le cardinal Journet. Ou la sainte théologie

Un portrait pénétrant du vrai prêtre de Jésus-Christ que fut le Cardinal et une introduction pénétrante et précise à son oeuvre.

05/1993

ActuaLitté

Religion

La théologie de Saint Paul. 2 volumes

La Théologie de saint Paul du Père Prat, que les éditions Beauchesne rééditent, a été pour toute une génération de théologiens et d'exégètes catholiques un livre classique. Depuis sa dernière édition en 1938, les études pauliniennes ont considérablement progressé. Nous aurons à indiquer tout à l'heure quelques-uns des points où des éléments nouveaux sont intervenus et où l'ouvrage demanderait à être corrigé et complété. Mais deux raisons justifient cependant à notre avis sa réédition. La première est qu'en fait l'ouvrage n'a pas été remplacé, dans son objet propre, qui est d'être un exposé d'ensemble, historique dans sa première partie, systématique dans la seconde, de la théologie du docteur des Gentils. Certes, sur le plan historique, de nombreux commentaires ont été publiés. On en trouvera l'énumération dans les bibliographies de l'Introduction à la Bible de Robert et Feuillet. Je veux rappeler seulement ici les remarquables volumes donnés à la collection Verbum Salutis par le Père Joseph Huby. Par ailleurs, des monographies importantes ont été consacrées à certains thèmes essentiels de la théologie paulinienne. Ainsi en est-il en particulier des ouvrages de Mgr Cerfaux : Le Christ dans la théologie de saint Paul et La Théologie de l'Eglise suivant saint Paul, de celui de Dom Jacques Dupont sur La Connaissance religieuse dans saint Paul. Mais il s'agit toujours d'aspects particuliers de la théologie paulinienne. Même l'ouvrage de F. Amiot, L'Enseignement de saint Paul, ne recouvre que l'aspect systématique du livre du Père Prat. Il reste donc qu'aucun ouvrage paru depuis ne représente un exposé vraiment complet. Ceci serait peu de chose, si l'ouvrage apparaissait périmé dans son ensemble. Il faudrait alors le remplacer, non le rééditer. Mais justement le livre du Père Prat n'apparaît aucunement périmé dans ses aspects fondamentaux. Chose curieuse, les progrès de la Paulus-Forschung ont plut6t confirmé la substance de ses conclusions qu'ils ne les ont infirmées. Autant le livre du Père Prat est en opposition avec les interprétations dont il est contemporain, celles de Dibelius ou de Schweitzer, autant il se trouve substantiellement d'accord avec Munck ou Percy. Ceci tient je pense à deux qualités maîtresses de notre auteur. D'une part, son ouvrage est fondé sur une solide. étude philologique. Les appendices de son livre sont à cet égard fort instructifs. Certes, il n'a pu bénéficier des remarquables analyses du Lexique de Kittel. Mais une longue familiarité avec le grec classique, une sérieuse connaissance de la langue des Septante donnent à ses analyses une base scientifique qui manque souvent à de brillantes et éphémères théories contemporaines, Par ailleurs, une théologie ferme et ouverte à la fois accorde la pensée du Père Prat à la foi même de Paul et le met à l'abri des modes philosophiques qui rendent aujourd'hui si caduques les interprétations de Sabatier, de Schweitzer ou de Bultmann. voir suite chronique 1

01/1961

ActuaLitté

Religion

Théodom. Volume 1, Introduction à la théologie

SI tu ne sais jamais comment répondre à ton beau-frère qui dit des énormités sur la religion ; SI tu te demandes ce que signifie "consubstantiel au Père", et si ça te réveille la nuit — ou même si ça ne t'empêche pas de dormir ; SI les coloriages de tes cours de catéchisme ne te suffisent plus ; SI tu as des enfants ou des amis qui te posent des questions sur la foi ; SI tu n'as ni enfants ni amis, mais que tu te poses quand même des questions sur la foi ; Et SI prouver l'existence de Dieu grâce à l'existence des ornithorynques ou évoquer Jésus à travers Harry Potter ou le Seigneur des anneaux ne te dérange pas : Voici un manuel unique en son genre pour devenir (presque) sans effort un bon théologien.

02/2019

ActuaLitté

Théologie

Fondements pour une théologie de la miséricorde

La miséricorde a toujours été au centre de discours chrétien. C'est une face de la bonté qui va au-delà du pardon. En s'appuyant sur la vision élargie qu'en propose Thomas d'Aquin, l'auteur nous offre, ici, une première véritable théologie de la miséricorde.

03/2024