Dictionnaire encyclopédique d'hypnose

PREMIER JOURNAL d’INFORMATION AUTO – MOTO sur EBOOK.

Des médias s’unissent pour partager du contenu sur internet.

Dans but d’offrir des articles pour le futur utilisateur de tablette Ebook et d’internet Mobile, nous sommes en cours d’élaboration du premier journal d’information sur l’Automobile et la Moto.
Cette idée s'articule autour de deux pivots indispensables déjà réalisés : un moteur de recherche et un dictionnaire encyclopédique, l’ensemble représente 18 années de travail et de Passion.
Détail :
Sujets traités : Evénements - infos actualités auto et moto : A la une en continu (au fil de l’eau) 10 à 15 articles courts chaque jour.
Compétitions et Véhicules Sportifs : Résultats, essais et fiches techniques tous les lundis.
Véhicules Contemporains : Essais et ou comparatifs, fiches techniques, tous les mercredis.
Véhicules Anciens : Essais et ou comparatifs, fiches techniques comprenant l’historique des évolutions, tous les vendredis.
Dossiers Enquêtes : Technologie, Interviews, Musées, Restauration, Sécurité, Ecologie, Industrie, Salons, , Histoire des Marques tous les quinze jours.

Moteur de recherche : avec aide à l’écriture, connecté à 11 bases de données interactives,
57 000* lignes actuellement : Voitures 23 100 réf, Motos 4 800 réf, Marques 8 800 réf, Véhicules Divers 700 réf, Hommes 6 300 réf, Compétition 1 600 réf, Technique 800 réf, Histoire 1 500 réf, Musées 300 réf, Généralités 600 réf, Annuaire 8 500 réf.

Dictionnaire Encyclopédique : Ouvert sur 38 000* mots clés originaux, associés à un très grand nombre de liens hypertextes, (Aujourd’hui + de 1 000 articles et lexiques). Au futur, rédigé par des contributeurs sélectionnés issus des clubs de l’annuaire sous contrôle d’un modérateur (voir Larousse.fr)
Annonces : Petites annonces de vente ou recherche de véhicules avec photos enregistrées par prospection téléphonique dynamique auprès des professionnels. (avec système d’aide à la décision du client)
Annonces de recherche et vente de pièces d’occasion avec programme d’aide à l’insertion de personnes au RSA. (démarche sociale)

Agenda : Calendrier des manifestations, expositions, courses, concentration, bourses, A.G. Club.

Alertes : SMS ou Mail après inscription suivant les intérêts (sujet) et ou région (agenda).

Les Titres ; AUTOCYBER et MOTOCYBER

Plusieurs publications de la PQR et autres journaux généralistes ou magazines communautaires ont accepté de participer au projet ainsi que de grands sites d'informations.

Ces affiliés qui ont signé des lettres d’intention partageront à très faible coût ce contenu sur leurs sites internet.

L’instigateur du projet prévoit de lancer à l'automne une plateforme payante, qui permettrait aux abonnés d'accéder au détail du contenu ainsi qu’à partir des sites affiliés et les rétribuer.

Les Evénements - infos actualités auto et moto du jour resteront gratuites, seuls les trois rubriques et les dossiers seront payants.

Pour en savoir plus, questionnez-moi ?

Pierre LACHET - 06 88 06 14 96 – Email : lachet.pierre@autocyber.com

La sortie du Dixel hier n'est pas passée inaperçue : le dictionnaire de Robert en un seul volume, ainsi nommé parce qu'il est plein d'images et de pixels, semble pourtant comporter quelques bugs... En consultant quelques passages par pure curiosité linguistique et encyclopédique, un lecteur nous a en effet signalé quelques détails intrigants.

Ma petite entreprise...

On peut ainsi consulter l'article Démocrate, qui détaille le parti politique américain, établissant une liste des divers présidents qui furent au pouvoir. Sans peine, on y trouve Johnson, Carter et Clinton... mais aucune mention du président Obama... Sur la version internet, toutefois, l'article est modifié.

S'il est bien mentionné à l'article États-Unis, on s'interrogera cependant de la description qui est faite du pays à la section Économie. « Puissance commerciale et financière, ils sont également le pays le plus endetté du monde. L'économie américaine est caractérisée par le dynamisme du secteur tertiaire (80 % de la population active, 75 % des richesses produites), par la baisse de l'emploi industriel (18 % de la population active, dont 10 % liés aux technologies de l'information) et par un secteur primaire qui n'emploie plus que 2 % des actifs. »
Mais quid de la fameuse crise ?

Même réflexion, toujours à l'entrée Économie, mais cette fois en Espagne : « Le pays présente depuis les années 1990 une croissance vigoureuse qui a permis une baisse du chômage et a assaini les finances publiques. » Étonnant, le pays est donc épargné par la récession ?

Mais le must se retrouvera probablement à l'article Bourse : une absence totale de la crise des subprimes ou de toute autre mention à la conjoncture qui ne manquera pas de faire sourire les plus pointilleux, et les amateurs de précision... On peut même y découvrir : « Aujourd'hui, le niveau des capitalisations boursières atteint des records. » Réaction amusée de notre lecteur : « J'adore ! »
M. Robert ? Qu'en pensez-vous ?

Contacté par téléphone, Didier de Calan, directeur éditorial en charge de la partie encyclopédique et iconographique du Dixel nous répondu. Dans l'ensemble, il faut bien comprendre les impératifs de l'édition : pour l'article Démocrate, par exemple, les modifications n'ont pas pu être apportées avant l'impression. En outre, comme nous le signalions, la modification a été apportée sur le site internet du Dixel.

« C'est là l'atout d'un bi-média papier/internet, qui nous permet d'avoir une relation tout autre aux mises à jour. Le site prend le côté évolutif que le papier ne peut pas avoir, dans le sens où il doit avant tout assurer une base stable de connaissance, et synthétique. Le papier s'inscrit dans la permanence, et non le mouvement, alors que le site internet, lui, a un côté instantané. »

L'idée posée est donc de ne pas s'appuyer sur l'actualité ni de se limiter à des éléments purement factuels. D'autres termes, comme Croissance ou Fonds de pension poseront les mêmes interrogations sur ces faits et dans un futur proche, des dossiers seront mis en place sur la crise, entre autres, pour établir à nouveau un état des lieux.

« Il faut savoir que le taux de renouvellement est de 8 à 9 ans en moyenne pour le dictionnaire d'un foyer. Le cycle peut être ramené à celui du collège dans le cadre d'une famille aisée », précise M. de Calan. Les possesseurs du dictionnaire se réfugieront donc sur la version internet pour disposer d'éléments plus actuels et mis à jour, pour leurs recherches.

Bonjour Mme Karoubi. Pourriez-vous nous expliquer votre poste chez Larousse ?

Line Karoubi : Je suis directrice des Dictionnaires & Encyclopédies, c'est-à-dire des dictionnaires de langue française et bilingues, ainsi que des encyclopédies tous supports : papier, DVD et internet, sur notre nouveau site larousse.fr

ActuaLitté : Vous signez le mot de l’éditeur en disant du Larousse 2009, qui sort le 10 juillet, et je vous cite : « Bien plus qu’un dictionnaire ! » Qu’est-ce à dire ?

Line Karoubi : Le Petit Larousse a fêté son centenaire en 2005... Ce n’est pas un dictionnaire parmi d’autres, il est inscrit dans la mémoire collective de millions de lecteurs, qui disent d’ailleurs souvent un Larousse pour désigner tout autre ouvrage dictionnairique.

Line Karoubi : Nous votons à partir de listes de recommandations de conseillers extérieurs, chacun dans son domaine établit une liste qui sert de point de départ aux discussions

ActuaLitté : Les planches pour les animaux se présentent encore sous la forme de dessins – et très bien faits d’ailleurs – mais pourquoi ne pas passer à d’authentiques photos ?

Line Karoubi : Dans l’histoire du Petit Larousse, il y a eu par le passé des planches d’animaux en photos. Il s’avère que visuellement elles vieillissent plus vite que le dessin. Le dessin fait davantage appel à l’imaginaire qu’une photo. De plus, ces planches font partie de la spécificité du Petit Larousse, et le public a plaisir à découvrir chaque année les nouvelles arrivantes, depuis notamment les magnifiques œuvres d’art réalisées par Adolphe Millot. Il y a une magie du dessin, qui plaît aux petits comme aux grands.

ActuaLitté : En arrondissant grosso modo, on compte peu ou prou 90.000 entrées pour un dictionnaire qui pèse 2,4 kg. Quel mot vous semble le plus lourd à porter ?

Line Karoubi : Aucun ! quel mot serait lourd à porter dans un dictionnaire, l’ouvrage par excellence fait-tout exprès pour les accueillir, les définir, leur donner vie à travers des exemples ? Nous ne sommes pas là pour censurer des mots dont nous regretterions qu’ils existent même s’ils témoignent d’une réalité qu’on déplore...

ActuaLitté : Comment se porte l’encyclopédie en ligne depuis son lancement ? Quelles évolutions sont prévues ?

Line Karoubi : Larousse.fr est un véritable creuset. Plus de 6000 contributeurs en un peu plus d’un mois, une vitalité et une curiosité du public que nous n’aurions pas imaginées aussi grandes. Pour le moment, nous travaillons beaucoup sur l’enrichissement permanent des contenus encyclopédiques Larousse... avant d’autres surprises pour la rentrée

ActuaLitté : Pour cette édition 2009, avez-vous des regrets ? Des entrées manquantes ou des noms propres absents ?

Line Karoubi : Vous savez, un mot qui n’a pas eu de chance une année refrappe très souvent à la porte l’année suivante et c’est un peu la même chose pour les personnalités auxquelles nous devons parfois renoncer parce qu’il faut bien faire un choix. Vous connaissez la maxime « Toujours sur le métier... », je crois que nous l’avons adopté depuis longtemps pour notre plus grand plaisir !

Comme chaque année, la sortie du nouveau dictionnaire de chez Robert est un événement largement relayé par les médias. Le tout étant de savoir quels sont les mots recalés et les mots reçus dans les pages du célèbre dictionnaire.

De nouveaux mots et de nouvelles personnalités font leur entrée dans le dictionnaire qui sort ce jeudi. Du côté des noms propres, l'édition 2009 accueille des personnages comme François Fillon, Gordon Brown, Dominique Strauss-Kahn, Guy Môquet, Rafael Nadal, Al Gore ou Dmitri Medvedev.

Pour ce qui est des noms communs, on retrouve des termes comme « blogosphère » (effet internet) et « haka » ou « bouclier de Brennus » (effet Mondial 2007 de rugby) qui passent haut la main l’examen d’entrée. Le sport n’est donc pas en reste avec l’arrivée d’ acrosport, glaciériste, paintball, mercato.

Un lexique dans l'air du temps :

Comme chaque année, Le Petit Robert de la langue française s'ouvre un peu plus aux nouvelles technologies, renforçant le « cyber » vocabulaire (aux côtés de blogosphère, on retrouve aussi identifiant, audiolivre, baladodiffusion). Il s'ouvre aussi à l'environnement (« bioéthanol », « diester »), thème très à la mode. La cuisine se laisse aussi goûter dans cette nouvelle édition, avec des mots hauts en saveur (bresaola, malossol, céteau, chichi…).

Chaque année un domaine en particulier est révisé ; en 2007 il s’agissait de la médecine et du droit européen. Pour ce nouveau millésime, l’astronomie nous emmène dans les étoiles : astérosismologie, héliosismologie, Jupiter chaud, transneptunien, disque d’accrétion, trou coronal…Finalement, c’est un instrument toujours engagé dans la grande course qui sépare toujours les usages des académismes.

Un ouvrage qui colle à l’actualité, mais pas trop non plus :

En tout, environ 300 mots nouveaux font cette année leur entrée. « Certains, pourtant très présents, n'ont pas été retenus parce qu'ils sont liés à une personne ou un événement particulier et ne sortent pas de ce cadre là », a souligné à l'AFP Marie-Hélène Drivaud, directrice éditoriale du Petit Robert : « Bravitude, par exemple, n'a pas de fonctionnement normal. Il est toujours cité en référence à la phrase de Ségolène Royal. On ne l'a pas retenu. » Pas plus que le fameux « bling bling » évoqué à propos de Nicolas Sarkozy...

Parmi les nouveautés du Robert des noms propres 2009, le Premier ministre François Fillon et son nouvel homologue britannique Gordon Brown font donc leur entrée. Tout comme Dominique Strauss-Kahn (pour cause de présidence du FMI), l'ancien vice-président américain Al Gore (« nobélisé » pour son combat pour l'environnement), le tout nouveau président russe Dmitri Medvedev, le tennisman espagnol Rafael Nadal (récent quadruple vainqueur de Roland-Garros) ou l'écrivain chilien Luis Sepulveda.

Le thème de la Résistance se voit porté en force par l'arrivée de Guy Môquet, jeune homme supplicié par les nazis en 1941, revenu à l'automne sur le devant de l'actualité, ou de l'ethnologue et résistante Germaine Tillion, disparue en avril à l'âge de 100 ans.

Le Petit Robert est un dictionnaire résolument moderne. C’est ainsi qu’il souhaite s’ouvrir au monde, à l’actualité. Il représente aujourd’hui plus de 60 000 mots et 300 000 sens réunis dans un dictionnaire en un seul volume.

Le Petit Robert de la langue française 2009 : Editions Le Robert (2387 pages, 59 euros). Pour feuilleter cette nouvelle édition, cliquez sur le lien suivant.

Le Robert encyclopédique des noms propres 2009 : Editions Le Robert (2489 pages, 59 euros). Pour feuilleter cette nouvelle édition, cliquez sur le lien suivant.

Le site ask.com semble vouloir plus que des réponses à ses interrogations : on dirait même qu'il souhaite des définitions. En effet, suite à l'annonce faite cette semaine, ask.com vient d'acheter plusieurs gros sites du milieu : dictionnary.com, thesaurus.com et reference.com.

Sites de référence dans le domaine, pour les anglophones s'entend, ask.com compte créer une synergie entre son activité de recherche et les recherches réalisées sur les sites dont il vient de devenir le propriétaire.

Le montant de la transaction ne sera clairement pas révélé, mais l'on se rappellera qu'Answers.com avait tenté une procédure d'achat voilà quelques mois pour 100 millions d'euros, alors qu'Ask.com a déjà mis au point son modèle économique basé sur la publicité. « Nous voulons 'super servir' les personnes », explique Jim Safka. Sans abandonner son rôle de moteur général, Jim explique qu'il s'agit là d'un premier pas vers une autre étape pour Ask.

Constat simple : dictionary a été le deuxième terme le plus recherché sur le moteur. L'achat des différents domaines devenait donc une évidence. Microscopique face aux cadors du secteur, Ask.com tente de se frayer un chemin encyclopédique en acquérant Lexico Publishing Group, en espérant atteindre « près de 145 millions de visiteurs uniques par mois ». Avec ces différents achats, ce sont en effet 22,1 millions de visiteurs uniques qu'Ask.Com vient d'acheter.

Alexandre Moatti, bonjour, pouvez-vous nous présenter votre place au sein de Wikimedia et votre mission ?

Alexandre Moatti : Je suis depuis février 2008 administrateur de l’association Wikimedia France, association d’une centaine de membres qui a pour objectif de promouvoir et soutenir les projets de la fondation Wikimedia en France : l’encyclopédie en ligne Wikipedia bien sûr, mais aussi la bibliothèque numérique Wikisource, les cours en ligne Wikiversity, les citations Wikiquote, le dictionnaire Wiktionary, etc.

ActuaLitté : Aujourd'hui, l'encyclopédie en ligne est un objectif pour chaque éditeur, quels sont les avantages de Wikipédia sur les autres ?

Alexandre Moatti : Wikipedia est le seul site d’accès à la connaissance parmi les dix sites les plus visités au monde, avec plus de 10 millions d'articles : il faut se réjouir de cette formidable réussite. Aucun site d’encyclopédie commerciale n’atteindra une telle audience. La bataille, si bataille il y a eu, est déjà gagnée : mais gardons-nous de tout triomphalisme, et expliquons inlassablement notre démarche. Je soulignerai pour ma part un avantage parmi les nombreux que présente Wikipedia par rapport aux encyclopédies traditionnelles, fussent-elles en ligne, c’est celui de la pluralité d’auteurs.

On a tendance à la surestimer pour un article Wikipedia donné, elle constitue néanmoins un avantage, par rapport aux articles d’encyclopédie traditionnels écrits par un seul auteur. En matière de sciences par exemple, à peine un article sur 20 peut donner lieu à points de vue divers (un article sur les « nombres de Liouville » en mathématiques ne prêtera pas à discussion !). Le point de vue dominant y occupe la place dominante, c’est bien ainsi, mais c’est bien aussi que le lecteur ait une idée des autres points de vue, présentés comme point de vue minoritaire. C’est une manière qui est donnée à l’internaute de forger son jugement, d’aiguiser son raisonnement, ce qui s’apparente à une démarche d’investigation scientifique.

De la même manière que, pour un contributeur, les débats qui existent (qu’on peut lire en toute transparence dans les « pages de discussion ») constituent une école d’écoute et de respect de l’opinion d’autrui, avec ses nuances, l’article Wikipedia est une école d’entraînement à la démarche et au raisonnement scientifiques pour l’internaute lecteur.

ActuaLitté : Quelle concurrence peut-il exister entre une encyclopédie gratuite et des solutions payantes ?

Alexandre Moatti : Encore une fois, il ne me semble pas Wikipedia et les encyclopédies payantes jouent dans la même catégorie. Pour Wikipedia, c’est un mouvement mondial qui s’est développé, à comparer avec le développement du réseau Internet. Forte de 650 000 articles en français, Wikipedia offre une granularité à laquelle ne peut prétendre une encyclopédie traditionnelle. Cette granularité, c’est la possibilité de trouver des articles que vous ne trouverez jamais sur une encyclopédie traditionnelle, et des articles qui sont néanmoins utiles. Cette granularité, c’est aussi la possibilité d’approfondir certaines notions : tout en restant dans le même concept, on peut l’aborder de manière beaucoup plus fine en se reportant à des articles connexes. Il y a ainsi plusieurs niveaux possibles pour acquérir des connaissances sur un concept.

ActuaLitté : Renouvellerez-vous des initiatives comme la vente d'un CD ?

Alexandre Moatti : Le Cd-rom Wikipedia en français, comme il s’est fait en plusieurs langues, est à destination de publics, en France ou en Afrique ou en Asie, qui n’ont pas accès régulier à Internet. Il constitue une base encyclopédique solide, cela dit ce n’est pas le projet principal porté par Wikimedia.

ActuaLitté : La récente annonce d'un don de 3 millions $ a fait la Une des journaux. Comment cette somme pourrait-elle être utilisée ?

Alexandre Moatti : La Fondation américaine Alfred Sloan, fondation de mécénat du nom d’un ancien dirigeant de General Motors, a annoncé fin mars qu’elle allait doter la fondation Wikimedia de 3 millions de dollars. Ce soutien vient s’ajouter aux dons individuels reçus régulièrement, et qui assurent le fonctionnement annuel de Wikimedia au niveau mondial pour 4,7 millions de dollars : il montre le soutien et la confiance que des institutions apportent aux projets de Wikimedia. Ce don exceptionnel, le premier d’une telle ampleur, permettra de conforter le fonctionnement de la fondation.