On a peine à croire que les seniors brésiliens soient contraints d’allumer leur cheminée en utilisant des livres : voilà qui en dit long sur l’état de pauvreté qui sévit dans le pays. Ou bien était-ce un authentique autodafé que ces deux retraités ont perpétré depuis chez eux ? Dans tous les cas, les ouvrages de Paulo Coelho sont passés littéralement au grill…