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La Place du conducteur

Extraits

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Littérature française (poches)

Place du bonheur

" Au bout d'une heure de guet, il le repéra. Ce serait celui-là. Il s'offrit un premier plaisir : détailler sa proie avant que le jeune homme s'aperçoive de son manège. Il était plus près des vingt ans que des trente, estima André, mais il était très difficile de donner un âge précis à ces hommes sur la touche. Les jeunes chômeurs se camouflaient dans une grisaille défensive. Cependant, André savait par expérience que, pour peu qu'on leur portât intérêt, ils retrouvaient vite une deuxième adolescence d'autant plus impétueuse qu'ils craignaient d'en perdre le souvenir. Dégagés de la course à la réussite, délivrés d'un combat qu'ils savaient inutile, les chômeurs s'alanguissaient peu à peu dans une disponibilité dont ils finissaient par apprécier la coupable liberté. La seule servitude était le retour à la maison, d'autant plus redouté qu'ils en retardaient l'échéance. "

10/2002

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Littérature française

Place du Château

Ce roman relate l'histoire d'une famille vivant au XVIe siècle, à l'époque de la Renaissance. Elle s'imbrique avec des événements historiques ayant eu lieu entre 1500 et 1560. La famille Blondel vit dans le Château d'Eu, en Haute-Normandie. Cette histoire fait s'y côtoyer les familles De Guise, le grand connétable Anne de Montmorency, les seigneurs d'Argouze et de Matignon, puis le roi François 1er et son fils Henri II. Cette saga se poursuit dans l'ouvrage Rue des Remparts.

12/2018

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Sociologie urbaine

Place du Peuple

La place Pierre-Roux est située dans le 5e arrondissement de Marseille. 50 personnes y habitent, 13 établissements y tiennent vitrine. Dont deux bars-restaurant et le Foyer du Peuple qui en a longtemps été l'âme. Sous ses quatre platanes et huit micocouliers, la vie s'y déroule, marquée par quelques fêtes ou quelques débats. De cette sorte de village urbain ne reste aucune trace écriteA dans les milliers de pages écrites sur Marseille : la place est trop ordinaire pour intéresser les historiens, les sociologues ou même les acteurs politiques municipaux. Pourtant ces habitants la connaissent bien, y ont mille souvenirs culturels, politiques, personnels. Ce sont leur mémoire et leurs analyses que Michel Samson a recueillis afin de comprendre, en scrutant minutieusement ce lieu, la façon dont vit et évolue une ville comme Marseille. Michel Samson, journaliste, est l'auteur de nombreux films et livres sur Marseille, dont Gouverner Marseille (avec Milchel Péraldi, La découverte, 2005).

04/2022

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Théâtre

Place

"Je suis sortie du métro à toute vitesse et je me suis mise à regarder tout ce qui était lisible dans la rue, plus rien, je ne comprenais plus rien. Je voyais les lettres mais je ne savais plus les relier, j'ai arrêté des gens dans la rue et je leur ai demandé s'ils arrivaient à lire, peut être que tout le monde s'était mis à dérailler comme ça, d'un coup, peut être que je rêvais mais non, je ne rêvais pas." Yasmine ne sait plus lire. Un enfant aux allures de thérapeute l'invite d retraverser son histoire afin de comprendre ce qui lui arrive. On suit son arrivée d Paris et son chemin jusqu'à l'âge adulte. Un aller-retour incessant entre une cellule familiale coincée dans un espace-temps figé, Bagdad, la guerre, les souvenirs... et une société française méconnue qu'elle doit découvrir seule. Dans ces deux mondes antagonistes, Yasmine est contrainte de se dédoubler. Le lecteur accompagne la jeune femme dans les moments marquants de son existence, témoin de sa dualité, des rouages de l'assimilation, d'un combat pour trouver sa place.

07/2019

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Littérature française

La place de l'autre

Il y a huit ans, Elise, une jeune avocate, a brusquement disparu à Cancale, en Bretagne. Personne n'a plus jamais eu de ses nouvelles. Jusqu'au jour où elle fait transmettre un courrier à un homme, un certain Marceau. En disparaissant, Elise a voulu protéger un secret : elle était la femme de l'ombre, la maîtresse, l'amour illégitime. La femme que l'on juge malgré la sincérité de ses sentiments, malgré sa solitude et son douloureux effacement. Marceau est l'homme qui, finalement, n'a pas su faire de choix et a rendu deux femmes malheureuses. En entreprenant un voyage pour retrouver Elise, Marceau va tenter de réparer les erreurs du passé. Entre souvenirs lumineux et secrets enfouis, une question revient de façon lancinante : peut-on pardonner et tout recommencer ?

06/2020

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Histoire de France

La Place forte de Verdun

La place forte de Verdun est unique en France, car de toutes les fortifications du système Séré de Rivières apparu à la fin XIXe siècle, elle est la seule à avoir subi l'épreuve des combats lors de la Grande Guerre.

09/2018

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Littérature française

La place de l'Etoile

En exergue de cet étonnant récit, une histoire juive : " Au mois de juin 1942, un officier allemand s'avance vers un jeune homme et lui dit : " Pardon, monsieur, où se trouve la place de l'Etoile ? " Le jeune homme désigne le côté gauche de sa poitrine. " Voici, annoncé en quelques lignes, ce qui anime le roman : l'inguérissable blessure raciale. Le narrateur, Rapphaël Schlemilovitch, est un héros hallucinatoire. A travers lui, en trajets délirants, mille existences qui pourraient être les siennes passent et repassent dans une émouvante fantasmagorie. Mille identités contradictoires le soumettent au mouvement de la folie verbale où le juif est tantôt roi, tantôt martyr et où la tragédie la plus douloureuse se dissimule sous une énorme et pudique bouffonnerie. Ainsi voyons-nous défiler des personnages réels ou fictifs qui appartiennent à la mythologie personnelle de l'auteur : Maurice Sachs et Otto Abetz, Lévy-Vendôme et le docteur Louis-Ferdinand Bardamu, Brasillach et Drieu la Rochelle, Marcel Proust et les tueurs de la Gestapo française, le capitaine Dreyfus et les amiraux pétainistes, Freud, Rebecca, Hitler, Eva Braun et tant d'autres, comparables à des figures de carrousels tournant follement dans l'espace et le temps. Mais la place de l'Etoile, le livre refermé, s'inscrit au centre exact de la " capitale de la douleur ".

04/1968

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Sociologie

La place de l'Autre

La fabrication de l'Autre est un stratagème bien connu pour souder une communauté nationale ou pour d'autres fins politiques. Les Anglo-Saxons en ont même fait un verbe (Othering). L'Autre peut être ethnique, confessionnel, ou sexuel... Les onze contributions de ce volume s'intéressent à ce rapport à l'Autre, principalement (mais non pas uniquement) dans l'aire anglophone. C'est le juif au Québec, aux Etats-Unis ou en Angleterre, c'est l'Irlandais à Londres, ou le catholique irlandais en Ecosse... Le mariage interracial d'un futur monarque avec une roturière anglaise dans l'actuel Botswana ou l'expédition de missionnaires français en Afrique du Sud font aussi l'objet de cet ouvrage, qui couvre trois continents pour essayer de mieux comprendre les enjeux actuels de l'altérité.

10/2010

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Littérature française (poches)

Les enfants de la Place

Salvador de Bahia. Dans le vieux quartier souffle un vent mauvais. Depuis l'arrivée de Gringa, rien ne va plus. La reine de la Place, Maria Aparecida, a disparu. Tonio le borgne s'est arrêté de chanter, Zé et Manuel ont les yeux emplis de fièvre, Marna Lourdes la voyante ne prédit rien de bon. Les notes funestes du violon maudit resurgissent. La Place se meurt : un à un, ses enfants abandonnent la douce Bahia pour s'exiler vers les mégapoles du Sud, à la poursuite de leur destin. Les enfants de la Place et sa complainte douce-amère entraînent le lecteur au cœur du Brésil contemporain. Son rythme résonne contre les murs poreux d'une favela de Rio, vibre le long des rues animées de Sao Paulo, avant de s'infiltrer dans les cellules de Canju, prison de Bahia. La mélodie se languit du violon, et la Place attend ses enfants.

06/2005

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Supports pédagogiques

A la bonne place

A la bonne place propose 12 défis ludiques et autocorrectifs à relever seul pour développer l'observation, la logique et la représentation dans l'espace. L'enfant doit construire un train et organiser les wagons qui le composent avec les animaux transportés à partir d'indices. Une fois le train réalisé, il retourne la fiche et compare pour s'autocorriger. Les 12 défis, illustrés sur les fiches, sont numérotés par ordre de difficulté croissante. COMPETENCES DEVELOPPEES Développer le sens de l'observation et l'esprit logique. Se repérer dans l'espace. Décoder des consignes, prendre des indices.

02/2020

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Littérature érotique et sentim

La place est prise

Pour Emily, il n'y a pas d'amour heureux. Elle n'y croit pas. Il y a des histoires sans lendemain, des histoires qui se terminent en mariage et des histoires qu'il vaut mieux interrompre avant la fin. Pour éviter de les gâcher et les rendre éternelles. A trente-quatre ans, elle se consacre tout entière à sa carrière dans un prestigieux cabinet de conseil new-yorkais. La veille de Thanksgiving, elle quitte Philip qui rêve de l'épouser. Il ne le sait pas, mais c'est avec Samuel qu'Emily frôle les étoiles. Au coeur de Samuel que son coeur reste collé. Même si quand ils se retrouvent, ce n'est que pour quelques heures... Samuel vit à l'autre bout de la planète. Médecin neurologue, il enseigne à la faculté de psychologie où la jeune Margot vient de décrocher son diplôme. Pour elle non plus, il n'y a pas d'amour heureux. Seulement des gagnants et des perdants. Et Margot ne perd jamais. La beauté incendiaire, le père millionnaire, le CV irréprochable, Margot a tout. Margot veut tout. Surtout Samuel. Quant à Philip, émietté depuis sa rupture avec Emily, il ne veut qu'une chose... se venger. La place est prise raconte un combat. Celui d'un amour fou. Jalousé. Menacé. Le combat de deux coeurs qui palpitent l'un pour l'autre, entre Manhattan et Singapour, envers et contre tout. Le combat d'une âme égarée, fissurée, programmée pour l'auto-destruction, qui s'efforce de renverser son destin tout tracé.

03/2020

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Littérature française

La place aux autres

Une ville, avec des caméras de surveillance à tous les coins de rue. Tristan, ancien élu fatigué de politique, décide de partir à la recherche du Présent. Le Présent se trouve peut-être dans les mots de ces réfugiés climatiques avec qui il partage sa maison, sous la protection du Sous-Commandant, un chat pas très domestique. Ou bien dans cet hypermarché où une Inconnue règle l'unique achat de Tristan : une boîte de petits pois. Comment retrouver l'Inconnue ? Combien y a-t-il de petits pois dans la boîte ? Qui est Argus, l'internaute qui voit tout et sait tout ? Les questions se multiplient dans une ville en effervescence. D'étranges tribus urbaines s'agitent et la révolte gronde dans un univers " où nos existences mêmes sont en garde à vue, où tout ce que nous vivrons pourra être retenu contre nous ". Comme courir tout nu sur la place aux Autres.

05/2011

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XVIIIe siècle

Scandale sur la Place

16?février 1751 Tandis qu'à Nancy, tous les corps de métiers s'affairent aux travaux de la nouvelle place souhaitée par Stanislas Leszczynski, François-Antoine Alliot prépare en grande pompe le mariage de sa fille au château de Lunéville. — Marie-Louise, vous allez épouser Charles-François Henry de Pont, avocat et conseiller à la Cour souveraine. Le mariage n'est point une question de sentiments, c'est un sacrement destiné à donner des enfants à l'Eglise. Pour votre père, c'est enrichir son patrimoine. — Non, père ! Je ne me marierai pas ! Vous m'entendez bien ! Jamais ! Vous m'utilisez comme une monnaie d'échange. Quand l'histoire se passe au XVIIIe?siècle, que la promise est conduite à l'autel en larmes et qu'elle aime un autre homme, il ne peut s'agir d'un banal roman d'amour. Nous sommes en présence d'un mariage forcé, arrangé sur deux fortunes, dans la parfaite illustration de la tyrannie paternelle et du pouvoir, à une époque où seul l'intérêt des familles prévalait. Le mariage non consommé, attisé par la conduite d'une jeune femme au caractère affirmé, va défrayer la chronique mondaine. Ainsi entrons-nous dans le cercle raffiné du roi Stanislas, de mesdames de Boufflers et de Graffigny et du marquis de Beauvau-Craon, à la Cour de Lunéville, au siècle des Lumières, pour vivre les destinées de personnages hors du commun.

12/2021

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Policiers

La place des morts

La violence a marqué l'enfance de Catherine Monsigny. Déterminée à tourner le dos à un passé qui a failli la détruire, la jeune avocate pénaliste se retrouve brutalement confrontée à un gamin en fuite qui prétend être son demi-frère, accusé d'un meurtre dont il se dit innocent. Cette affaire ramène Catherine dans la Creuse de son enfance où le mystère familial est resté enfoui. Aujourd'hui comme hier, elle doit affronter la perversité d'un ennemi intime et sans visage. Quelle place devra-t-elle faire aux morts pour enfin vivre sa vie ? Virtuose du double jeu et du suspense, Sylvie Granotier révèle la part d'ombre et de fragilité de personnages faussement ordinaires, dans ce suspense psychologique diabolique, tendu à l'extrême.

01/2013

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Littérature française

La place des invisibles

Anne Hirsch et Maria Nowak ont voulu raconter le combat des exclus pour reconquérir une vie normale, et expliquer les obstacles qu'ils auront à surmonter. Il y a Rosa, vingt-cinq ans, ancienne d'HEC, qui par son association de microcrédit, " la banque des pauvres ", veut financer les projets des plus démunis; Mme Bichette, couturière jour et nuit, qui rêve de monter une boutique de sousvêtements féminins; Djamila qui se bat pour ouvrir le premier cabinet d'avocat de la cité... et bien d'autres encore. Sur la Place des invisibles, Rosa affronte l'administration, la rigidité du droit, les extrémistes qui s'opposent au travail des femmes... la peur, la solitude. Et de cette lutte peut naître l'espoir, puis le succès. Anne Hirsch a su transformer l'histoire de ces " invisibles " en un roman d'aventures, vif, drôle, sensible. Les commentaires de Maria Nowak ponctuent les chapitres et apportent un éclairage plus général, à la manière du Professeur Henri Laborit dans Mon oncle d'Amérique.

01/2004

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Beaux arts

Sotteville, la place publique

Sotteville n'est pas une ville comme les autres... En deux siècles, la ville de Sotteville-lès-Rouen est passée d'un village agricole de quelques milliers d'âmes au xixe siècle à une ville de 30 000 habitants. Des fumées de l'usine Bertel à l'arrivée des ateliers de chemins de fer, un certain état d'esprit populaire, ouvrier, cheminot, solidaire, flotte sur la cité. Deuxième ville socialiste de France en 1898, Sotteville s'anime, bouge, respire au son des marchés, des crissements des locomotives, des parades costumées ou des matchs de football endiablés. On se retrouve le dimanche à l'Eldorado, salle de 800 places, située place Voltaire, ou dans l'un des six cinémas de la ville. Mais la Seconde Guerre mondiale a brutalement stoppé cette ferveur populaire. 70% de la ville a été pulvérisée par les bombardements alliés dont ceux du 19 ? avril 1944 visant les dépôts SNCF. La gloire de la cité cheminote est aussi la cause de son désastre. Dès 1945, Marcel Lods est nommé architecte de la reconstruction par le Ministère de la Reconstruction. Le Corbusier à Marseille, Perret au ? Havre et Lods à Sotteville. II s'agit de faire vite pour reloger une population sinistrée, vivant dans des baraquements insalubres. Il imagine et conçoit une véritable transformation de la ville, la préparant pour les 50 prochaines années. Disciple de la charte d'Athènes, il déplace le centre-ville, reloge les sinistrés, réserve des espaces verts, aménage une zone industrielle... La tâche est immense et l'ampleur à l'échelle d'une ville. SotteviIle se relève, lentement. Une réappropriation des lieux que les acteurs politiques et culturels ont fait renaître à partir des années quatre-vingt grâce à une volonté, une ambition, une énergie commune retrouvée dans l'esprit du "? faire ensemble ? ". Viva Cité émerge et devient le fleuron culturel de la ville pour un rayonnement national voire international. Les activités industrielles qui ont marqué l'identité de la ville sont réorientées vers de nouvelles destinations culturelles. Le Trianon devient salle de musiques actuelles, les ateliers Buddicom abritent aujourd'hui le Centre National des Arts de la Rue et de l'Espace Public.

06/2019

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Psychologie, psychanalyse

La place des mères

Le titre de ce livre rend d'abord hommage aux Mères de la place de Mai, ces femmes qui commencèrent, au cœur de Buenos Aires, au temps sombre de la dictature militaire, leur ronde autour des disparus : elles se firent connaître dans le monde entier, elles devinrent un emblème du courage, un symbole de l'" apparition en vie ". Elles incarnèrent cette force que les mythes, les religions et les poètes ont appelée Les Mères. Ce " motif " parcourt l'ouvrage. Le lecteur le reconnaîtra chez les Furies, devenues les Euménides qui hantent le bosquet où se repose Œdipe, chez Célestine, symbole de la passion qui réunit et perd les amants. Les Mères se masquent derrière les Heures, les Fileuses, qui rythment les saisons et trament le destin. Elles n'ont pas une place précise : elles sont les langues mères, qui enfantent les mots ; elles sont la métaphore de ce qui naît, de ce qui vient au jour, de ce qui apparaît. Pour rester proche de l'étrangeté de l'expérience de l'analyse, il n'est pas mauvais de s'exiler dans ce royaume des Mères, des Inconnues, qui hantent l'inquiétude de la littérature. L'analyse, c'est aussi une forme d'exil. Comme les Mères de la place de Mai, la pensée de la psychanalyse, vouée au disparu, exige que le disparu ait un corps. De cette exigence naît parfois pour l'analyste le besoin d'écrire.

01/1999

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Traduction

La Place des traducteurs

A rebours d'une représentation souvent associée à un idéal de transparence et d'humilité, la place des traducteurs a pris des formes multiples et mouvantes, dont il semble nécessaire, par-delà toute dimension polémique, de reconstruire l'histoire pour tenter d'en déceler jusqu'aux traces les plus ténues.

04/2022

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Français

La Place. Suivi de La Honte

L'ouvrage fournit toutes les clés pour analyser les deux récits biographiques d'Annie Ernaux. - Le résumé et les repères pour la lecture sont suivis de l'étude des problématiques essentielles. - Ce Profil d'une oeuvre comprend également quatre lectures analytiques : - trois extraits de La Place ; - un extrait de La Honte.

08/2005

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Policiers

Héroïne - Chroniques de la place carrée – 2. CHRONIQUES DE LA PLACE CARRÉE – 2

LAURA est infirmière. TONIO est petit dealer. Laura est amoureuse. Tonio saisit une belle opportunité. Laura aimerait tout quitter, mais Marion est en couple. Tonio en a marre de jouer les seconds rôles. Et il y a tous les autres, qui s'impatientent, qui s'entraident, qui magouillent, qui cherchent une issue. Thierry n'a plus rien pour payer les couches de la petite. Zacharie est prêt à livrer n'importe quoi à n'importe qui. Idriss se demande quand l'école va rouvrir. Bolleg cogne sur tout ce qui bouge. Le Manouche replonge dans son passé, et son chien ignore pourquoi il porte un nom serbe. UN AN APRES les événements de Mathilde ne dit rien, les habitants de la place carrée sont frappés par la pandémie et voient leur vie chavirée par le confinement. Entre pression croissante à l'hôpital de Monzelle et règlements de comptes chez les dealers, leurs destins vont s'entremêler dans le tourbillon d'une histoire addictive et impitoyable.

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Musique, danse

Sposalizio (conducteur A4). orchestration de Max d’Ollone

Vers 1939, Max d'Ollone compose une orchestration de Sposalizio, oeuvre pour piano solo issue du deuxième volume des Années de pèlerinage de Franz Liszt (1858). Il s'agit de la seule orchestration du compositeur qui nous soit parvenue. L'oeuvre originale est inspirée par le tableau Lo Sposalizio de Raphaël qui dépeint le mariage de la Vierge. Elle est marquée par une introduction pentato­nique, quasi impressionniste, qui structure la pièce au fil de ses retours ; ce motif clôture ainsi les grandes progressions, comme aux mesures 27-29, 66-67 et 106-108.
D'Ollone s'efforce de rendre la subtilité de l'écriture pianistique de Liszt tout en exploitant le potentiel de l'orchestre. Au travail sur les nuances, il ajoute un jeu sur les timbres que le piano ne permettait pas. Cet aspect est le plus perceptible lors des répétitions de motifs, comme celle du thème principal à la fin de la pièce, aux ­mesures 120-128 : il est partagé entre les flûtes, clarinettes, violons et violoncelles là où la version originale se limitait à des transpositions à différentes octaves.
D'Ollone prend également quelques libertés motivées par la volonté manifeste d'exploiter les possibilités de l'orchestre : on notera ainsi les triolets de violons des mesures 19-26 qui remplacent les arpèges de l'original, ou le retour du thème aux cors mesures 10-14, absent de la version de Liszt. Les nuances sont elles-mêmes amplifiées par l'emploi de plus ou moins de pupitres d'instruments, notamment lors de la section centrale semblable à une marche nuptiale qui se déploie sur un crescendo durant lequel le caractère va de l'intimiste au grandiose (mesures 77-115).
L'orchestration s'inscrit dans la grande tradition romantique, conférant à l'oeuvre un ton presque anachronique dans le paysage musical des années 1930. Tout comme Liszt parvenait en son temps à condenser des oeuvres orchestrales en des pièces pianistiques cohé­rentes, Max d'Ollone réalise ici l'exercice inverse en étoffant l'oeuvre originale et en explorant les possibilités offertes par l'orchestre.
A un moment où la modernité bat son plein, il montre son attachement au romantisme en proposant une orchestration toute en sensibilité d'une oeuvre de l'un des maîtres de la période. Joffrey Godart, sous la direction scientifique de Pierre Pascal, (département de Musique et Musicologie de l'UFR ALL - Metz de l'Université de Lorraine)

09/2020

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Musique, danse

Sposalizio (conducteur A3). orchestration de Max d’Ollone

Vers 1939, Max d'Ollone compose une orchestration de Sposalizio, oeuvre pour piano solo issue du deuxième volume des Années de pèlerinage de Franz Liszt (1858). Il s'agit de la seule orchestration du compositeur qui nous soit parvenue. L'oeuvre originale est inspirée par le tableau Lo Sposalizio de Raphaël qui dépeint le mariage de la Vierge. Elle est marquée par une introduction pentato­nique, quasi impressionniste, qui structure la pièce au fil de ses retours ; ce motif clôture ainsi les grandes progressions, comme aux mesures 27-29, 66-67 et 106-108. D'Ollone s'efforce de rendre la subtilité de l'écriture pianistique de Liszt tout en exploitant le potentiel de l'orchestre. Au travail sur les nuances, il ajoute un jeu sur les timbres que le piano ne permettait pas. Cet aspect est le plus perceptible lors des répétitions de motifs, comme celle du thème principal à la fin de la pièce, aux ­mesures 120-128 : il est partagé entre les flûtes, clarinettes, violons et violoncelles là où la version originale se limitait à des transpositions à différentes octaves. D'Ollone prend également quelques libertés motivées par la volonté manifeste d'exploiter les possibilités de l'orchestre : on notera ainsi les triolets de violons des mesures 19-26 qui remplacent les arpèges de l'original, ou le retour du thème aux cors mesures 10-14, absent de la version de Liszt. Les nuances sont elles-mêmes amplifiées par l'emploi de plus ou moins de pupitres d'instruments, notamment lors de la section centrale semblable à une marche nuptiale qui se déploie sur un crescendo durant lequel le caractère va de l'intimiste au grandiose (mesures 77-115). L'orchestration s'inscrit dans la grande tradition romantique, conférant à l'oeuvre un ton presque anachronique dans le paysage musical des années 1930. Tout comme Liszt parvenait en son temps à condenser des oeuvres orchestrales en des pièces pianistiques cohé­rentes, Max d'Ollone réalise ici l'exercice inverse en étoffant l'oeuvre originale et en explorant les possibilités offertes par l'orchestre. A un moment où la modernité bat son plein, il montre son attachement au romantisme en proposant une orchestration toute en sensibilité d'une oeuvre de l'un des maîtres de la période. Joffrey Godart, sous la direction scientifique de Pierre Pascal, (département de Musique et Musicologie de l'UFR ALL - Metz de l'Université de Lorraine)

09/2020

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Sécurité incendie

Formation Sapeur-Pompier. Conducteur tout-terrain COD2

L'objectif de cet ouvrage est de permettre au conducteur sapeur-pompier de connaître les possibilités techniques d'un véhicule tout-terrain, de mettre en oeuvre les matériels, en appliquant les règles de sécurité, dans le cadre d'une mission de jour comme de nuit. SOMMAIRE : Les différents types et classements des véhicules tout-terrain : Les différents types de châssis et la suspension, Les différentiels et les systèmes de blocage de différentiel, Les boîtes de transfert, Les différents types de ponts et réducteurs, Les pneumatiques, Etude de la reconnaissance, Le moteur diesel, La suralimentation / le turbocompresseur, Les différents types de ralentisseurs, Les moyeux débrayables, Les vérifications avant départ, Les vérifications à l'entrée de la piste, L'autodégagement / La conduite sur piste : les pentes, les dévers, les fossés, les cassis et entonnoirs, les marches, les zones à faible portance progression dans les broussailles / Les vérifications en sortie de piste / Les équipements de sécurité - 9ème édition - juin 2021 - ISBN 978-2-35738-667-9 Format 21 x 15 cm - 56 pages - Réf éditeur COD2-03

06/2021

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Non classé

Place du trop cas

Avec cette oeuvre, Naëlle Sandra Nanda poursuit un élan poétique déjà initié en 2015 avec la parution de sa première oeuvre Mots-râles. Ce deuxième recueil est logiquement dominé par le positionnement politique : il essaie à sa manière de traduire l'indicible impasse politique du Gabon ainsi que la marche du petit peuple esseulé qui apprend à déclencher et à maintenir allumés les flambeaux de résistance. La poétesse pose plus généralement son regard sur le sort que l'être humain inflige à son semblable - et donc à lui-même - mais aussi sa condition et son avenir écologiques : il est question de parler à la chair sensible. C'est pourquoi, c'est d'abord et avant tout une poésie de la parole vraie, efficace et mobilisatrice : des mots sans équivoque conformes à la vérité des engagements de l'écrivaine ; des mots qui parlent au plus grand nombre pour susciter partout l'éveil citoyen, par conséquent, des mots qui visent à contaminer leur indignation et leur entrain au lecteur. Plus que des poèmes, ces textes écrits majoritairement pour être déclamés, séduisent davantage le lecteur par la force de la narration, le pouvoir de la mise en scène et bien évidemment la musicalité des mots : slam ! LPG Bounguili.

10/2018

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Poésie

Place au cirque

La flamme, sur la neige, du soldat inconnu et le fouillis des guirlandes très lucides raccrochées pour les fêtes, de chaque côté de l'avenue, à n'éclairer qu'elles-mêmes et la nuit démâtée de décembre, rongée par le sel des trottoirs et aussi tranchante que l'espoir. Si la main reste dans l'ombre, un ongle ce soir brille par-dessus le tain des toitures, qui s'égouttent à petit bruit dans l'année finissante : " Grand réveillon au cirque, avec champagne et cotillons ".

03/2002

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Livres 3 ans et +

Plus de place !

Il fait un froid de canard. Par chance, un bonnet est tombé dans la neige. De quoi se mettre à l'abri ! Une souris s'y faufile, suivie d'une grenouille, une chouette, un lapin, un renard, un sanglier et un ours. "Plus de place ! " s'exclament les animaux au fur et à mesure que le bonnet se remplit. L'arrivée d'une minuscule fourmi fait exploser le bonnet et déclenche la colère des animaux. Mais est-elle la seule coupable ? Avec ce petit album très graphique, Loïc Gaume joue sur les notions de taille, d'accumulation, de disparition, mais aussi et avec les expressions animalières. Il invite les enfants à s'amuser avec le langage, les formes et les couleurs.

11/2020

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Roman d'amour, roman sentiment

Place au bonheur

Catherine, professeur de danse, se retrouve à la croisée des chemins. Son mariage de convenance lui semble de moins en moins supportable, et son entourage amical est de moins en moins agréable. Ses matins insouciants ont été remplacés par des matins étouffants, et chaque jour elle se débat avec les pensées négatives qui l'envahissent. La vie suit néanmoins son cours dans sa banlieue huppée, avec ces obligations sociales qu'elle exècre. C'est lors de l'une de ces soirées bourgeoises qu'elle fera une rencontre qui changera définitivement son morne quotidien, et qui lui donnera la force de choisir sa vie. Sur le chemin du bonheur et de l'acceptation de soi, les difficultés ne seront pas rares... Habituée à taire ses envies, finira-t-elle par écouter sa voix intérieure ?

12/2022

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Littérature française

Place au hasard

Une histoire de voyage, à la fin incertaine. Une histoire de rencontres, une histoire de train, aussi. Une histoire de gens qui partent, et d'autres qui reviennent. Une histoire banale en soi, l'histoire de nos vies...

03/2022

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Musique, danse

La Chute de Lucifer (conducteur). poème symphonique pour trombone et orchestre

Le Paradis perdu de John Milton s'ouvre sur la vision de Satan et de ses anges évanouis dans le lac brûlant de l'Enfer après leur chute vertigineuse dans le grand abîme. Ce n'est que quelques chapitres plus tard que l'on apprendra de la bouche de Raphaël venu mettre Adam en garde, le détail de la révolte de celui qui, après avoir été l'ange porteur de lumière (Luci-fer), va devenir la personnification des ténèbres. Ce concerto pour trombone, véritable poème symphonique, reconstitue la chronologie de cet événement biblique décrit avec une force d'évocation hallucinante par le poète anglais du xviie siècle. Un doux cluster de cordes - le royaume céleste baigné de lumière - ouvre le décor et laisse parler une voix soliste... le violoncelle. Quand le doute s'installe sur un accord où se déploie l'orchestre complet, le prota­goniste laisse percer un autre pan de son visage et sa voix se transforme pour laisser la place au trombone - frère jumeau du violoncelle - qui continue son chant dans un environnement orchestral de plus en plus tourmenté. Puis la "Lumière ? " du premier mouvement, aux couleurs plutôt diatoniques, bascule progressivement vers la "? Révolte ? " par le biais d'une section aux différents tempos superposés. Ce deuxième mouvement très vif est une fugue dodécaphonique dont les développements successifs figurent les combats de l'armée des anges rebelles contre les séraphins, avec mouvements de masse, chocs violents, repos haletants et reprise effrénée des combats ; jusqu'à l'intervention du Fils (blocs harmoniques des cuivres) qui pousse les insurgés aux limites du ciel et les précipite dans une chute qui durera neuf jours. C'est dans un magma grave et vrombissant que survient la cadence du soliste ? : elle est la voix de l'ange vaincu qui reprend ses esprits. Le troisième mouvement, "? Abîmes ? ", est une marche pesante et douloureuse dans laquelle Satan réveille son armée et inaugure son Pandémonium. Le mal a désormais son monarque. Quoi de plus actuel et de plus proche de l'homme moderne que le destin de cet ange déchu ?? Refusant de se considérer comme la créature d'une puissance supérieure, mû par un orgueil insensé qui le convainc d'être au moins l'égal du Créateur et aveuglé par la prise de conscience de son libre-arbitre, il se voit maître du monde et se révolte pour détruire l'ordre établi. D'une certaine façon, la mort de Dieu proclamée par Nietzsche à la fin du xixe siècle n'a-t-elle pas laissée l'humanité orpheline de certitude spirituelle et ne l'a-t-elle pas précipitée dans ce nouveau grand abîme ? : la révélation de l'absurdité de l'existence ? Cette oeuvre a été écrite pour le tromboniste et violoncelliste Fabrice Millischer à qui elle est naturellement dédiée, en toute amitié. Patrick Burgan

12/2013

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Science-fiction

La plage

Yvernia. Couronnant les roches volcaniques de l'île d'une planète éloignée, les hautes murailles abritent cette citée gigantesque. Une communauté protectionniste y prospère depuis des années dans le luxe et la technologie, loin du regard des autorités galactiques. Ceux qui en sont exclus doivent vivre de ce qu'ils trouvent, ou de ce qu'on veut bien leur donner. Ils sont condamnés à survivre de l'autre côté de ces fortifications qui défendent la ville contre les caprices de la nature et les indésirables. Un seul endroit permet d'avoir les pieds au sec : une bande de sable de quelques centaines de mètres recouverte d'abris de fortune. Ses habitants l'appellent "la Plage" .

01/2013