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Portraits de Téhéran

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Guides étrangers

Portraits de Téhéran

Vivre ma ville, ce sont des livres pour voyager autrement, pour découvrir une destination racontée par les habitants. Des personnages de leur ville, qui donnent les clés, les conseils, les bonnes adresses, l'expérience de ceux qui vivent sur place, là où les autres guides se contentent d'auteurs professionnels de passage. Chaque portrait est un roman. Chaque portrait a un enjeu : comprendre le choix de cette ville-là. Chaque portrait permet aussi au lecteur de s'identifier, et donc de choisir ses destinations en fonction du personnage qui résonne le plus en lui. Dans les Portraits de Téhéran, Sara Saidi, journaliste correspondante à Téhéran, nous fait découvrir des personnages étonnants : artistes, entrepreneurs, femmes engagées, intellectuels, ils font Téhéran aujourd'hui. La capitale d'un pays incroyable qui s'ouvre aux voyageurs. Mais qui continue d'interroger sur ses valeurs et son rapport au monde. C'est l'âme de ses habitants, et leurs espoirs, que le livre permet de découvrir. Un récit fascinant, qui donne les clés de l'Iran à ceux qui souhaitent découvrir le pays autrement.

08/2018

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Littérature française

Quitter Téhéran

Naïri Nahapétian a vu sa vie basculer à l'âge de 9 ans, au moment de la révolution islamique en Iran. Elle quitte Téhéran pour Paris avec sa mère, pensant revenir quelques semaines plus tard. Mais l'exil dure. Et son père ne les rejoint pas. Des années plus tard, après une profonde dépression, Naïri se lance dans une enquête familiale pour comprendre ce qui a empêché son père de s'installer à Paris avec elles. Des avenues chics du XVe arrondissement aux rues embouteillées de Téhéran, Naïri remonte le fil de ses souvenirs d'enfance en Iran, de son intégration dans la France des années 80 et de ses expériences de jeune femme. Tout en cherchant à résoudre l'énigme de l'interdiction faite à son père de quitter l'Iran, elle mène une réflexion sur le port du voile et sur la place des femmes dans la société iranienne comme française. Elle livre aussi une analyse de la vie politique contemporaine en Iran, dont elle est une experte reconnue en tant que journaliste. A travers son parcours de vie, on découvre l'Iran et ce qu'a signifié la révolution islamique en particulier pour la minorité arménienne dont Naïri est issue. On saisit aussi combien une histoire familiale peut être marquée du sceau de l'histoire politique d'un pays.

04/2023

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Littérature persane

Teheran Trip

Le Trainspotting iranien Shadi, jeune femme iranienne, plonge dans l'opium pour échapper à ses parents stricts, à sa famille omniprésente, à son avenir compromis, dans un Téhéran secoué de tremblements de terre, aussi physiques que politiques. Le temps d'un week-end, elle fait le mur et nous entraine dans l'envers du décor de Téhéran pour nous faire découvrir une jeunesse désenchantée et fascinante. Un roman vif, déjanté, banni dans son pays, enfin publié aux USA et en Europe, et salué comme un souffle d'air dans la littérature orientale.

02/2023

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Littérature étrangère

Les jacarandas de Téhéran

L'action, qui se déroule de 1983 à 2011, suit l'itinéraire d'un groupe d'hommes, de femmes et d'enfants liés par le sang ou réunis par les flux de l'Histoire. Ce sont eux, les enfants du jacaranda : Neda, née dans la prison d'Evin à Téhéran, arrachée à sa mère après quelques mois ; Omid qui, à trois ans, a vu l'arrestation de ses parents, activistes politiques ; Sheida qui apprend, vingt ans après les purges violentes dans les prisons iraniennes, que son père y a été exécuté. Portrait émouvant de trois générations marquées à vie par des années de répression et de lutte et pourtant unies par un même rêve de liberté et de justice, le livre de Sahar Delijani est d'un réalisme saisissant. Inspiré de l'histoire de sa propre famille, ce roman évoque pourtant des sujets universels. Son écriture, d'une puissance narrative rare, parvient à captiver le lecteur de bout en bout.

04/2014

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Littérature anglo-saxonne

La Librairie de Téhéran

Dors-tu, ô toi qui m'aimes depuis si longtemps ? Téhéran, 1953. Pour leur fille, les parents de Roya veulent le meilleur : ils l'inscrivent dans le meilleur lycée de la capitale, espérant bien faire d'elle la future Marie Curie de ce monde. Une savante, une intellectuelle, une femme capable de changer le cours de l'histoire. Après ses cours, la jeune fille fréquente régulièrement la librairie de M. Fakhri, où elle trouve de quoi étancher sa soif de poésie persane et de littérature étrangère. C'est là qu'elle va faire connaissance de Bahman, jeune activiste politique, bien décidé à changer le monde. La librairie de M. Fakhri devient dès lors un lieu de rencontre et de résistance. Dans cette période politiquement mouvementée, au milieu des recueils de Hafez, Rûmî et Khayyam, naît une inoubliable histoire d'amour.

11/2022

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Littérature française

Le gardien de Téhéran

PrixdelaMaisonPresse23 — L'histoire du gardien du musée de Téhéran, un homme seul face à la menace des religieux fanatiques qui a réussi à sauver 300 chefs d'oeuvre d'art moderne, le trésor de l'Impératrice des arts. Printemps 1979, Téhéran. Alors que la Révolution islamique met les rues de la capitale iranienne à feu et à sang, les Mollahs brûlent tout ce qui représente le modèle occidental vanté par Mohammad Reza Pahlavi, le Chah déchu, désormais en exil. Seul dans les sous-sols du musée d'Art moderne de Téhéran, son gardien Cyrus Farzadi tremble pour ses toiles. Au milieu du chaos, il raconte la splendeur et la décadence de son pays à travers le destin incroyable de son musée, le préféré de Farah Diba, l'Impératrice des arts. Près de 300 tableaux de maîtres avaient permis aux Iraniens de découvrir les chefs d'oeuvre impressionnistes de Monet, Gauguin, Toulouse-Lautrec, le pop art d'Andy Warhol et de Roy Lichtenstein, le cubisme de Picasso ou encore l'art abstrait de Jackson Pollock. Mais que deviendront ces joyaux que les religieux jugent anti islamiques ? Face à l'obscurantisme, Cyrus endosse, à 25 ans à peine, les habits un peu grands de gardien d'un trésor à protéger contre l'ignorance et la morale islamique.

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Iran

Nous femmes de Téhéran

L'Iran est un pays en transition, entre passé et présent, au carrefour de civilisations contiguës et indépendantes, entre Orient et Occident, modernité et tradition. Une République... islamique, qui devrait être une démocratie... religieuse... dans les faits une oligarchie d'ayatollahs et de pasdarans. Au coeur de l'Iran, Téhéran, sa capitale, avec ses différentes âmes, est une femme qui enchante ses interlocuteurs. Comme toutes les Shéhérazade, elle susurre les mots justes. Elle convainc. Elle vous enchantera vous aussi, si vous décidez de voyager. Et comme une mine de rubis, vous serez ouverts à l'influence des rayons du soleil. Farian Sabahi, journaliste et historienne spécialiste de l'Iran, enseigne à Genève et Turin. Parmi ses publications : "Il mio esilio", avec le prix Nobel Shirin Ebadi, "Storia dell'Iran", "Un'estate a Teheran", "The Literacy Corps in Pahlavi Iran", "Islam. L'identità inquieta dell'Europa et Storia dello Yemen". En français, elle a réalisé la lecture théâtralisée " L'Empire perse et ses femmes " au "Rendez-vous de l'Histoire" (Blois 2015).

01/2023

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Littérature étrangère

La librairie de Téhéran

Les amoureux ne se rencontrent jamais par hasard, Chacun abrite l'autre dans son coeur depuis le début. Téhéran, 1953. Les parents de Roya veulent le meilleur pour leur fille : ils l'inscrivent dans un prestigieux lycée de la capitale, espérant bien faire d'elle une savante, une intellectuelle, une femme capable de changer le cours de l'histoire. La jeune fille fréquente régulièrement la librairie de M. Fakhri, où elle trouve de quoi étancher sa soif de poésie et de littérature. C'est là qu'elle va faire connaissance de Bahman, jeune activiste politique, bien décidé à changer le monde. La librairie devient dès lors un lieu de rendez-vous clandestins et de résistance. Dans cette période politiquement mouvementée, parmi les recueils des plus grands poètes persans, naît une inoubliable histoire d'amour. " Les histoires de Marjan Kamali, imprégnées des arômes de la cuisine iranienne, sont de celles qui achèvent de nous convaincre que l'amour peut durer pour toujours. " Library Journal " Un merveilleux conte qui ressuscite avec brio ce monde perdu qu'on appelait autrefois notre chez-nous. " Jasmin Darznik " Une poignante histoire d'amour. " Publishers Weekly

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Littérature étrangère

Bons baisers de Téhéran

Les Soleyman, famille juive chassée de Téhéran, pensent avoir enfin trouvé le répit en s'exilant à Los Angeles. Mais un démon de leur passé, connu sous le nom du Fils de Raphael, va venir les perturber. Enfant illégitime, son existence même est une ombre qui plane au-dessus de leur clan, et son arrivée en Californie fait frémir toute la communauté juive iranienne. Des années plus tard, le Fils de Raphael, devenu un important businessman, est retrouvé assassiné dans sa voiture. Son épouse délaissée, un Soleyman en quête de vengeance, des investisseurs escroqués, ou peut-être même son comptable et confident de toujours ? La liste des suspects n'en finit pas de s'allonger... Entre saga familiale et roman policier, culture persane et culture juive, drame et humour, Bons baisers de Téhéran explore la force des liens du sang et les cicatrices de l'exil.

03/2015

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Littérature française

Le gardien de Téhéran

L'histoire du gardien du musée de Téhéran, un homme seul face à la menace des religieux fanatiques qui a réussi à sauver 300 chefs d'oeuvre d'art moderne, le trésor de l'Impératrice des arts. Printemps 1979, Téhéran. Alors que la Révolution islamique met les rues de la capitale iranienne à feu et à sang, les Mollahs brûlent tout ce qui représente le modèle occidental vanté par Mohammad Reza Pahlavi, le Chah déchu, désormais en exil. Seul dans les sous-sols du musée d'Art moderne de Téhéran, son gardien Cyrus Farzadi tremble pour ses toiles. Au milieu du chaos, il raconte la splendeur et la décadence de son pays à travers le destin incroyable de son musée, le préféré de Farah Diba, l'Impératrice des arts. Près de 300 tableaux de maîtres avaient permis aux Iraniens de découvrir les chefs d'oeuvre impressionnistes de Monet, Gauguin, Toulouse-Lautrec, le pop art d'Andy Warhol et de Roy Lichtenstein, le cubisme de Picasso ou encore l'art abstrait de Jackson Pollock. Mais que deviendront ces joyaux que les religieux jugent anti islamiques ? Face à l'obscurantisme, Cyrus endosse, à 25 ans à peine, les habits un peu grands de gardien d'un trésor à protéger contre l'ignorance et la morale islamique.

09/2023

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Littérature persane

Dans les rues de Téhéran

FEMME, VIE, LIBERTE ! La nouvelle révolution iranienne vue de l'intérieur Après la mort de la jeune Kurde Mahsa Jina Amini le 16 septembre 2022, les cris de colère des Iraniens réclamant l'égalité et la justice se font entendre dans toutes les grandes villes du pays. Dans ce témoignage exceptionnel, une Iranienne nous entraîne au coeur du soulèvement où, lors de ses sorties quotidiennes dans les rues de la capitale, elle est à la fois témoin et actrice de la révolte de son peuple. Replaçant les évènements récents dans une longue histoire de lutte à travers la figure de Tâhereh, première martyre pour la cause des femmes, elle nous livre une puissante réflexion sur cette révolution.

09/2023

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Iran

Je vous écris de Téhéran

Sous la forme d'une lettre posthume à son grand-père, entremêlée de récits plus proches du reportage, Delphine Minoui raconte ses années iraniennes, de 1997 à 2009. Au fil de cette missive où passé et présent s'entrechoquent, la journaliste franco-iranienne porte un regard neuf et subtil sur son pays d'origine, à la fois rêvé et redouté, tiraillé entre ouverture et repli sur lui-même. Avec elle, on s'infiltre dans les soirées interdites de Téhéran, on pénètre dans l'intimité des mollahs et des miliciens bassidjis, on plonge dans le labyrinthe des services de sécurité, on suit les espoirs et les déceptions du peuple, aux côtés de sa grand-mère Mamani, son amie Niloufar ou la jeune étudiante Sepideh. La société iranienne dans laquelle se fond l'histoire personnelle de la reporter n'a jamais été décrite avec tant de beauté et d'émotion.

03/2015

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Urbanisme

Téhéran, une capitale fragmentée

L'histoire urbaine récente de Téhéran est marquée par une importante différenciation socio-spatiale suite à l'urbanisation rapide des années 1960. Au cours des deux siècles précédents, quelles que fussent leurs origines socioéconomiques, les Téhéranais vivaient les uns à côté des autres en toute proximité spatiale. La scission socio-spatiale dans la capitale iranienne connaît un tournant quand la famille impériale Pahlavi déménage au milieu des années 1960 des palais du sud de Téhéran pour les complexes palatiaux de Saadabad et Niavaran au nord. Dès lors, les catégories aisées s'installent au nord et les plus populaires au sud de la capitale. Cette tendance divise désormais la plus grande ville de l'Iran en deux rives, ville-nord et ville-sud, de part et d'autre de l'axe Azadi-Enqelab, artère commerciale d'est en ouest. Analysant la qualité de vie, l'écologie factorielle, le droit à la ville, la justice spatiale dans les débats urbains, et à l'aide d'une démarche documentaire et d'une enquête de terrain, cet ouvrage dresse un état des lieux de Téhéran pour révéler les raisons de cette importante séparation socio-spatiale. En comparant les deux ensembles spatiaux, il montre que les parties méridionale et septentrionale de la capitale de l'Iran sont loin d'être uniformes et homogènes dans la mesure où il existe des quartiers opposés sinon enclavés, comme c'est le cas du quartier populaire de Niyayesh, au nord réputé aisé de la ville, et inversement du quartier aisé de Kossar situé, lui, dans le sud populaire.

07/2021

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Histoire internationale

Lire Lolita à Téhéran

Après avoir dû démissionner de l'Université de Téhéran sous la pression des autorités iraniennes, Azar Nafisi a réuni chez elle clandestinement pendant près de deux ans sept de ses étudiantes pour découvrir de grandes œuvres de la littérature occidentale. Certaines de ces jeunes filles étaient issues de familles conservatrices et religieuses, d'autres venaient de milieux progressistes et laïcs ; plusieurs avaient même fait de la prison. Cette expérience unique leur a permis à toutes, grâce à la lecture de Lolita de Nabokov ou de Gatsby le Magnifique de Scott Fitzgerald, de remettre en question la situation " révolutionnaire " de leur pays et de mesurer la primauté de l'imagination sur la privation de liberté. Ce livre magnifique, souvent poignant, est le portrait brut et déchirant de la révolution islamique en Iran.

09/2005

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Littérature étrangère

Vivre et mentir à Téhéran

Mentir à Téhéran est une question de survie. Ramita Navai plonge dans les rues de la ville secrète à travers les vies de huit protagonistes, des personnes ordinaires forcées de mener des existences extraordinaires. Le portrait intime et inoubliable d'un Iran moderne qui montre comment il est possible d'aimer, de vivre et de survivre dans l'un des régimes les plus répressifs du monde. L'auteur a été correspondante à Téhéran pour The Times de 2003 à 2006.

02/2015

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Littérature française

Azadi. Protestations dans les rues de Téhéran

Azadi signifie "liberté" en persan. Il y a ceux qui la rêvent et ceux qui en paient le prix. Téhéran, juin 2009. Après des élections truquées et la confirmation d'Ahmadinejad à la tête de la République islamique d'Iran, une colère sourde s'empare de la jeunesse instruite de Téhéran. Raha manifeste chaque matin avec ses amis étudiants place Azadi malgré les mises en garde de ses aînés, malgré la répression féroce qui sévit. Jusqu'au jour où sa vie bascule. Après son arrestation et une détention d'une violence inouïe, ses yeux prendront à jamais la couleur de l'innocence perdue. Mais, comme elle s'était battue pour son pays, Raha se battra pour que justice lui soit rendue... Tout en levant le voile sur une psyché iranienne raffinée et moderne, sans manichéisme et avec un souffle d'une violente beauté,Azadi dit de façon magistrale le terrible supplice de celle qui cherche, telle une Antigone nouvelle, à obtenir réparation. Et à vivre aussi... dans un lieu où le sort des femmes n'a aucune importance.

01/2019

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Ethnologie et anthropologie

Les vendeuses ambulantes du métro de Téhéran

Ce livre est le premier à se pencher sur un microcosme, celui des vendeuses ambulantes du métro de Téhéran. Cette activité constitue un mode de vie socio-économique informel, non défini institutionnellement, sans organisation spécifique et parallèle à celui des activités traditionnelles. Dans cet univers en marge, ces femmes essayent de trouver une issue à leur situation économique dans une société perpétuellement en crise depuis la Révolution islamique. Pour saisir ces diverses activités jusqu'ici délaissées par les chercheurs mais récemment révélées par la presse et le cinéma, Fariba Masoudi a observé quelque soixante femmes vendeuses dans l'espace souterrain. Elle livre une analyse ethnologique sur comment et pourquoi le métro apparaît comme un lieu de travail où ces vendeuses, issues de différents groupes sociaux, s'organisent et côtoient quotidiennement les passagers du réseau, dans le but d'améliorer les conditions de travail de ce nouvel environnement, à l'écart des désagréments de la part des autorités du métro.

04/2022

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Littérature française

Par une nuit obscure. De Téhéran à...

"Soussan Azarine nous offre un témoignage, depuis sa naissance au pays des merveilles de l'Iran séculaire, du combat qu'elle ne cessa de livrer contre la violence des rapports familiaux et sociaux, transmise à travers les générations. L'analyse qu'elle nous livre est exceptionnelle, car elle ne cesse d'observer sur elle-même les impacts des séismes de l'histoire, à son échelle d'enfant, d'étudiante et de mère. Jamais elle ne cède à la complaisance victimaire mais au contraire elle plonge à chaque épreuve "au fond de l'inconnu pour trouver du nouveau", comme dit le vers de Baudelaire". (F. Davoine)

11/2023

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Récits de voyage

Récit de voyage. Stamboul, Téhéran et Bokhara 1891

Etienne Sabatier-Desarnaud a vingt-six ans en 1891 quand, sur la proposition d'un ami, il s'en va pour accomplir son voyage en Orient. Il en laisse un récit plein de fraîcheur, écrit d'une plume savoureuse et précise, qui nous fait voyager en sa compagnie depuis le port de Marseille jusqu'au Bosphore et, de là, sur la côte méridionale de la mer Noire, en Arménie, à la Perse, en mer Caspienne, dans cette partie de l'Asie centrale sous domination russe et jusqu'à la cité de Samarkande, ancienne capitale de Tamerlan. Ces notes parlent d'un monde oriental antérieur à la Première Guerre mondiale, tout en apportant un éclairage sur les coutumes et les croyances des pays traversés.

02/2021

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Littérature étrangère

Les nuits sont calmes à Téhéran

Rester ou s'exiler. Cinq voix d'une même famille pour raconter l'Iran contemporain. Un premier roman vertigineux.

01/2018

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Histoire de la photographie

Portraits choisis, portraits subis

La pratique du portrait photographique cristallise une multitude d'enjeux sociaux : du portrait choisi réalisé à l'initiative de la personne photographiée au portrait subi où celle-ci - réduite au rang d'objet - se voit imposer, de manière unilatérale, de poser devant l'appareil. Entre ces deux extrémités, se déploie une panoplie de cas intermédiaires, à travers lesquels l'agencéité des sujets s'exprime selon des intensités variables. Au travers de ce numéro qui s'inscrit dans un arc géographique large et dans une fourchette chronologique allant des années 1860 aux années 1950, les contributions interrogent les expressions photographiques de la domination et/ou de l'émancipation, leurs régimes de signification, leurs marqueurs visibles ou moins visibles mais aussi les formes spécifiques que celles-ci ont revêtues en fonction des contextes. Les tensions entre l'individuel et le collectif, entre le public et le privé, entre les mobiles initiaux et les usages postérieurs, entre le regard du photographe et la présence du photographié, entre la prétendue objectivité de la technique et l'aspect construit de la mise en image, entre le contenu de l'image et l'orientation de sa légende, sont autant de lignes de crête de ce dossier.

10/2022

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Beaux arts

Portraits de Rembrandt

Ces portraits de Rembrandt par lui-même sont un récit intense de ce qu'est la création. Des premiers peints en 1625 - l'artiste a alors dix-neuf ans - aux derniers réalisés l'année de sa mort en 1669, c'est l'essentiel de sa vie qui est livré ici, mis en évidence, puisque sa vie n'est que peinture. Une présentation originale sous forme de Leporello ; 160 pages, 115 illustrations.

09/2019

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Divers

Portraits de rue

En résidence dans le cadre du projet Vagabondage 932 sur la Cité Jacqueline Auriol à Chamiers (24), Laurent Lolmède s'est intéressé à la toponymie du quartier. Il a réalisé des dessins des rues avec au centre les panneaux des noms des rues. Il a ensuite effectué des recherches sur les personnes qui ont donné leur nom aux lieux. Il juxtapose ses dessins de paysages et les portraits renseigner des gens plus ou moins célèbres. Lolmède réalise ainsi un document sensible et souvent drôle qui renseigne sur la "petite" géographie locale.

02/2022

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Poches Littérature internation

Portraits de femmes

C'est dans toute la plénitude de leur présence que Pietro Citati fait surgir devant nous sainte Thérèse d'Avila, Jane Austen, Lou Andreas-Salomé, Virginia Woolf, Katherine Mansfield, Marina Tsvetaïeva, Karen Blixen, Simone Weil, Flannery O'Connor, Cristina Campo, Anna Maria Ortese, Ingeborg Bachmann... Dans nombre de ces vies de femmes, dans les livres écrits par ces femmes, la littérature a peut-être rejoint ses extrêmes possibilités tragiques. La concentration spirituelle, le courage de l'intelligence, la fermeté d'esprit, le désespoir, le feu, la fureur, le rêve de l'âme pure culminent dans ces figures féminines qui nous conduisent du Moyen Age à la fin du XXe siècle. Portraitiste hors pair, Pietro Citati accorde toujours son " métronome intérieur " au rythme de l'artiste ou de l'écrivain dont il nous conte la vie et l'œuvre. L'intrépide acuité du regard, la finesse de l'analyse, la vivacité du récit, l'élégance du trait et le charme de l'expression caractérisent ses Portraits de femmes.

05/2003

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Critique littéraire

Portraits de femmes

L'un des phénomènes culturels importants de notre époque est le retour de la biographie. Un autre est la place conquise par les femmes, ou qui leur est rendue. Or Sainte-Beuve était passionné des deux, et de sensibilité très féminine. Le moment est venu, par-delà l'anathème proustien, de lui rendre justice. D'autant que le portrait n'est pas la biographie : c'est la synthèse d'une vie, d'une personnalité, en quelques dizaines de pages libérées de l'anecdote, et qui vont droit à l'essentiel. On passe ainsi de Mme de Sévigné à Mme de Lafayette, de Mme de Staël à Mme Roland, et même à la Rochefoucauld, " homme couvert de femmes " ; le lecteur (la lectrice) est passionné par ces figures complexes, aventureuses et charmantes, peintes par celui qui définissait son objectif avec une fausse modestie de grand écrivain : " introduire le plus possible et fixer pour la première fois dans la littérature ce qui n'en était pas tout à fait auparavant. "

11/1998

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Contes et nouvelles

Portraits de femmes

Portraits de femmes, de coeurs battants. Mères de tous âges, amoureuses, femmes délaissées, amies disparues, femmes besogneuses et femmes bourgeoises, soeurs qui se retrouvent, femme survivante d'un attentat — des femmes que l'on voudrait sauver de leurs tourments, des injustices et rendre heureuses. Des moments forts, décrits avec une grande humanité, où se révèlent toute la complexité et la richesse des sentiments humains.

01/2021

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Littérature française

Portraits de Yana

" Aucune existence ne se conte, aucun humain n'est capable d'embrasser une vie entière - aussi brève fût-elle - avec des mots. On peut seulement donner des portraits, de soi-même ou d'autres que soi, toujours provisoires, avec leurs couches entrelacées et leurs glacis, avec leurs blancs et leurs repentirs. " Le XXIe siècle commençait, elle sortait de l'adolescence, une tresse savante posée sur l'épaule gauche. Je rencontrai Yana dans une rue en chantier du sud de la Russie. Nous devînmes alliés. Nos chemins se séparèrent puis se croisèrent de nouveau des années plus tard, dans une prison sibérienne. Ensemble, nous partîmes en cavale. Elle est archéologue, anthropologue articulant des mots oubliés, orpheline, mère d'un soldat qui guerroie dans les plaines d'Ukraine, elle est fauve quand cela lui chante, magicienne ou putain quand les circonstances l'imposent. Ne lui dites pas qu'elle est romanesque. Yana vous toiserait, répondrait qu'elle aura toujours plus d'imagination qu'un malheureux personnage de fiction. A tout prendre, elle préfère se reconnaître dans un tableau peint par Ilya Répine un siècle avant qu'elle naisse. Pour elle, j'ai voulu faire sonner les tambours de la langue dans un livre-cérémonie. Et que naissent des portraits capables d'abriter dans leurs fêlures toutes les Yana.

10/2023

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Littérature française (poches)

Portraits de femme

" Vous êtes le peintre et le musicien de ces femmes, elles deviennent des personnages centraux de vos romans, elles peuvent prendre d'autres formes, d'autres figures, elles sont parfois rejointes par celles dont on ne peut pas dire le nom. Ce moment où l'une ou l'autre sort des vagues est unique, ce foulard est unique, ce fou rire aussi. La poudre du temps leur appartient. "

10/2014

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Littérature française

Portraits de femmes

Pourquoi "Portraits de femmes" ? Parce qu'il fallait choisir, tout simplement. Dans le cahier des histoires, il y avait aussi des hommes et des enfants, mais pour ce livre-là, il n'y a que des femmes. Des femmes au quotidien, qui se découvrent et qui s'étonnent d'elles-mêmes. Ce sont des femmes confidences et compagnes, des femmes qui murmurent, qui dansent et qui rêvent. Des femmes que 1'on croise tous les jours, c'est vous, c'est moi, c'est elle, des femmes qui ne font rien d'extraordinaire. Il n'y a pas d'aventure haletante, trépidante. L'aventure est dedans, à l'intérieur des chairs, les mots sont simples, ce sont des mots de "raconteuses d'histoires", des mots musiques qui prennent la clé du sol et jouent sur la portée.

06/2013

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Critique littéraire

Portraits de Stendhal

Des vies, mais telles que la mémoire les invente, que notre imagination les recrée, qu'une passion les anime. Des récits subjectifs à mille lieues de la biographie traditionnelle. L'un et l'autre : l'auteur et son héros secret, le peintre et son modèle. Entre eux, un lien intime et fort. Entre le portrait d'un autre et l'autoportrait, où placer la frontière ? Les uns et les autres aussi bien ceux qui ont occupé avec éclat le devant de la scène que ceux qui ne sont présents que sur notre scène intérieure, personnes ou lieux, visages oubliés, noms effacés, profils perdus.

02/2008