LAZARE : Demain, dans les journaux, il y aura sûrement des gens qui liront tout ça. Ils y liront des trucs comme " le grand mal de la jeunesse " ou alors " les Roméo et Juliette des temps modernes ". Mais au final, personne ne parlera de nous. Personne ne pourra nous comprendre. Comprendre nous. Je suis désolé, et je crois qu'on est tous désolés d'avoir noirci la ville. Mais sachez que nous y sommes désormais allergiques tout autant que vous. LE CHOUR DES DECHIRES : J'ai touché le sable noir.
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