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C. C. Hunter

Extraits

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Loisirs et jeux

Le livre de coloriage de Trotro

Avec Trotro et ses copains Lili, Nana, Boubou, Nounours, le coloriage, c'est trop rigolo !

05/2013

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Loisirs et jeux

Le livre-jeux de Trotro

Jouer avec Trotro, c'est trop rigolo. Tout plein de jeux, de coloriages, d'histoires.

04/2015

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Livres 3 ans et +

Le trésor d'Aldo

Un trésor, c'est chouette ! On y tient, on le cajole, mais crée des ennuis !

04/2017

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Economie

Croissance zéro, comment éviter le chaos ?

Absence de croissance : qu'est ce que c'est ? Et quelles conséquences pour notre société ?

01/2015

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Littérature étrangère

Tous ces silences entre nous

Le jour s'est levé mais dans le cœur de Bhima c'est le crépuscule.

02/2007

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Livres 3 ans et +

Les grands-parents

Mine de rien, ce qui se passe avec nos grands-parents, c'est très important.

11/2008

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Livres 3 ans et +

Vingt-six lapins fêtent Noël

"Quel désordre ! " soupire Madame Garenne. Demain c'est Noël et rien n'est encore prêt...

12/1992

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Livres 3 ans et +

Sam le champion

Sam est le meilleur à la course automobile ! C'est aussi le meilleur des amis.

06/2018

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BD jeunesse

L'émouvantail Tome 1

"Que suis-je, si je ne fais peur à personne ? " "En effet, c'est effrayant..."

01/2019

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Tout-carton

BABYMONI - J'AI PAUMÉ NOUNOURS !

Moi, c'est Babymoni. J'ai super envie de faire dodo... mais Nounours a disparu !

10/2022

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Aventure

Wanted Lucky Luke

"Au jeu de l'amour, c'est chacune pour soi. La première qui l'embrasse."

04/2021

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Tout-carton

Poupoule

Voici Poupoule. C'est une poule très cool. Chaque jour, elle pond un oeuf multicolore.

03/2022

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Flammarion - Père Castor

Simone au chocolat

Aujourd'hui, c'est la chasse aux oeufs. Et Simone, le chocolat, elle adore ça...

03/2023

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Autres éditeurs (A à E)

Ma maman est une super-héroïne

Une super-héroïne chasse les chagrins, fait disparaître les colères. C'est une maman, assurément !

05/2023

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Flammarion - Père Castor

Pas la salopette bleue !

C'est l'été. Il fait chaud dans le jardin. On s'habille quand même ?

03/2024

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Littérature française

Journal d'Hirondelle

C'est une histoire d'amour dont les épisodes ont été mélangés par un fou.

08/2006

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Religion

L'Eglise, corps du Christ. Une perspective catholique

" L'Eglise, écrit magnifiquement Bossuet, c'est Jésus-Christ répandu et communiqué, c'est Jésus-Christ tout entier, c'est Jésus-Christ homme parfait, Jésus-Christ dans sa plénitude. Ecrire sur l'Église, c'est donc parler du Corps du Christ dans l'histoire. L'Eglise est non seulement le Corps, mais aussi l'Epouse du Christ, nom qui nous fait voir l'unité par amour et volonté ; et le nom de " corps " nous porte à entendre l'unité comme naturelle écrit encore Bossuet. C'est pourquoi un grand thomiste, Sertillanges, cité par l'auteur, n'a pas hésité à écrire que Dieu se manifeste par priorité dans la société issue du Christ... en ménageant la priorité organique du social sur l'individuel, de l'universel sur le particulier. Patrick de Laubier reprend et développe dans l'avant-dernier chapitre, une théologie de l'histoire qu'il a déjà esquissée ailleurs. Elle est fondée sur l'analogie entre le déroulement de la vie du Christ et, d'une part, l'histoire de l'Eglise et, d'autre part, le déroulement de la liturgie eucharistique aussi bien dans le rite romain que dans le rite byzantin. Cette approche débouche sur une perspective eschatologique dans la filiation de saint Bonaventure et de Nicolas de Cues. Cet ouvrage est écrit pour des catholiques soucieux de fidélité dans un temps où les médias faisant écho aux courants dominants, notamment en Europe, sont plus souvent hostiles qu'objectifs à l'égard de l'Eglise, ce qui a fini par intimider les catholiques eux-mêmes. " Camillo, Cardinal Ruini Vicaire pour le diocèse de Rome Président de la conférence des évêques d'Italie

06/2005

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Histoire de France

Dictionnaire de Gaulle

C 'est une évidence : de Gaulle n'a pas fini de s'abandonner à ce que Roger Nimier appelait " la publicité des siècles ". Ce Dictionnaire de Gaulle est une entreprise unique par son ambition (plus de 1 000 entrées), son caractère encyclopédique, et libre de tout tabou. Trois cents spécialistes de l'histoire, du droit et de la littérature présentent ici, pour la première fois, toutes les facettes d'un homme parmi les plus importants de notre histoire. Si le héros de la France libre est devenu un personnage inépuisable, c'est sans doute parce qu'il eut l'audace d'écrire sa vie sur l'étoffe des songes, de la littérature et de la guerre, autant d'abîmes tournés vers l'inconnu. C'est en rêvant que de Gaulle est entré en relation avec les Français pour les mener vers les plus hautes marches d'eux-mêmes. Sa poésie n'était pas seulement un langage. C'était aussi une attitude : silence, chagrins cachés, gloire des royaumes intérieurs, tourments d'orgueil et de solitude. De Gaulle fut aussi l'homme de pouvoir que l'on sait. Toutes ces vies parallèles, la formation et l'action du Général sont ici évoquées : ses débuts, son entrée dans la Seconde Guerre mondiale, le départ pour Londres, la Libération, l'exil à Colombey, la Ve République, ses relations avec ses contemporains, etc. Ce Dictionnaire est un outil indispensable pour tous ceux qui s'intéressent à de Gaulle. On y entend aussi le Général parler des Beatles, de sa famille ou du prix Goncourt de 1957, et c'est un autre visage du grand homme qui apparaît, terriblement humain. Daniel Rondeau.

11/2006

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Policiers

Fatale vengeance

« C'est pas vrai !!! Les salopards, dans mon dos. Ils m'ont trahi et en plus, si j'ai bien compris leurs propos, ils m'ont éliminé. J'y crois pas et je suis impuissant, je ne peux rien faire. C'est pas possible !!! Tiens, de nouveaux chuchotements... Mes filles. Elles sont là, mes deux adorables filles, elles pleurent. Bien sûr, elles me croient mort elles aussi. Merde, je vais réussir à bouger quelque chose, une main, les lèvres, ouvrir les yeux. Rien, rien ne se passe, c'est vrai que je sens que tout fonctionne au ralenti, je ne sens même pas les battements de mon cœur. Je vais finir par admettre que je suis vraiment mort. Et si c'était vrai ? C'est peut-être comme ça que ça se passe, personne n'a pu témoigner, personne n'est revenu de la situation dans laquelle je me trouve. » Et pourtant, malgré une situation pour le moins critique, Vincent reviendra d'entre les morts... avec une ferme idée en tête : celle de faire payer sa femme adultère et celui qui se présentait comme son ami. Toutefois, pour satisfaisante qu'elle soit, la vengeance possède aussi un revers à sa médaille : celle de la culpabilité, qu'expérimentera Vincent à plusieurs niveaux, au cours de ce roman noir mené tambour battant par un écrivain qui concilie intrigue délicieusement machiavélique et profondeur psychologique. Né en 1940 au sein d'une famille modeste, Lucien Le Thuaut a exercé différentes activités professionnelles. Tourneur sur métaux, ouvrier du bâtiment, responsable en imprimerie, dessinateur, commerçant. Aujourd'hui retraité, il se consacre à sa passion pour l'écriture.

09/2014

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Philosophie

L'unicité de l'Être

L'unicité de l'être s'inscrit dans le prolongement de l'être et l'unité. En effet, par rapport à l'être et l'unité, l'unicité semble constituer l'une des premières valeurs de l'être. C'est la richesse de l'être qui transparaît dans l'unicité et c'est la pluralité qui se lit à travers l'unicité. Si la pluralité est distinction, la distinction est identité. Il faut reconnaître que le rapport entre l'être et l'unité est la condition nécessaire de la connaissance, la voie ouverte vers la vérité. Clef de la connaissance, l'ouverture à l'être est aussi la matrice de toute expérience du réel. L'unicité est la totalité du réel. Elle affirme avec force la vérité et la pluralité du réel. C'est dire que l'unicité est l'unité de l'être et de la pluralité, de l'intelligibilité et de la totalité, de l'ordre et de l'harmonie. L'unicité est donc à la fois l'unité et la vérité de l'être. Elle est la quintessence de l'existence. Le réel, c'est la relation ; la relation, c'est le principe de la totalité et de la connaissance. L'unicité, de fait, est mitoyenne du réel et de l'être, de l'identité et de l'altérité, de la pluralité et de la diversité. Si l'être est la source de l'existence, l'unicité s'unit à l'existant, à la vie, à l'existence consciente. L'unicité de l'être renvoie donc, comme à sa plénitude, à l'unicité de l'homme, et plus fondamentalement encore, à l'unicité de Dieu.

02/2015

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Connaissance de soi

Petit traité de la transmission. Apprendre aux autres, des autres et de soi-même

Parents, enseignants, managers, consultants ou coachs. Accompagner un enfant, un élève, un étudiant, un collaborateur, ou un proche tout simplement, c'est lui transmettre un peu de ce que nous sommes, c'est lui donner un peu de ce que nous avons reçu. Transmettre n'est pas dire ou enseigner, transmettre est bien plus que cela. Avant d'être un processus intellectuel, la transmission est un processus affectif et émotionnel où les maîtres mots sont implication, empathie et bienveillance. - Implication : Benjamin Franklin nous le rappelle si bien "je te dis tu oublies, je t'enseigne tu te souviens, je t'implique tu apprends" . - Empathie : transmettre c'est vouloir servir, certainement pas maîtriser, c'est aller chercher la personne là où elle est, et telle qu'elle est. - Bienveillance : porter un regard positif inconditionnel, c'est souhaiter le meilleur à ceux que l'on accompagne afin qu'ils puissent donner le meilleur d'eux-mêmes. Organisé autour de 5 thématiques, l'ambition de cet ouvrage est de partir de la réalité du lecteur, lui offrir la possibilité de se poser nombre de questions, et enfin l'inviter et l'accompagner à trouver par lui-même les réponses. 1 - Développer la confiance au service de la performance2 - Cultiver son arme secrète, avec envie, avec passion3 - Influencer le comportement d'un individu4 - Apprendre de ceux à qui l'on a transmis5 - S'engager pour produire la meilleure version de soi-mêmeDamien LEBAS enseigne le management à l'ESSEC, l'ENA et AMOS. Par ailleurs, il accompagne des entreprises du secteur public ou privé dans le cadre de missions de conduite du changement avec une vision résolument humaniste et positive.

02/2021

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Témoins

J'aime la maison que tu habites. Des années au service de la liturgie

Tout le monde est sensible à la liturgie. Elle nous touche tous et révèle notre attachement aux signes et aux symboles. Nous en avons besoin lors des grands moments de notre vie. Mgr Robert Le Gall présente une conception de la liturgie, fondée dans l'Ecriture et dans la Tradition, qui en fait la source vivante de toute spiritualité. Au moment où paraît le nouveau Missel romain en français, ce livre intéressera tous ceux qui veulent s'informer sur l'histoire des traductions liturgiques. La liturgie, c'est l'oeuvre de Dieu, le Père, de qui vient tout don parfait (cf. Jc 1, 16-17), en ce sens que c'est Dieu qui agit d'abord : "C'est Dieu qui nous a aimés le premier" , écrit saint Jean dans sa première lettre (4, 19). C'est aussi l'oeuvre de Dieu en ce sens second que c'est notre action privilégiée à nous tous : celle que nous faisons ensemble pour lui, pour l'honorer, l'implorer, le remercier. Ainsi, la liturgie est Opus Dei, "oeuvre de Dieu" : l'oeuvre que Dieu fait pour notre salut, liée à l'oeuvre que nous exerçons en sa direction. Elle est une oeuvre croisée qui implique une rencontre dans un mystère d'alliance : rencontre rendue possible dans une mesure inouïe par le mystère du Dieu fait homme, le Christ Jésus, Fils de Dieu et Fils de l'homme. Depuis une cinquantaine d'années, la vie liturgique est au coeur des engagements de Monseigneur Robert Le Gall, moine bénédictin, Père Abbé de Kergonan, Evêque de Mende, puis Archevêque de Toulouse depuis 15 ans.

02/2022

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Histoire des idées politiques

Clémenceau. Dans le chaudron des passions républicaines

Son nom continue à résonner dans nos mémoires et à orner les murs de nos villes. C'est qu'il a incarné la France aux heures dramatiques de la Grande Guerre. Mais il y a plus. Si Clemenceau figure dans la galerie des "hommes ont fait la France", c'est qu'il s'est trouvé au carrefour de tous les grands événements de son temps : la débâcle de 1870, la Commune, le moment Boulanger, l'affaire Dreyfus, la marche vers la guerre, puis la victoire et ses lendemains désenchantés. Ce médecin de Montmartre devenu journaliste incisif, ce redoutable orateur mué en homme d'Etat, ce duelliste impénitent, ce séducteur insatiable, cet esprit universel qui aura tant vécu réussit à se trouver toujours au coeur de la vie nationale. Un Tigre aux mille vies. Ce livre le suit dans sa longue quête du pouvoir et d'un idéal républicain. Il en restitue les tribulations et les métamorphoses. Ce qui rend sans pareil ce destin, c'est une aptitude à tirer de ses contradictions-mêmes une force qui ne cessera de le servir. Ce Vendéen tient la Révolution pour un "bloc" sans en épouser les excès. La République pour lui, c'est d'abord liberté et la justice, mais aussi l'ordre et, si besoin, l'impitoyable répression du désordre. Cet ancien rebelle, ce dreyfusard intransigeant réussit à soumettre les militaires au pouvoir civil et à réconcilier la France de Jeanne d'Arc avec celle de Valmy. Lui qui a personnifié la Revanche amènera néanmoins la France à composer avec les contraintes de la paix. Clemenceau, c'est unique, sait parler à tous les Français.

10/2021

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Littérature française

Comment rater sa vie. Pratiquement

Si toutes les histoires ont tendance à avoir un début et une fin, celle-ci vous accrochera tout au long d’une histoire on ne peut plus banale. On raconte ici l’histoire d’un enfant, qui en grandissant fait face à tous les aléas de la vie. De la manière la plus commune possible. Il est même possible que vous vous y retrouviez. C’est un enfant qui cherche avant tout à répondre à une question : Qu’y a-t-il après la mort ? C’est à travers cette question que l’enfant vivra, grandira. C’est le thème qui sera parcouru à travers ses épreuves du quotidien. Il passera par toutes les étapes?: les jeux à l’enfance, les premières fois à l’adolescence, les frayeurs de l’âge adulte. Tous ces souvenirs, l’ont formé, forgé, modelé. Il continuera de grandir même après. Ce qui le caractérisait le plus, c’était son obsession pour la mort. Avec le temps, il finit par avoir la réponse. Ce qui avait autrefois été une question, un sujet de conversation, un thème, fini par devenir le résultat d’un vécu. L’enfant, qui a bien grandi depuis, l’a compris. Ce résultat, il l’avait trouvé déjà. Il aimait les sciences exactes. Il avait toujours un avis clair sur chaque chose. Il avait aussi un profond amour pour Dieu. C’est une contradiction qui ne peut être comprise qu’en étant soi-même le produit de celle-ci. En cherchant la réponse, cet enfant avait oublié l’essentiel. La réponse se trouvait déjà dans la question. Finalement n’est-elle pas la mort elle-même ?

02/2021

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Suspense romantique

Luca

Je suis parti parce que je n'avais pas le choix... C'est ce que je me tue à me dire, mais cela ne m'aide pas à dormir la nuit... ni à oublier les mots qu'il ne cessait de répéter le jour où nous nous sommes rencontrés : "Je veux juste rentrer chez moi". C'était il y a huit longues années et je ne l'avais connu que sous le nom de Billy, un adolescent terrifié de quatorze ans que j'avais dû laisser derrière moi pour sauver quelqu'un d'autre. Mais son nom n'était pas Billy et il n'est plus un enfant effrayé perdu dans un monde où il n'était rien de plus qu'une possession. Il s'appelle Remy, et si je ne l'ai pas reconnu tout de suite, il se souvient de moi, c'est certain. Il serait plus facile de lui tourner le dos une seconde fois, d'autant plus que c'est exactement ce qu'il souhaite, mais il est hors de question que je laisse partir ce jeune homme tourmenté. Du moins, pas sans avoir essayé d'arranger les choses. Le problème, c'est que même si je peux me racheter d'être parti, je ne suis pas certain d'être capable de m'éloigner de lui à nouveau. Je ne sais pas ce que cela signifie, mais je sais que cela m'effraie au plus haut point. Parce que dans mon monde, tout se paie à un prix élevé... un prix que je ne peux pas me permettre de payer.

12/2023

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Psychologie, psychanalyse

Les jours de Pépin

Mon Pépin, la vie avec toi est une épopée baroque. Larguée au coeur d'un monde extravagant et primitif, j'ai le sentiment d'être selon l'humeur du jour fervent ethnologue ou chevalier hagard. Tu me fais penser à l'île folle de La Tempête de Shakespeare. Tu es ma joie et mon tourment, ma malédiction et ma grâce. Tu es ce mystère qui inconstamment me mène. Tu es mon fils. Ce drôle de surnom de Pépin m'est venu comme une évidence pour parler de toi : je trouve qu'il te représente bien. Un pépin, c'est minuscule, ça n'a l'air de rien, et c'est même plutôt risible à première vue. Et pourtant, à y bien regarder, c'est une image riche qui invite à la rêverie et à l'imagination. Laissons-là doucement germer en nous. Dans ce récit du quotidien qui n'ignore pas les épisodes difficiles, ni le va-et-vient incessant entre joie et peine, amour et peur, paix et alarmes, Marie Ollier a choisi de partager "ce qui est bon et fait du bien, parce que c'est la seule chose qui vaille" . Ce livre, à l'image de l'enfant autiste qui aime s'élancer avec ses balles encore et toujours, est une invitation à rebondir, en révélant les vraies richesses de la vie. Illustratrice et traductrice, Marie Ollier a animé un groupe de parole pendant plusieurs années. C'est avec La page de Pépin, créée sur Facebook, qu'elle maintient aujourd'hui le lien avec différents groupes de réflexion, mêlant professionnels et familles, auxquels elle participe.

04/2015

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Théâtre

Théâtre. Tome 1

Ce volume contient vingt comédies et un grand nombre de répliques du genre de celles-ci : "Madame votre tante, après m'avoir examiné, m'a dit que je pouvais le présenter comme domestique mâle" (Un garçon de chez Véry). "Ah ! je ne veux plus tuer de charbonnières, c'est par trop salissant " (L'Affaire de la rue de Lourcine). "Pardonnez à mon émotion... j'ai un soulier qui me blesse..." ; "Ce soir, peut-être, je n'aurai pas même une chaise à offrir à ma femme pour reposer sa tête..." (Un chapeau de paille d'Italie). "Je suis domestique, c'est vrai, mais je n'oublierai jamais que je suis sorti du peuple ! " (Rue de l'Homme-Armé, n°8 bis). "Je veux dan... dan... danser. Toi ! Allons donc ! tu ne peux pas danser... tu es bègue ! " (L'avocat d'un grec). "Vous me devez tout, tout ! (Avec noblesse.) Je ne l'oublierai jamais ! " ; Pingley ? C'est mon cousin ! Vous le connaissez ? - beaucoup (A part.) Je ne l'ai jamais vu ! (...) C'est un bien grand malheur qu'il est son infirmité ! (...) Sourd à quarante-sept ans ! Tiens ! Il est sourd à notre correspondant ? C'est donc pour cela qu'il ne répond jamais à nos lettres ! " (Le Voyage de Monsieur Perrichon). Chez Labiche, l'intrigue, rebondissante, sécrète sans discontinuer d'énormes mensonges et des justifications ineptes. Les personnages, pris à la gorge, improvisent avec conviction de délicieuses absurdités. Bien entendu, pas un instant l'auteur ne songe à leur donner une portée métaphysique ! Nous avons connu d'autres sortes de "théâtre de l'absurde". Celui-là est drôle.

05/1991

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Histoire internationale

La croisade des camelots. Ou les aventures financières et bien peu recommandables de Georges Bush et de ses compagnons

Et si le meilleur argument de George Bush ou de Dick Cheney, de Donald Rumsfeld ou de Paul Wolfowitz, la somnolente immunité dont semblent bénéficier leurs actes les plus grossiers, tenait à ce fait, justement ; qu'ils sont " trop gros pour être vrais " ? Attaquer l'Irak pour donner des contrats à une poignée de sociétés amies, c'est trop gros pour être vrai. Hystériser le danger terroriste afin de créer un marché sécuritaire au profit de compagnies qui vous rémunèrent en contrepartie, c'est trop gros pour être vrai. Faire une loi sur l'école au nom de l'écolier, qui fait tenir sur sa chère tête un empilement d'intérêts financiers, c'est trop gros pour être vrai. Faire briller ses yeux en évoquant le sort de personnes âgées obligées de travailler pour payer leurs médicaments, et confier leur sécurité sociale à des intermédiaires où se régénèrent, en augmentant le prix des médicaments, certains de ses vieillissants associés, c'est trop gros pour être vrai. Donald Rumsfeld, George Bush, Dick Cheney, des hommes d'affaires ? Trop gros, simpliste, impensable, anti-américain. Pourtant, un séjour assez long dans leurs entreprises et leurs conseils d'administration, une analyse de leur rhétorique, un suivi de leurs participations ne peuvent empêcher d'arriver à cette conclusion : c'est bien l'homme d'affaires, la routine et l'esprit propres à l'homme d'affaires qui semblent se mouvoir à l'intérieur de ces gouvernementaux, et gouverner leur position. Et nous serions nous-mêmes hommes d'affaires, adeptes de la simplification, pour les laisser étendre leur empire avec autant de facilité.

10/2004

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Critique littéraire

Notre besoin de Rimbaud

Ce que je crois qu'en tout cas je puis dire de vrai, à propos de Rimbaud, c'est qu'aucun autre que lui ne m'aura requis en poésie par autant d'intensité, d'immédiateté, de proximité dans sa voix. Voix qui elle-même demande, voix qui affirme et bien sûr se trompe, mais se reprend, vit de se reprendre, portée, secouée par les deux grandes forces qui font que l'on est au monde [...] : d'une part l'espérance, qui veut croire possible que l'existence soit un partage et donc que la vie ait un sens, d'autre part la lucidité qui déconstruit les illusions successives en quoi l'espérance s'enlise [...]. Espérance et lucidité, c'est le titre que j'aurais pu donner à ce livre [...]. Mais j'en ai préféré un autre parce que m'alarme de plus en plus un certain déni que je vois qui se répand aujourd'hui de l'intuition proprement poétique, à cause d'une lucidité mal fondée dont la conséquence est un renoncement désastreux à l'espérance. Et que s'inquiéter ainsi, c'est savoir à quel point Rimbaud, que l'heure présente lit peu, ou mal, est et va rester nécessaire. Lire un grand poète, ce n'est pas avoir à décider qu'il est grand [...], c'est lui demander de nous aider. C'est attendre de sa radicalité qu'elle nous guide, tant soit peu, vers le sérieux dont on est peut-être capable. Je ressens ces approches de Rimbaud, commencées il y a maintenant cinquante ans ou presque, comme surtout une sorte de journal de mon affection pour ce poète.

03/2009

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Littérature érotique et sentim

Les indécises

Elle... Tel était le seul nom de l'héroïne du premier roman de Martine Roffinella : une femme... soumise au désir dévorant d'une très jeune fille. C'est elle, ou son double, que l'on retrouve dans ces pages, désirée toujours par une plus jeune qu'elle - l'Autre - mais mûrie. Et indécise toujours à l'heure d'affirmer, en marge des liens visibles qui l'attachent à l'Homme, la singularité d'un amour qui n'ose se décliner au grand jour. " Je voudrais être un homme, dit l'Autre, pour avoir une chance, une unique chance d'être aimée de vous. Je voudrais être un homme. Aujourd'hui, demain, toujours en vos draps. Et entrer en vous avec mon membre dur. Me retirer, m'enfoncer encore, vous posséder, vous convaincre, vous laminer. Empoigner vos cheveux, broyer votre corps. Passer, repasser, épuiser vos régions... Je voudrais être un homme et vous attacher pour l'éternité à mon ombre. Alors c'est vous qui seriez réduite à mendier, à supplier : toute au désir d'être à moi. " L'auteur revient donc sur le lieu de son plus beau crime. " Quel privilège, écrit-elle, que de pouvoir sans cesse enfoncer la lame du couteau dans la même plaie. C'est comme gratter une croûte : il ne faut pas le faire, mais c'est si bon, et meilleur encore quand l'on sait que c'est interdit. " Elle n'écrit, on l'aura compris, que pour nous entraîner du côté de ce qu'il ne faut pas faire. L'époque étant ce qu'elle est, on l'en remerciera deux fois plutôt qu'une.

08/2002