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9782714495051

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Littérature étrangère

Maman pour le dîner

Après La Lamentation du prépuce, Attention : dieu méchant et L'Espoir, cette tragédie, Shalom Auslander fait un retour fracassant avec un roman encore plus drôle et plus iconoclaste... Un livre tout en contrastes où derrière l'outrance et l'humour noir se dévoilent une émouvante réflexion sur le poids de l'histoire et la liberté d'être soi... Quinze ans après l'immense succcès de La Lamentation du prépuce, Shalom Auslander fait un retour fracassant avec un roman encore plus drôle et plus iconoclaste. Un livre tout en contrastes, où derrière l'outrance se dévoile une émouvante réflexion sur le poids de nos héritages, sur ce que l'on doit aux siens et ce que l'on se doit à soi-même. Editeur de son état, Septième Seltzer coule des jours heureux à New York avec sa femme et leur fille. Jusqu'au jour où son frère aîné l'appelle pour lui annoncer la mort de leur mère, qu'il n'a pas revue depuis des années. Ce n'est pas tant que Septième soit effondré, - sa mère était un monstre d'égoïsme et de méchanceté -, mais les Seltzer appartiennent à la communauté cannibale des Etats-Unis et, selon la tradition, les enfants doivent manger le corps de leur mère au cours d'un repas de fête. Une coutume aussi ridicule qu'archaïque à laquelle Septième refuse de se plier. Mais est-ce aussi simple ? Entre les retrouvailles avec ses frères et sa soeur et le difficile retour dans la maison de son enfance, Septième va se voir soudain confronté à son histoire et à sa culpabilité, et comprendre qu'on n'échappe pas si facilement à son héritage... Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Catherine Gibert.

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Littérature anglo-saxonne

Maman pour le dîner

Le retour fracassant, drôle et iconoclaste, de l'auteur de La lamentation du prépuce. New York, de nos jours. Septième Seltzer est un américain bien tranquille. Editeur de son état, il coule des jours heureux à New York avec sa femme et sa fille, jusqu'au jour où son frère aîné l'appelle pour lui annoncer la mort de leur mère qu'il n'a pas revue depuis des années. Ce n'est pas tellement que Septième soit triste, - sa mère était un monstre d'égoïsme et de méchanceté -, c'est surtout que les Seltzer appartiennent à la communauté Cannibale des Etats-Unis et que selon une ancestrale tradition, les enfants doivent manger leur mère au cours d'un repas de fête. Septième est catégorique : jamais il ne cèdera à des coutumes aussi archaïques et certainement pas pour honorer la mémoire d'une mère qu'il déteste et d'un passé qu'il n'a de cesse de vouloir laisser derrière lui. Pourtant, le doute et la culpabilité ne tardent pas à s'installer. Si lui et ses frères ne respectent pas ce rituel, que restera-t-il de l'histoire de leur peuple, jadis si glorieux ? Que restera-t-il de leur héritage et de leur famille ? Au-delà de l'humour et du mauvais goût assumé, une méditation aussi bouleversante qu'actuelle sur le poids de l'histoire, sur ce que l'on doit aux siens et ce que l'on se doit à soi-même. " Shalom Auslander cible des questions brûlantes. Magistral. " ELLE " Toujours aussi désopilant " Le Figaro Littéraire " Une satire mordante. " Libération

01/2023