"?Il ne faut pas de tout pour faire un monde, il faut de tous?", avait estimé en soufflant de plus en plus fort le vieil homme au banc, assis, une canne orthèse appuyée contre sa jambe gauche, sa main droite agrippant une laisse au bout de laquelle un magnifique chien, un labrador chocolat, laissait pendre sa langue. "?Dans ce parc, il y a de tous. C'est pour ça que je l'aime.?"
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