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Tourisme France

La Réunion

Petite par sa superficie, riche et originale par sa biodiversité, l'île de La Réunion est un grand théâtre dans lequel les éléments premiers de la nature et les hommes de toutes cultures s'expriment. Dépaysement garanti avec ce nouveau titre de la collection " Les Clés pour bien voyager ". Composée de paysages grandioses et variés, " l'île Intense ", tardivement colonisée par les Hommes, est le dernier refuge d'une faune remarquable et d'une flore unique, celle des Mascareignes. Quarante-deux pourcents du territoire sont devenus parc national depuis 2008, et pitons, cirques, remparts sont classés au patrimoine mondial de l'Humanité depuis 2010. " L'île Volcan " est un livre ouvert sur la dynamique du vivant. Résidant à La Réunion, Jean-François Bègue, photographe naturaliste, nous invite à la découverte de la mosaïque de paysages qu'offre son île natale. Il propose de multiples axes d'exploration (à pied, en spéléo, en canyoning, à VTT, à cheval...) et nous fait voyager dans les différents lieux de caractère chargés d'histoires : volcans, tunnels de lave, remparts, arêtes, forêts, rivières, cascades géantes, plages... L'auteur nous apporte un regard différent sur La Réunion, nous livre ses coups de coeur, ses meilleurs spots, ses bons conseils, ses astuces pour éviter les pièges et partage son expertise pour nous permettre d'approfondir nos connaissances sur l'écologie et l'histoire de cette île aux sensations. Après Islande, Ecosse, Costa Rica et La Manche littorale et Québec, La Réunion est le sixième titre de la collection "Les Clés pour bien voyager" . Des guides qui font la part belle à l'image et aux conseils incarnés par des auteurs inspirés par la beauté des pays qu'ils traversent.

09/2019

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Animaux, nature

Crin-Blanc ou L'invention de la Camargue. L'oeuvre de Denys Colomb de Daunant

Denys Colomb de Daunant (Nîmes 1922-2006) est un écrivain, poète, photographe, cinéaste et manadier connu pour être l'inspirateur et le coscénariste du film Crin-Blanc (1952) réalisé par Albert Lamorisse. En immortalisant Crin-Blanc, il donna à la Camargue son identité : celle d'un territoire de nature sauvage où des troupeaux de petits chevaux blancs vivent en liberté dans d'immenses étendues salées. Mais l'image de Crin-Blanc va plus loin encore : elle incarne pour des millions de cavaliers de loisir la figure du cheval-ami, qui marque la mutation de l'équitation au tournant des années 1960. Ce passage du cheval-outil, employé dans les champs, le transport ou la guerre, au cheval-ami, compagnon unique de chevauchées fabuleuses, est symbolisé par le succès immense du film Crin-Blanc dans le monde entier, après sa reconnaissance par le Festival de Cannes en 1953 (Grand Prix du court métrage, prix Jean-Vigo), considéré par le New York Times en 2007 comme l'un des meilleurs films pour enfants de tous les temps. Crin-Blanc fut tourné à Cacharel, le mas de Denys Colomb de Daunant, au milieu des étangs de Camargue, avec ses chevaux et ses gardians. Premier à créer un hôtel pour cavaliers dans cette terre mythique, Denys Colomb de Daunant déplorait que le cheval de club soit enfermé dans le cadre du manège et voulait rendre aux cavaliers la possibilité de galoper en pleine nature. Grâce aux archives familiales, et en particulier à l'important fonds photographique laissé par Denys Colomb de Daunant, le livre retrace le parcours de ce personnage original et libre, et nous montre à quel point son héritage est déterminant dans la fabrication de la Camargue comme terre de liberté.

07/2016

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Photographie

Mémoires de l'oeil

Née sous un tableau de Caspar David Friedrich, le grand peintre du romantisme allemand, Gisèle Freund a quinze ans quand son père lui donne son premier appareil photo. Jeune étudiante en sociologie à l'université de Francfort, élève de Karl Mannheim et d'Adorno, elle doit fuir le régime nazi et quitter l'Allemagne en 1933. A Paris, elle passe sa thèse de doctorat sur la photographie en France au XIXe siècle, puis se consacre au reportage. Elle innovera dans ce domaine et sera la première à utiliser couramment des films en couleurs. D'André Malraux à Virginia Woolf, de Colette à James Joyce, c'est le monde littéraire de l'avant-guerre qui devient le sujet privilégié de son objectif. Les nombreux portraits de célébrités qu'elle réalise alors la rendront célèbre à son tour. L'ensemble d'images et de textes que Gisèle Freund réunit aujourd'hui sous une forme autobiographique reflète plus de quarante ans de familiarité avec un métier - le photojournalisme - qu'elle continue de juger irremplaçable. Pour avoir traversé l'histoire, elle écrit la sienne à sa manière, toute d'attention aux autres, de lucidité et d'humour. Et, sous leur apparente discontinuité, les séquences du livre s'ordonnent autour de quelques idées-forces auxquelles l'oeuvre de Gisèle Freund n'a cessé d'être fidèle. La réalité sociale, l'événement politique, les visages d'un écrivain connu et d'un enfant anonyme, la vie quotidienne des chômeurs de l'Angleterre industrielle et du paysan mexicain, autant de territoires où s'inscrit, dans la vigilance de l'instant, le regard du photographe. Témoin exemplaire, Gisèle Freund a toujours su regarder activement le monde : révéler l'homme à l'homme, telle est, pour elle, la tâche primordiale de la photographie. 89 photographies, 12 pages en couleurs.

05/1977

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Beaux arts

Faire des cartes de France

Annette Messager est née à Berck-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais, en 1943. Après des études à l'Ecole nationale supérieure des arts décoratifs (Paris), qu'elle écourte la veille de mai 1968, elle s'installe en tant qu'artiste plasticienne, photographe, peintre et sculptrice au coeur de la scène artistique parisienne de l'époque. Elle réunit alors ses premières Collections, albums de photographies et sentences extraites de la presse qu'elle annote et modifie. Dès ses premières oeuvres, Annette Messager fait ressortir la part d'affect et de souffrance présente dans les objets familiers et populaires : elle intègre l'univers domestique dans lequel le regard masculin a cantonné la femme (travaux à l'aiguille, revues de beauté, carnet intimes). Elle évolue ainsi dans un monde imaginaire et intime, mêlant des éléments autobiographiques et des réflexions sur la condition féminine ; entre tendance tragique et univers ludique. Elle a reçu en 2005 le Lion d'Or de la Biennale de Venise, et le Centre Pompidou lui a consacré une grande exposition rétrospective en 2007, exposition présentée par la suite dans plusieurs autres musées du monde (Tokyo, Séoul). Ce livre présente une série de dessins intitulée "80 dessins de la France" , réalisée au cours de l'année 2000, pour une installation exposée notamment à l'occasion de la 5e Biennale de Lyon. Faire des cartes de France repose sur un jeu de mots amusant et pervers : "Un ami est venu chez moi pendant que j'étais en train de dessiner des cartes de France, en l'an 2000. En souriant il m'apprit que "faire des cartes de France" était une expression pour nommer les pollutions nocturnes du jeune roi Louis XIII ! " (Annette Messager).

01/2020

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Littérature française

A son image

Par une soirée d'août, Antonia, flânant sur le port de Calvi après un samedi passé à immortaliser les festivités d'un mariage sous l'objectif de son appareil photo, croise un groupe de légionnaires parmi lesquels elle reconnaît Dragan, jadis rencontré pendant la guerre en ex-Yougoslavie. Après des heures d'ardente conversation, la jeune femme, bien qu'épuisée, décide de rejoindre le sud de Pile, où elle réside. Une embardée précipice sa voiture dans un ravin : elle est tuée sur le coup. L'office funèbre de la défunte sera célébré par un prêtre qui n'est autre que son onde et parrain, lequel, pour faire rempart à son infinie tristesse, s'est promis de s'en tenir strictement aux règles édictées par la liturgie. Mais, dans la fournaise de la petite église, les images déferlent de toutes les mémoires, reconstituant la trajectoire de l'adolescente qui s'est rêvée en photographe, de la jeune fille qui, au milieu des années 1980, s'est jetée dans les bras d'un trop séduisant militant nationaliste avant de se résoudre à travailler pour un quotidien local où le "reportage photographique" ne semblait obéir à d'autres fins que celles de perpétuer une collectivité insulaire mise à mal par les luttes sanglantes entre dans nationalistes. C'est lasse de cette vie qui Antonia, succombant à la tentation de s'inventer une vocation, décide, en 1991, de partir pour l'ex-Yougoslavie, attirée, comme tant d'autres avant elle, dans le champ magnétique de la guerre, cet irreprésentable. De l'échec de l'individu à l'examen douloureux des apories de toute représentation, Jérôme Ferrari explore, avec ce roman bouleversant d'humanité, les liens ambigus qu'entretiennent l'image, la photographie, le réel et la mort.

08/2018

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Littérature française

Ecoute la pluie

« Puis le ronflement sourd de la rame qui s’approchait à grande vitesse a provoqué un frémissement parmi les rares voyageurs. Le vieil homme s’est tourné vers moi avec toujours ce sourire limpide, j’ai cru qu’il allait me demander quelque chose, mais il a sauté sur les rails comme un enfant qui enjambe un buisson, avec la même légèreté. » Avant que le vieil homme ne se jette sur la voie en lui adressant son dernier sourire, la narratrice partait rejoindre l’homme qu’elle aime à l’hôtel des Embruns. Le choc a fait tout basculer. Plutôt que d’aller à la gare, elle s’enfonce dans les rues de Paris pour une longue errance nocturne sous l’orage. Revenue chez elle au petit matin, toujours incapable d’expliquer à son amant pourquoi elle n’était pas au rendez-vous, elle murmure à son intention le récit de sa nuit blanche. Lui, le photographe pour qui les mots ne sont jamais à la hauteur, sera-t-il capable de comprendre l’énigmatique message qu’elle finit par lui laisser : « Écoute la pluie » ? Avec ce roman dense et bouleversant, Michèle Lesbre poursuit une œuvre lumineuse qu’éclaire le sentiment du désir et de l’urgence de vivre. Ce douzième livre a été inspiré à Michèle Lesbre par le « petit monsieur de la station Gambetta » à qui est dédié Le Canapé rouge (Sabine Wespieser éditeur, 2007). En même temps que ce nouveau roman, reparaît un récit publié pour la première fois en 2001, hommage à un autre disparu, Victor Dojlida, une vie dans l’ombre. L’essentiel de l’œuvre de Michèle Lesbre, qui vit à Paris, est réuni dans le catalogue de Sabine Wespieser éditeur.

02/2013

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Ethnologie

Louons maintenant les grands hommes. 3e édition revue et augmentée

C'est en 1936, à vingt-sept ans, que James Agee a écrit ce livre exceptionnel sur la misère au sud des Etats-Unis. Louons maintenant les grands hommes est un de ces grands textes qui marquent une génération. Le souffle d'Agee, son regard de cinéaste, l'intensité de sa vision – presque anormale – surprennent et vous emportent dans un flux. Agee est comme habité et son livre dicté par des forces. Jamais un pays, une condition de classe, une très banale vie quotidienne de paysans n'ont été pareillement décrits. Cette minutie dans le détail, une férocité de ne rien laisser dans l'ombre déroutent puis émeuvent et convainquent. Jamais incantation lyrique aussi intérieure n'a inspiré de tels documents. James Agee, d'une famille anglicane du Sud, après avoir fait ses études à Harvard, a été chargé par le groupe de presse Time-Life d'un reportage de six semaines sur les Blancs pauvres de l'Alabama. Accompagné de Walker Evans – qui sera le plus célèbre photographe américain –, comme deux espions, ils vont au sein de trois familles, tenter d'approcher la vérité. Mais qu'est-ce que la vérité d'un homme, d'une société ? N'est-elle pas insaisissable ? Agee nous le fait percevoir. L'intention première est donc un compte rendu. Mais la personnalité fiévreuse de l'auteur, la transparence poétique qu'il donne à tout ce qu'il regarde vont tirer de la vie la plus humble son expression la plus haute. C'est une protestation contre la réalité, une déchirure, une brûlure intérieure qui inspirent ces portraits dont la tonalité est des plus singulières dans notre littérature et bouscule la tradition sociologique. Dense de tout vouloir dire, écrit comme pour être entendu à haute voix, ce livre universel atteint une hauteur et une vérité de visionnaire inégalées.

04/2017

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Science-fiction

Un lourd fardeau Tome 1 : L'héritage

Imaginez-vous, un instant, que tout ce que vous avez toujours connu n'était qu'une illusion. Les gens que vous côtoyez régulièrement, ainsi que votre vie, ne sont en fait que le reflet de ce qu'est véritablement votre réalité. C'est ce qu'a vécu Haley, la protagoniste de ce roman, en découvrant le terrible secret qui accable sa famille depuis plus de mille ans. Un secret qu'elle découvrira d'une façon atroce. Elle se verra, malgré elle, plongée dans un voyage éprouvant autant émotionnellement que physiquement. Agée de dix-huit ans, voilà qu'elle renaît dans un univers magique, bouleversant et dangereux. Sa survie dépendra de ses choix ainsi que de sa force de caractère. Acceptera-t-elle ce secret, mais surtout, qu'en ferat-elle ? Ouvrez ces pages et suivez-la dans un voyage cahoteux, à la fois drôle et déchirant. Ecrivaine, rêveuse à temps plein, photographe à temps perdu et "geekette" de naissance, Stéphanie Dugas est une artiste passionnée des mondes imaginaires. Agée de vingt-huit ans et originaire de Paquetville, Stéphanie écrit des histoires depuis l'âge de six ans. En 2012, elle obtient un baccalauréat en spécialisation en études littéraires, puis une maîtrise dans le même domaine. Elle publie les deux premiers tomes de sa saga Un lourd fardeau en 2015 et 2016, et cela à compte d'auteure. En 2016, elle publie également, de façon intime, solitaire et à titre de coauteure, A la recherche du bonheur, les deux tomes d'un roman semi-biographique initialement écrit par sa grand-mère Dugas, réalisant le rêve de vie de cette dame atteinte de la maladie d'Alzheimer. En 2018, ayant déjà vendu plus de mille exemplaires de ses romans, elle décide de rééditer son premier tome sous la bannière des Editions de la Francophonie.

12/2018

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Littérature française

Daily fiction. Histoires de la vie ordinaire

Ce sont des passants dans les rues de Brooklyn, de Paris ou d'Odessa. Peu importe, en fait. Un regard, une ombre sur le mur, une phrase à peine entendue, des choses comme on en voit tant, tous les jours, sans y prêter attention. A tort : Matthieu Raffard et Albéric d'Hardivilliers nous offrent ces instantanés de la vie ordinaire avec un relief et une sagacité nouvelle. L'écriture investit le hors-champ de l'image, le quotidien devient le socle d'une histoire à mille ramifications. Avec ironie parfois, mais toujours tendres et bienveillants, les deux auteurs dessinent une humanité sur le fil, et chacun de ces anonymes, fragiles et magnifiques, de devenir soudain les héros du monde contemporain. La recette est simple, un jeu d'enfant : chaque jour, une photo inspire une histoire de quelques lignes. L'effet est marquant, vif, frais, revigorant. Pendant deux ans, le photographe et l'écrivain ont extrait de la gangue du quotidien, de l'insignifiant porté par le hasard, une matière insolite. Cette centaine de fictions proposent de véritables illuminations. La plage qui se vide, un fils qui visite sa mère, l'inconnue du bistrot, ou cette lumière étrange qui tombait sur Manhattan... Daily Fiction est un beau livre. Par cette combinaison originale de la photographie et de la fiction, par la fraîcheur qui s'en dégage, par la justesse et la nervosité du trait, aussi vif qu'un instantané. Des petits bouts de bonheur, des nouvelles à lire et à voir telle une friandise que l'on s'accorderait tous les soirs. D'Odessa à New York, de Dunkerque à Stockholm, ces quidams deviennent soudain les héros anonymes de notre monde contemporain et renvoient à quelque chose d'universel.

10/2012

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Beaux arts

Chastel et l'Italie 1947-1990. Lettres choisies et annotées

Couvrant près de quarante ans, la correspondance échangée entre André Chastel (1952-1990) et de nombreux historiens de l'art, historiens, philologues et artistes italiens témoigne de la richesse des relations nouées avec l'Italie dès l'immédiat après-guerre. Glanés dans les archives Chastel de la bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art à Paris ainsi que dans celles de ses correspondants en Italie, ces écrits évoluent, passant petit à petit de simples courriers administratifs à de véritables débats scientifiques, allant même jusqu'à offrir des témoignages d'amitié vraie entretenue avec Roberto Longhi, Giuliano Briganti, Sergio Bettini ou Enrico Castelnuovo. Ils documentent tout autant l'engagement de Chastel en faveur d'un renouveau de l'histoire de l'art en France que l'intérêt porté parallèlement aux approches méthodologiques de ses collègues italiens, de Roberto Longhi à Bernard Berenson, en passant par Carlo Ludovico Ragghianti, Eugenio Garin et Sergio Bettini. Ils nous renseignent également sur la réception de ses travaux en Italie, comme dans le cas de son Art italien (Paris, Larousse, 1956), traduit et publié dès 1957 grâce à Roberto Longhi. S'y manifeste également son engagement pour la défense du patrimoine, notamment dans le cadre de sa participation au rayonnement du "Centro internazionale di studi di architettura Andrea Palladio " de Vicence. Bien au-delà du milieu des historiens de l'art, ce "dialogue" de Chastel avec l'Italie invite aussi les personnalités les plus en vue de l'époque, tels Mario Praz, Vittore Branca, Italo Calvino et Federico Fellini, et révèle, dans les lettres adressées aux peintres Massimo Campigli et Zoran Music ou au photographe Milton Gendel, des aspects inédits des réflexions de Chastel.

03/2020

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Musique, danse

Route du jazz. Afrique(s), Amérique(s), Caraïbe(s)

ROUTE DU JAZZ Samuel Nja Kwa, Préface de Manu Dibango Editions DUTA, 174 pages, 54 photos noir et blanc, 27 photos couleur, 45 euros ISBN : 978-2-9542391-0-1 Distribution : DAGAN Distribution (info@dagandiffusion. com) ROUTE DU JAZZ raconte l'histoire musicale des Africains. Un point de départ, l'Afrique ; plusieurs territoires au-delà des mers : Les Amériques, les Caraïbes. Ré¬sultat ? Le rythme se multiplie et prend des formes nouvelles là où il renait. Produit d'une synthèse entre la tradition africaine et la création européenne, rendue possible sur le sol américain, le jazz porte en lui les stigmates de l'Histoire. A travers des portraits et entretiens, le photographe Samuel Nja Kwa retrace le voyage du rythme. Des anecdotes, des témoignages personnels, un hommage aux acteurs de cette épopée. LES MUSICIENS QUI FONT LA ROUTE DU JAZZ AFRIQUES Ali Farka Touré, Cheick Tidiane Seck, Doudou Ndiaye Rose, Etienne Mbappé, Femi Kuti, Francis Bebey, Guem, Hugh Masekela, Ibrahim Abdullah, Jean-Jacques Elangué, Lionel Louéké, Malia, Manu Dibango, Miriam Makeba, Ray Lema, Richard Bona, Sandra Nkaké, Seun Kuti, Somi, Tony Allen Toumani Diabaté et Taj Mahal, Zim Ngqawana. AMERIQUES Abbey Lincoln, Ahmad Jamal, Antoine Roney, Archie Shepp, Bennie Maupin, Carlinhos Brown, Cassandra, Wilson, Christian Scott, Danilo Perez, David Murray, Dianne Reeves, Elvin Jones, George Clinton, Gil Scott Heron, Gregory Porter, Herbie Hancock, James Carter, Jimmy Scott, Kenny Garrett, Liz McComb, Maceo Par¬ker, Macy Gray, Mal Waldron, Marcus Miller, Nicholas Payton, Nile Rodgers, Olu Dara, Orlando Poleo, Pharoah Sanders, Randy Weston, Ravi Coltrane, Ray Charles, Rhoda Scott, Ron Carter, Roscoe Mitchell, Sam Rivers, Shirley Horn, Stanley Clarke, Susana Baca, Trombone Shorty, Wallace Roney, Wayne Henderson, Wayne Shorter, Yusef Lateef. CARAÏBES Alain Jean-Marie, Calypso Rose, Courtney Pine, Franck Nicolas, Jacques Coursil, Michel Sardaby, Omar Sosa, Roberto Fonseca.

03/2014

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Cinéma

Chris Marker, les médias et le XXe siècle. Le revers de l'histoire contemporaine

L'histoire du XXe siècle a produit un nombre d'images sans précédent : depuis la Grande Guerre, chaque événement laisse une multitude d'images fixes et animées. A partir de l'oeuvre du cinéaste et artiste Chris Marker (1921-2012), cette étude - essai historique et philosophique - s'intéresse au rõle du cinéma dans la médiatisation de l'histoire contemporaine. Révolution de 1917, seconde guerre mondiale, guerre du Vietnam. luttes de décolonisation, Mai 1968, 1973 au Chili, effondrement de l'URSS et du bloc de l'Est, 11 septembre 2001 ... Chris Marker n'a jamais cessé de réfléchir sur les soubresauts de l'histoire. Son oeuvre, foisonnante et polymorphe, traite ces sujets et plane sur cette longue durée. Quel est l'intérêt du cinéma de Chris Marker aujourd'hui ? Penseur autant que cinéaste, photographe, archiviste..., il est celui qui a le plus profondément et systématiquement réfléchi à la mise en scène cinématographique de l'histoire, en montrant ses envers et revers. De cette oeuvre très actuelle on peut tirer une leçon de philosophie et une réflexion inédite sur le temps et la mémoire, sur les rapports complexes entre image et réalité, au travers des événements, petits et grands, du XXe siècle. Ecrire l'histoire au cinéma c'est questionner les sources (archives) et la forme d'écriture offerte par le médium (montage). Pour l'auteur du Fond de l'air est rouge, écrire l'histoire au cinéma c'est aussi écrire une histoire du cinéma et penser l'histoire c'est penser le cinéma. L'étude se fonde sur des analyses de films, de vidéos et d'écrits de Marker mis en regard avec des textes de philosophie, de théorie de l'image et du cinéma ainsi que d'histoire et de sciences sociales.

07/2018

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Photographie

Descente au paradis

Le département d’Indre-et-Loire a la forme prédestinée d’une feuille de vigne, suivant à peu près les limites de l’ancienne Touraine. Le livre propose le récit du vagabondage de deux amis, le photographe et l’écrivain, à travers les paysages du « jardin de France » cher à Rabelais. Le voyage suit le fil conducteur des rivières. Il commence les pieds dans l’eau : tous les ans, à la même date en été, trente ou quarante personnes (sans compter les enfants, les chiens et les écrevisses) se rassemblent pour un déjeuner dans la rivière, hors du temps et de ses fatigues. Dans cette scène s’exprime précisément le tempérament des Tourangeaux, ces « fainéants sublimes » dont parle Balzac, habitants d’un pays où le temps ne passe pas à la même vitesse qu’ailleurs : ils ont gardé de la longue fréquentation des rois un esprit agile et goguenard, et l’habitude de n’en penser pas moins. La promenade se poursuit le long des rivières, à travers les forêts, les villes et les vignobles (la Loire est aussi un fleuve de vins, et la figure du vigneron exprime avec une intelligence particulière l’esprit ligérien), ponctuée de haltes chez les pêcheurs, paysans, techniciens, cuisiniers, libraires, artistes, vignerons, citadins ou ruraux, qui donnent vie à ces lieux. Le ton du livre est celui d’une flânerie légère et attentive, volontiers ironique, mettant souvent en scène les deux voyageurs, nourrissant le récit d’anecdotes, de souvenirs, de pensées furtives, d'évocations littéraires. Les photos de Jean-Luc Chapin proposent une vision personnelle et intense des lieux, des monuments, des gens. Le texte de Jean-Marie Laclavetine qui accompagne les photos de Jean-Luc Chapin est une version abrégée de celui qui paraît simultanément, sans illustrations, dans la collection « Le sentiment géographique », sous le titre Au pays des fainéants sublimes.

10/2011

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Chiens

Billebaude N° 21, automne-hiver 2022 : Le chien

Le chien, meilleur ami de l'homme. Comment le chien est-il devenu le meilleur ami de l'homme ? Quelles ont été les étapes du rapprochement entre l'homme et le chien ? Compagnon de jeu, accessoire de mode, animal dressé pour toute sorte d'usages (chien d'aveugle, de traîneau, de garde, de sauvetage, de chasse...), le chien a réussi à se rendre indispensable dans toutes les sociétés, depuis la nuit des temps. Pour interroger cette place, ce numéro s'appuiera sur les travaux de nombreux chercheurs et chercheuses : Valérie Chansigaud, historienne ; Dominique Guillo, sociologue ; Charles Stépanoff, anthropologue ; Denis Vigne, archéologue et biologiste. Dans l'art aussi, le chien est roi. A travers plusieurs galeries de photographies et de peinture, ce numéro de Billebaude témoignera de l'intérêt des artistes pour nos fidèles compagnons. Nicolas Milanovic, conservateur en chef du musée du Louvre et commissaire de l'exposition " Les animaux du roi " au Château de Versailles commentera les représentations du chien à la cour du roi. Vincent Lecomte, docteur en sciences de l'art présentera les oeuvres photographiques de l'artiste taiwanais Tou Yun-Fei. Martin Bethenod, directeur général de la Bourse du Commerce, analysera les étonnants portraits anthropomorphiques de braques de Weimar par le photographe américain William Wegman. Comment imaginer un numéro sur le chien sans proposer un détour dans l'univers de la bande-dessinée ? Philippe Delisle, professeur d'histoire contemporaine, s'y attellera justement pour tirer les portraits des inoubliables Milou, Idéfix, Bill et Rantanplan. Et, pour parachever ce Billebaude 21, Anne Simon, directrice de recherche au CNRS, nourrira dans un dossier spécial une réflexion philosophique sur la figure du chien dans la littérature, avec des extraits choisis de Virginia Woolf, Romain Gary et Jack London. Bonne lecture !

11/2022

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Histoire naturelle

Alfred Russel Wallace, l'archipel malais. Berceau de l'orang-outan et de l'oiseau de paradis

Découvrez pour la première fois en langue française le fascinant voyage en Asie du Sud-Est d'Alfred Russel Wallace, codécouvreur de la théorie de l'évolution. L' expédition naturaliste de l'homme resté dans l'ombre de Charles Darwin est ici enrichie et magnifiée par les clichés du photographe américain Tim Laman. Quel plus bel hommage pour fêter le bicentenaire du père de la biogéographie que de rendre enfin justice à son travail ? Alfred Russel Wallace (1823-1913), naturaliste britannique, connu pour avoir été le premier à étudier la répartition géographique des espèces asiatiques, joua un rôle majeur dans les avancés de son temps. Grand rival méconnu de Charles Darwin, il découvre pourtant en même temps que son confrère le concept de la sélection naturelle. Poussé par son intuition, il entreprend une expédition de huit années dont il reviendra chargé de milliers de spécimens et avec les ébauches de son oeuvre la plus remarquable : The Malay Archipelago. Traduction de ce récit de voyage étourdissant, L'archipel Malais mêle avec subtilité l'exactitude scientifique et l'élégance littéraire à travers l'oeil curieux et passionné de son auteur. Plus qu'un traité naturaliste, il est aussi la retranscription d'une grande aventure personnelle peuplée de découvertes animales et de rencontres humaines. Les gravures sur bois d'époque et le fonds photographique contemporain apporté par le travail de Tim Laman en font un beau-livre audacieux et éclatant, parfait reflet de ce texte ancré dans son époque, et pourtant d'une grande modernité par les problématiques qu'il soulève : les dérives d'une société matérialiste, les conséquences de l'action humaine sur l'environnement... Une juste réhabilitation d'une figure clef de l'histoire des sciences naturelles et de l'exploration qui demeure un des hommes les plus brillants et visionnaires de son temps.

11/2022

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Biographies

Pierre Loti, l'évadé

La biographie originale et personnelle d'un écrivain-voyageur atypique par la première épouse de Romain Gary. Julien Viaud, passé à la postérité sous le nom de Pierre Loti, est mort le 10 juin 1923 à 73 ans. On lui fit alors des funérailles nationales. En 2023, nous fêterons donc le centième anniversaire de sa disparition alors que son extravagante maison de Rochefort avec sa mosquée damascène, fermée depuis 2012 et en cours de restauration, rouvrira ses portes le jour même de cet anniversaire. Contrairement à tant d'écrivains qui n'ont connu la gloire qu'à titre posthume, Loti fut adulé tout au long de sa vie, il connut un vif succès et fut reçu tôt à l'Académie française. Très vite, il s'évada de son enveloppe de petit homme assez quelconque en se muant en un autre par divers artifices : " Je n'étais pas mon genre ", écrira-t-il. Les contrastes de sa vie d'homme de lettres et d'officier de marine ont toujours intrigué. La légende romantique de ses amours avec des belles de toutes couleurs fascinait ses contemporains avides d'exotisme. Les échos les plus provocants circulaient à son encontre. Ses déguisements, maquillages et talons hauts faisaient jaser. Sarah Bernhardt, son amie intime, le surnommait " Pierrot le fou ", mais, au vu de ses états de service, ses supérieurs dans la Royale tout comme ses camarades supportaient ses frasques. Aux conventions de l'Occident, Loti préféra toujours la chimère d'un Orient revisité. Grand voyageur, écrivain prolifique et talentueux et même photographe, il connut son plus grand amour et sa plus périlleuse aventure avec une odalisque circassienne, Aziyadé, qu'il enleva d'un harem turc.

01/2023

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Oiseaux

La vie des oiseaux. Avantages et inconvénients de la vie en communauté

Une approche singulière et fascinante de la vie sociale des oiseaux par une grande spécialiste des oiseaux. Des exemples d'organisation de communautés d'oiseaux du monde entier. De très nombreuses espèces d'oiseaux n'adoptent pas l'approche isolationniste de la nidification et de l'établissement d'un territoire. Si l'endroit idéal pour nicher n'est pas celui où l'on trouve de la nourriture en abondance, des oiseaux choisissent d'y créer une colonie de reproduction - des familles s'installent près les unes des autres et font la navette entre le nid et les aires d'alimentation. Ces "agglomérations" aviaires dynamiques et assourdissantes peuvent nous rappeler nos propres villes : les citoyens vivent côte à côte mais défendent farouchement leur propre petit cercle d'espace contre l'intrusion de leurs voisins. Les différends, la rivalité, la jalousie et la tromperie sont monnaie courante, mais lorsqu'un danger extérieur menace un individu, toute la communauté se lève pour faire face à la menace. Ce livre explore la forme et la fonction des sociétés d'oiseaux à travers le monde, de la forêt tropicale à l'île isolée, et jusque sur les toits de nos propres villes. Auteure, photographe et illustratrice, Marianne Taylor a travaillé sept ans dans l'édition, spécialisée dans les ouvrages sur les oiseaux, avant de collaborer à la revue Birdwatch. En qualité d'auteure, elle a déjà publié plus de 30 livres sur l'histoire naturelle, dont certains publiés en français chez Delachaux et Niestlé et récemment Chouettes et hiboux le livre de toutes les espèces aux éditions du Gerfaut. Elle a écrit un certain nombre de guides pour la Royal Society for the Protection of Birds qui est la plus grande organisation pour la protection des animaux en Europe, comptant plus d'un million de membres.

02/2023

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Beaux arts

Gala et Dali, de l'autre côté du miroir

"Vous et moi, nous ne nous quitterons jamais...". Gala et Dali se sont aimés pendant plus de cinquante ans, et Cadaqués fut l'écrin de leur folle passion. A l'été 1979, Dominique de Gasquet se présenta chez eux en se faisant passer pour une voyante extralucide et une tireuse de cartes ; charmés, ils lui ouvrirent leur porte... Elle fut invitée par Gala au château de Pubol et y écouta, enchantée, le récit des aventures de cette muse d'origine russe : la découverte de Paris et du surréalisme, son premier mari Paul Eluard et son amant Max Ernst, son coup de foudre et son mariage avec Dali... Là, Dominique de Gasquet fit également la connaissance de Paquita et d'Arturo. Entré au service du couple en 1948, Arturo fut tour à tour jardinier, majordome, chauffeur, photographe, convoyeur de fonds et homme de confiance, et resta aux côtés du peintre jusqu'à la mort de celui-ci en 1989. Paquita, témoin de la vie intime de Dalí et Gala, de leur amour indestructible, de la poésie de leur quotidien loin des mondanités des grandes villes, raconte ici pour la première fois ses souvenirs et ceux de son mari, aujourd'hui disparu. Dans les ruelles de Cadaqués, enveloppée par les parfums, les couleurs, les bruits de la rue et de la mer, Dominique de Gasquet part à la recherche des témoins de cette époque, donne voix à plusieurs générations et personnalités unies par leurs souvenirs et leur forte affection pour Gala et Dali. Ce livre est une enquête littéraire autour de la petite famille que les deux artistes s'étaient choisie dans ce coin préservé d'Espagne, l'"autre côté du miroir".

05/2017

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Cinéma

Les archives Ingmar Bergman

Depuis la sortie du Septième Sceau et des Fraises sauvages, Ingmar Bergman fut l'une des figures de proue du cinéma international. En 60 ans de carrière, il a écrit, produit et réalisé 50 films, dont Persona, Scènes de la vie conjugale ou Fanny et Alexandre, qui révèlent comment on se perçoit et comment on se comporte avec ceux que l'on aime. Avant sa mort, en 2007, Bergman avait accordé aux co-éditeurs TASCHEN et Max Ström un accès illimité à ses archives de la Fondation Bergman, ainsi que l'autorisation de rééditer ses écrits et interviews, dont beaucoup n'avaient jamais été diffusés hors de Suède. L'iconographe Bengt Wanselius, photographe de plateau de Bergman pendant 20 ans, a exploré des archives photographiques dans toute la Suède, découvert des images encore inconnues des films du réalisateur, sélectionné des clichés inédits tirés des archives personnelles de nombreux photographes. Cette réédition remet en avant Les Archives Ingmar Bergman, ouvrage le plus complet jamais paru sur le cinéaste, aujourd'hui épuisé. Pour ce projet déjà récompensé, Paul Duncan, éditeur chez TASCHEN, a rassemblé toute une équipe de spécialistes de Bergman pour collaborer à l'ouvrage. De leurs recherches est né un récit proposant, pour la première fois, une synthèse de l'oeuvre cinématographique de Bergman. La profondeur des écrits de Bergman est telle que la plus grande partie de l'histoire est racontée avec ses propres mots. Cet ouvrage offre également une introduction écrite par Erland Josephson, grand ami de Bergman, dont il fut aussi l'acteur et le collaborateur. Le 24 novembre 2008, les archives Ingmar Bergman et les éditeurs Paul Duncan et Bengt Wanselius se sont vu décerner le prix August 2008 du meilleur essai publié en Suède, récompense littéraire la plus prestigieuse en Suède, attribué par un jury de libraires et de bibliothécaires issus de tout le pays.

06/2018

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Récits de voyage

L'Echappée belle. Eloge de quelques pérégrins

La Suisse est souvent affublée du cliché d'un peuple sédentaire et "raisonnable" . Mais ce serait oublier la claustrophobia alpina, toute spécifique d'une identité bien plus complexe qu'il n'y paraît. Il existe en effet une tradition vagabonde, dont Nicolas Bouvier, grand voyageur et écrivain de "l'état nomade" , va creuser les origines et illustrer l'ampleur par cet "éloge de quelques pérégrins" . Outre les aventures conquérantes et mercenaires et autres équipées collectives, on voit émerger, à partir du XVIème siècle, un nomadisme individuel - quête d'une vie meilleure, mais parfois pure recherche d'une ouverture au monde proprement humaniste. Cette "échappée belle" , c'est aussi celle de l'auteur, qui nous livre quelques pages d'une intimité bouleversante sur ses propres raisons de voyager, et qui l'amènent au coeur même de sa définition de l'écriture : quitter le connu pour toujours mieux percevoir l'inconnu, disparaître au profit d'une réalité qu'on veut rejoindre. Nicolas Bouvier (1929-1998), écrivain, poète, essayiste, photographe, iconographe et voyageur, est né à Genève. Il a publié une dizaine d'ouvrages, dont L'Usage du monde, Le Poisson-Scorpion, Chronique japonaise, Journal d'Aran et d'autres lieux, et aux éditions Metropolis, Routes et Déroutes (entretiens avec Irène Lichtenstein-Fall) en 1992, Une Orchidée qu'on appela Vanille et La Chambre rouge en 1998. La première édition de L'Echappée belle date de 1996. Nous la reproduisons ici dans son intégralité au format poche. Nicolas Bouvier nous emmène en voyage dans cette Suisse vagabonde où il puise ses racines, et nous trace le portrait de quelques compagnons humanistes ou écrivains pérégrins, vagabonds, ou encore conteurs orientaux : Thomas Platter, Paracelse, Rousseau, mais aussi Maria Sibylla, Gobineau, Ramuz, Louis Gaulis, Lorenzo Pestelli, Ella Maillart, Vahé Godel, Kenneth White, Albert Cohen, Henri Michaux...

11/2023

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Thèmes photo

J'irai goûter l'air qu'ont respiré les bêtes sauvages

Un ouvrage mémoriel sur les plus belles images du photographe Christophe Sidamon-Pesson disparu en 2014. Christophe Sidamon-Pesson (1975-2014) Alors qu'il n'est encore qu'un enfant, à la faveur d'un été, le jeune Christophe découvre cette vallée du Queyras, si éblouissante à ses yeux, " un royaume préservé " qui va devenir, sinon le théâtre de l'essentiel de sa vie, cet espace de nature hors du commun dont la découverte va développer chez lui une inspiration artistique originale, nourrie d'émotions toujours plus profondes et de réflexions sur le monde. Les nombreuses images primées au fil du temps par les jurys internationaux témoignent de son talent. Au milieu de centaines de photographes naturalistes français et étrangers, l'auteur a patiemment ouvert un chemin qui le place en tête des plus remarqués de son époque par son approche artistique. Sa quête insatiable d'une nature originelle, qu'à l'instar de son ami Bernard Boisson il qualifiait d'espace primordial, l'amène aussi à voyager. En novembre 2014, de retour d'une de ces expéditions sous les aurores boréales, et poussé par un vent de tempête, de ceux " qui agitent les êtres et les esprits " avait-il déjà écrit, il est parti dans l'ultime voyage, laissant une oeuvre artistique inachevée remarquable et précieuse dont cet ouvrage entend se faire l'écho. Par ces temps où l'image fabriquée se déverse dans le quotidien de nos vies, le besoin absolu de nature exprimé par celui qui voulait " goûter l'air qu'ont respiré les bêtes sauvages ", ne peut laisser indifférent. Les fragments de ses écrits dessinent le fil de son parcours, tout en nous laissant, à chaque ligne blanche, l'impression d'un enchaînement sans cesse interrompu, de la mise en suspension d'une pensée qui laisserait place à la nôtre. Michel Blanchet

10/2023

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Urbanisme

L'Art en Mouvement. Immersion dans le réseau de transport parisien

Arts et Métiers et son fabuleux décor de sous-marin, Concorde et sa Déclaration des droits de l'Homme en céramique, le vitrail de la poule russe à Madeleine, l'immense bouche en mosaïque à Saint-Lazare ou encore cet édicule revisité et paré de perles en verre de Murano à Palais Royal... Le réseau de transports parisien commande et accueille en son sein tant d'autres oeuvres imaginées par des artistes français et du monde entier qui ponctuent et enrichissent les trajets souterrains des Parisiens et des touristes. C'est en confiant, en 1900, la création des édicules à l'architecte Hector Guimard, grand représentant de l'Art nouveau, que la Compagnie du chemin de fer métropolitain de Paris (CMP) marque un acte fondateur. Elle signe par là son adhésion totale à un art gratuit, accessible à tous, émouvant, surprenant, ambitieux. Cette démarche culturelle immersive et cette ouverture artistique continuent aujourd'hui d'être défendues par la RATP. En témoigne la vingtaine de ces créations sélectionnées pour cet ouvrage. Chacune porte en elle sa propre histoire et son propre lien avec son commanditaire : qu'elles réinterprètent l'existant, qu'elles se réfèrent à la mémoire, qu'elles nous plongent dans un monde onirique, ou qu'elles s'inscrivent dans le cadre d'un échange international, ces oeuvres rayonnent et changent imperceptiblement nos déplacements. Anaël Pigeat nous emmène à la rencontre des artistes et leur donne la parole. Elle raconte leur processus créatif, met à l'honneur le travail des artisans associés et les innovations trouvées, et pointe également les nombreuses contraintes liées à l'espace même du métro. Le photographe Philippe Garcia pose un regard contemporain sur ces oeuvres. Il les replace dans leur environnement, puis s'approche pour nous donner à voir la noblesse de la matière et du geste.

11/2021

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Guerre d'Algérie

Ondes algériennes

Ce livre reflète les réactions en trois temps de trois membres de la même famille, sur trois générations, à un même événement : la guerre d'Algérie. Le premier texte, Ondes algériennes de Benoît Séverac, est l'histoire d'une attente absurde qui a duré près de soixante ans. Le père de l'auteur, Jean-Paul Sévérac, appelé du contingent de 1959 à 1962, a été un acteur malgré lui de la guerre d'Algérie. Il n'a jamais pu en parler, probablement parce que ce qu'il a découvert là-bas sur la nature humaine a dépassé son entendement ; mais on a beau faire, les enfants héritent de tout, même de ce qui est tu. Il s'est aussi rendu compte qu'il lui était possible de raconter ce qu'il avait vécu et il a écrit ce qui constitue le deuxième texte de ce triptyque. Loin du récit héroïque, les aventures de Jean-Paul nous montrent un jeune homme qui ne comprend pas. Son regard peut sembler candide ; il est tout simplement vrai, parce qu'il rappelle ce qui est bien et ce qui ne l'est pas. Pour l'aider dans la conception et la mise en page de son récit, Jean-Paul a fait appel à son petit-fils, Jules Séverac, et l'amie de ce dernier, Sara Krzyzaniak, tous deux photographes. En invitant Jules à puiser dans son fonds photographique personnel, Jean-Paul n'imaginait pas qu'il allait, par ricochet, convoquer des images et des impressions chez son petit-fils. Le troisième volet du livre est le reflet de ce travail de photographe. Jules Séverac a remanié les images d'archives de son grand-père en les rendant anonymes pour que chacun puisse se les approprier. Il les a ensuite associées à des photographies contemporaines où l'Algérie est évoquée.

03/2023

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Littérature chinoise

Rouges étaient les flots

Ce récit autobiographique raconte La Révolution culturelle vue par un enfant, devenu jeune homme, de 1966 à 1977, au sein de sa famille dans la grande ville de Harbin au nord-est de la Chine. L'auteur mêle la petite et la grande histoire, qu'il a appris progressivement à déchiffrer, au cours des événements, et bien des années après, où les instants isolés révèlent soudain leur sens grâce à ses souvenirs et, sans doute aussi, à son imaginaire. C'est aussi l'occasion de découvrir une famille sur trois générations, et la mémoire d'un passé plus lointain, emporté par les flots d'une histoire démesurée, celle des rêves et des expériences de Mao, mais aussi des espoirs et des désenchantements de tout un peuple, entrainé dans une épopée tantôt tragique, tantôt tragi-comique. Une galerie de personnages : une grand-mère bouddhiste, un bibliothécaire taciturne, des gamins du voisinage, un vieux photographe exproprié, amoureux de Tchaïkovski, un jeune conteur de Victor Hugo devenu peintre, un couple d'artistes au destin brisé, un soldat désemparé après sa démobilisation, un baryton qui a raté son suicide, une belle danseuse foudroyée par la maladie, une jeune colporteuse de rumeurs qui diffuse le faux testament du Premier Ministre Zhou Enlai... autant de figures qui viennent entrelacer leurs drames à ceux du père de l'auteur, chef d'entreprise broyé par la tourmente politique, et de sa mère, courageuse mais inquiète du destin de ses enfants piégés dans le chaos et la violence. Un témoignage poignant, écrit avec pudeur et retenue, dans un style maîtrisé et lucide, sur la Chine d'une époque particulière, qui croule sous le poids de son Histoire, où ville et campagne se découvrent, où destruction et création s'entrecroisent et donnent à voir un pays où les destins individuels se jouent sur fond d'hystérie collective.

05/2023

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Littérature française

Marabout de Roche

Pendant presque vingt ans, Karine Miermont a pour voisin de palier un homme connu que, somme toute, elle connaît peu ? : Denis Roche. Leurs relations sont chaleureuses, teintées d'estime et de confiance ? ; mais une réserve propre à l'auteure, la discrétion mutuelle qu'implique le voisinage et, bientôt, la maladie de l'écrivain et photographe maintiennent entre eux une distance. A son décès, le besoin prend Karine Miermont de reconstituer - de souvenirs en photographies, de bribes de conversations en lectures, de marabout en bout de ficelle - l'image de celui dont la disparition révèle soudain toute l'importance ? : "? Des silences et des énigmes. Chasse, défrichage, décryptage. Relevé d'indices, de traces, de signes. [... ] Je cherche mon voisin, je cherche Denis Roche. ? " C'est donc ici une sorte de "? tombeau de Roche ? " qu'érige avec délicatesse Karine Miermont ? : hommage qui tient autant du témoignage que de l'essai d'exégèse, reconstitution "? de fil en aiguille ? " d'une personnalité plutôt côtoyée que connue, portrait en mosaïque de celui qui eut lui-même à coeur, dans ses photographies et ses Essais de littérature arrêtée, de fixer les traces de son passage dans le temps. C'est dans cette distance à son sujet, dans ce mixte de retenue et d'intimité que l'ouvrage acquiert sa dimension propre ? : celle d'un récit. A travers l'évocation de ses rencontres avec Roche, c'est l'histoire de sa propre accession à l'écriture que retrace l'auteure, aiguillonnée par ce modèle lointain avec lequel ses affinités profondes se révèlent au fil de l'enquête. Et dans ce dialogue rabouté et sans cesse repris avec l'ami et soutien disparu, Karine Miermont donne la pleine mesure d'une figure d'homme et d'artiste.

08/2021

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Récits de voyage

Au hasard des pistes. Les tribulations d'un bourlingueur

Toutes les histoires décrites dans ce livre sont vraies. Durant ces quarante-sept années à courir les bouts du monde, Philippe Lambillon a quelques souvenirs à nous raconter... des rencontres hautes en couleur, Momo son guide, le sorcier péteur, Kathy la nurse des bébés kangourous, quelques frayeurs, les Jivaros coupeurs de tête, les mygales et les scorpions dans la doublure de sa veste, mais aussi des aventures délirantes en compagnie de certaines tribus dont les traditions sont bien loin des nôtres. On ne sort pas indemnes de ce livre explosif mais on en demande encore ! Philippe Lambillon est sans doute le présentateur qu'on ne présente plus tant son chapeau et son équipement de grand voyageur est connu de tous. L'infatigable bourlingueur a fêté ses 30 ans d'émission en 2020 et détient le record de longévité avec ses 300 fictions diffusées chaque année en prime time sur La Une puis multi rediffusées de par le monde grâce à TV5 Monde. Philippe Lambillon a entrepris, à 21 ans, ses premiers tours du monde comme photographe de presse. Correspondant pour plusieurs journaux et magazines européens, il sillonne les cinq continents à la recherche des derniers peuples autochtones de la planète. De 1985 à 1991, il produit et présente pour la RTBF les Sentiers du Monde, une émission consacrée à l'aventure et aux explorateurs. Depuis 1991, il produit, scénarise et réalise pour la Rtbf et TV5 Monde Les Carnets du Bourlingueur une série de reportages conçus comme de véritables fictions exotiques où l'humour est omniprésent, achetée par de nombreuses chaînes de télévision à travers les cinq continents. Suivis chaque semaine par près de 200 millions de téléspectateurs, ils figurent parmi les dix programmes de voyage les plus regardés dans le monde.

10/2022

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Récits de voyage

Venise. Vues dessinées, Edition bilingue français-anglais

Venise, Vues dessinées est une?invitation à découvrir la Sérénissime à travers?une suite de 64 dessins inspirés des védutistes des?XVIIIe et XIXe siècles. Planches panoramiques des merveilles?architecturales de la Cité des Doges, intérieurs ancestraux foisonnants?de détails, cadrages insolites dans les ruelles... Vincent Brunot nous entraîne?à sa suite dans une promenade à la fois poétique et documentaire dans les divers quartiers de cette ville unique, si riche d'histoires et de rêves, mais à la fois si fragile... /Views of Venice is an invitation to discover "La Serenissima" through a set of 64 drawings inspired by the vedutisti of the 18th and 19th centuries. Panoramas of the architectural wonders that proliferate across the city of the Doges, ancestral interiors rich in detail, original compositions in the alleyways... Vincent Brunot gives us a guided tour, both poetic and descriptive, around the di erent parts of this unique city, rich in history and reverie, but also sensitive and threatened./ " Quand je commence à dessiner, le temps se ge et, au l des heures, l'animation des lieux berce mon travail, mais c'est une Venise intemporelle?qui apparaît sur la feuille : celle de Guardi et de Canaletto, avec ses perspectives inchangées depuis des siècles, ou celle des premières photographies qui, avec leur long temps de pose, ne retenaient ni les passants ni les touristes... " Vincent Brunot/ "While drawing, I'm oblivious to time. Ambient?life ows through my work. But with Venice, what appears on the paper is timelessness. This is the Venice of Guardi and Canaletto, with perspectives that have remained unchanged down the centuries. It's also that of the rst photographs, which, with their long exposure time, captured neither passers- by nor tourists..." Vincent Brunot

10/2021

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Grandes réalisations

Châteaux & dépendances

De châteaux, il en sera beaucoup question dans ce livre. Des dépendances aussi mais surtout de dépendance, cet état si particulier qui habite les propriétaires de ces lieux. Qui sont donc ces châtelains ensorcelés ? Particuliers sans particule, ils ne sont pas héritiers ni forcément riches. Mais ils ont pris un jour la décision de se lancer dans l'aventure un peu folle de la vie de château. Curieuses de les rencontrer, nous avons entrepris, avec la photographe Marie-Pierre Morel, un tour de France de leurs châteaux et manoirs. La France compterait 45 000 édifices classés au patrimoine, dont 12 000 sont privés. Le choix n'a pas été facile, certaines portes difficiles à ouvrir. Cette flânerie décorative, sans nostalgie, lève le voile sur des sites confidentiels, jamais ou rarement ouverts au public. Décorateurs, galeristes, antiquaires, artistes et collectionneurs partagent ce talent rare de mettre en scène des univers décoratifs en marge des modes et des tendances. Nous les avons longuement écoutés, puis nous avons parcouru avec eux le dédale de leur palais. Leurs maisons nous racontent des rêves d'enfant, des histoires de coup de foudre, de rencontres inattendues, de folles passions. Lascours, bâtiment dépecée par les cambrioleurs et restauré avec délicatesse par ses nouveaux propriétaires, nous dévoile ses blessures. Ravel, aux allures de forteresse imprenable, cache derrière ses hauts murs des trésors de raffinement. Le château du poète Jean Rameau, jalousement gardé, dévoile enfin ses fantaisies décoratives... Ce sont ces instantanés de vie que nous avions envie de partager. Poser le regard sur le joyeux désordre d'un atelier, capturer l'aube naissante au saut du lit, s'attarder sur un détail sans importance, saisir l'esprit des lieux. Les châteaux sont dans l'air du temps, Ce livre vous invite à remonter le temps et les époques en découvrant l'univers poétique de châtelains atypiques.

10/2021

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Musées français

Les peintures italiennes du musée des Beaux-arts et d'Archéologie de Besançon. L'oeil et la main

Un an après sa réouverture, le musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon a demandé à l'historien d'art et photographe Nicolas Joyeux de réaliser le premier catalogue des peintures italiennes des collections, du XIVème siècle au XVIIIème siècle. Un riche ensemble de près de trois-cent tableaux, formé depuis la Renaissance et le mécénat de la puissante famille bisontine des Granvelle, qui reçoit en cadeau du prince florentin, Cosimo I de'Medici, la Déploration sur le Christ mort d'Agnolo Bronzino, – certainement la peinture italienne la plus précieuse des musées de France. Une collection sauvée par l'entremise de l'abbé Jean-Baptiste Boisot et largement augmentée par les legs successifs d'hommes d'armes et d'esprit, artistes et politiciens franc-comtois, désireux d'enrichir, dans une visée encyclopédique, les cimaises du musée. Des tableaux quadrillant toutes les Ecoles de la Péninsule, de la Ligurie à la Sicile, offrant un véritable résumé des temps forts de l'histoire de la peinture italienne, avec deux noyaux durs de renommée internationale, à savoir l'Ecole vénitienne du début du XVIème siècle, illustrée par un des fleurons de la collection du musée, L'Ivresse de Noé de Giovanni Bellini, et la peinture napolitaine du XVIIème siècle, dont le musée possède l'échantillon le plus important des musées de France. Un catalogue qui propose enfin de retracer la grande aventure de la redécouverte des peintures italiennes en France à travers tout le XXème siècle, depuis les travaux pionniers des historiens d'art Roberto Longhi et Bernard Berenson, jusqu'à la création du Répertoire des Tableaux italiens dans les collections publiques Françaises, par l'ancien directeur du Musée du Louvre, Michel Laclotte.

10/2021

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Histoire de l'architecture

La Grande Motte. Patrimoine du XXe siècle, Edition revue et augmentée

L'édition augmentée d'une étude sur l'une des plus importantes stations balnéaires de France, La Grande Motte, comprenant des entretiens inédits avec les acteurs ayant permis sa conception. Patrimoine du xxe siècle Il n'y avait là qu'un marais, des moustiques, un paysage inhospitalier, avant qu'un jeune architecte talentueux, Jean Balladur, n'y invente une utopie balnéaire moderne : la station de La Grande Motte, sortie des sables à partir de 1964. Un demi-siècle plus tard, en 2010, la cité reçoit le label Patrimoine du XXe siècle. Ainsi aura-t-il fallu le recul de l'Histoire pour dépasser les premières décennies d'incompréhension, de sarcasmes et de polémiques, et que l'on reconnaisse enfin l'exceptionnelle qualité de son urbanisme, de son architecture et de son aménagement paysager. Gilles Ragot, historien de l'art, spécialiste de l'architecture contemporaine, retrace cette aventure visionnaire et nous fait découvrir une cité pensée comme une oeuvre d'art total qui renouvelle le genre de la villégiature. Aujourd'hui, chacun, habitant, estivant ou amateur d'architecture, retrouvera dans cet ouvrage qui se lit comme un " roman d'architecture " les clefs pour comprendre l'importance de La Grande Motte dans l'aménagement de la côte du Languedoc-Roussillon, mais aussi dans l'histoire de l'architecture. L'Odyssée créative Julie Daurel, journaliste, et Nicolas Millet, photographe, ont l'âge de La Grande Motte et l'ont découverte en 2010. Avec l'intuition qu'une cité aussi singulière n'a pu être imaginée que par des bâtisseurs peu ordinaires, ils parviennent à réunir plusieurs des protagonistes de la première heure, architectes, paysagistes, artistes. Leurs interviews et discussions à bâtons rompus racontent cette grande aventure de leur jeunesse et parfois de toute leur vie : la naissance d'une ville.

03/2023