Condamnée en 2021 et 2022 pour « propagande contre l'État » et « menace pour la sécurité de l'État », la journaliste et autrice Narges Mohammadi avait écopé en 2023 d'une peine supplémentaire. La justice iranienne prolonge encore sa sentence de 15 mois, à nouveau pour « propagande », dans une perspective de représailles contre une militante aussi acharnée que populaire.