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Japon

Visitez le japon au fil de son histoire

13 chapitres à la fois détaillés et ludiques (illustrations, photos, infos touristiques...) sur L'Histoire du Japon, qui couvrent de la période paléolithique jusqu'à l'ère contemporaine de Reiwa. L'histoire du Japon, des origines à nos jours, racontée à travers les personnalités et événements principaux, notamment le Japon dans la Seconde Guerre mondiale, les récents mouvements politico-économiques, l'accident de Fukushima et bien d'autres actualités... Objectif : comprendre aisément toute l'histoire du Japon, du paléolithique à nos jours, mais aussi comprendre le Japon d'aujourd'hui. Plusieurs points de vue sont envisagés : politique, société, économie, vie quotidienne et culture. A travers cet ouvrage, les lecteurs pourront découvrir les charmes de ce pays, ainsi que l'origine du comportement et de l'opinion des Japonais. L'ouvrage est parsemé de photos, conseils ludiques et informations pratiques à destination des touristes (présenté par Koto, la mascotte du livre). Sommaire (liste chronologique périodes, époques et ères) : Chapitre I - A l'aube du Japon, Du paléolithique à la période Asuka Chapitre II - L'Etat par l'empereur, L'époque de Nara Chapitre III - La noblesse florissante, L'époque de Heian Chapitre IV - Le début de la politique par les bushi, L'époque de Kamakura Chapitre V - Essor et décadence des Ashikaga, L'époque de Muromachi Chapitre VI - La raison du plus fort, La période Sengoku Chapitre VII - Le pays réunifié, L'époque Azuchi Momoyama Chapitre VIII - Le shogunat dictatorial, L'époque d'Edo Chapitre IX - Le début du Japon moderne, L'ère de Meiji Chapitre X - La démocratie japonaise, L'ére de Taisho Chapitre XI - Le Japon et la Seconde Guerre mondiale, L'ère de Showa Chapitre XII - Le rôle mondial du Japon, L'ère de Heisei Chapitre XIII - Et le futur, L'ère de Reiwa

08/2021

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Etudes IFSI

La clinique infirmière. De la théorie à une pratique engagée

La clinique infirmière fait partie intégrante de l'activité professionnelle quotidienne. Elle se déploie dans toutes les situations de soins. Elle repose sur des connaissances théoriques, des savoirs d'expérience, s'appuie sur des méthodes et des outils. Pourtant, elle demeure encore peu valorisée, les savoirs médico-centrés prenant encore souvent le dessus. Ce livre vise à rendre visible la clinique infirmière, à souligner les savoirs et la réflexion dont elle est porteuse, car elle fait toute la spécificité de la profession infirmière. Les auteures s'appuient sur leur expérience d'infirmières, de formatrices et de cadres pour décrire de manière concrète et accessible les concepts au fondement de la pratique et de la discipline infirmières, les notions abordées permettant à la fois de mieux comprendre ses propres façons d'agir, les situations complexes et de légitimer la nécessité du développement de la clinique infirmière. Dans le souci d'établir des liens forts entre théorie et pratique, de nombreuses situations de soins issues de leur expérience de terrain sont ensuite analysées, différentes théories de soins permettant de les éclairer. Celles-ci ont été marquantes par leur intensité émotionnelle, leur singularité et/ou leur complexité. Enfin, les perspectives pour la profession dans un monde sans cesse en évolution sont évoquées, la place et le rôle des infirmiers(ères) étant essentiels pour répondre aux problématiques des populations. Pour pouvoir relever ce défi, il importe de renforcer le sens de sa pratique et la motivation professionnelle. L'interpellation clinique y contribue, car elle déclenche un raisonnement à la fois réflexif et éthique. Mieux comprendre les raisons de ses interventions, c'est pouvoir ensuite ajuster et professionnaliser ses accompagnements thérapeutiques, continuer de prendre soin avec conviction, engagement, et favoriser une pratique humaniste des soins. Plus qu'une question de reconnaissance, l'émancipation de la profession infirmière conditionne sa pérennité.

03/2024

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Littérature étrangère

Enfants des fleurs

Voici le roman passionnant, émouvant, honnête et souvent choquant d'une relation mère-fille dans la Chine post-maoïste. Ce récit personnel, très largement autobiographique qui succède à Une fille de la faim, fait le pont entre la Chine pré-1979 et celle post-socialiste grignotée par la fièvre consumériste. Différemment de Brothers, le chef-d'oeuvre de Yu Hua qui abordait cette question sous l'angle de la rupture, L'Enfant des fleurs souligne la continuité politico-historique entre ces deux ères et les traumatismes vivaces. Rares sont les romans chinois contemporains aussi dérangeants et impudiques, et aussi révélateurs des contradictions de la Chine d'aujourd'hui. Le livre s'ouvre de nos jours, par la mort de Mère et les rites funéraires auxquels participent tous les membres de la famille. La narratrice, romancière installée en Grande-Bretagne, est de retour chez elle après une longue absence. Elle ne s'explique pas la fin de vie de sa mère, acculée à la misère, et à qui elle a dissimulé un douloureux secret. Elle remonte dans le passé, revisite l'existence tumultueuse de Mère, s'intéresse aux relations sentimentales tourmentées de sa nièce, à la cupidité de ses proches, à l'obsession de la Quatrième Soeur pour un professeur de littérature dénommé Xiao Tang, et évoque largement ses propres amours et liaisons. Cette mise à nu vise à mieux comprendre le destin de Mère, son sens du sacrifice, et les dangers qu'elle a courus par amour. Mais elle amène également peu à peu à mieux comprendre le mystère intime de la narratrice. Un poème chinois compare l'amour au fil qu'une mère utilise pour coudre les vêtements de ses enfants, fil que rien ne peut rompre, ni le temps ni l'espace. La narratrice n'en mesurera la vérité que trop tard. Puissant, sans détour, lyrique et cru, ce texte aussi personnel qu'allégorique impose Hong Ying comme l'une des voix les plus étonnantes de la Chine d'aujourd'hui.

10/2013

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Sciences historiques

Esquisse d'une histoire universelle

Par quels cheminements l'espèce humaine est-elle devenue ce qu'elle est aujourd'hui ? Pour y répondre, Jean Baechler fait appel à l'archéologie, à l'ethnographie, à l'histoire et à la sociologie comparée. Son livre, porté par le savoir de toute une vie, reconstitue dans toute sa richesse la longue aventure de l'Homo sapiens depuis ses plus lointaines origines. Dans cette histoire universelle, déroulée sur des centaines de millénaires, l'auteur distingue trois ères successives. L'ère paléolithique, qui s'étend sur cent à deux cents mille ans, saisit l'homme dans son histoire naturelle, vivant en bandes et en tribus comme une espèce animale parmi d'autres, autonome, adapté à ses milieux et capable de résoudre tous ses problèmes. Une deuxième ère, déclenchée par la fin de la dernière glaciation, dure une dizaine de millénaires. Elle est marquée par l'émergence et l'extension du pouvoir politique, la constitution de royaumes et d'empires, le passage à la production alimentaire et artisanale, l'apparition de religions universelles. La troisième ère, commencée il y a environ cinq siècles, n'a pas atteint son terme. Elle a ouvert, d'abord aux Européens puis à tous les humains, une nouvelle étape de l'histoire humaine. Nous y vivons encore. Ce livre montre que, par-delà toutes les tribulations des sociétés anciennes et modernes, c'est la même nature humaine qui a produit les histoires les plus diverses. Il décrit l'émergence des grandes civilisations traditionnelles et en analyse l'évolution millénaire. Il observe dans l'histoire de la Chine la transition exemplaire de la tribu à l'empire, voie dont les autres civilisations se sont plus ou moins écartées. Par des détours imprévisibles, mais intelligibles, écrit Jean Baechler, l'Europe n'a pas connu l'unification impériale. Elle a exploré, en revanche, toutes les virtualités politiques pour aboutir à la modernité éclatée - scientifique, démocratique, individualiste - qui est toujours la nôtre.

10/2002

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Esotérisme

La vie ésotérique de Jésus-Christ. Une lecture théosophique et anthroposophique le la vie de Jésus

Encore une nouvelle Vie de Jésus ? Ernest Bosc nous offre pourtant à lire un texte très différent : il présente à un public tout spécial, au public occultiste et théosophique, une oeuvre qui ne ressemble en rien à celles qui l'ont précédée. Car au milieu de la quantité innumérable d'Ecrits sur l'admirable personnalité du divin Nazaréen, aucun n'est traité au point de vue qui nous occupe et auquel nous nous sommes placés, c'est-à-dire au point de vue du pur Esotérisme... Jésus de Nazareth, Essénien et haut Initié de l'Ordre, possédant des connaissances approfondies sur les phénomènes de la Nature et produisant des faits absolument merveilleux pour la majorité des humains, se révèlera au lecteur non plus sous la forme de prophète, mais sous celle du Thaumaturge et du Thérapeute tout à fait hors de pair qu'il fut... La croyance à la divinité de J. -C. commença à se former chez les Gnostiques, en vacillant longtemps dans les écrits des ères apostoliques ; elle s'affermit avec Justinien le martyr et l'Evangile attribué à Jean, et elle ne triompha contre la doctrine d'Arius au concile de Nicée en 325, que par la pression de l'Empereur. Du dithéisme, avec le Christ du IVe siècle, nous passons au trithéisme avec le Saint-Esprit dans le symbole Quicumque du VIIIe siècle, et nous aboutissons au tétrathéisme du Concile du Vatican avec Marie l'immaculée. En envisageant la personnalité de Jésus, Ernest Bosc pénètre en plein ésotérisme ; au coeur de la tradition, dans la vérité ésotérique. Et c'est dans celle-ci et par celle-ci qu'il écrit la vie de Celui qui fut crucifié, par la haine et la méchanceté des sacerdotes, des rabbins de l'ancienne et despotique loi de Mosché (Moïse). A l'expression de la fraternité et de la solidarité humaines que proclamait le Nazaréen en proposant sa loi d'amour ("aimez-vous les uns les autres"), ils n'avaient que la mort dont ils se repaissent à lui opposer.

12/2020

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Sciences historiques

Mondes en guerre. Tome 2, L'Age classique (XVe-XIXe siècle)

Si l'histoire de la guerre comme l'approche globale de l'histoire sont dans l'air du temps, jamais n'avait été proposée aux lecteurs français une histoire rassemblant les deux éléments. C'est chose faite avec cette exceptionnelle série de 4 volumes consacrés à toutes les formes de la guerre dans le monde, de la préhistoire à nos jours. L'ensemble est dirigé par Hervé Drévillon, appuyé par un directeur pour chaque volume, et rédigé par un collectif de 8 à 10 historiens par volume. La volonté des auteurs est simple : décloisonner les ères civilisationnelles pour penser une histoire embrassant toutes les périodes et tous les continents, afin de montrer leurs interactions et leurs influences réciproques, leurs oppositions aussi. Ce second volume débute avec la naissance de la guerre moderne et de la puissance de feu qui lui est associée, pour se conclure sur les guerres nationales au XIXe siècle, en passant par la guerre sur mer, la question religieuse ou la guerre à l'âge des révolutions. Tome 1 : De la préhistoire au Moyen Age. Tome 2 : L'Age classique. XVIe-XIXe siècle. Tome 3 : Les Guerres mondiales. 1871-1945. Tome 4 : De la guerre froide à la cyberguerre. 1946 à nos jours. Explorer la diversité des pratiques guerrières sur tous les continents depuis la préhistoire jusqu'à nos jours, telle est l'ambition des Mondes en guerre. Dès l'Antiquité, la formation d'empires alimenta un vaste processus de confrontations et d'échanges militaires, avant que l'ère des Grandes Découvertes ne déclenche l'intégration de tous les continents dans un espace martial unifié. Ce second tome est celui de L'Age classique de la guerre, celui de l'âge de la raison militaire, où l'essor de l'imprimé contribue à la normalisation des pratiques, sans effacer la dimension religieuse des conflits. Depuis les premières apparitions des arquebuses sur les champs de bataille au XVe siècle, jusqu'au développement d'une puissance militaire industrialisée au XIXe, les conditions de la guerre sont également marquées par l'avènement de la puissance de feu, sur terre comme sur mer. Des guerres civiles aux expéditions coloniales, en passant par la guerre navale, les sièges ou la guérilla, ce sont ainsi toutes les formes d'une guerre mondialisée qui sont ici explorées. Les auteurs : Hervé Drévillon (dir.), Martine Acerra, Nicolas Cadet, Benjamin Deruelle, Bernard Gainot, Brian Sandberg.

10/2019

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Poésie

Le Galaté au Bois. Edition bilingue français-italien

- Andrea Zanzotto : " Le Galaté au bois " (Il Galateo in bosco) Le titre, pour partie néologistique en français, emprunte au célèbre traité des règles de savoir-vivre de Monsignor Della casa, intitulé en italien Galateo, oppose culture (les règles sociales) et nature (bois touffu). Il s'agit du premier volet (1978) de la trilogie de la maturité du poète que le plus grand critique italien du siècle dernier, Gianfranco Contini a tenu à présenter. C'est aussi le seul recueil de cet ambitieux projet poétique à ne pas être aujourd'hui disponible en français. Les deux autres pans dudit triptyque, " Idiome " (1983) et " Phosphène "s (1986), sont tous deux présents en librairie. L'ouvrage prend pour thème un lieu défini, celui de la forêt du Montello situé au sud du bourg où le poète est né. Cette région s'avère particulièrement riche en sédiments historiques, échos, réseaux et figures. Là se dressent, par exemple, les ruines d'une grande abbaye où vécu Monsignor Della Casa, dans ces mêmes parages évolua la poétesse de la Renaissance Gaspara Stampa. Ce fut aussi un champ de bataille durant la première guerre mondiale et, de tout temps, un refuge pour les marginaux. Ces éléments, ici rapidement évoqués à titre indicatif, campent un sud et son histoire érodée reconduite à ses bribes surnageant dans l'histoire locale sous forme de fourmillantes historiettes, citations mémorables, épiphanies diverses. Cet enchevêtrement de temporalités dissemblables détermine un mélange stylistique familier aux lecteurs italiens : celui d'un plurilinguisme dont le Dante de la " Divine Comédie " est l'épigone. Autrement dit, la rencontre de styles diversifiés appartenant à des âges différents, tous dûment déhiérarchises dans une promiscuité généralisée mêlant mémoire littéraire, onomatopées, oralité : du sublime au trivial. Cet encyclopédisme langagier se révèle comme le juste rendu stylistique d'une histoire s'offrant tout à tour comme enfouissement et surrection, survivance et oubli, dont la faille périadriatique traversant de part en part la géographie concernée est aussi une métaphore seyante. Une syntaxe inattendue en résulte dans laquelle l'articulation est dévolue non au mot mais, le plus souvent, à des séquences verbales hétérogènes : accidenté, seul leurs heurts, chevauchements, juxtapositions, télescopages assoit le sens. L'histoire littéraire s'en trouve remaniée d'autant : paradoxalement, des styles distincts appartenant à des ères différentes finissent par y tenir un seul et même discours. Les styles mis en oeuvre sont ainsi arrachés à leur historicité pour vérifier la circulation du symbolique qu'ils viennent vérifier par-delà toute prétendue clôture : de langues en langages irréductibles. D'un italien d'une littérarité soutenue à un dialecte simplement parlé, par exemple. La critique italienne y a vu non seulement l'oeuvre maîtresse du poète de Vénétie mais également le chef-d'oeuvre le plus original de la poésie cisalpine du XXe siècle, qui en compte pourtant beaucoup d'autres. Au-delà, on peut tenir pareil recueil pour " généalogique " (dans une acception non nietzschéenne du terme) dans la mesure où prenant conscience du caractère suranné d'une tradition, l'européenne à travers l'italienne, ce recueil opère, idéalement et réellement, une synthèse de toutes les traditions précédentes, un peu comme Rabelais en son temps vis-à-vis de la tradition médiévale, et, cela, rien que pour donner un futur au genre poétique. Au reste, sa temporalité n'est-elle celle d'un futur antérieur (titre d'un célèbre poème de " Phosphènes " : " Futurs simples - ou antérieurs ") ? (Philippe Di Meo)

03/2023