Ce roman se veut une réflexion sur la création musicale, ainsi qu’une méditation sur l’amour et sur le pouvoir à travers les aléas du temps et de l’histoire. La confrontation de ces trois compositeurs se fait sur fond de rire, de pleur, de nostalgie, de remise en question, de descente aux enfers (la Jeune fille et la mort de Schubert), de remontée au paradis (la Flûte enchantée de Mozart), de reconquête de soi et des autres (la Cinquième symphonie de Beethoven et le Don Giovanni de Mozart) avec ce que cela suppose comme rendez-vous avec l’éternité et avec la mort.