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Ciel à perdre

Extraits

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Poésie

A perte de ciel

Ce livre d'Yvon le Men est une ascension vers le Mont. Il nous emmène à la pointe de l'épée de l'archange. Ce poème ascensionnel est une surprise, un départ reporté, une entrave en constituent le coeur. Le confinement empêche le poète de retourner au Mont Saint-Michel. Il doit le rêver et revisiter ses souvenirs pour le décrire. Le pèlerinage prend la forme de la nostalgie amoureuse. Mais le Mont ne tarde pas à provoquer un pèlerinage plus spirituel. La prière arrive par surprise. Dans ce reccueil, Yvon le Men dit le mystère de la Merveille et la puissance d'attraction qu'elle exerce. Il rappelle les heures les plus sombres du lieux, la prison qu'il a constitué. Ce qui ne brise pas l'attrait que le lieu exerce. Le poète retourne au Mont Saint-Michel. Un éloge du "Mont qui apparaît même de loin, de près, par son mystère de pierres et de prières".

09/2021

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Thèmes photo

Bretagne à ciel ouvert

Rodolphe Marics est un poète-aviateur, adorateur des rivages bretons. Quand l'humeur lui chante et que le temps s'y prête, il enfourche sa monture et s'envole pour observer de là-haut les Lilliputiens s'agiter et les paysages l'enchanter. Et quand la beauté surgit, il cligne de sa focale pour s'en emparer et nous servir des vol-au-vent mémorables. Des instantanés à couper le souffle qui nous secouent comme un bain de mer, une claque de noroît ou un rayon de soleil sur un ciel anthracite. Il dépeint avec brio la Bretagne marine que l'on aime : impétueuse, tumultueuse, fière de sa beauté sauvage. "? Après de multiples voyages aériens dans plusieurs parties du monde, c'est en Bretagne que j'éprouve avec un plaisir sans cesse renouvelé le bonheur de survoler ces paysages aux mille nuances et aux variations infinies. C'est en Bretagne que j'ai découvert cette voie d'aviateur-photographe. Cet espace littoral si inspirant, émerveillement d'un voyageur aérien. ? " Rodolphe Marics

05/2023

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Psychologie, psychanalyse

Perdre de vue

Le plus insupportable dans la perte, serait-ce la perte de vue ? Annoncerait-elle, chez l'autre, l'absolu retrait d'amour et, en nous, l'inquiétude d'une infirmité foncière : ne pas être capable d'aimer l'invisible ? Telle est la question que déploie ce livre qui s'ordonne selon trois axes. Il décrit d'abord quelques formes du refus de la perte, de l'apathie à la réaction thérapeutique négative en passant par l'amour de la haine. Il analyse ensuite les modalités de la croyance pour reconnaître l'essence "profane" de la psychanalyse. Il insiste enfin sur la mélancolie active du langage qui, en s'éloignant du visible, porte en lui la défaite du culte de l'image. Les chemins empruntés sont divers. Le lecteur y rencontre le doux Oblomov et la Gradiva rediviva, Sartre et André Breton, Freud et Winnicott, le curieux oiseau de Léonard et les mots incertains de l'autobiographie. Si la psychanalyse est ici tout au long présente, ce n'est pas comme regard théorique mais à l'horizon, à perte de vue : là où nos yeux ne pouvant plus rien saisir transmettent leur trouble à la pensée.

12/1988

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Littérature française

Perdre le corps

"Il ne me quitte pas des yeux. Un instant, puis : "Je vous propose d'aimer Minna à ma place". Il enchaîne sans laisser cette phrase pénétrer mon esprit. "Vous lui faites la cour comme par hasard et ainsi de suite. Je ne vous demande pas de l'épouser. Ce n'est pas mon affaire. Cela dépend aussi d'elle, bien entendu. Je vous demande juste, si je puis dire", il me montre deux doigts écartés, "deux années de liaison assidue avec elle ; et vous recevrez cette maison en échange". " Jean Adodo, togolais, homme mûr qui revient de Suisse où il a vécu une trentaine d'années, propose donc au jeune Maxwell Sitti de séduire une certaine Minna contre rétribution conséquente. Agent immobilier, Maxwell peine à gagner sa vie dans une Lomé de magouilles et de vices, et il est prêt à refuser ce contrat insensé. Mais quand il rencontre la belle Minna dans le pressing où elle travaille, il tombe amoureux - éperdument. Maxwell apprend peu à peu que Jean et Minna, en réalité, se connaissent à peine de vue... Mais alors, que signifie ce que Jean Adodo lui demande de faire, et si largement rémunéré ? Quelle intention se cache derrière cette mise en scène périlleuse ? Qui est Jean Adodo, au juste ? ... Une bien étrange mission au fil de l'amour, de l'amitié, à corps perdu.

01/2021

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Poésie

Perdre les traces

Mais comment trouver les traces ? / Le ciel se couvre. On entend/ tomber les châtaignes une à/ une. Il y a sur le mur/ comme un signe entre les ombres/ qu'on aimerait bien comprendre./ Les doigts se tendent. Trop tard./

11/2021

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Littérature française

Perdre le nord

Il vient de se séparer de sa femme, Mette, qui décide de retourner vivre à Copenhague avec leur fille, soutenue par son père, éminente fortune danoise. Aïe ! Il est écrivain, boudé par le génie de l'inspiration, et vivote grâce à des droits d'auteurs qui s'amenuisent. Adieu Paris, bonjour Bruxelles. En bon expatrié, il y prend très vite ses aises et habitudes, et rencontre Sonia à l'Archiduc, où il sirote chaque soir un cocktail, laissant la bière aux locaux. Immédiatement, la jeune femme, de 15 ans sa cadette, s'éprend de l'écrivain maudit, lui franchement plus sensible à sa plastique qu'à ses traits d'esprit. Jusqu'au jour où ils croisent le chemin de Noël Cluzat, sommité de l'édition française. Ce dernier s'éprend de sa belle un peu barrée. Pour la revoir, Noël le contacte et l'amadoue en lui promettant de l'éditer. Oui mais voilà, rien ne se passe comme prévu... Drôle autant que désabusé, Basile Panurgias porte un regard espiègle et caustique sur le monde des lettres et des arts. Il ridiculise les poses, se rit des impostures et des désarrois complaisants de la faune des bobos. Un roman qui saisit l'air du temps sur un mode comique.

04/2016

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Poches Littérature internation

Façons de perdre

"Ces jeudis-là à la tombée de la nuit quand Lemos m'appelait après la répétition à Radio Belgrano et entre deux Cinzanos, ses projets de nouvelles pièces, devoir l'écouter alors que je n'avais qu'une envie, partir dans les rues et oublier les dramatiques pour deux ou trois siècles, mais Lemos était l'auteur à la mode et me payait bien pour le peu que j'avais à faire dans ses programmes, des rôles plutôt secondaires, et en général antipathiques".

02/2014

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Photographie

Perdre la tête

Sans la moindre idée préconçue, François-Marie Banier sort tous les jours de chez lui, le plus souvent sur deux roues, appareil de photographie au poing, pour voir à quoi aujourd'hui ressemblent la vie, les gens, ses frères et soeurs de rire, de chagrin, de gouaille, de solitude, de désirs. Happé par la vie, la richesse et la complexité singulière de chaque être, il se lance vers ces figures, sources de tant de réflexion, de rêve et de mystère. Travailleurs de rue aux allures de guerriers mythologiques, promeneurs, passants, couples, solitaires, ils ont vécu des histoires et des épreuves que nous ne pouvons que deviner, qui laissent sur leur visage, dans leur démarche, leur apparence, les traces d'un chemin toujours visible qui nous touche. A travers la photographie, François-Marie Banier est l'humble et définitif dépositaire de ces dessins, de ces destins.

12/2005

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Littérature française

Perdre le souffle

Chacune de ces nouvelles est un microcosme atroce ou étrange que l'auteur anime sur le ton qu'on lui connaît : brutal, féroce, impitoyable. La demi-putain de Plier bagages, la femme défigurée du Passé devant soi, les coups de fil obscènes d'une narratrice anonyme dans Méfiez-vous de la vérité... L'aubergiste meurtrière d'Une robe dans l'armoire, la grande bastide en ruine de L'étoile noire, la voyageuse de l'Orient-Express dans La petite Baronne, l'homme sous la tronçonneuse de La scie, etc. : tous ces textes nous proposent des tableaux saisis hors d'une réalité apparemment banale. Mais le talent noir et l'observation percutante de l'auteur, toujours à l'affût des singularités de la nature humaine, leur apportent le relief de certaines gravures mordues par un acide déchirant.

02/1983

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Littérature française

Perdre la pause

Dix-sept nouvelles de Fajardie, écrites entre septembre 1991 et mai 1993. Comme toujours chez cet écrivain, on voyage dans l'espace et le temps, d'une nuit des années soixante, où une jeune fille cède aux avances d'un philosophe connu qui se révélera piètre amant, aux soldats de l'Empire enchaînés sur les pontons anglais en passant par l'histoire singulière d'un centriste forcené ou d'un motard de la Werhmacht qui eût été mieux inspiré en ne s'accordant pas une petite pause, sans oublier la guerre du Golfe et la mort d'un ouvrier tombé d'un toit le jour où Bérégovoy s'est suicidé... Nouvelles rouge et noir, elles constituent un regard singulier sur la société française d'aujourd'hui avec, pour provision de bouche, du romantisme et pas mal d'humour.

01/1994

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Littérature française

Perdre la tête

Rome, hôpital San Camillo Forlanini, printemps 2015. Cloué jambe en l'air sur un lit médicalisé, celui qui prétend s'appeler Wallace tente de comprendre : l'amour lui aurait-il tourné la tête, au risque de la perdre, littéralement ? Il revoit Giulia, sa maîtresse, tâchant de le rappeler à l'ordre de l'amour dans la lumière trop vive de la via Appia Antica avant d'extirper de son sac un petit revolver, qu'il a d'abord pris pour un jouet, en vérité, ou "une sorte d'accessoire de théâtre, un briquet de salon, peut-être, un bijou nacré, élégant, forcément élégant aux yeux de Wallace, comme tout ce que touche Giulia, tout ce qu'elle porte, tout ce qu'elle respire, Giulia"... Quel rapport avec les fantasmes délirants que la jeune femme prête à son mari paraplégique ? Avec les nouvelles mafias romaines qui détournent l'aide aux réfugiés ? Et avec la Chine, grands dieux ? Quel rapport Wallace entretient-il avec la Chine à son insu ? Bertrand Leclair nous entraîne dans une histoire haletante, toute en rebondissements multiples, digressions, faux-semblants et chausse-trappes. Le vrai et le faux se mêlent pour donner un roman jubilatoire et enlevé qui mélange les genres et ressemble à l'Italie, dans toute sa diversité : drôle, romantique, tendre et burlesque à la fois.

08/2017

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Littérature française

Perdre la tramontane

Des personnages attachants et pittoresques peuplent les 12 nouvelles de ce recueil. Ils nous content la solitude, l'amour, les peines d'enfance et les soubresauts d'une société en mal de tolérance, mais aussi nos rêves et nos émerveillements, dans un style imagé, tout en rythmes : l'amnésique du train jaune ; Jérôme et son chien à pois ; Ilhan le chanteur sans dents ; un peintre et le vide-art ; l'alexandrin au top 14 ; un humain en quête d'éternité ; des retraités à l'heure des sages ; un ado sauvé par l'écrit ; blanc qui pleure, noir qui rit ; un chevreau pour destin d'un enfant ; des gémeaux épris d'une factrice ; le pardon de Clément contre rancoeur et souffrance. Tout ce monde disparate évolue au sein de plusieurs villes catalanes : Perpignan, Laroque des Albères, Vingrau, Lamanère, Maury, Thuir, Bages, la Tour de Carol, Cabestany, Prades, Saleilles, Palau-del-Vidre, servant d'écrins naturels aux émotions universelles qui lient les humains. A tout le moins le devraient-elles...

07/2015

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Littérature française

Perdre son chemin

Les évènements ne se déroulent pas toujours comme prévu et Spencer en fera les frais. Pendant l'été, il connaîtra la passion mais aussi la trahison. L'amour survivra-t-il à la haine ? Une chose est sûre, rien n'est impossible. Le présent succombera-t-il sous le poids du passé ? Tout est possible...

04/2023

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Rwanda

Perdre la main

Ce livre, elle pensait l'appeler La Colline. Dominique Sigaud avait tout noté dans un carnet lorsqu'elle était à Bisesero, en 1994. Journaliste indépendante sans autre nom que le sien sous lequel se ranger, elle fut l'une des rares femmes à couvrir le génocide des Tutsis au Rwanda. Vingt-cinq ans plus tard, les mots, elle les retrouvait, intacts, comme elle les avait agencés sur les pages pour organiser le chaos du monde, pour raconter les massacres et les assassins ivres d'alcool et de sang. Mais le récit ne s'écrivait toujours pas. La colline où toute l'horreur du génocide s'était écrite n'était pas le lieu central comme elle le pensait. Le lieu central, il lui a fallu trente ans pour comprendre que c'était le corps de cette jeune femme, croisée dans une boîte de nuit. Réflexion sur la mémoire, le traumatisme et l'écriture, Perdre la main interroge la posture singulière du témoin, lorsque, sans être une victime directe, il est pris dans l'étau des événements. Tout en racontant ses doutes et ses blocages, Dominique Sigaud explore les possibilités de la langue et du corps confrontés à la catastrophe.

03/2024

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Littérature anglo-saxonne

Perdre la tête

Un roman fiévreux qui explore les questions de genre, de désir et de pouvoir à travers une histoire d'amitié intense. Montréal, 1873. Quand Marie, enfant lumineuse et gâtée, rencontre Sadie, fillette sombre et rusée, leurs vies basculent. Elles se lient d'une amitié fusionnelle, entre attirance et compétition. De défi en provocation, leurs jeux deviennent si dangereux qu'un jour, les adultes décident de les séparer. Des années après, Marie s'affranchit de sa condition de femme en refusant le mariage et en prenant la tête de l'usine familiale. Sadie, quant à elle, découvre la puissance libératrice de la littérature en écrivant un roman érotique. Distribué sous le manteau, ce texte mettra le feu aux poudres d'une révolution menée par les ouvrières. Marie et Sadie, irrémédiablement liées, joueront un rôle décisif dans les événements qui bouleverseront leur ville.

04/2024

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Littérature française

Perdue

Dans ma maison derrière la dune, les amis passent, restent quelques jours, s'en vont, reviennent, repartent. Je me débats contre les courants des vents et des marées, le flux et le reflux des gens. Au fil des saisons, je vis avec mes délires, mes peurs, mes angoisses, dans un bouillonnement d'émotions toujours négatives. Je ne vois pas ceux qui m'entourent, ceux qui essayent de m'aider. Vais-je réussir à me sortir de cette zone de troubles que je me suis créée.

01/2022

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Littérature francophone

L'infidélité m'a fait perdre mon épouse

Plus le temps passe, plus l’on est persuadé que nous vivons dans un monde d’ingrats, d’égoïstes, où chacun de nous ne pense qu’à lui. Les biens matériels et la richesse n’amènent pas au bonheur, L’infidélité m’a fait perdre mon épouse en témoigne. Il y a des hommes et des femmes qui peuvent s’aimer et cohabiter ensemble mais pour cause d’incompatibilité génétique, ils ne pourront jamais avoir d’enfants. L’infidélité peut tout emporter sur son chemin et présente des conséquences qui peuvent être néfastes pour la santé.

01/2022

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Suspense

Thieves' Gambit Tome 1 : Voler à tout perdre

Dans la famille Quest, on est voleur de génération en génération. Ross, dix-sept ans, a pourtant d'autres projets en tête : elle compte s'enfuir pour repartir de zéro, aller à la fac, mener une existence ordinaire. Tant pis pour le prestigieux Trophée, concours qui réunit les jeunes voleurs les plus talentueux de sa génération et pour lequel elle a été sélectionnée. Coup du sort, sa mère est kidnappée au cours de leur dernière mission en tandem. Ross s'inscrit alors au Trophée, seul moyen, mais ô combien périlleux, de payer la rançon exorbitante ...

02/2024

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Littérature étrangère

Le ciel à bout portant

Si une des grandes questions de la littérature est comment "tuer' le père, que faire quand son propre père a été le bras droit de l'un des plus grands assassins du pays ? Larry arrive à Medellín douze ans après la disparition de son père, un mafieux proche de Pablo Escobar. A son arrivée, ce n'est pas sa mère, l'ex-Miss Medellín, qui l'attend, mais Pedro, son ami d'enfance, qui vient le chercher pour le plonger dans l'Alborada, une fête populaire de pétards, de feux d'artifice et d'alcool où tous perdent la tête. Larry retrouve son passé familial et une ville encore marquée par l'époque la plus sombre de l'histoire du pays. Il ne pense qu'à fuir son enfance étrange liée au monde de la drogue. Mais il cherche aussi une jeune fille en pleurs rencontrée dans l'avion et dont il est tombé amoureux. Entrecroisant des plans différents, Jorge Franco, étonnant de maîtrise narrative, fait le portrait de la génération des enfants du narcotrafic, qui sont de fait les victimes de leurs pères, et nous interroge sur l'importance de la mémoire pour que l'histoire ne se répète pas. Une construction impeccable et des personnages ambigus et cap tivants : un roman qui ne vous laisse aucune trêve et qu'on dévore, fasciné.

01/2020

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12 ans et +

A la tombée du ciel

Cela aurait pu être une météorite, ou une éruption solaire annonçant la fin du monde. Mais ce sont des créatures ailées qui ont commencé à tomber du ciel. Pour Jaya, 16 ans, c'est une anomalie de plus dans un monde qu'elle ne comprend pas... Comment vivre alors qu'elle a vu sa mère mourir ? Que son père est obsédé par l'idée de prévoir la prochaine chute ? Jaya n'a qu'une envie : rester loin de tous ces problèmes. Mais quand un ange atterrit à ses pieds, elle va devoir agir... Et réapprendre à vivre, pour l'aider à repartir.

07/2019

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Poésie

Le ciel a ton sourire

Ce recueil interpellera ceux qui ont été transportés par les flammes de l'amour, ont vécu les affres du deuil, aussi bien que ceux qui aiment follement la vie... Le ciel a ton sourire, ce sont des fragments de vie que l'auteure nous livre avec délicatesse, tantôt sous forme de poésie contemporaine, tantôt de textes intemporels, simples et percutants.

07/2022

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Romans historiques

A l'assaut ...du ciel

La Commune de Paris. Elle put fleurir 72 jours, entre le 18 mars et le 27 mai 1871. 72 jours pour se lancer "à l'assaut du ciel…". Dans ce roman, Jean Bruyat, nous fait partager des moments oubliés d'histoire pendant lesquels les femmes en général, des plus célèbres, celles qui dans l'anonymat, entre vie quotidienne et positions courageuses voire héroïques, jouèrent un rôle capital dans l'histoire de la Commune de Paris. Au détour de faits réels et au-delà des événements heureux ou parfois malheureux qui contribuèrent à créer le sel même de l'histoire de la Commune, chacun pourra découvrir quelques personnages emblématiques de cette extraordinaire épopée. Hommage à toutes celles et à tous ceux qu'une certaine mémoire collective a consciencieusement effacés…

04/2015

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Pédagogie

L'école à ciel ouvert

Composer un abécédaire naturel, apprendre la symétrie avec les feuilles, créer une oeuvre de land art, s'orienter dans l'espace... Quand l'enfant peut s'investir à 100 %dans son environnement, plaisir et mémorisation sont au rendez-vous ! Avec ce manuel, repoussez les murs de la classe et osez enseigner en pleine nature en toute saison. Pour contextualiser les apprentissages, développer tes compétences transversales et sensibiliser vos élèves à leur environnement, sortez des sentiers battus et redécouvrez les joies d'un enseignement qui accorde toute sa place à l'épanouissement personnel. 200 activités nature : construites en 45 thèmes ; accompagnées d'une introduction pédagogique et de recommandations pratiques ; favorisant la coopération, la réflexion collective, l'autonomie et la créativité.

03/2019

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Littérature française

Le ciel à l'envers

Eté 1959. Marine se réveille dans une chambre d'hôpital. Elle a tenté de mettre fin à ses jours, le coeur brisé par la trahison de celui qu'elle aimait plus que l'amour même. Pourtant, leur histoire avait tout d'un conte de fées ? : coup de foudre, premiers émois, projets communs... Pourquoi alors, l'a-t-il abandonnée ? Est-ce la faillite, une grossesse inattendue, le contexte familial ou encore une amie trop présente qui ont eu raison de leur histoire ? A moins que la vie, joueuse, n'ait voulu s'amuser avec leur destin, leur réservant de nombreuses épreuves et surprises... Peut-être plus qu'un coeur ne peut en supporter.

07/2020

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Littérature étrangère

Le ciel est à nous

Rob Coates vit en Cornouailles et partage son existence solitaire entre l'alcool et les aventures d'un soir. La brume ne se lève que lors de ses promenades aux airs de pèlerinages : Rob retourne sur les lieux où il a emmené son jeune fils Jack. Il prend alors des photos panoramiques qu'il poste sur son site, baptisé "Le ciel est à nous Derrière ces rares moments de grâce se dévoile, par instantanés, ce que cache la détresse de Rob : l'amour avec Anna, son ex-femme, la réussite professionnelle, un fils chéri, leur complicité partagée. Et puis le drame, et un champ de ruines. Rob fait de son mieux pour se détruire à petit feu, mais une découverte va le forcer à se remettre en question. Il lui faudra revenir aux sources de sa douleur et projeter une lumière nouvelle sur son histoire. Au-delà du chagrin et de la culpabilité, pourra-t-il trouver la paix et se réconcilier avec le monde ?

03/2018

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Documentaires jeunesse

Du ciel à l'espace

Des phénomènes météorologiques à la conquête spatiale, des mythes antiques aux astronautes d'aujourd'hui, pour mieux comprendre l'immensité qui nous entoure et célébrer, en 2019, les 50 ans des premiers pas de l'homme sur la Lune. Un nouveau titre très attendu dans la collection des "Encyclopes" pour tous les passionnés par le cosmos... et les autres !

04/2019

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Littérature érotique et sentim

Perdre haleine. Phrase autoérotique

Avec Perdre haleine, linimitable Anne Archet vous convie à une séance dautoérotisme littéraire, une ode jubilatoire et irrévérencieuse à la masturbation féminine, de la lente montée du désir en passant par les savantes mécaniques de lexcitation, le troublant plateau des fantasmes jusquà la grande explosion orgasmique et sa résolution. Entrez dans une phrase longue de 26 000 mots à lire dune seule main et dun seul souffle, une traversée de toutes les déclinaisons du plaisir intime, cet acte de liberté, de gratuité et damour-propre, où lon nest jamais si bien servie que par soi-même : ses doigts, ses peluches, son ameublement, son lubrifiant et ses projections intérieures les plus déraisonnables.

10/2020

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Critique littéraire

Traduire ou perdre pied

"On parle beaucoup de notre "invisibilité". Un bon traducteur est un traducteur qui ne se voit, qui ne s'entend pas. L'intermédiaire se doit d'être transparent, entièrement résorbé dans sa mission de service. Qui ne se soumet pas à cette ascèse encourt le péché d'orgueil. Traduire, c'est se montrer humble. Humble, je le suis par force quand je traduis, quand j'ignore, quand je cherche, quand je doute - c'est-à-dire en permanence. Plus je traduis, moins je sais. Plus j'ai d'habileté, plus le sol se dérobe sous moi, plus les mots, les phrases révèlent leur double, leur triple fond et bien plus encore. Je ne cesse de composer avec le vertige. Le texte, foncièrement, m'échappe, et pour travailler je dois faire comme si je savais, juste comme si." Corinna Gepner.

10/2019

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Littérature française

L'art de perdre

L'Algérie dont est originaire sa famille n'a longtemps été pour Naïma qu'une toile de fond sans grand intérêt. Pourtant, dans une société française traversée par les questions identitaires, tout semble vouloir la renvoyer à ses origines. Mais quel lien pourrait-elle avoir avec une histoire familiale qui jamais ne lui a été racontée ? Son grand-père Ali, un montagnard kabyle, est mort avant qu'elle ait pu lui demander pourquoi l'Histoire avait fait de lui un "harki". Yema, sa grand-mère, pourrait peut-être répondre mais pas dans une langue que Naïma comprenne. Quant à Hamid, son père, arrivé en France à l'été 1962 dans les camps de transit hâtivement mis en place, il ne parle plus de l'Algérie de son enfance. Comment faire ressurgir un pays du silence ? Dans une fresque romanesque puissante et audacieuse, Alice Zeniter raconte le destin, entre la France et l'Algérie, des générations successives d'une famille prisonnière d'un passé tenace. Mais ce livre est aussi un grand roman sur la liberté d'être soi, au-delà des héritages et des injonctions intimes ou sociales.

08/2017

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Vivre en couple

Quand la peur de perdre l'autre me le fait perdre

La peur de perdre l'autre est souvent au coeur de nombreux comportements dysfonctionnels qui vont venir saboter - voire même détruire - la relation amoureuse. Comment cette peur se développe-t-elle et quelles en sont les racines inconscientes ? Quels sont ses déclencheurs, ses mécanismes tragiques, ses conséquences délétères et, surtout, comment faire pour qu'elle cesse de nous empoisonner l'existence ? Associant la théorie à plusieurs décennies de pratique, Véronique Kohn invite dans son nouvel ouvrage à plonger au plus profond des ombres et lumières de l'intime. Avec beaucoup de clarté, de profondeur et d'humour, elle met cette angoisse à nu : fondements, symptômes et manifestations, notamment chez les différents profils amoureux (frileux, clivé, altruiste, alpha et planqué), mais aussi résonances toxiques aggravantes avec les insécurités de l'être aimé et outils indispensables pour se sortir de ces cercles vicieux autodestructeurs. Face aux situations de tension relationnelle, elle nous prodigue soins et conseils, afin d'opérer un changement de regard sur soi et sur l'autre. Quitte, au passage, à déconstruire la notion même du couple et à se remettre au centre de l'équation. C'est qu'à force d'avoir peur de voir l'autre partir, en étant près à tous les sacrifices pour que cela n'arrive pas, c'est soi-même que l'on risque de perdre... et, souvent, sans même sauver la relation ! Psychologue, psychothérapeute, formatrice, auteure et conférencière, Véronique Kohn est spécialiste de la relation amoureuse depuis de nombreuses années. Son précédent ouvrage, Quel amoureux êtes-vous ? Les cinq profils psychologiques pour aimer et être aimé, également publié aux éditions Tchou, a aidé des milliers de personnes à comprendre et à résoudre leurs problématiques affectives.

06/2022