Le temps est à la recherche d'équilibre pour le manga entre rotatives et services de flux numériques. Le 1er février, l'éditeur Digital Manga Inc cessait sa production papier pour six mois le temps de mettre en place une offre numérique fiable. Dans la foulée, Jmanga, service de lecture numérique contre abonnement mettait un terme à ses activités. Avec sa fermeture, s'est posée la question de la sauvegarde de contenus loués moyennant finances. Plus proche encore de nous, Square Enix débranchait ses services pour les marchés nord-américains et français ce mois de mai. Lorgnant sur le succès du participatif comme les procédés de crowdfunding, Manga Reborn lance une phase 2 de sa Bêta autour de titres numériques anglais. Et semble tirer quelques conséquences des précédents échecs.