La vie n'est pas un long fleuve tranquille, certes, mais elle est tellement surprenante qu'elle incite constamment à voir devant soi. Chez Félicie, le devoir éclipse volontiers l'amour maternel. L'amour de Catherine est réel mais engangué. Déborah navigue entre marginalité et affection. Jacqueline est une heureuse conclusion.
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