Costume-cravate

À l’occasion de la création de Roméo et Juliette de William Shakespeare, dont il signe les costumes, le couturier Christian Lacroix revient sur plusieurs années de compagnonnage avec la Maison de Molière et signe une collection d’objets pour la boutique de la Comédie française. Plaisant...

Le plus célèbre habitant des Carpates reviendra dans les cinémas à compter de 2018 : le l’arrière -grand-neveu de Bram Stoker s’apprête à écrire un préquel au livre Dracula... Le Comte va ressusciter, une fois n’est pas coutume, pour terroriser les spectateurs. Ou presque...

Des cadeaux de Noël uniquement pour les bibliothècaires

Selon un sondage effectué par l'Institut Français d'Opinion Publique et monBestSeller.com effectué en mars 2014, 14 % des français écrivent. Désirant « surfer sur cette vague », le site, qui réunit 800 auteurs autopubliés, lance un concours de nouvelles polar liant l'Écrit et leur région, coutume, et ville. 

Considérant la situation de l’enseignement supérieur, à travers le monde, l’UNESCO tire – une fois n’est pas coutume – la sonnette d’alarme. Les étudiants grossissent les rangs des universités, certes, mais leurs conditions d’étude se détériorent sérieusement. Des mesures impératives doivent être prises par les gouvernements.

Les Québécois avaient pris coutume de railler un précédent ministre de la Culture, assurant qu’il comptait chez lui autant de livres... que d’enfants. Trois, en l’occurrence. Dans ce village de Norvège, on compte en revanche plus de livres que d’habitants. Dans des proportions délirantes.

Une fois n'est pas coutume, Stephenie Meyer, qui a plombé les résultats de Hachette en vendant moins de livres, vient de rencontrer son public. Durant deux jours, au cours d'un rendez-vous top secret, dix jeunes ont pu s'entretenir avec la maman des vampires végétariens...

La chronique de Sophie : Une vie qui n'était pas la sienne, Juan José Millas

Le Petit Prince, personnage emblématique de la littérature jeunesse, créé dans les années 40 par Antoine de Saint-Exupéry fait une entrée royale au musée Grévin, et sous peu.

Le Palais Royal vous fait découvrir les œuvres d'artisans d'art

L’époque va bientôt être aux sorcières, aux fantômes, aux terrifiants déguisements et aux enfants dans les rues qui réclament qu’on leur pourrisse l’hygiène bucco-dentaire avec des sucreries... En somme, Halloween arrive. Avec son flot de citrouille, la fête des morts et des bonbons nécessite que l’on fasse un petit effort de costume. Et si l’on est lecteurs, les idées ne doivent pas manquer.

Il est surnommé Le Chacal, et désormais, on sait que c'est en raison de son cri aigu et répété : Andrew Wylie, l'agent littéraire le plus puissant de la planète est parti en guerre contre Amazon. Et armé de son costume de Croisé, chaque intervention relève de la tentative de porter un coup de grâce. Le dernier en date n'est d'ailleurs pas à piquer des vers…

Le cosplay deviendrait-il une activité à risque ? À chaque convention, les fans rivalisent de créativité et d'ingéniosité pour mettre au point le costume de leur personnage de fiction favori, selon une tradition qui remonte déjà à plusieurs décennies. Depuis quelques années, pourtant, les incidents se multiplient, et les organisateurs prennent leurs précautions. Harcèlement, remarques désobligeantes et autres joyeusetés viennent perturber la fête, particulièrement pour les femmes...

Après une journée de cosplay éprouvante, tout fan se doit de vivre sa passion jusque dans le royaume des rêves. Pour ce faire, il existe un moyen simple : s’endormir avec son costume d’Harry Potter, en espérant se réveiller à Poudlard. Ou alors, prendre le temps de se démaquiller et s’endormir dans une parure de lit aux couleurs entièrement aux armoiries de l’école des sorciers...

Il a beau agir la nuit, Batman fait partie de ces super-héros très attentifs à leur image. Le Chevalier noir vient ainsi de revoir le design de son bat-logo, pour insuffler la peur dans le cœur des malfrats de Gotham City. Le nouveau symbole, plus anguleux, sera frappé sur le torse de Robert Pattinson, acteur qui endossera le costume du justicier dans The Batman, le film de Matt Reeves.

Ah, avec l'armure d'Iron Man, tout serait plus simple : les embouteillages, les courses du soir, et même le repas de Noël avec belle-maman... Si l'envie de revêtir un costume rouge et jaune vous démange, cela devrait être possible si suffisamment de personnes financent un projet de crowdfunding visant à fabriquer en série, avec une limite de 2000 exemplaires, le costard préféré de Tony Stark.

Députée de Seine-Saint-Denis, Clémentine Autain avait déjà fait paraître plusieurs essais politiques — et s’était engagée en faveur de l’émancipation des femmes. Chez Grasset, elle est l’autrice de Dites-lui que je l’aime (Grasset, 2019), une lettre à sa mère décédée quand elle avait douze ans, et À gauche en sortant de l’hyper marché (Grasset, 2020). Et désormais, chez Grasset, elle devient romancière.

Partageant ses réflexions depuis sa Page 42, Neil Jomunsi propose régulièrement dans nos colonnes des interventions à rebrousse-poil. Une fois n’est pas coutume, c’est autour du devenir de la relation entre le texte et l’auteur qu’il nous embarque. Demain, le livre ? Ou demain, les narrations ?

On hésitera une fois encore – une fois n’est pas coutume – entre l’ire et la joie, face aux dernières déclarations de Donald Trump. D’abord, parce que son obsession à manipuler les informations en devient pathétique. Ensuite, parce que la publicité qu’il offre à George Orwell devient indécente. 

Celui que l'on a pour coutume de qualifier comme « l'anti-Bourdieu », le chef de file du courant individualiste méthodologique, Raymond Boudon est décédé ce mercredi 10 avril. Le sociologue français était âgé de 79 ans, a annoncé ce jeudi les Presses universitaires de France (PUF), relayées par l'AFP.

Chaque semaine, avec le site Expressio, ActuaLitté vous propose de redécouvrir une expression française, bien hexagonale, avec ses paradoxes et ses traits d'humour, souvent militaires. Il est vrai que cette fois-ci, une fois n'est pas coutume, nous céderons aux plaisanteries de soldats, en sollicitant de Joyeux drilles...

Comme de coutume, le prochain album d’Astérix sortira en fin d’année. Cette fois encore, César tentera de venir à bout des irréductibles Gaulois, mais en usant de nouvelles ressources. L’Iris blanc, nom de cette nouvelle aventure, est signé Fabcaro, avec la promesse de plein d’ondes positives…

La capitale polonaise a nommé deux de ses rues pour rendre un hommage appuyé à la Terre du Milieu et à son créateur, l'écrivain britannique John Ronald Reuel Tolkien ou J.R.R. Tolkien. La municipalité a choisi, non sans humour, deux voies d'un ancien quartier industriel, Służewiec Przemysłowy, surnommé « Mordor » par les habitants de Varsovie.

Une fois n’est pas coutume, un nouveau roman de Stephen King profitera d’une adaptation sur petit écran : publié en 1984, The Eyes of the Dragon fut traduit chez Albin Michel par Evelyn Châtelain onze ans plus tard. C’est avec Hulu et le studio Fox 21 que la nouvelle vie commencera.

CLASSEMENT – La parole des lecteurs vaut bien qu’on l’écoute, surtout quand ils évoquent leurs romans et livres du moment. Chaque semaine, ActuaLitté en partenariat avec Babelio propose de retrouver les 15 titres qui vont vibrer dans les chaumières et appartements. Et une fois n’est pas coutume, voici de sacrés changements…

Une fois n’est pas coutume, la Bibliothèque Ambrosiana aura accueilli de grandes œuvres humaines. Fondée par le cardinal Federico Borromeo et inaugurée le 8 décembre 1609, elle se trouve au cœur de Milan. Et fut le second établissement d’Europe à garantir un libre accès à ceux qui voulaient lire et écrire.

Bon : Spiderman, entre les collants, le masque et le fluide, doit s’en tirer pour 100 $ en frais de costumes. Allez, disons le pressing, toutes les semaines, en admettant qu’il dispose de deux ou trois rechanges. Mais quand on est Batman, il faut être millionnaire. Et Tony Stark, alias Iron Man ?

Même à l'époque du papier, il peut exister plusieurs éditions d'un livre : alors à celle du numérique, l'opulence ne saurait nuire. Lue/vue dans Teleread, cette réflexion sur l'intégration de publicités dans les livres numériques, qui mérite, une fois n'est pas coutume, que l'on s'y attarde.

Les deux petits gros les plus célèbres de la BD franco-belge avaient vu le jour en 1938, sous le dessin de Fernand Dineur. Deux inspecteurs, dont le trait commun est d'être inversement qualifié : Tif est glabre, Tondu est bien velu. Or, c'est en 1954 qu'apparaît un tout nouveau personnage, sorte de super-vilain, habillé d'un costume toujours classieux, et coiffé d'un heaume pris sur une armure de chevalier. 

En 2008, les lecteurs firent la connaissance d'Old Man Logan qui, comme son nom l'indique, désigne un Wolverine sans costume, vieux, solitaire et terriblement cynique et violent. Quelques mois plus tard, avec Old Man Logan, la série, Mark Millar et Steve McNiven marquèrent durablement l'histoire du personnage. Il sera de retour pour Dead Man Logan, son ultime aventure. Attention, des spoilers pour la première série seront présents dans cet article...