Des images et des mots qui parlent d'archives ministérielles en partance pour le pilon : à chaque élection, nous avons droit aux mêmes clichés. Pourquoi ce fantasme du broyeur, à chaque changement de gouvernement ? Est-ce la fascination pour le secret d'un pouvoir forcément occulte, soucieux d'effacer tout témoin de son activité ? Les archives détruites comme symbole de l'alternance politique, dans une démocratie pourtant reconnue comme « apaisée » ?