" Et ne voilà que du crime ! En moyenne chaque chapitre contiendra soixante-treize assassinats, exécutés avec soin. [...] Les personnes studieuses qui cherchent des procédés peu connus pour détruire ou estropier leurs semblables trouveront ici cet article en abondance. Soit qu'il s'agisse d'éventrer les petits enfants, d'étouffer les
jeunes vierges sans défense, d'empailler les vieilles dames ou de désosser les militaires... En un mot, doubler, tripler, centupler la consommation d'assassinats si nécessaire à la santé de cette fin de siècle décadent, tel est le but que nous proposons. " C'est bien d'une pure folie meurtrière dont il s'agit dans les mots de l'auteur du Bossu. Paul Féval (1817-1887), maître du roman-feuilleton populaire, invente, dans ce roman fou, le plus grand laboratoire de meurtre jamais imaginé.
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