Sur la colline du printemps, à Tokyo, le temple sôtô zen bouddhique Sengaku-ji célèbre la mémoire des samouraïs, les rônin morts par fidélité à la tradition. Ils étaient quarante-sept, comme le nombre des haïkus de ce recueil, évoquant les saisons, la tradition, le bestiaire, la mouche et l'instant.
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