Au moment où La Thébaïde fait paraître un captivant document biographique de l’écrivain résistant fusillé par les nazis au Mont-Valérien (ici), il y a donc exactement soixante-quinze ans, il m’a paru opportun de présenter les deux romans que Jacques Decour eut le temps de publier et que Léo Scheer réédita en un seul volume en 2002.