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Descartes et la fabrique du monde. Le problème cosmologique de Copernic à Descartes

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Philosophie

Pensée et cliniques de l'identité. Descartes, Cervantès, Montaigne

Ce livre prend pour objet des textes classiques de Descartes et de Montaigne qu'il propose d'appréhender à la lumière de l'expérience de soi qu'ils mettent en scène et à laquelle ils donnent une forme communicable et partageable. Il interroge ainsi, à partir d'expériences singulières, mais typiques, de désorganisation identitaire, quelques enjeux de l'activité de pensée et d'écriture, c'est-i-dite du travail d'élaboration, permettant de transformer en oeuvres de culture le potentiel traumatique de ces épisodes critiques. Il aborde de ce point de vue l'attention particulière que Descartes et Montaigne accordent tous deux aux pensées et au sentiment d'étrangeté qu'elles produisent, mais également i l'activité de pensée elle-même, mise en demeure de les prendre en charge. Il est possible d'appréhender la "conception moderne de la subjectivités" sous l'angle de ces expériences de précarisation psychique, d'isolement et de marginalisation sociale.

04/2019

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Philosophie

LES PASSIONS DE L'AME DESCARTES. 1ère partie

Pour la première fois en 1649, Descartes consacre une attention méticuleuse à la description de " toute la nature de l'homme ". Les passions ne lui fournissent pas une simple occasion parmi d'autres d'en traiter. Elles l'obligent surtout (et son lecteur avec lui) à se placer du point de vue du composé psychosomatique lui-même, soit à décrire, dans toutes ses manifestations et implications (éthiques notamment), cette " troisième notion primitive " que ni la philosophie première seule, ni la physique seule, ne permettaient de cerner.

10/1998

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Philosophie

Descartes et la France. Histoire d'une passion nationale

Les Français ont l'esprit cartésien, dit-on. Descartes représenterait-il la France ? Comment ce philosophe, mort hors de France en 1650, a-t-il fini par incarner une nation tout entière ? Comment se peut-il ; se demande François Azouvi, que tant de fois catholiques et athées, droite et gauche, nationalistes et républicains se soient déchirés au sujet de cette figure, à la fois emblématique et controversée ? Qu'y avait-il dans la philosophie de Descartes qui put alimenter trois siècles et demi de disputes et fabriquer ce mythe d'une France cartésienne ? Au fil des chapitres, c'est toute l'histoire intellectuelle et politique de la France, de 1650 à nos jours, qui est revisitée pour comprendre le destin énigmatique et singulier d'un philosophe prêtant son nom à un pays pour en façonner l'identité.

11/2006

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Autres philosophes

Note conjointe sur M.Descartes et la philosophie cartésienne

Ecrit exceptionnel de Charles Péguy, la note sur M. Descartes parle cependant de tout sauf de René Descartes. Le grand philosophe n'est en effet que le prétexte introductif à un voyage à travers les méandres clairs et sinueux si caractéristique de la pensée de Péguy, et notamment ses thèmes fétiches : la pensée de Bergson, grand penseur du temps ; le Juif et le Chrétien ; le catholicisme ; l'écriture et le durcissement de la pensée ; la Grâce et la Sainteté. Ces dernières sont au coeur de l'ouvrage : Péguy ne se lasse pas, dans des réflexions d'une force rigoureuse et d'un lyrisme tenu, d'analyser à travers elles de grandes figures comme le Polyeucte de Corneille, Saint-Louis et Jeanne d'Arc ; mais aussi de revenir en longueur sur la chevalerie française, la royauté, l'Histoire de France. A travers ces cheminements si pleins d'une nécessité qui lui est propre, Péguy revient ensuite longuement sur la sainteté de Jésus, sur l'avilissement du monde moderne, l'épargne, l'avarice et même les fonctionnaires et la retraite. Un livre d'un charme, d'une profondeur et d'une fascination infinies, dans lequel s'épanouit le meilleur de Péguy.

02/2024

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Philosophie

Six études sur la volonté et la liberté chez Descartes

Lorsque Descartes parvient à la fameuse certitude que " je pense, donc je suis ", quel est ce je qui découvre l'évidence de son être, dans l'instant même où il n'y a plus aucun être qu'il n'ait rendu douteux ? Fallait-il vraiment, comme l'en raille Gassendi, la mise en oeuvre d'un aussi grand appareil pour n'en arriver qu'à une aussi banale découverte ? Si, portant sur l'infinité des créatures, le doute manifeste par le fait l'exercice d'une volonté infinie, d'où vient que Descartes n'ait pourtant explicitement affirmé cette infinité dans aucune de ses oeuvres, mais seulement une fois dans une lettre de 1639 ? Pourquoi le Discours de la méthode constitue-t-il une sorte de césure dans le développement de l'entreprise cartésienne ? Pourquoi l'exposé d'une morale provisoire, qui ne sera d'ailleurs repris dans aucun autre ouvrage ultérieur, y vient-il interrompre celui de sa doctrine et le récit de ses découvertes ? Pourquoi Descartes ne donne-t-il plus ensuite qu'à la métaphysique un temps qu'il s'y était promis de consacrer tout à sa physique ? Comment est-il possible que l'homme lui paraisse capable de jouir " dès cette vie " de " la parfaite félicité ", et de ne devoir qu'à l'exercice de sa liberté une " béatitude naturelle "? Serait-ce que la générosité consiste dans l'expérience métaphysique de l'infinité même de notre liberté? C'est à ces questions que tentent de répondre les études ici réunies, qui toutes cherchent à élucider le statut de la liberté dans la métaphysique artésienne.

06/1988

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Descartes

Descartes, la métaphysique et l'infini. 2e édition revue et corrigée

Parce que l'infinité divine n'est pas une évidence théologique, Descartes travaille à lui donner un sens particulier : à la fois instauratrice des vérités créées dans les lettres du printemps 1630 et nom divin par excellence selon les exigences de la philosophie première en 1641, elle endosse des déterminations passablement contradictoires, non métaphysiques et pourtant au plus haut point métaphysiques. La détermination de la situation de l'infinité de Dieu chez Descartes au regard d'autres concepts du corpus (immensité, indéfini), de ses rapports au concept aristotélicien d'apeiron et de son histoire médiévale (Thomas d'Aquin, Bonaventure, Henri de Gand, Scot) et moderne (Suarez, Bérulle, Montaigne) doit permettre de faire voir la tension interne dont l'infinité grève la métaphysique cartésienne. Les analyses d'Emmanuel Levinas seront précieuses pour révéler les tensions ici à l'oeuvre.

09/2021

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Philosophie

Descartes et l'ordre politique. Critique cartésienne des fondements de la politique

À l’effondrement des régimes communistes a succédé le pullulement des nationalismes ethniques et religieux. Des uns aux autres les discours et les symboles ont changé, mais pas l’idée que les hommes, c’est-à-dire des individus, sont d’abord les membres d’un tout (État, parti, nation, ethnie, peuple, communauté religieuse). À ce défi idéologique, il n’est qu’une seule réponse à opposer : un individu n’appartient à personne. Les déterminations qu’il reçoit de l’extérieur (sa race, sa nation, sa religion), pour importantes qu’elles soient, ne tracent pas un cadre dans lequel il doit nécessairement s’inscrire. À tous revient la liberté primordiale de s’inclure dans une communauté ou dans un tout, ou de s’en séparer. C’est le grand enseignement de la critique de l’ordre politique à laquelle se livra Descartes. Critique en apparence paradoxale : si Descartes n’a écrit aucun traité de politique, c’est dans les textes touchant à la morale que se trouvent les deux principaux points d’appui pour résister au politique. C’est d’abord la critique des faux dévots, bigots et superstitieux, qui « sous ombre qu’ils vont souvent à l’église, qu’ils récitent forces prières, qu’ils portent les cheveux courts, qu’ils jeûnent, qu’ils donnent l’aumône, pensent être entièrement parfaits, et s’imaginent qu’ils sont si grands amis de Dieu qu’ils ne sauraient rien faire qui lui déplaise, et que tout ce que leur dicte leur passion est un bon zèle, bien qu’elle leur dicte quelquefois les plus grands crimes qui puissent être commis par des hommes, comme de trahir des villes, de tuer des princes, d’exterminer des peuples entiers, pour cela seul qu’ils ne suivent pas leurs opinions ». De ces lignes, plus actuelles que jamais, qui font du mélange de la politique et de la religion l’essence de la terreur, il résulte que toute conception du monde qui repose sur, ou qui implique une division entre deux catégories d’hommes (fidèles/infidèles ; amis/ennemis ; citoyens/étrangers) est génératrice de violence et de guerre. Les crimes les plus odieux et les plus fréquents dans l’histoire sont inspirés, commandés, justifiés par la politique. C’est ensuite l’idée qu’un individu peut, quelquefois, valoir plus que le collectif et que c’est à lui de le déterminer : « Et il faut toujours préférer les intérêts du tout, dont on est partie, à ceux de sa personne en particulier ; toutefois avec mesure et discrétion, car on aurait tort de s’exposer à un grand mal, pour procurer seulement un petit bien à ses parents ou à son pays ; et si un homme vaut plus, lui seul, que tout le reste de sa ville, il n’aurait pas raison de se vouloir perdre pour la sauver ». Ces deux points sur lesquels on peut édifier une politique cartésienne ne sont pas séparables : la politique, trop liée à la contingence, aux individus, aux époques, ne peut être une science et aucune de ses propositions ne peut être appliquée invariablement — la sagesse et la raison consistant à savoir juger selon les cas. C’est le jugement de chacun et non la règle, la consigne, le commandement, qui remplit l’office de la raison dans le domaine des choses humaines, des actions et des événements. Cette restitution de la pensée cartésienne, confrontée à celles de Pascal, de Hobbes, de Spinoza ou de Rousseau, ne vise pas à construire une théorie politique là où il n’y en a pas, mais à dégager la sortie de la logique qui fait de l’individu un simple élément du corps politique. Cela pourrait s’appeler l’actualité de Descartes.

09/2012

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Philosophie

Les méditations métaphysiques. Objections et réponses de Descartes, un commentaire

Depuis leur publication en 1641, les Meditationes de prima philosophia n'ont rien perdu de leur pouvoir de fascination : jamais un projet philosophique n'avait été si ambitieux et si radical. L'objectif de ce volume est simple : expliquer ce texte en associant les plus grandes exigences pédagogiques à la plus grande précision scientifique et en tenant compte des acquis de la recherche récente. Cette ambition installe ce volume dans une tradition de commentaires déjà illustres, mais dont il se distingue par son caractère collectif et par la prise en compte des Objections et Réponses, sans lesquelles les Meditationes ne sont qu'une oeuvre mutilée. Pour ce faire, il fallait considérer aussi bien le développement interne des textes que leur ouverture structurelle. On s'est ainsi résolu à regagner l'esprit cartésien en suivant sa lettre, en éclairant telle difficulté ici, en dissipant telle confusion là, et sans s'interdire d'ouvrir le commentaire au rapprochement avec d'autres textes de Descartes ou d'auteurs avec lesquels la discussion est directe et topique. Les contributions ici rassemblées ne prétendent nullement circonscrire l'inépuisable richesse du texte cartésien, ni même s'y mesurer (qui l'oserait ? ) ; à tout le moins nous rappellent-elles qu'il n'est de philosophie vivante que dans la confrontation avec la pensée la plus forte. Car la formidable audace spéculative à l'oeuvre dans cette aventure à nulle autre pareille que sont les Meditationes demeure pour le lecteur une insurpassable école de discernement, de liberté, de courage aussi — bref, de vérité.

03/2019

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Philosophie

Descartes pour les jours de doute. Et autres philosophes inspirants

Comment gérer un patron tyrannique ? Peut-on survivre à la honte ? Comment garder son calme face à des enfants surexcités ? Peut-on triompher de sa timidité? Faut-il ralentir pour vivre à son rythme ? Ce livre a pour ambition d'apporter du confort à l'inconfort, et de construire une passerelle entre des philosophes renommés et notre intimité. Douze situations inspirantes, qui nous plongent au coeur de nos émotions, pour nous aider à affronter nos doutes et nos questionnements. Et apprendre à les surmonter.

04/2019

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Critique

De la Passion aux passions. Pascale, Racine, Descartes, Molière, La Fontaine...

Pascal ? "Il greffe sur l'augustinisme la doctrine de la raison d'Etat et parvient ainsi au paradoxe de la force pure et mauvaise à laquelle il faut docilement obéir". La tragédie classique ? "C'est l'expression la plus parfaite de la déchristianisation ; elle crée un monde nouveau de la vie sublime, indépendant de toute pensée chrétienne". Descartes ? "Il construit la sphère de la liberté humaine non pas en Dieu mais contre Dieu". Molière ? Il met en scène l' "honnête homme" et son nouveau statut. Sécularisation, recherche d'une morale autonome, loin des préceptes de la religion : tel est le mouvement qu'Auerbach repère tout au long du XVIIe siècle français, à la fois du côté des productions intellectuelles et du côté des comportements sociaux. Il décrit les lieux de la vie artistique où se mêlent et s'affrontent, à Paris, les classes sociales ; il étudie les origines familiales des élites intellectuelles, analyse les mutations du parterre au théâtre et le glissement progressif de la bourgeoisie productive vers les conforts de la rente. Qu'il réfléchisse sur "la théorie politique de Pascal" , sur "la cour et la ville" , sur le "sourire hospitalier" de La Fontaine ou sur l'évolution sémantique du mot "passion" , l'auteur de Mimésis déploie comme à l'accoutumée, dans ces essais, une érudition prodigieuse, en même temps qu'il révèle un XVIIe siècle tout tendu vers de nouvelles raisons d'être.

05/2023

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Philosophie

Une liaison philosophique. Du thérapeutique entre Descartes et la princesse Elisabeth de Bohême

Cet ouvrage analyse la dimension thérapeutique qui sous-tend l'ensemble de la Correspondance entre Descartes et la princesse Élisabeth, fille aînée du roi déchu Frédéric V de Bohême - aussi surnommé « roi d'un hiver ». Sur fond d'exil aux Pays-Bas, l'un pour se libérer de tout carcan social, l'autre à cause de la guerre de trente ans, Descartes et Élisabeth cherchent ensemble quelles réactions avoir face aux événements traumatiques de l'existence et comment se les approprier en tant que sujets. Descartes met en pratique sa théorie du « contentement », et va jusqu'à dévoiler à la princesse les secrets de son équilibre physique et psychique. Quant à Élisabeth, c'est une femme qui a le courage d'affronter ses symptômes en tâchant de les connaître, d'en comprendre le sens et les enjeux profonds. Sa sensibilité la pousse à une exigence intellectuelle accrue, qu'elle satisfait en partie grâce à sa rencontre avec Descartes à qui elle demande de l'aider à se guérir. Descartes lui permet d'accéder à elle-même, explicitant dans ses lettres non plus la notion de dualisme mais celle d'union de l'âme avec le corps, montrant dans quel registre penser le « vrai homme ».Par leur honnêteté intellectuelle et le lien transférentiel qui s'établit, ils donnent accès à certains mécanismes des passions, abordent la complexité des liens intersubjectifs.Élisabeth va conduire Descartes à élaborer sa théorie des passions en prenant appui sur le vécu ; leur union épistolaire donnera naissance au traité des Passions de l'âme.

11/2012

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Philosophie

DESCARTES ET LES "PRINCIPIA". Tome 2, Corps et mouvement

Dans le second livre de son manuel de philosophie, les Principia Philosophiae (1644), Descartes expose les fondements métaphysiques de la connaissance des corps et les règles universelles de leurs mouvements. Il énonce ainsi le principe d'inertie et propose la loi de la conservation de la quantité de mouvement. L'inexactitude de presque toutes les règles du choc qu'il en déduit est moins importante que leur existence même : c'est un domaine entier de la connaissance naaturelle qui se trouve ainsi pour la première fois soumis à la légalité et à la rationalité. Ainsi apparaît une physique générale, dont les principes sont identifiés à ceux de la mathesis. Il fallait commenter cette physique, en montrant comment elle sort de ses racines métaphysiques et prépare l'étude des corps célestes et terrestres - étude qui réclame pour s'accomplir une information empirique et la formation de l'hypothèse de la fluidité des cieux. Le seul objet de cet ouvrage est l'analyse des dispositifs cartésiens de conceptualisation de la substance étendue sous le mode du mouvement, dans l'examen des différents niveaux de constitution des corps. Il s'agit donc d'une introduction à la mécanique cartésienne.

06/1994

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Histoire de la philosophie

Le Fer ou le Feu. Penser la douleur après Descartes

Fondé sur un vaste ensemble de textes du XVIIe siècle, cet ouvrage s'attache à un moment important et méconnu dans l'histoire de la douleur. Il renouvelle l'analyse du "dualisme cartésien" et contribue à la réflexion contemporaine sur la nature de notre sensibilité et de nos émotions.

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Histoire de la philosophie

Le Fer ou le Feu. Penser la douleur après Descartes

Fondé sur un vaste ensemble de textes du XVIIe siècle, cet ouvrage s'attache à un moment important et méconnu dans l'histoire de la douleur. Il renouvelle l'analyse du "dualisme cartésien" et contribue à la réflexion contemporaine sur la nature de notre sensibilité et de nos émotions.

02/2024

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Philosophie

Les enfants et les fous. Descartes et ses lectures contemporaines

En faisant dialoguer autour de cette catégorie double " les enfants et les fous ", l'oeuvre de Descartes, celle de Foucault et les objections d'ordre naturaliste, ce travail cherche à découvrir chez Descartes la pièce manquante qui permette de tenir ensemble le Cogito, le " nourrisson ", et le fou.

05/2019

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Littérature française (poches)

La fabrique du monde

"Des zones de plaisir finissent d'irradier mon corps, je reste immobile quelques secondes pour ne rien en perdre. Bientôt je me lèverai, me dirigerai vers les toilettes, m'habillerai, avalerai mes nouilles si j'en ai encore le temps, rejoindrai la file pour réciter à tue-tête ma promesse de labeur. Et retournerai à ma machine, pour toute une journée, encore une." Mei est une jeune ouvrière chinoise de dix-sept ans. Elle vit, dort et travaille dans son usine. Elle rêve aussi, d'amour, d'une échappatoire. Dans La fabrique du monde, Sophie Van der Linden confronte à l'âpre réalité un souffle romantique. Elle nous offre un premier roman bouleversant, plongée dans un esprit qui s'éveille à la vie.

08/2014

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Multi-matières

Pas de problème avec les problèmes

Conçu par une enseignante, et en conformité avec les programmes de l'Education nationale, ce nouveau cahier d'activités propose des situations variées pour apprendre à résoudre des problèmes tout en s'amusant. Des exercices progressifs qui nécessitent l'utilisation de tous les types d'opérations. Des rappels et des astuces pour apprendre à mieux appréhender un problème. Des contenus conformes aux attentes des programmes.

09/2021

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Philosophie

Descartes 3.0. Mes Méditations Métaphysiques revisitées

"Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans la vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances". René Descartes Imaginez que notre célèbre philosophe français du siècle des Lumières ré-apparaisse en chair et en os, en ce début du IIIe millénaire et tente à nouveau d'atteindre la vérité. A quoi ressemblerait son 'cogito' ? C'est ce que fait le narrateur de ces Méditations Métaphysiques revisitées, à la lumière des théories scientifiques et des études philosophiques qui ont eu cours depuis 1650. Même 400 ans après, la démarche cartésienne apporte toujours autant... Bon chemin !

01/2021

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Littérature française

L'homme de René Descartes, et La formation du foetus ; ou Traité de la lumière du mesme autheur

Oeuvres choisies de Boileau (2e éd.) / édition classique avec des notes historiques et critiques... par N.-A. Dubois,...Date de l'édition originale : 1836Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site Hachettebnf

04/2013

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Ouvrages généraux

Le processus de la connaissance vraie dans les règles pour la direction de l'esprit de descartes

Le présent livre a pour dessein de révéler comment parvenir à la connaissance vraie en suivant la méthode cartésienne. Le philosophe par essence, comme on le sait, est un homme épris de connaissance et cette dernière ne peut être acquise sans un chemin donné. C'est pourquoi, examinant Les Règles pour la direction de l'esprit de Descartes, nous nous sommes rendu à l'évidence que seule la lumière naturelle et accompagnée d'un chemin précis permettra d'acquérir la sagesse, la vérité. Le doute, les facultés intellectuelles (intelligence, imagination et autres) y jouent un rôle majeur dans le processus d'accès à la connaissance vraie.

10/2022

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Ouvrages généraux

Système général de philosophie, extrait des ouvrages de Descartes et de Newton. Tome 1

Système général de philosophie, extrait des ouvrages de Descartes et de Newton. Tome 1 / , ouvrage dans lequel, après avoir rapporté les particularités les plus intéressantes des vies de ces deux chefs de la physique moderne, on examine leurs découvertes en tout genre et on en montre l'analogie. Par l'auteur du "Dictionnaire de physique"... Date de l'édition originale : 1769 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2021

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Religion

Le problème de la christianisation du monde antique

La christianisation du monde antique est un thème central d'un point de vue historique (c'est un des rares événements dont les conséquences ont été essentielles pour l'histoire mondiale), d'un point de vue historiographique (c'est un des grands sujets d'étude de la fin de l'Antiquité gréco-romaine avec la disparition de l'Empire d'Occident et la fin du système civique classique), mais aussi d'un point de vue méthodologique. En effet, on croit couramment que la christianisation du monde antique fut une réalité qu'il suffirait de décrire, alors qu'il s'agit en fait de la penser, car elle est d'abord une représentation des historiens héritée de modèles antiques (Eusèbe de Césarée, Augustin d'Hippone) ou modernes (Voltaire, Marx, Freud). Pour pouvoir traiter "la christianisation du monde antique" comme sujet historique, il faut donc d'abord réfléchir sur une question d'historiens: "le problème de la christianisation du monde antique". Pour cela, il faut faire un peu d'histoire moderne et contemporaine, analyser l'apparition et le sens du terme de christianisation, et faire le bilan de l'historiographie de la question. Ensuite, on peut tenter de penser "la christianisation du monde antique" de quatre manières: par l'analyse philologique des termes désignant la conversion en grec, latin et syriaque; par l'étude des sources littéraires chrétiennes à propos des chrétiens, afin de mettre en évidence les représentations antiques du problème de la définition du chrétien; par le recours aux sources non littéraires (épigraphie, papyrologie, archéologie funéraire, archéologie monumentale, iconographie) afin de contourner la question des représentations liées aux textes antiques; par l'enquête sur les sources littéraires chrétiennes à propos de la conversion des païens, qui permet de déconstruire des textes qui créaient une réalité autant qu'ils la décrivaient. Ainsi, en questionnant les évidences qui structurent nos pensées sur le passé, on peut espérer les distancier afin de mieux comprendre comment le monde antique est devenu chrétien.

10/2010

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Histoire de la philosophie

Soigner l'humain. Péchés et remèdes chez Montaigne et Descartes

A partir d'une étude comparatiste, ce livre analyse les pensées de Montaigne et de Descartes sur le péché, en suivant un schéma à la fois clinique et thérapeutique. Ainsi, se dévoile le début d'un processus de sécularisation au cours duquel la religion chrétienne est réintégrée dans une nouvelle pensée morale.

05/2022

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Descartes

Questions cartésiennes. Tome 3, Descartes sous le masque du cartésianisme

L'interprétation de la pensée cartésienne résulte toujours, comme il est normal, du rapport entre ses textes et les préjugés de ses lecteurs. En conséquence, certains points décisifs restent toujours voilés par les divers " cartésianismes " dont l'historiographie les a recouverts. On tente ici de dégager successivement le statut positif du scepticisme, le caractère non substantiel (ni réflexif) de l'ego cogito, la complexe élaboration de l'idée d'infini, le rôle de l'estime comme mode de la cogitation, etc. On compare aussi les thèses cartésiennes authentifiées avec leurs interprétations, critiques ou partisanes, chez ses interlocuteurs contemporains (Pascal, Hobbes, Spinoza, etc.). Il résulte de ces enquêtes que Descartes n'appartient pas moins à notre avenir qu'à notre passé.

05/2021

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Philosophie

Au rendez-vous des mortels. Le déni de la mort dans la culture moderne, de Descartes au transhumanisme

"Venez, s'époumone le transhumaniste dans son mégaphone médiatique, c'est moi qui vends le baume souverain, c'est moi qui détiens le fil d'Ariane conduisant hors du labyrinthe de la souffrance et de l'ennui ! Suivez-moi, je serai votre pasteur et vous serez mon troupeau, et nous cheminerons ensemble — moi dessus, vous dessous —vers les champs gras et frais de l'âge d'or ! " Peu lui importe que ceux qui ne suivent pas soient abandonnés à la désolation ou à la famine. Peu lui importe que ceux qui résistent soient soumis à la brutalité militaro-policière robotisée. Peu lui importe que, pour "gagner sur le temps", il faille sacrifier le troupeau des consentants à la division, la mécanisation et l'anomie. "Il n'en est que plus aisément malléable", ricane-t-il doucement. Peu lui importe que, pour pérenniser l'engraissage du Dieu-argent, il faille faire de la souffrance propre à la condition humaine l'instrument de la souffrance artificiellement reconduite. "C'est là un filon indéfiniment exploitable", se réjouit-il en clignant de l'oeil...

04/2019

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Descartes

L'autorité d'un canon philosophique. Le cas Descartes

Les Humanités sont entrées dans une période critique contestant l'autorité du petit nombre de modèles du passé ayant leur place dans un canon. Au nom de quoi ? De la reconnaissance de la diversité des expériences et de son rôle fondamental dans la formation des citoyens. Mais ce faisant, on oublie parfois que le canon est, aussi, le produit épuré et pacifié de différentes autres interprétations possibles d'une doctrine philosophique. Pour le montrer, Descartes est un cas paradigmatique. En déplaçant la question du droit d'entrée dans le canon, vers celle de la généalogie d'une carte d'identité, cet ouvrage explique le lien entre les premiers autoportraits polémiques de Descartes et sa postérité qui en fait un label : le "dualisme de Descartes"

08/2021

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Philosophie

L'un Descartes, Platon, Kant. Le séminaire 1983-1984

Tenu en 1983-1984, le séminaire intitulé L'Un, qui porte sur Descartes, Platon et Kant, est le premier du point de vue chronologique. Il inaugure le cycle de cinq années où Alain Badiou revisite toute l'histoire de la philosophie, de Parménide à Heidegger. Cette excursion passionnante aboutira à la rédaction de L'être et l'événement, dont l'Un est le concept majeur, avec la thèse radicale que, d'une certaine façon, le Sujet a toujours été l'objet de la philosophie.

03/2016

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Internat DCEM, ECN

ECNi Conférences Paris-Descartes 2017-2018. Volume 2

Dans ce livre, sont publiées les conférences de la Faculté de médecine Paris-Descartes de l'année universitaire 20172018 pour la préparation des ECNi. Conférence de Médecine d'urgence ; Conférence de Neuropédiatrie ; Conférence d'Ophtalmologie ; Conférence de Maladies infectieuses (1) ; Conférence de Réanimation médicale (1) ; Conférence d'Obstétrique et Néonatologie (1) ; Conférence d'Obstétrique et Néonatologie (2) ; Conférence de Réanimation médicale (2) , Conférence de Psychiatrie ; Conférence de Gynécologie ; Conférence d'Oncologie ; Conférence de Maladies infectieuses (2) ; Conférence de Chirurgie vasculaire ; Conférence d'Endocrinologie (2) ; Conférence d'Orthopédie ; Conférence de Rhumatologie ; Conférence de Néphrologie ; Conférence de Gériatrie ; Conférence de Chirurgie maxillo-faciale ; Conférence de Réanimation médicale (3) ; Conférence d'Urologie ; Conférence de Gynécologie obstétrique ; Conférence de Dermatologie ; Conférence de Cardiologie.

09/2019

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Philosophie

Etudes sur Descartes. L'histoire d'un esprit

Descartes conçoit le projet d'une science universelle, qui unifierait l'ensemble des êtres physiques et des êtres métaphysiques, comme Dieu et l'âme, sous la juridiction d'un seul type de rationalité, éprouvé avec succès dans les mathématiques. Dans cette recherche d'une " vraie et certaine science ", une question neuve se formule et exige réponse, celle de la nature du sujet, du moi qui connaît. L'œuvre de Descartes est donc tout entière aussi autobiographie : chaque lettre, chaque livre s'offre comme une méditation sur soi-même, que chacun est invité à refaire. Le récit autobiographique devient alors initiation à la philosophie. La modernité de Descartes réside pour partie dans cette inflexion littéraire d'un genre philosophique traditionnel, où le sujet se connaît à la fois comme intériorité et comme raison tournée vers la découverte de la vérité. En rassemblant les études qui suivent, on a voulu insister sur la promesse faite par Descartes d'écrire une histoire de son esprit et de conjuguer ainsi la métaphysique à la première personne.

10/2001

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Philosophie

Oeuvres complètes. Tome 4-1, Meditations métaphysiques ; Objections et réponses (I à VI)

Avec les Objections que l'auteur a sollicitées et des Réponses qu'il leur a faites, les Méditations métaphysiques constituent un livre à tous égards extraordinaire, qui connut quatre éditions différentes, en latin (1641 et 1642) puis en français (1647 et 1661). Outre les deux textes, latin et français, des six Méditations, l'ouvrage fournit pour la première fois l'intégralité des textes composant ces premières éditions - notamment les Cinquièmes et Septièmes Objections et Réponses et l'importante Lettre au père Dinet. Pour la première fois aussi, les écarts entre les textes latins et leurs versions françaises sont systématiquement relevés. Une riche annotation met en perspective les acquis des études classiques et ceux de la recherche française et internationale la plus récente.

10/2018