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JK Rowling Patronus

Extraits

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Ouvrages généraux

Notes philosophiques et citations

Voici des années que je m'intéresse de près à la psychologie et la philosophie d'ici et d'ailleurs. Je suis passionné d'arts martiaux et de stretching. Je pratique également le yoga et la méditation depuis des années. Dans ce livre, je partage mon expérience de vie et ce qui permet d'être en harmonie avec soi-même. Savoir vivre en paix avec soi-même permet de vivre en paix avec le monde...

03/2023

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Littérature française

La liberté guidant le peuple

"Je sais sur quel support je vais écrire et je sais pourquoi. Mon action réfléchie et raisonnée va choquer les esprits limités, c’est certain… Maintenant quoi écrire?? Comment prouver que je fais preuve de raison?? Comment rouvrir la boîte de pandore??". En décembre?2012, le Louvre-Lens ouvre ses portes. Quelques mois plus tard, Ingrid Kapola va marquer les esprits et taguer le tableau d’Eugène Delacroix. Mais pourquoi?? Découvrez son histoire.

04/2024

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Shonen/garçon

So I'm a Spider, So What ? Tome 10

Je me retrouve acculée après être tombée dans le piège de ma mère. A présent que je n'ai plus que ma tête, les jeux semblent faits pour moi. Mais c'était sans compter sur le retour de mes consciences parallèles ! Notre équipe de choc reformée, je passe à la vitesse supérieure et me sert de ma magie la plus puissante ! Est-ce que je vais enfin pouvoir me débarrasser de ma mère ? !

05/2022

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Littérature érotique et sentim

Don't say that I love you - Tome 1. Amour défendu

Tout semble les opposer... sauf cette attirance mutuelle qui les consumme... Dans la famille Parks, tout le monde participe à l'entreprise familiale : les hommes sont stylistes, les femmes couturières. N'ayant qu'une fille, Soni, Clay Parks forme Drew, un jeune styliste, pour prendre sa suite à la tête de l'entreprise. Il le considère comme un fils. Difficile dès lors pour Drew et Soni d'assumer cette folle attirance qu'ils ont l'un pour l'autre... Autre détail : Drew a le double de l'âge de Soni. Toutefois, ils ont décidé qu'il ne se passerait rien entre eux, donc en théorie, aucun problème en vue... En théorie. Venez découvrir cette idylle interdite, mais si attachante, dans ce monde impitoyable qu'est la mode. EXTRAIT Il prend mes mains et parle d'un ton un peu trop solennel à mon goût. - Il faut qu'on parle Soni... me dit-il sérieux, et je n'aime pas ça... Je suis vraiment attaché à toi. Je suis même, je pense, amoureux de toi, sincèrement Soni, surtout n'en doute pas. Je passe des moments uniques et magiques en ta compagnie. Mon désir le plus fou, c'est de partager encore et encore avec toi. Il s'arrête un instant, je le vois chercher ses mots pour me dire ce que je redoute d'entendre. Je voudrais juste me boucher les oreilles, comme une gosse qui refuserait la leçon de morale de ses parents, mais je sais que je n'ai pas le choix. Je dois me montrer adulte. A PROPOS DE L'AUTEUR Passionnée d'écriture et de lecture, Sophie Leseure vit dans le Sud avec ses enfants. Elle aime embellir un sujet triste ou noir à travers ses mots, emplissant toujours ses romans d'espoir et d'une part d'elle-même... mais sa trame reste toujours la romance !

09/2019

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Poésie

Cahiers de la Kolyma et autres poèmes

"De 1937 à 1956, je vécus dans les camps et en exil. Les conditions du grand Nord excluent la possibilité décrire et de conserver des récits et des poèmes - à supposer qu'on veuille le faire. Quatre ans durant je n'ai eu ni livres ni journaux. Ensuite il s'est trouvé que de temps en temps on pouvait écrire et garder des poèmes. Beaucoup de ce qui fut écrit - une centaine de poèmes - a disparu à jamais. Quelque chose cependant a été sauvegardé. En 1949, travaillant comme aide-médecin dans un camp, je me trouvai en "mission forestière" et pendant tout mon temps libre j'écrivais : sur les revers et les pages de garde de pharmacopées, sur des feuilles de papier d'emballage, sur des sachets. En 1951, je n'étais plus détenu mais je ne pus quitter la zone de la Kolyma. Je travaillai comme aide-médecin près de Oimiakon en amont de l'Indighirka ; il faisait très froid et j'écrivais jour et nuit dans des cahiers de fortune. En 1953, je quittai la Kolyma et m'établis dans la région de Kalinine près dune entreprise de tourbe. J'y travaillai deux ans et demi comme agent d'approvisionnement technique. Les exploitations de tourbe avec leurs saisonniers, les tourbiers, étaient des endroits où le paysan devenait ouvrier. Ce n'était pas sans intérêt mais je n'avais pas le temps. J'avais quarante-cinq ans, je cherchais à devancer le temps et j écrivais jour et nuit vers et récits. Je craignais chaque jour que mes forces ne m'abandonnent et de ne plus écrire une ligne et de ne pouvoir plus écrire tout ce que je voulais." Varlam Chalamov

11/2016

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Romans de terroir

La fille du causse

C'est avec enthousiasme et chargé de ses souvenirs d'enfance que Damien Ménestret avait décidé de reprendre la ferme de ses grands-parents perchée sur le causse. C'était sans compter les coups du sort, nombreux pour l'éleveur de chèvres novice qu'il est. Aujourd'hui, au désespoir, il regarde avec insistance la solide poutre du plafond de sa grange et la corde qu'il vient d'y installer. Plus que quelques minutes et tous ses problèmes seront réglés. Mais la vie a bien des tours dans son sac, notamment en la personne de Chloé Beyllet, charmante ingénieure agronome, qui va le convaincre que des solutions existent... Les coups de pied aux fesses que nous donne le destin sont parfois salutaires. Il se passe une main sur le visage, d'un geste las. Je ne sais que dire. Don Quichotte ferraillait contre des moulins, mais il avait au moins du solide face à lui. Nos paysans, eux se battent contre du vent, un vent qui souffle de Bruxelles et des bureaux parisiens. Ils n'ont aucune chance, Je jette un coup d'oeil à la comtoise. Il est presque 20 heures. Mon premier réflexe est de grimacer, de penser que je n'aurais pas fait grand-chose de ma soirée. Puis je revois la corde, l'escabeau, et je sens une douce chaleur monter en mol. J'ignore ce que me réserve l'avenir mals je sais à présent que mon existence a eu un sens : je n'oublierai jamais que je viens de sauver une vie. Mais j'ai peur qu'il n'ait envie de recommencer, plus tard Il faut absolument que je le rassure. - Je vous tiendrai au courant de mes démarches au fur et à mesure. En attendant... Il a un petit rire amer. - Je ne ferai pas l'imbécile. Promis juré !

01/2020

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Actualité et médias

Pourquoi ?

Pourquoi ai-je décidé, en 1973, sans appel, de quitter mon statut unique de " star internationale " à l'âge de 38 ans ? Pourquoi ai-je ainsi renoncé, du jour au lendemain, à toutes les sommes fabuleuses que l'on me proposait encore pour montrer mes fesses ou juste le bout de mon nez à l'écran ? Pourquoi me suis-je séparée, dépouillée de mes biens les plus précieux en les vendant aux enchères en 1987, au profit de ma Fondation, y compris ma célèbre maison " La Madrague " ? Pourquoi, alors que je représentais un " phénomène " qui fut analysé par Simone de Beauvoir, François Nourissler, Sagan, Cocteau, Duras et tant d'autres..., ai-je préféré, en pleine gloire, me mettre totalement au service de la protection animale ? Pourquoi depuis 33 ans, le seul but de ma vie est devenu l'obsession quotidienne d'apporter une évolution dans la désastreuse condition des animaux ? Pourquoi suis-je systématiquement traînée devant les tribunaux français lorsque je me révolte contre les terribles sacrifices de moutons lors de l'Aïd-el-Kébir ? Pourquoi suis-je boycottée par la presse française à chaque fois que je dénonce un problème grave alors qu'à l'étranger, je suis reconnue, encouragée, célébrée et récompensée pour mon action en faveur des animaux ? Pourquoi, depuis 20 ans cette année, ma Fondation est-elle la seule fierté de ma vie ? Tant de questions parmi d'autres encore, qui trouvent leurs réponses dans tous ces états d'âme que je décris au fil des pages, presque au jour le jour, avec la seule vérité de mon cœur. Ce sont plus de vingt années de combats, de détresse, d'espoirs, d'appels à l'aide. Ces hymnes à la vie et au respect sont autant de preuves irréfutables de mon indéfectible amour pour " Eux " !

09/2006

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Littérature française

Délires oniriques d’un Misogyne - Rêve ou réalité ?

Je suis mort ! Banal, car si nous comptions ceux qui sont morts depuis l'origine de l'homme, les possibilités qu'ils se révèlent plus nombreux que les vivants, demeurent importants, n'est-ce pas ? Enfin, oublions ! Je vous propose que nous les comptabilisions ! Vous vous souvenez du film " "American Beauty" , lorsqu'au début du récit, Lester Burnham survole son quartier. Voilà, je lui ressemble, mais je survole la planète, parfois, je reprends mon souffle, si j'ose m'exprimer ainsi, et je pose un pied, sur les plus hautes les montagnes, le Mont-Blanc, l'Himalaya, avec une préférence pour le mont Kilimandjaro. De mon vivant, j'ai prétendu réaliser ce que mes proches étaient incapables d'accomplir, maintenant, j'aperçois la vie avec plus de recul. Je vous laisse juges, tiens ! Je m'appelle Ricardo Dipatalo, pardon, je m'appelais Ricardo Dipatalo, un nom qui amusait mes camarades à l'école. Dix pâtes à l'eau ! Trop facile ! Je suis né en Argentine d'où, à l'âge de cinq ans, j'ai immigré vers la France. Mes parents espéraient une vie meilleure. Ils ont sacrifié le bonheur et la liberté de la pampa pour les houillères françaises, mon père comme mineur et ma mère comme femme de ménage à la direction centrale des Charbonnages. Je me garde de critiquer leurs choix, car, ils existent de nombreux parents qui, pour l'illusion du mieux, ont sacrifié leur bien-être naturel. Depuis que j'habite le royaume des morts, jouer le donneur de leçons de moral me semble facile, mais les évidences s'imposent. Par exemple, vous pouvez croiser ceux qui leurs vies entières désireront paraître ce qu'ils négligent de devenir. Vous avez arrêté de me lire ?

12/2017

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Littérature francophone

L'éléphant qui avait du pollen sur les pattes arrière

"... Lecteur, je te dois un mot d'explication : tel un détective, j'effectue des recherches sur ma prime enfance. Tellement de cachotteries que cela en est devenu intenable. Je souffre de ne pas savoir ce qui s'est réellement passé. Personne ne m'a jamais donné la raison de mon placement alors que je n'avais même pas deux ans. Et quant à mon état, je n'ai eu droit qu'à un festival d'argumentations pimentées de jargon médical, pour être sûr que je n'y comprenne rien. Qu'en est-il ? Je ne supporte plus d'avouer mon ignorance aux gens que je rencontre. Pour éviter de m'emberlificoter dans de fastidieuses explications, je réponds "accident de voiture à dix ans" . Et je suis toujours surpris de voir l'effet de ma réponse sur mon interlocuteur. Ma décision, je l'ai prise en survolant les Alpes. La crise que ma mère avait piquée lorsque nous étions allés la voir à Barona, près de Milan, ma soeur et moi, résonne toujours dans mes oreilles. C'était le pont de l'Ascension, en 2001 [... ] Je veux simplement savoir ce qui s'est passé à ma naissance, avant qu'il ne soit trop tard. ". . Gilles, brillant ingénieur du son, qui a travaillé avec les plus grands artistes, ne lâchera pas le morceau. Il frappera à toutes les portes, jusqu'à pousser celles des Archives générales du Royaume, en espérant y dénicher la clé de l'énigme. Emouvant roman où la plume fine et sensible de l'auteur conduit le lecteur dans l'intimité d'une relation difficile, celle d'une mère que la vie n'a pas ménagée, et de son fils, d'un optimisme qui déplace les montagnes.

04/2023

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Littérature française

1914-1918 : le journal du soldat Jean Dupin

"Tard dans la nuit, j'entends les Boches qui ramassent les blessés. De temps à autre, un coup sec. Je suppose qu'ils finissent les plus atteints. Je les entends s'approcher et je reçois un coup de pied dans les reins. Je ne bouge pas. Ils font de même avec les deux autres cadavres. C'était sans doute le moyen de savoir si il y avait encore des vivants. Ouf ! Je suis pris de panique. N'entendant plus rien, je pars sur mes genoux et mes coudes vers nos lignes, je ne veux pas être pris ; toujours des coups de fusil, venant surtout du côté français, tant pis je continue, je m'empêtre dans les fils barbelés. On me crie : "qui va là ?", je réponds "blessé français deuxième coloniale" ; "avance !" me crie-t-on. Je ne peux pas, les brancardiers viennent me chercher pour m'emmener au poste de secours". A l'occasion du centenaire du début du premier conflit mondial, Thierry Dupin verse aux dossiers de l'histoire le journal de son grand-père Jean, jeune soldat qui connut le front et les hauts et tristement célèbres lieux de cette guerre. Au fil des entrées et des pages se révèlent ainsi à nous, sans atermoiement et presque brutalement, le quotidien des soldats, la réalité des tranchées, la vermine et la boue, les incessants déplacements et les périls, l'horreur du gaz et les exécutions pour l'exemple... Immersion éloquente, in vivo et in media res, dans quelque cinquante mois de mobilisation, ce document nous confronte à cet indicible qu'est la guerre qui fait de vous, ainsi que l'exprimait J Dupin, "un mort en sursis". De même qu'il nous laisse entendre une voix de Poilu inédite.

03/2014

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Littérature française

Le temps long

Quand je ferme les yeux, je vois Maman. Toujours elle. Personne d'autre qu'elle. Tata dit qu'elle est maigre et moche. Moi je trouve pas. Elle a les cheveux courts, un peu bouclés. Et sa bouche est si jolie quand elle sourit ! Elle a les yeux rieurs. Etincelants, bleu ciel. C'est ce que j'aime le plus. Ils me plaisent encore plus que les rayons du soleil. (...) Moi, j'ai pas besoin d'argent. Pas besoin d'en gagner. C'est d'elle que j'ai besoin. De personne d'autre, seulement d'elle. J'ai demandé à Mamie pourquoi c'est si difficile de comprendre ça. A chaque fois que je vais chez Irina, sa maman est à la maison ; elle me prend dans ses bras, me caresse, me berce. Mais pas comme Maman, parce que personne sait me prendre dans ses bras comme elle, si doucement, que je remarque à peine qu'elle me serre contre elle, me caresse la tête et me console en me chuchotant à l'oreille que je suis son petit ange. (...) A la station d'autobus, je tiens la main à Maman, je regarde les arbres du parc, et je me dis : comme ils sont bien, comme ça, parce que eux, ils doivent aller nulle part. Alors que moi, je dois de nouveau quitter Maman, être loin de celle que j'aime tellement, et je peux même pas lui dire comme ça me fait mal de la quitter, même si elle part que pour quelques mois. Si je pleure, elle me répète toujours que c'est pour moi qu'elle part, que c'est pour moi qu'elle travaille, pour me rendre la vie meilleure, c'est ce qu'elle dit, mais moi de toute façon j'arrive pas à comprendre tout ça, ça sert à rien qu'elle essaye de me persuader que c'est pour moi qu'elle part, pour moi, que c'est rien que pour moi qu'elle fait tout ça.

05/2023

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Littérature érotique et sentim

La marche de la honte Tome 2 : Hemy

Je m'appelle Hemy Knox et je suis un putain de briseur de coeurs... J'ai blessé la personne qui compte le plus pour moi dans la vie, la seule femme que j'ai un jour aimée. J'ai laissé les drogues, l'alcool et la vie de débauche prendre le dessus, me consumer. Je l'avais là où je la voulais, et je lui ai arraché le coeur. Depuis lors, j'ai passé d'innombrables soirées à avoir des relations sexuelles dénuées de sens avec une multitude de personnes, les laissant vouloir et supplier pour plus sans aucun regret. Certains peuvent même m'appeler le diable, sans âme. Ils regardent et jugent, mais il y a une chose qu'ils ne savent pas ; personne ne le sait. Je veux plus que cette vie de strip-tease et de sexe à droite et à gauche, cette fête sans fin. Je veux l'amour et tout ce qui l'accompagne, cette sensation d'extase qui ne finit jamais. Le problème est... je le veux seulement avec elle. Onyx. Elle refuse d'être à moi... à nouveau. Elle est intelligente et c'est un putain d'inconvénient pour moi, protégeant son coeur tout en arrachant le mien de ma poitrine musclée. Je ne peux pas lui en vouloir. J'ai toujours été un imbécile en ce qui concerne les émotions d'une femme, en particulier les siennes. Elle veut me voir souffrir autant que je l'ai fait souffrir, me regarder me dessécher et mourir à ses pieds. Elle veut m'écraser jusqu'à ce que je ne respire plus et je la laisserai faire, parce que cela fait beaucoup moins mal que de ne pas l'avoir comme mienne. Rien ne m'arrêtera pour la faire mienne à nouveau. La douleur ne fait que me pousser plus fort, nourrissant ma fureur et me donnant une raison de vivre... Elle.

10/2018

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Littérature érotique et sentim

Le médaillon

Je m'appelle Lisa et je suis journaliste. Véritable working girl, je sais m'affirmer, mais je cumule les déceptions en matière de relations sentimentales, la dernière en date étant celle avec Ludo, un collègue, qui aura prouvé que les relations éclairs, ça existe ! Aussitôt vu, aussitôt testé, aussitôt quitté ! Mais ma vie a réellement changé, pour ne pas dire bouleversée, avec Mathis. Ma rencontre avec lui m'a même fait connaître un tout nouveau monde, dans lequel, jamais, je n'aurais cru pouvoir mettre les pieds et qui, pourtant, a changé toute ma vie, toute ma vision de cet univers. C'est ainsi que, par une rencontre inopportune, comme il en existe tant, je suis devenue sa soumise. Moi, la femme accomplie, autonome, discrète, mais teigneuse, je venais de me découvrir une nouvelle passion. Tout était parfait, cette relation était intense, complice et me comblait au plus haut point. Toutefois, un soir, alors que je rentrais seule d'un restaurant où j'avais passé un moment particulier avec lui, tout a basculé. J'étais en train de traverser, l'air était bon et frais, je me sentais si bien que je ne vis pas cette voiture qui me fonçait dessus...Mais le pire dans tout ça, c'est qu'à mon réveil, on me diagnostiqua une amnésie partielle. Deux ans...deux ans de ma vie partie en fumée en quelques instants à peine, deux ans d'apprentissage dans un monde qui n'était plus le mien désormais. Mes rêves me dictaient une attitude de soumission, mais mon regard d'amnésique n'en comprenait plus le fonctionnement. Je me retrouvais là, sans savoir qui j'étais, à mi-chemin entre deux mondes, entre deux sentiments, entre deux déraisons. J'avais perdu Mathis alors que je sentais qu'il y avait eu quelque chose de fort entre nous. La seule chose qu'il me restait à l'esprit était ces petits yeux noirs et sournois au volant de la voiture, qui désormais hanteraient mes rêves nocturnes de soumise insoumise...

06/2018

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Livres 3 ans et +

Petite abeille

Oh ! Une Abeille ! Je la chasse, je me cache, elle se cache aussi.

04/2019

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Littérature française

Les Heures blanches

Après tout, qui suis-je pour te dire quoi faire ? Qui suis-je ?

11/2015

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Poésie

Paris poésie

Paris est mon coeur. Paris est ma ville. Paris est la cité de mes rêves. Paris est le lieu de ma liberté. Ses poètes me rendent fou. Tous ceux qui l'ont aimé. Tous ceux qui le traversent en flâneurs, en rêveurs, ... en poètes. Moi aussi je le traverse en poète. J'imite Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, surtout Apollinaire, mon principal point de repère. Je vois Paris comme s'il était mon camarade. Je m'y promène aussi avec Victor Hugo, Francis Carco, Paul Eluard, Louis Aragon. Mon amour pour Paris n'est jamais un amour malheureux. C'est toujours un amour dans la joie, dans la vie, sous le ciel changeant, en suivant les arabesques des nuages et l'eau attirante de la Seine. L'histoire de la ville me passionne. Je la lis partout, dans les palais, les monuments, les petites et grands habitations, la Seine, les ponts qui m'enchantent, les arbres qui dansent, les jardins, les platebandes. Chaque pierre est comme un diamant. Je me promène à toutes les heures. Je dois fleurer, aimer, m'inonder, boire l'air de Paris, m'enivrer de ses odeurs, les bonnes et les mauvaises. Partout un vent de jeunesse, d'énergie, de foi, de dialogue. Le trio liberté-égalité-fraternité n'est pas rhétorique. C'est moi, c'est Paris, c'est le rêve. La poésie de Paris est mon élixir et mon baume. A Paris je guéris, chaque fois que j'y arrive. Oh le ciel de Paris ! Oh la Seine ! Oh ses bibliothèques, mes lieux ! Oh les couchers de soleil ! Oh les aubes qui prennent mon coeur. A chaque balade, c'est un recueillement, un rêve, un voyage, un départ à l'infini. Le Pont Mirabeau, le Pont des Arts, le Pont Neuf et le Pont Saint-Michel m'indiquent le chemin ailé. Je les peins, je les aime, je les traverse en avant et en arrière, je m'envole par leurs arcades. Paris est pour moi une chanson, une symphonie, une musique, une femme que j'aime. Je le regarde comme un paradis, j'ausculte sa voix, je le lis comme un livre de sagesse.

11/2022

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Littérature érotique et sentim

Le gardien Tome 4 : Séisme

Pourquoi ne puis-je pas avoir une vie paisible et normale comme la plupart des gens ? Bon, d'accord, j'ai quatre éléments qui ont élu domicile dans ma tête et me parlent, ce qui est assez éloigné de la norme, j'en conviens. Maintenant, je dois apprendre à les maîtriser si je veux accompagner un démon aux pouvoirs super cools dans une dimension de psychopathes qui retiennent prisonnier mon démon de petit ami, je dois convaincre un loup très protecteur de ne pas me suivre dans cette mission suicide et je dois apprendre à être le plus cool des beaux-pères. La routine quoi.

04/2020

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Littérature française

La P'tite !

Le grand amour de la vie est l'objet de ces histoires et de ces poèmes. Ne pouvant soudoyer la société par cette beauté, je n'ai fait, pendant cinquante-deux ans, que d'aimer les personnes que je côtoyais lorsque je quittais les repères de ma chambre. Il se trouve que ces personnes furent pratiquement toujours des femmes. Il convient de comprendre que je ne voulais que les séduire malgré la monstruosité de ma chair et de mon esprit. Je pense à celles qui ont dû m'accepter. Si cela n'a pas été le cas, l'objet de ces récréations littéraires est de combler ce manque !

04/2020

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Science-fiction

Contes hybrides

J'ai passé en revue chaque hypothèse vraisemblable au moins deux ou trois fois. Je suis certain de ce que j'ai vu, mais je ne sais pas quel sens y accorder. Dans ma jeunesse, quand j'ai commencé à lire, dans ce flou bienheureux où se mélange la construction du monde de l'enfant et son acceptation primaire de toutes les histoires, je croyais sincèrement aux créatures fantastiques, aux enchantements. Adolescent, je n'avais évidemment rien rencontré de tel, mais je me suis mis à penser que j'étais un des rares à croire encore et que l'absence de preuves n'invalidait pas la magie.

09/2019

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Manga

Journal de ma solitude

Chère Kabi Nagata. C'est Kabi Nagata. Comment vas-tu ? Après Solitude d'un autre genre, livre dont j'illustrais ma vie autour de ma rencontre avec une prostituée lesbienne, je commence la tenue de ce journal que je t'adresse afin de poursuivre ma démarche introspective. Car depuis que mon livre est paru, il faut vivre ma vie "d'après" : les effets sur ma famille de ma... mis à nu et de mon coming out, l'amitié... Sans oublier l'amour, maintenant que j'ai affirmé ma sexualité. Aujourd'hui encore, je cherche qui je suis et comment je peux être moi-même.

07/2020

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Littérature française (poches)

La note sensible

Je n'ai jamais connu de vous qu'un univers sonore, où dominaient Mozart et votre violoncelle. Vous jouiez. Les voix chantaient. J'écrivais. Votre musique est dans ce manuscrit. A vous entendre, j'ai eu peur de vous aimer. Je vous ai fui. J'ai écrit ce qui aurait pu être notre histoire. Ne me demandez pas pourquoi. Je ne vous demande pas pourquoi vous avez joué pour moi du violoncelle, chaque soir, pendant des mois. Quand vous aurez terminé votre lecture, je serai nue devant vous, et pourtant moins vulnérable qu'au soir du 15 octobre. Je n'aurai plus rien à dissimuler, pas même de l'amour.

05/2004

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Littérature érotique et sentim

Coeur bleu coeur rouge. Le coeur peut aimer mais il peut aussi tuer

Je m'appelle Diane, et je vais vous livrer quelques pages de mon journal intime. Ayant grandi sans amour, ou du moins avec un amour assez particulier, j'ai beaucoup souffert de ce manque. Etant jeune, je ne m'en rendais pas compte jusqu'à ma rencontre avec cet homme. Il était doux, gentil, charmant et agréable. Il ne me brusquait pas et ne me forçait à rien. Il prenait soin de moi et était devenu indispensable à ma vie. J'étais droguée de lui. Il m'a dit. Tu seras mienne, je lui ai dit. Je serai tienne. Tout semblait parfait jusqu'à ce fameux jour.

11/2017

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Littérature française

Marilyn, naissance année zéro

Primo, je t'interdis de venir me squatter quand je me rassemble en Marilyn, quand je me marilyne pour toi, pour nous, et que j'offre au monde la poupée de chair capiteuse, le mirage de la bombe peroxydée baisable au finish. Secundo, je t'implore de me repeupler à l'heure où Marilyn s'abîme dans la terreur, à l'heure où ma blondeur vaporeuse, cotonneuse échoue à contenir le chant de la nuit, le requiem de la MM girl. Quand le démon s'éveille la nuit, love-toi en mon corps, cale ton poing dans ma bouche qui hurle le nom inconnu que je cherche en chaque mâle...

09/2014

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Littérature française

Polaire

Le temps est splendide, encore estival, les grands arbres, les pelouses, tout est d'un vert éclatant, vif, lumineux, euphorisant. Je marche, je la cherche autour du bâtiment, je ne la vois pas. Je croise des patients qui ont un air vraiment bizarre, qui errent seuls et me regardent avec hébétude, curiosité, agressivité peut-être. Certains sont silencieux, d'autres marmonnent tout bas, ils tournent en rond, ils marchent sans but, ils me semblent terriblement malheureux, nos regards se croisent, ils devinent que je ne suis pas des leurs. Une ou deux fois j'ai peur en les voyant qui avancent lentement dans ma direction. Aucune trace d'elle.

01/2013

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12 ans et +

La lumière dans les combles

"J'espère bien que vous allez m'emmener à la Gestapo. Alors je pourrai leur dire ce que je vais vous dire à vous. Que vous êtes des lâches. Et des idiots. Bien sûr que je veux cacher des juifs ! Je le reconnais. C'est la vérité. Je veux les cacher et les aider jusqu'à ce que quelqu'un décide d'en finir avec cette guerre." Stefania a fait le choix de résister. Quitte à payer le prix fort... L'histoire vraie de Stefania Podgórska : une aventure inoubliable qui place l'héroïsme au coeur d'une des pages les plus noires du XXe siècle.

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Lecture 9-12 ans

Marie, fiancée de Louis XV. Journal d'une future reine de France (1724-1725)

Partage le journal de Marie Leszczynska, et vis avec elle le destin fascinant d'une future reine de France. "2 avril 1725. Anna, ma soeur, le roi Louis XV a demandé ma main. Bientôt, je serai reine de France. C'est un tel honneur pour notre famille, je n'ose à peine y croire. Et moi qui écrivais ici il y a quelques jours que jamais je ne serais choisie ! Comment est-ce possible ? Pourquoi moi, et non la princesse de Russie ? Pourquoi la fille du roi détrôné de Pologne et pas celle du prince de Galles ? Je l'ignore, pourtant, il n'y a aucun doute. Je ne rêve pas."

09/2017

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Lecture 6-9 ans

L'enfant

- Pardon, mais t'es quoi, toi ? - Comment ça, je suis quoi ? - Ben oui, t'es quoi comme animal ? J'ai pensé : "Houlala, je dois être dans la campagne profonde dont m'a parlé maman, pauvre mouton, il n'a jamais vu d'enfant de sa vie ! " - Je ne suis pas un animal, j'ai dit, je suis Léonard. - C'est comme un léopard ? m'a demandé le mouton. - Non, c'est mon prénom. Toi, par exemple, tu t'appelles comment ? - Mouton. - Je vois. C'est alors que le mouton m'a reniflé et m'a posé une drôle de question : - Et tu sers à quoi ?

09/2011

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Poches Littérature internation

La conscience de Zeno

"Pendant de longues années, autant que dura notre jeunesse, nous nous tînmes sur la plus grande réserve et ne fîmes jamais allusion au passé. L'autre jour, elle me demanda à brûle-pourpoint, et son visage encadré de cheveux gris se colorait d'une rougeur juvénile : - Pourquoi m'avez-vous quittée ? Pris de court, je n'eus pas le temps de fabriquer un mensonge. Aussi fus-je sincère : - Je ne sais plus... j'ignore tant de choses de ma propre vie. - Moi, je regrette, dit-elle. (Et déjà je m'inclinais à cette promesse de compliment.) Il me semble que vous devenez très drôle en vieillissant".

09/2014

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Littérature française

Poète et paysan

" Ca a commencé comme une plaisanterie. On a beaucoup ri, on s'est embrassés, on s'est caressés, c'était doux, c'était chaud, j'étais bien, je n'avais jamais été aussi bien de ma vie. Je ne suis redescendu du ciel que le lendemain matin, par l'escalier, titubant de bonheur. Naïf, je pensais que, désormais, j'allais être heureux toujours. Avant d'avoir repris mes esprits, j'avais décidé de reprendre la ferme de son père. Quand on est amoureux, on devient un peu fou, et comme je l'étais déjà un peu avant, j'étais capable de tout. Son père aurait été poissonnier, je reprenais la poissonnerie ".

06/2010

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Documentaires jeunesse

Les danseurs

Les Danseurs est une déclinaison graphique dédiée au mouvement, au rythme, au croisement des lignes, des masses et des couleurs. Walid Taher a tenté de donner une forme visuelle au mouvement, dans la filiation du travail des calligraphes arabes. La narration, quant à elle, cherche une réponse à la question "Qu'est-ce que la danse ? Qui danse ? Pourquoi est-ce que l'on danse". Je danse parce que je voyage... Je danse même si je suis pieds et points liés... Je danse comme j'aime respirer, écrit l'auteur et illustrateur, poursuivant ainsi sa réflexion artistique et ludique autour de ce qui anime notre existence.

10/2018