On a beaucoup parlé du nouveau président des États-Unis pendant la campagne des primaires républicaines, on en a débattu tout au long de l’élection, on ne cesse d’en causer depuis qu’il est assis dans le bureau ovale de la Maison blanche. La presse le qualifie tantôt de rustre, de quasi-illettré, de misogyne, de cowboy, d’inculte ou d’épidermique. On en oublie l’essentiel : Donald Trump est surtout éminemment graphique. La preuve par deux.