#Essais

L'abîme et le mal selon Shelley, O'Connor et Giono

Jad Hatem

En se plaçant au point de vue le plus élevé, on est amené à constater que le mal se rapporte essentiellement à l'abîme, non qu'il soit l'une de ses dimensions, mais comme à ce dont il dépend foncièrement. La littérature est le lieu approprié d'une exploration du mal, en particulier dans son émergence de l'irrationnel et du chaos. Pour illustrer le rôle qu'y jouent les ténèbres abyssales, j'ai fait choix d'une pièce de théâtre, Les Cenci de Percy Bysshe Shelley, d'un roman de Jean Giono, Un roi sans divertissement et d'une nouvelle de Flannery O'Connor Les Braves gens ne courent pas les rues.

Par Jad Hatem
Chez Editions du Cygne

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01/06/2021 72 pages 13,00 €
Scannez le code barre 9782849246528
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