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Prison Justice

Extraits

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Rhône-Alpes

Quel poison, cette Justine !

Etre marié à une femme laide et dotée d'un caractère infernal n'est pas très réjouissant. Aussi Lucien qui, attiré par le superbe domaine de Justine, a commis la grosse bêtise de l'épouser, se désespère-t-il en réalisant qu'il est condamné à passer le restant de ses jours en compagnie de cette harpie. Celle-ci, hélas, ne semble pas avoir mis la mort à son programme immédiat. Il aspire à foutre le camp, seulement quitter un beau troupeau de vaches le désole. Certes il pourrait essayer le bouillon de 11 heures, mais, parfaitement honnête, il répugne à utiliser ce moyen, pourtant à l'efficacité incontestable. Par chance, Gilbert, ce qui se fait de mieux en matière d'abruti, va se charger de dénouer heureusement cette fâcheuse situation.

05/2021

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Psychologie, psychanalyse

Des justices à la Justice. L'élaboration de l'esprit de justice

L'esprit de justice va s'élaborer et progresser où régresser au cours du développement des civilisations, parallèlement à la maturation du mode de pensée, à l'affinement de l'affectivité, à l'élévation du niveau spirituel de la religiosité, et au progrès de l'organisation civique. Il émerge dans l'Egypte ancienne, vers le début du 3e millénaire avant l'ère chrétienne, en même temps qu'apparaît le Dieu unique des Sages, et imprègne le fonctionnement de la société dans la Grèce antique, qui lui fournit ses racines intellectuelles et son principe d'isonomie, de droits égaux pour tous. L'esprit de justice s'affermit avec la civilisation romaine qui met en ordre son formalisme juridique. Le christianisme lui apporte ses bases affectives d'amour et de miséricorde et tend à l'intérioriser dans l'esprit des hommes. Le Dieu unique des Juifs et celui des musulmans vont régir le fonctionnement de leurs sociétés et leurs imposer leurs justices. Les Orientaux, Chinois et Indiens, privilégient le système ternaire qui conçoit deux principes de bases, opposés et complémentaires, équilibrés par un troisième principe qui harmonise leur fonctionnement et précise leurs propres conceptions de la justice. Un fossé profond isole actuellement la pratique judiciaire de ses fondements humanitaires pour des motifs complexes qui concernent aussi les rapports des hommes à l'intérieur des nations et des nations entre elles. Aux comportements de suprématie doit se substituer l'aspiration à comprendre l'autre et à l'accepter dans sa diversité, afin de permettre l'instauration de relations de dilection entre tous. A partir des justices multiples fondées sur des normes spécifiques d'ici et de maintenant, pour parvenir jusqu'à l'esprit de justice qui prend appui sur des valeurs permanentes et universelles, peut-être faudrait-il emprunter la Voie qui, fusionnant celles de l'amour et de la connaissance, mène des justices à la Justice.

10/2005

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Religion

Justine, la révélation de la Justice de Dieu

Ce livre retrace tout simplement le cheminement lent mais sûr du plan de Dieu pour la vie de l'auteur ; sans omettre les erreurs, les égarements et les détours occasionnés par "l'ennemi", et les conséquences liées à chaque parcours. Mais, ce qui est merveilleux, c'est qu'il propose les solutions pour en sortir avec les exploits qui accompagnent tous ceux qui ont cru en Jésus-Christ. Des exploits, l'auteur en a eus avec le divin Maître. Vous découvrirez, en lisant ce livre, tous les bienfaits que Dieu a faits pour elle ; et ce qu'Il a fait pour elle, Il peut aussi le faire pour vous. Soyez richement béni !

08/2015

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Littérature Allemande

Prison

"S'il est interdit de monnayer des heures d'amour, il devrait être interdit d'acheter des heures d'amour. Mais l'expérience nous montre que l'être humain ne peut pas vivre sans heures d'amour. Il faudrait donc organiser l'amour autrement. "Amour organisé" c'est affreux à entendre. Et pourtant, on y revient toujours. Le tribunal est une affaire d'hommes et châtier le sexe faible exige moins d'efforts que demander des comptes à des hommes trop jaloux de tenir secrets leurs penchants les plus forts. Je voudrais que les hommes abusés puissent voir le sourire de mépris qui se peint sur le visage de leurs séductrices quand, devisant tout bas dans les couloirs du pénitencier, elles éventent les secrets de leurs accusateurs. Dans la cour de la maison d'arrêt, j'ai vu le sourire souverain sur les visages des femmes et des filles qui font le trottoir ; filles victorieuses qui ont l'élégance de se déclarer vaincues. Cette courtoisie doit être bien dangereuse, pour qu'on les enferme entre des murs épais."

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Réalistes, contemporains

Prison

Comment la France traite-t-elle ses prisonniers ? Face à cette question, il y a ce qui est dit, et ce qui se passe ; il y a la lumière, mais beaucoup de zones d'ombre. Ces zones d'ombre, Fabrice Rinaudo a voulu les explorer. A travers quatre contes cruels, il a choisi de montrer ce qui ne se montre pas. Ses personnages, qu'ils soient braqueurs, dealers, cambrioleurs, ou simples gardiens de prison, doivent affronter une réalité brutale où la violence, la détresse et la corruption cohabitent malgré tout avec la débrouille et la solidarité. Accompagné par Sylvain Dorange et Anne Royant aux dessins, Fabrice Rinaudo nous ouvre les portes d'un milieu clos, sombre, presque secret. Sans concession, il nous dévoile un univers à part entière, ses différents acteurs, ses mécanismes mais aussi ses paradoxes, son absurdité, sa folie. Finalement, un constat : la privation de liberté ne réinsère pas. Elle sanctionne, brime, humilie, déshumanise. La prison, cette Ogresse, ne protège personne.

10/2022

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Littérature Allemande

Prison

"S'il est interdit de monnayer des heures d'amour, il devrait être interdit d'acheter des heures d'amour. Mais l'expérience nous montre que l'être humain ne peut pas vivre sans heures d'amour. Il faudrait donc organiser l'amour autrement. "Amour organisé" c'est affreux à entendre. Et pourtant, on y revient toujours. Le tribunal est une affaire d'hommes et châtier le sexe faible exige moins d'efforts que demander des comptes à des hommes trop jaloux de tenir secrets leurs penchants les plus forts. Je voudrais que les hommes abusés puissent voir le sourire de mépris qui se peint sur le visage de leurs séductrices quand, devisant tout bas dans les couloirs du pénitencier, elles éventent les secrets de leurs accusateurs. Dans la cour de la maison d'arrêt, j'ai vu le sourire souverain sur les visages des femmes et des filles qui font le trottoir ; filles victorieuses qui ont l'élégance de se déclarer vaincues. Cette courtoisie doit être bien dangereuse, pour qu'on les enferme entre des murs épais."

02/2024

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Droit

Prison, peine perdue. Pour une autre politique de sécurité et de justice

Depuis 2002, le consensus humaniste et républicain qui prévalait en matière de politique pénale est battu en brèche par la montée d'un discours sécuritaire porté par Nicolas Sarkozy. La droite a aggravé les effets pervers d'un système de sécurité et de justice aussi inhumain qu'inopérant. La présomption d'innocence, les garanties d'un procès équitable dans des délais raisonnables ne sont pas assurées, tandis que les conditions d'incarcération favorisent la récidive. Une autre logique s'impose, qui conjugue valeurs démocratiques et efficacité du service public de la sécurité et de la justice. Il est grand temps d'engager une politique volontariste qui mette fin au scandale de la surpopulation carcérale, développe les alternatives à la prison, et se donne les moyens de réussir la réinsertion d'une majorité de détenus. Mieux punir individuellement pour mieux protéger collectivement : c'est l'ambition de ce petit livre.

10/2006

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Littérature française (poches)

La prison

Combien de mois, d'années, faut-il pour faire d'un enfant un adolescent, d'un adolescent un homme ? A quel moment peut-on affirmer que cette mutation a eu lieu ? Il n'existe pas, comme pour les études, de proclamation solennelle, pas de distribution de prix, pas de diplôme. Alain Poitaud, à trente-deux ans, ne mit que quelques heures, peut-être quelques minutes, pour cesser d'être l'homme qu'il avait été jusqu'alors et pour en devenir un autre.

05/2013

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Poésie

Prison Slam

Ce livre est encore une immersion poétique, Qui nous plonge à l'intérieur d'un monde hermétique. Celui des sans voix, des prisonniers oubliés. De ceux que l'on pointe du doigt sans pardonner, Car le cœur de l'être humain ne sait plus donner. De ceux que certains choisissent comme modèle, Parce que leur destin leur a brûlé les ailes. Sans débordement et sans nourrir les clichés, Avec sincérité et authenticité, Verbal Sarrazin parle au milieu carcéral, Comme on oublie l'amour de façon viscérale. Son art prend tout son sens au service du social. De ses textes nés entre le bien et le mal, Des réflexions viendront peut-être se poser, Avant de répéter le pouvoir d'enfermer, Avec des lois systématiquement fermées. De nombreux écrits existent sur le sujet, Mais Prison Slam est unique dans son trajet. Intemporel et là pour durer des saisons, Cette oeuvre a sa place dans toutes les maisons. Issue d'une expérience professionnelle, Elle est aussi le fruit d'un parcours personnel...

09/2014

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Terreur

La prison

"Guetté de près par la dépression, Hugo, agent correctionnel, accepte un transfert dans un établissement à sécurité maximale se situant sur une île au milieu de l'océan. Désirant fuir sa triste réalité, son nouvel environnement ne lui accordera malheureusement pas le réconfort espéré. Il devra faire face non seulement au personnel inhospitalier, mais également à des prisonniers tous plus terrifiants les uns que les autres. Un étrange sous-sol dont l'accès lui est refusé ainsi qu'une voix ensorcelante pousseront Hugo à franchir les limites de l'interdit. A la suite d'une rencontre troublante, il sera contre son gré témoin de scènes aussi horribles qu'insupportables. Sera-t-il en mesure de se sortir de cette aventure sain d'esprit ? Trouvera-t-il les réponses à ses questions ? Le mystère qui plane sur cette île maléfique sera-t-il mis à jour ? Aux extrêmes limites de la folie, Hugo tentera de ne pas perdre la raison. Mais à quel prix ? "

09/2021

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Policiers

Prison mentale

Je m'appelle Even. Je suis perdue ici, au milieu de nulle part. Il ne me reste que très peu de souvenirs de ma vie d'avant. Je n'ai aucun moyen de savoir qui est de mon côté et qui ne l'est pas, tout semble surjoué. Qui est bon ? Qui est mauvais ? Où suis-je ? Je me dois de sortir de là, peu importe où je me trouve vraiment. Tout est si flou... Et eux ? que sont-ils devenus ? Pourquoi moi ? Qu'est ­ce que j'ai pu faire pour mériter ça ? Je dois le découvrir ! Je dois m'en sortir !

04/2019

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Théâtre - Pièces

Mère prison

Deux fois par semaine, elle attrape son courage, l'attache à ses reins, monte dans le bus et se rend au parloir. Le mardi, pour son premier fils. Le jeudi, pour le cadet. L'un impliqué dans un crime, l'autre dans une affaire de drogue. Ces deux-là attendent tout d'elle, de cette mère qu'ils accablent pourtant de reproches. Normal : quand on est en prison, il faut bien un exutoire, quelqu'un sur qui crier sa rage. Elle accepte ce rôle vertige... comme bien d'autres mères qu'elle croise. Le troisième fils, lui, n'est pas en prison : il l'attend à la maison en s'acharnant sur sa console de jeux avec une rare violence. Ce n'est pas un mauvais gars, non, mais il ne veut pas grandir de peur de ressembler aux deux autres. Jusqu'où cette femme, coincée entre boulot, bus, parloir et reproches, acceptera-t-elle d'aller ?

06/2021

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Littérature française

Prison intime

Quel drame pour toute femme de subir un viol. Le choc ne réside pas seulement dans l’événement lui-même mais aussi dans les conséquences psychologiques dévastatrices que cela entraîne pour la vie de la victime. Ce roman nous raconte avec beaucoup de délicatesse et de pudeur le drame d’une jeune fille qui a vu ainsi son existence brutalement basculée.

02/2012

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Littérature française

En prison

Il y a quelques années, on lui proposa d'être professeur en prison. Il accepta sans penser à l'injustice qui nous aveugle devant les hommes qui ont échoué, qui sont coupés du monde. Sans savoir de quelle inquiète façon il aurait à être sur ses gardes de peur de les aimer vraiment. Sortir de la prison, retrouver les autres lui deviendra peu à peu difficile, étrange, une souffrance à laquelle il ne pourra résister et qui, doucement l'amènera à abandonner sa vie du "dehors" . Le mot "compassion" retrouve avec ce texte toute son ampleur dérangeante.

04/1992

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Poésie

Prison-palais

Dans Prison-palais, Martin Högström élabore une architecture de langage qui elle-même parle d'architecture, de prison à double fond ou qui se retourne, s'inverse, sans que ce renversement soit pour autant une échappée, plutôt une complexification du probl

10/2022

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Littérature étrangère

Prison house

Jimmy Ramone erre à travers l'Europe quand il est jeté dans la prison des Sept Tours. Solitaire un peu vagabond, il n'a rien d'un criminel endurci. Ne comprenant ni la langue ni les habitudes des détenus, il ne peut échapper à ce cauchemar et à l'horreur environnante qu'en se réfugiant en lui-même. A mesure qu'il s'enfonce dans ses pensées, elles prennent un caractère plus étrange. Ses compagnons mettent sa santé mentale à rude épreuve : Papa, l'homme silencieux avec une aiguille à tricoter, toujours en pyjama, The Butcher, le meurtrier enjoué, et Dumb Dumb, le sourd-muet qui fait des constructions en allumettes... Le crime de Jimmy n'est pas dévoilé immédiatement et King nous promène d'un stade à l'autre de sa peine, jusqu'à dévoiler le secret de son enfance qui a déstabilisé toute son existence. Un roman réaliste et noir magistral, qui met en parallèle enfermement mental et enfermement carcéral.

04/2018

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Littérature française

Prison blanche

"Il s'éveilla hors d'haleine, le visage dolent et les lèvres dures, d'aucune couleur. Son cou vibre et ses épaules s'affolent lorsque l'air le pénètre. Il sent que le sang se presse le long de ses tempes. Il s'habille rapidement". Lorsqu'Ali rencontre Daniele, un jeune sans-abri, il ne sait rien de lui. Il sait seulement qu'il a besoin d'aide. Il ignore alors que tous deux ont un point commun ; ils ont été soumis aux mêmes dilemmes.

12/2021

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Théâtre - Pièces

Prison centrale

Un homme seul, en prison, la nuit qui précède sa sortie. Devant lui, les courriers reçus et jamais lus, qu'on vient de lui remettre. Après quatorze années de réclusion criminelle pour des faits commis dans sa minorité, il se met à écrire, comme il l'avait fait la veille de sa condamnation. Dans sa cellule, avec une table et une chaise, un théâtre de l'intime reprend vie, un corps traversé de mots et de mondes, une polyphonie où l'être qui se cherche se débat avec rage pour atteindre le jour.

04/2024

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Histoire du droit

Les prisons du Palais de justice, dépôt de la préfecture-Conciergerie-Souricière

Les prisons du Palais de justice (dépôt de la préfecture-Conciergerie-Souricière) / par Adolphe Guillot,... Date de l'édition originale : 1892 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2021

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Littérature française

Justice

Dans un futur proche, la société est envahie par l'image fantasmée du super-héros. Chaque film, chaque livre relate les aventures de son justicier masqué. Dans ce contexte, la ville de New-York, devenue l'ombre d'elle-même et rendue à l'état de cité délétère où haute richesse côtoie délinquance quotidienne, va être témoin de l'avènement de Justice, le premier véritable super-héros doté de pouvoirs. Mais cette figure aussi mystérieuse que discrète, va très vite susciter la controverse...

10/2017

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Philosophie

Justice

Une situation de disette extrême peut-elle justifier le cannibalisme ? Sommes-nous propriétaires de nous-mêmes ? Une mère porteuse a-t-elle le droit de garder l'enfant qu'elle a mis au monde ? Quel travail mérite quel salaire ? Si Michael J. Sandel, professeur de philosophie à Harvard, passionne bien au-delà des campus, c'est parce qu'il excelle dans l'art de ramener les questions politiques les plus complexes à des enjeux dont chacun peut aisément se saisir. En opposant les différentes conceptions de la justice (utilitariste, libérale, communautarienne), il convoque tour à tour Aristote, Hume ou Kant à partir de cas concrets, parfois drôles et toujours imagés. Des dilemmes les plus ordinaires aux grandes questions qui agitent nos sociétés, il s'agit toujours d'interroger les principes d'équité, de citoyenneté, de justice. De remettre, en somme, la morale au coeur du débat.

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Comics

Justice

Batman, Superman, Wonder Woman, Flash, Aquaman... Ils sont les plus grands super-héros de la Terre : réunis en une Ligue de Justice imbattable, ils ont toujours fait de leur mieux pour protéger la Terre et l'Univers des menaces les plus diverses. Or, aujourd'hui, leurs plus grands ennemis ont décidé d'utiliser leurs dons pour résoudre les maux que subit l'humanité au quotidien. Mais leurs motifs sont-ils réellement aussi altruistes qu'ils le prétendent ? JUSTICE présente une porte d'entrée idéale par le biais d'un récit complet qui montre les super-héros dans leur version la plus iconique mais également leurs plus grands ennemis rassemblés en un groupe imbattable. En auscultant les motivations, les rêves et les craintes de ces criminels, Alex ROSS (KINGDOM COME) et Jim KRUEGER (Earth X) dépeignent un combat entre ces malfaiteurs et la Ligue de Justice se basant autant sur la psychologie que sur les pouvoirs de ces adversaires. L'association des crayonnés de Doug BRAITHWAITE (Paradise X) aux peintures d'Alex ROSS offre également à cette bataille un décor aussi crédible qu'imposant.

07/2017

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Notions

Justice

Quel travail mérite salaire ? Un gouvernement devrait-il être moralement neutre ? Qu'est-ce que la liberté ? Sommes-nous propriétaires de nous-mêmes ? Le patriotisme est-il une vertu ? Michael J. Sandel excelle dans l'art d'aborder, sous un angle éthique, les questions politiques les plus complexes en les ramenant à des enjeux dont chacun peut aisément se saisir. " Une légende des salles de conférences, le maître des grandes questions. " The Guardian " Brillante, accessible et profondément humaine, une lecture dont on sort transformé. " Publishers Weekly

03/2024

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Histoire internationale

Cahiers de prison

En 2011, l'arrestation du Président Gbagbo et l'emprisonnement de nos dirigeants me conduisirent à la plus grande audace, à la plus grande folie peut-être : c'est au plus haut qu'il me fallait hisser le Front Populaire Ivoirien. Ma témérité et ma combativité consistaient uniquement dans l'intransigeance en faveur de la libération du président Gbagbo. Il me fallait vite passer sur l'émotion pour me concentrer sur ce combat... Pendant la durée de mon mandat à la tête de la Jeunesse du Front Populaire Ivoirien comme après, j'ai employé toute la vigueur de mon caractère et j'ai apporté dans le Front Populaire Ivoirien tout le zèle et toute l'activité du citoyen embrassé de l'amour de son pays. Le but de mon engagement, au lendemain du 11 avril 2011, était davantage pour moi d'obtenir la libération du président Gbagbo et de protéger le Front Populaire Ivoirien des empiètements du régime du Rassemblement Des Républicains que de me couronner de fleurs. Dans cette période difficile de 2011, pour échapper aux armes des rebelles, je me suis condamné à une vie clandestine, relancé de temps à autre par des tournées, obligé de me cacher, errant dans les rues au milieu de la nuit, et ne sachant quelques fois où trouver un dortoir, plaidant au milieu des armes la cause du président Gbagbo, défendant les opprimés, la tête sur le billot, et n'en devenant que plus redoutable encore aux bourreaux et aux fripons publics. J'ai mené cette vie neuf ans durant, sans me plaindre un instant, sans regretter ni repos ni plaisirs, sans tenir compte de la perte de mon statut de fonctionnaire, de ma santé, et sans jamais pâlir à la vue du danger toujours dressé sur mon chemin. Que dis-je ? Je l'ai préféré et souhaité. Si j'avais simplement voulu garder le silence, si j'avais voulu déshonorer le combat de Gbagbo, que de propositions alléchantes ne m'ont-ils pas faites ?

02/2020

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Critique littéraire

Lettres de prison

Arrêté en 1962 par le gouvernement de l'apartheid d'Afrique du Sud, Nelson Mandela a passé vingt-sept ans en prison. Au cours de ces 10 052 jours de détention, il fut un épistolier prolifique, écrivant à ses compagnons de lutte, aux gouvernements officiels, mais aussi à sa femme Winnie, à ses cinq enfants et, plus tard, à ses petits-enfants. Les lettres choisies dans ce livre offrent le portrait le plus intime qu'on ait lu de Nelson Mandela, et un aperçu exceptionnel sur la façon dont il a vécu son isolement. Elles révèlent l'héroïsme d'un homme qui a refusé tout compromis sur ses valeurs, l'humanité de l'une des plus grandes figures du XXe siècle.

09/2019

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Théâtre

Diderot en prison

En 1749, suite à la publication de plusieurs ouvrages jugés subversifs par le pouvoir dans la France toute catholique du XVIIIe siècle, Diderot est arrêté et emprisonné au sinistre donjon du château de Vincennes. Dans des scènes croisées et entremêlées, les auteurs nous invitent, avec un ton badin et sur un rythme léger, à réfléchir sur la liberté d'expression et la censure, la sexualité et le libertinage, la relation entre la religion et la science, l'origine du mal et la vie en société.

02/2018

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Faits de société

LETTRES DE PRISON

Il est délicat de publier les lettres d'une morte. Si je le fais ici, conscient des légitimes hésitations de la famille de Gabrielle Russier et ses amis les plus proches, mais avec leur accord, c'est pour deux raisons. La première : après tout ce qu'on s'est permis d'écrire ici et là sur Gabrielle, sans la connaître ou en l'ayant connue (et je ne réserve pas un traitement de faveur à mon propre texte), il m'a semblé indispensable de la laisser s'exprimer elle-même, de lui donner " la parole ". La deuxième : il m'a paru difficile de ne pas faire sortir de l'ombre des lettres qui constituent, à mon sens, un document humain d'une qualité exceptionnelle. Elles sont de nature à permettre, aux yeux de n'importe qui, ce qu'on pourrait appeler la "réhabilitation" de Gabrielle. Ses épreuves s'y reflètent avec une vérité bouleversante. On y suit pas à pas le progrès de son désespoir, et quelquefois de son espoir. Elles expriment ce qu'elle a vécu mieux que tous les commentaires et rendent un son qui ne trompe pas. Comme je l'ai dit, elles sont authentiquement "le journal d'une angoisse". A l'heure où l'on privilégie volontiers la "littérature de témoignage", elles apparaissent en outre, souvent, comme l'oeuvre d'un véritable écrivain. La plupart d'entre elles ont été écrites de prison - lors du deuxième séjour aux Baumettes, en avril, mai et juin 1969. Un certain nombre, pourtant, sont antérieures et sont données à titre de repères. D'autres enfin, plus rares mais particulièrement importantes, ont été envoyées de "La Recouvrance", la maison de repos des Pyrénées, quelques semaines et parfois quelques jours avant le suicide de Gabrielle. Raymond Jean

03/1970

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Lecture 9-12 ans

Petit papa prison

" Elle m'a demandé si tu avais une tenue rayée comme dans les films de bagnards. N'importe quoi ! Et pourquoi pas un boulet au pied comme les Dalton, tant qu'elle y est ! " Le père d'Anna est en prison et bien sûr ce n'est pas facile à vivre face aux autres. Mais ils correspondent et se racontent à leur façon l'école, la maison, les joies et les colères, la prison. Dans leurs lettres colorées, c'est toute leur complicité et leur envie de vivre qui respirent...

03/2010

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Littérature étrangère

De ma prison

C'est en effet d'une prison que Taslima Nasreen lance ces émouvants textes-messages à ses amis. D'une prison rebaptisée safe house, où le gouvernement indien l'a tenue enfermée depuis novembre 2007 sous prétexte d'assurer sa protection. D'abord assignée à résidence début septembre dans sa maison de Calcutta, l'écrivain découvre l'inquiétude du gouvernement local, soumis à la pression des partis politiques soucieux de s'assurer le vote islamiste. À partir du 23 novembre, ce sera l' " éloignement " dans un endroit inconnu près de Delhi. Mesure qui se transforme vite en un internement pur et simple, destiné à obliger la prisonnière à quitter l'Inde de son propre gré. Ce qu'elle refuse absolument. Cloîtrée dans sa cellule, avec pour seuls compagnons un ordinateur et un téléphone capricieux, elle résiste jusqu'au moment où, privée des soins appropriés, sa santé chancelle. Fin mars 2008, Taslima Nasreen a repris le chemin de l'exil. Ces pages, tissées d'angoisse et de solitude, sont aussi un long cri d'étonnement : pourquoi cette grande démocratie laïque qu'est l'Inde, où elle avait cru trouver enfin refuge et justice, lui a-t-elle infligé cette ultime punition ? De quel péché Taslima s'est-elle rendue coupable ? Celui d'avoir dit la vérité ?

05/2008

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Littérature étrangère

Mémoires de prison

En 1936, Graciliano Ramos est directeur de l'Instruction publique de l'Etat d'Alagoas, dans le Nordeste brésilien. C'est aussi un écrivain connu. Il vient de publier São Bernardo, il achève Angústia (Angoisse). Ce qu'il écrit, ce qu'il pense composent de lui la figure d'un homme libre. Il n'en faut pas davantage alors pour devenir suspect : le climat politique est tendu, Getúlio Vargas prépare le coup d'Etat qui installera la dictature de l'Estado Novo. Les prisons se remplissent. Les communistes sont visés, mais aussi tout ce qui peut faire obstacle aux desseins de l'homme fort du Brésil : la gauche, les libéraux, les intellectuels, les étrangers. Un jour de mars de cette année agitée, Graciliano Ramos est arrêté, sans motif, sans explication. Pendant onze mois ce seront la même opacité, la même angoissante absurdité. Le fond de l'horreur est atteint au bagne d'Ilha Grande, colonie pénitentiaire sous les tropiques. Là sont parqués "politiques" et prisonniers de droit commun. Lorsqu'il quitte la colonie, Graciliano Ramos, à quarante-quatre ans, est un vieillard épuisé. Dix ans plus tard, il entreprend la rédaction de ses Mémoires de prison. Un projet longuement médité, longtemps ajourné. Il y consacrera les dernières années de sa vie. Livre de la mémoire, cet ouvrage ne sera pas un pamphlet politique. Graciliano Ramos se garde aussi de tout exhibitionnisme. Ce qu'il veut, c'est communiquer le plus aigu des sensations, des situations, des sentiments. Cette recherche au fond de soi et des autres était indissociable d'une réflexion sur la véracité du récit : une entreprise de rigueur. "Les prisons sont notre miroir", écrivait à Cannes, il y a quelques années, J. M. G. Le Clézio à propos du beau film de Nelson Pereira dos Santos adapté de ces Mémoires. Ces mots valent pour ce chef-d'oeuvre de la littérature brésilienne.

10/1988