" Restait la petite papaye. Cela lui faisait mal de voir qu'elle avait souffert, il y avait plein de sang-jus sur le Formica. Il la rinça une seconde fois et la caressa de sa grosse main droite. Puis il la respira, elle sentait l'eau et un je-ne-sais-quoi mélangé de douceur humide et fruitée.
De toute façon, il savait qu'il n'y avait rien d'autre à faire.
Alors il prit son scalpel, poussa un gros soupir et fendit le fruit en deux moitiés. Un à un, il recueillit les pépins, les mit dans le bocal, versa la substance trouble et ferma. "
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