Ancré dans une période historique mal connue du lecteur français, celle qui précède la chute du Chah d’Iran (1976-1979), le premier roman de Maxime Abolgassemi, révèle avec précision et densité les bouleversements et les violences politiques que la société iranienne et plus spécifiquement la ville de Téhéran (et sa jeunesse) ont éprouvés à cette époque.