Péyi-la sé tan nou. Tous les Guadeloupéens se souviennent de ce slogan scandé par le mouvement LKP au cours du mois de décembre 2008. A cette époque, Max Edinval effectue des recherches sur la vie et les moeurs de ses ancêtres Amérindiens ; il se sent alors concerné par les revendications des Guadeloupéens manifestant dans la rue, prétendant être les propriétaires de l'île de la Guadeloupe. De par ses recherches au sujet de l'arrivée des anciens occupants, Max a le sentiment que la "Karukera" n'a réellement appartenu à personne, quels que soient les siècles, quels que soient les peuples qui l'ont habitée.
Commenter ce livre