La plume est légère, mais elle finit bien par tomber. Claude Klotz (de son vrai nom) s’est éteint, et Patrick Cauvin avec lui. On ne pleurera pas (certes) un Goncourt, ni un génie. On regrettera juste cette facilité à décrire l’enfance, l’adolescence, ces pages qui nous faisaient irrémédiablement rajeunir.