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Nous l'aimons tant, Glenda et autres récits

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Littérature étrangère

Nous l'aimons tant, Glenda. Et autres récits

Pourquoi le nombre d'entrées enregistrées dans le métro de Buenos Aires est-il inférieur au nombre des sorties ? Peut-on devenir complices sans jamais se voir ? Comment communiquer avec les morts ? Maître du fantastique, Julio Cortázar bouscule l'ordre établi du temps et de l'espace. Entre angoisse et exquise ambiguïté, réel et imaginaire, il nous offre dix nouvelles qui plongent dans les replis de l'être.
Un voyage dont on ne sort pas indemne.

05/1982

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Poches Littérature internation

Nous l'aimons tant, Glenda et autres récits

Pourquoi le nombre d'entrées enregistrées dans le métro de Buenos Aires est-il inférieur au nombre des sorties ? Peut-on devenir complices sans jamais se voir ? Comment communiquer avec les morts ? Maître du fantastique, Julio Cortazar bouscule l'ordre établi du temps et de l'espace. Entre angoisse et exquise ambiguïté, réel et imaginaire, il nous offre dix nouvelles qui plongent dans les replis de l'être. Un voyage dont on ne sort pas indemne.

02/2014

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Vie de famille

Aimons-nous. Aidons-nous

Aimons-nous ! aidons-nous ! par le Dr Grellety,... Date de l'édition originale : 1895 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

07/2021

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Littérature française

Nous vous aimons tous

A l'issue du banquet d'anniversaire des vieux parents, le toast porté par le père va réveiller en chacun des enfants des souvenirs, des ressentiments, des espoirs. Depuis longtemps, les aînés et les plus jeunes ne savent plus se parler. Dans l'obscurité d'une soirée d'orage, la famille se trouve rassemblée pour un huis clos imprévu. Vont-ils enfin inventer ce qu'ils se croyaient incapables de vivre ? Hasards opportuns, émotion et humour seront les chemins d'une renaissance inespérée.

07/2014

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Littérature française

Nous nous aimions tant !

Dans le cadre de rencontres avec le monde littéraire, le stand culturel d'un hypermarché de la région de Marseille a invité Henri à présenter 2 romans "Avant de partir" et "Nos âmes sont siamoises" . Il a écrit ces ouvrages pour évacuer le stress qui l'a submergé suite à la résurgence, 56 ans après, d'un choc émotionnel qu'il a subi alors qu'il avait 17 ans. Parmi les lecteurs venus se faire dédicacer leurs livres, une femme ayant sensiblement le même âge que lui, s'est présentée. "Je m'appelle Amandine, lui dit-elle" . Selon le récit fait par quelques témoins de la scène, il se passa alors un phénomène étrange qui semblait se produire dans une autre dimension dans laquelle il n'y avait qu'Henri et cette dame ...

09/2015

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Littérature française

Aimons-nous les uns les autres

1871. La Commune de Paris. La révolution la plus généreuse que la Terre ait portée est bientôt écrasée dans le sang par les " Versaillais " d'Adolphe Thiers, dit le " foutriquet ". Catherine Clément raconte ces mois d'espoirs et de rêves, mais aussi de grande confusion, essentiellement à travers le double regard d'Abel Gornick, un Ukrainien, compagnon de Léo Frankel (le proudhonien nommé par les insurgés ministre du Travail), et surtout franc-maçon (c'est la devise de sa loge qui donne son titre au roman), et celui d'Elisabeth Dmitrieff, une comtesse russe devenue l'émissaire de Karl Marx et de la Ire Internationale auprès de la Commune. Mais tous les communards illustres sont là : Varlin, Delescluze, Lissagaray, Dombrovsky, Clemenceau (alors maire de Montmartre), Garibaldi, Blanqui, Jules Vallès et Victor Hugo, l'inénarrable Louise Michel et jusqu'à Karl Marx, qui observe avec inquiétude les événements depuis Londres, et le Génie de la Bastille, devenu, par la malice de l'auteur, personnage à part entière. Une vraie farandole de figures historiques. Savoureux, haletant, d'une intraitable liberté de ton, ce roman d'une ancienne communiste donne à voir une Commune enfin démythifiée, révélant des sources intellectuelles (humanistes) loin de celles que chante la légende.

10/2014

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Développement personnel

Pourquoi nous aimons ?

Plus qu'un sentiment, l'amour est un besoin physiologique primordial - comme la faim ou la soif. Pourquoi tombons-nous amoureux? D'où vient la sensation de fusion avec l'être aimé? Pourquoi la rupture s'accompagne-t-elle de la dépression ou de la colère ? Comment garder l'amour vivant ? A ces questions ancestrales, l'anthropologue Helen Fisher apporte des réponses neuves. Grâce à la technique de l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle, elle a observé le cerveau de plusieurs milliers de personnes amoureuses ou vivant une rupture: les résultats de son enquête nous dévoilent les réalités physiologiques qui se cachent derrière les mots désir, coup de foudre, attachement, dépit... Un livre nourri de références littéraires et de poésie, où anthropologie et neurologie s'allient pour décrypter ce " cataclysme " qu'est le phénomène amoureux.

02/2006

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Cinéastes, réalisateurs

Si nous avions su que nous l'aimions tant nous l'aurions aimé davantage

Ce texte d'hommage à Bertrand Tavernier est une magnifique ode à l'amitié entre deux hommes de générations différentes qui se reconnaissent dès leur première rencontre à l'Institut Lumière (que Tavernier présida de sa création en 1982 à sa mort en 2021) puis se tiendront la main jusqu'au bout, le cadet ne cessant d'admirer l'aîné comme un père, puis un grand frère. Réalisateur, scénariste, producteur, cinéphile passionné, écrivain, d'une curiosité insatiable, fou de jazz et de littérature, acharné d'Amérique tout en restant fidèle à ses racines lyonnaises, d'une liberté de goût et d'allure sans pareille, d'un engagement sans concessions, Tavernier est un ogre. Il a fait ses débuts comme assistant de Jean-Pierre Melville. Attaché de presse à plein temps de Stanley Kubrick, il lui envoie ce télégramme de démission : " En tant que cinéaste vous êtes un génie, mais un crétin dans le travail " . Autant dire que sa forte personnalité ne le prédisposait pas aux petits accommodements... Rien ne sert d'égrener ici la liste de ses très nombreux films, documentaires, livres, qui lui valurent couronnes et lauriers dans le monde entier. Car ce qui fait le coeur de ce livre est autre chose : restituer la mécanique intime d'un être de passion, se placer au plus près de lui, dans les coulisses, comme on filmerait le hors-champ de sa vie et de son image publiques ; montrer la place qui lui revient dans le paysage du cinéma français et dans la redécouverte du cinéma mondial ; analyser à travers lui la source des querelles esthétiques qui continuent de déchirer les grandes traditions de la critique cinématographique en France. Anecdotes, portraits, scènes vécues, voyages en commun aux Etats-Unis et ailleurs : cet exercice d'admiration, ce " tombeau " , cette biographie intime mêlée d'autobiographie, finissent par dessiner une vaste fresque collective , tant la fascination pour un être particulier à ce point avide du monde rejoint ici l'universel.

09/2022

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Policiers

Armons-nous les uns les autres !

Soirée d'ouverture du Festival de Cannes, hôtel Martinez : Alias, grand criminel pour le plaisir, devise galamment dans sa chambre avec une masseuse et une soubrette cinémaboule. Non loin de l'hôtel, l'éminence n grise d'Alias, un paralytique cradingue surnommé La Morve, subtilise la bobine d'un film très attendu du Festival qu'il remplace par une version détournée. La substitution dégénère en bain de sang. La Morve planque les cadavres et le film sous le curieux édredon qui couvre son fauteuil roulant et s'en revient comploter avec son maître. La chambre transformée en camp retranché, l'on y trucide gaiement grooms et vigiles en buvant du cacao et des bières belges volcaniques avant de fuir en un cortège extravagant et obscène le long des couloirs " marienbadiens " du Martinez... Faux polar mais vraie farce rabelaisienne et surréaliste de combat, Armons-nous les uns les autres ! est une charge hilarante contre le nouvel ordre moral entendant nous mettre les yeux en face des troubles. Par le plus fameux des entarteurs de " pompeux cornichons ".

10/2003

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Littérature française

Nous nous aimions

Dans les années 1980, tous les étés, la scène se rejoue à l'aéroport de Moscou, escale obligatoire au retour des vacances en Géorgie : les douanières fouillent les valises, terrorisent les filles et menacent leur mère, Daredjane, de ne pas la laisser repartir à Paris, lui rappelant qu'ici, elle est toujours soviétique. Mais Daredjane tient à ce que Kessané et sa soeur gardent un lien avec leurs grands-parents et avec son pays natal, qu'elle a quitté pour s'installer en France. Son mari, Tamaz, finissait par les retrouver et la famille reprenait le cours limpide des jours, dans leur pavillon du Vésinet. Bien longtemps après, Daredjane contemple tristement le portrait de Tamaz, mort depuis dix ans déjà. Elle se sent étrangère dans la belle maison de Kessané, devenue journaliste, à qui elle reproche sa dureté. La mort du père a fait voler en éclats l'harmonie passée, les soeurs, si proches, se sont éloignées l'une de l'autre. Tout était si simple avant, et si romanesque : le coup de foudre de Tamaz pour Daredjane, venue se produire au Théâtre des Champs-Elysées avec le ballet de Géorgie ; la détermination de la belle danseuse à le rejoindre à Paris ; le premier flirt de Kessané, son aînée, avec ce jeune voisin d'Abkhasie... Elucidant les raisons de ce désamour à la clarté des souvenirs heureux, la subtile romancière excelle à suggérer les failles, à scruter les dissonances et surtout les silences : si on ne parlait pas de politique, c'est pourtant sur fond d'exil et de guerre que s'est écrite l'histoire de cette famille apparemment si ordinaire. Comme autant d'ondes de choc, les drames de leur pays d'origine viennent se mêler au drame intime que vivent ces trois femmes désormais confrontées à leur solitude. Nous nous aimions est un très beau roman sur l'empreinte ineffaçable de l'enfance.

08/2022

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Romance sexy

Aimons-nous, c'est Noël !

Ils se détestent autant qu'ils s'attirent... Lorsque Zoey propose à sa soeur, Chloe, de venir passer les fêtes de Noël avec elle en Angleterre dans la famille de son mari, cette dernière est aux anges. Seul point noir au tableau : la présence de Finlay. Il a beau être charmant, elle le trouve surtout très agaçant ! Après une rencontre houleuse, lors du mariage d'Ethan et Zoey, on ne peut pas dire que Chloe et Fin s'apprécient. Dès qu'ils se retrouvent dans la même pièce, ils ne peuvent s'empêcher de se défier. Aussi têtus l'un que l'autre, ils sont prêts à tout pour remporter la partie ! Suite à un pari gagné, la jeune femme accepte la proposition de sa soeur au grand dam de Finlay. Entre désir et défi, ils ne sont pas au bout de leurs peines. Mais entre l'amour et la haine ne dit-on pas qu'il n'y a qu'un pas ?

11/2022

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Ouvrages généraux

"Nous vous aimons, Madame". Simone Veil, 1927-2017

"Nous vous aimons, Madame" : les mots élogieux prononcés par Jean d'Ormesson lors de la réception de Simone Veil à l'Académie française, en 2010, résonnent aujourd'hui comme une déclaration partagée par des millions de personnes. Femme politique et populaire, Simone Veil est une pionnière. Première femme ministre de la Ve République en 1974, première présidente du Parlement européen en 1979, elle a occupé pendant quarante ans une place à part dans la vie politique française. Avant cet engagement, elle fut une magistrate passionnée et une militante de l'amélioration des conditions de vie des prisonniers. Tout au long de sa carrière, elle ouvrira la voie aux femmes avec sérénité et détermination, deux traits caractéristiques de sa personnalité. Grâce à de nombreux documents -pour certains inédits-, dont ses archives privées confiées aux Archives nationales en 2012, ce livre rappelle qu'avant de devenir une icône, la jeune Niçoise Simone Jacob fut plongée dans l'enfer d'Auschwitz à l'âge de 16 ans. Ce traumatisme constitue la matrice d'un destin unique marqué par un souci constant de la dignité humaine. Au fil des étapes de sa vie d'adulte, Simone Veil aura transcendé sa condition de victime pour devenir actrice de son histoire et de celle de la France.

04/2021

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Littérature française

C'est l'amour que nous aimons

Accompagné d’une superbe préface de Marc Lambron, ce volume rassemble les deux premiers romans de l’auteur : L’Amour est un plaisir (1956) et Un amour pour rien (1960), un de ses meilleurs textes autobiographiques, Au revoir et merci, ainsi que sa trilogie inspirée par l’histoire des soeurs Mitford – Le Vent du soir, Tous les hommes en sont fous et Le Bonheur à San Miniato –, laquelle remporta un immense succès (un million d’exemplaires vendus) lors de sa parution dans les années 1980. Un ensemble très cohérent dans l’oeuvre du romancier, une sorte de carte du Tendre où l’exaltation de l’hédonisme et le vertige du temps se conjuguent à la fascination du monde. Les deux premiers récits ont le charme à la fois enivrant et désenchanté des années 1950, dominées par deux monstres sacrés : Françoise Sagan et Roger Nimier. Jean d’Ormesson invente sa partition personnelle à ce moment-là, avec ce mélange de lucidité, de légèreté et d’allégresse qui fait toute la singularité de son style et de sa vision des hommes. Ses thèmes de prédilection sont déjà là : la quête éperdue du bonheur et l’insatiable besoin d’évasion, le culte du soleil, des voitures et des bains de mer. « Je ne faisais rien de ma vie. Je la traînais à travers l’inutilité, l’admiration, les plaisirs, l’amour », confesse l’un des héros de L’amour est un plaisir, roman que Marc Lambron résume en ces termes : « Une seule femme pour trois hommes ; c’est l’équation d’un voyage d’été ». Dans Un amour pour rien, le jeune narrateur se partage, à l’occasion d’un séjour romain, entre deux femmes, illustrant à travers ce dilemme sentimental la célèbre formule proustienne : « J’appelle ici amour une torture réciproque ». Marc Lambron observe que si ce texte a la « résonance du vécu », « l’autobiographie possible est comme censurée par les apanages du roman ». Il faut attendre la parution en 1966 de sa première véritable autobiographie, Au revoir et merci, pour découvrir quel auteur se cache sous ses personnages. À trente-sept ans, Jean d’Ormesson y parle très librement de lui-même, de ses origines, de sa famille, de ses goûts, de ses opinions, tout en feignant de prendre congé d’une carrière littéraire où il n’a connu jusque-là que des échecs. On sait la suite… C’est un auteur largement consacré qui se lance, vingt ans plus tard, dans l’écriture d’une trilogie romanesque, dont Lambron explique ainsi l’ambition : « Récapituler des fragments de l’histoire du monde à partir des méditations d’un esprit qui les rêve. Les généalogies, les continents, les guerres, les amours, les entrecroisements baroques, les hasards secrets, les filiations inconnues. On sent, ajoute-t-il, que l’imagination de l’auteur, libérée des incertitudes du narcissisme, embrasse avec ivresse l’histoire du monde. » Conchita Romero, Rosita Finkelstein, Nadia Wronski, les soeurs O’Shaughnessy, alias les soeurs Mitford, sont autant de composantes d’une sorte de famille universelle représentative de la tumultueuse et tragique histoire du siècle. Jean d’Ormesson remporte ici avec brio son pari, qui est de « ressusciter, sûrement pour mon plaisir, frappé d’un peu de mélancolie, et peut-être pour le vôtre, tout un monde évanoui qui s’agite encore en moi ».

03/2012

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Philosophie

Aimons-nous encore la liberté ?

En apparence, nous aimons la liberté, particulièrement en France, mais nous la délaissons en nous laissant souvent enfermer dans des carcans. Nous avons sans doute l'impression de mener notre vie comme nous l'entendons et de poursuivre des buts rationnels mais ne serions-nous pas sous la dépendance de nouveaux pouvoirs qui se sont installés sans que l'on s'en rende compte et qui nous poussent à une forme de servitude volontaire ? Selon moi, on en dénombre quatre : le contrôle de la parole dans l'espace public et son influence sur les moeurs (qu'il ne s'agit plus de libérer comme en 68 ! ), l'emprise des big data à l'ère digitale (instrument de sécurisation mais aussi de contrôle), le nouveau pouvoir de la science sur les corps, ses réalités et ses fantasmes (le transhumanisme) et, enfin, les accès de religiosité qui ont tendance à substituer les inclinations théologiques au droit. Devant ces quatre pouvoirs nous abdiquons souvent notre conscience, c'est-à-dire notre liberté de jugement, au profit de ces directeurs de conscience que sont le conformisme et le besoin de croire. Or la liberté ne s'use que si l'on n'en sert pas...

09/2019

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Couple, famille

Cet enfant qui nous épuise (mais que nous aimons tant). Surmonter sans stress les phases d'opposition

Etre parent d'un enfant en bas âge n'est pas une mince affaire. Comment le laisser vivre sa vie sans céder à tous ses caprices ? Comment l'aider à s'endormir et comment réagir s'il se réveille la nuit en hurlant ? Bref, comment se comporter face à ces petits monstres ? Ce livre vous permettra de vraiment comprendre les réactions de vos enfants et de traverser sans stress les cinq premières années. Préface d'Isabelle Filliozat Katja Seide est éducatrice spécialisée et travaille auprès de jeunes souffrant de troubles du comportement ou d'autisme. Danielle Graf est juriste et conseillère en développement organisationnel.

10/2019

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Littérature française

L'homme que nous aimons le plus

Serafima Tcherkhova, et son mari, Letellier, artistes adeptes du réalisme socialiste, forment un couple vedette, figure emblématique de la contre-société communiste de la France des années 1950. Serafima trahit son camp et disparaît ! Qui est responsable ? La CIA ? Le réseau " Stay behind " ? L'officine anti communiste " Paix et liberté " ? Serafima Tcherkhova, sculptrice, et son mari Letellier, peintre adepte du réalisme socialiste, forment un couple vedette, figure emblématique de la contre-société communiste de la France des années 1950 : comme Aragon et Elsa Triolet ou Yves Montand et Simone Signoret. A l'occasion d'une exposition organisée par le Parti communiste où les oeuvres du couple Letellier doivent côtoyer celles de Picasso et de Soulages, Serafima trahit son camp : l'oeuvre qu'elle expose n'est pas, comme prévu, un serf maltraité sous le régime tsariste, mais un prisonnier du Goulag. Le scandale est énorme : dans ces années-là, il est interdit de prononcer le mot " Goulag ". Le Goulag n'existe pas. C'est donc une véritable tempête qui va agiter les milieux progressistes et artistiques. Alors, Serafima disparaît. Qui est derrière cette trahison et cette disparition de l'artiste ? La CIA ? Le réseau " Stay behind ", réseau clandestin créé par l'OTAN pour combattre une éventuelle invasion soviétique, ou encore l'officine anti communiste " Paix et liberté "? De quels moyens de pression se sont servis ces organismes ? Quel chantage ont-ils pu exercer sur Serafima et son frère, d'origine russe comme elle, resté en Union soviétique ?

02/2019

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Littérature française

Depuis toujours nous aimons les dimanches

"Depuis toujours nous aimons les dimanches. Depuis toujours nous aimons nous réveiller sans l'horrible sonnerie du matin qui fait chuter nos rêves et les ampute à vif. Depuis toujours nous aimons lanterner, buller, extravaguer dans un parfait insouci du temps. Depuis toujours nous aimons faire niente, ou juste ce qui nous plaît, comme il nous plaît et quand cela nous plaît". En réponse aux bien-pensants et aux apologistes exaltés de la valeur travail, Lydie Salvayre invite avec verve et tendresse à s'affranchir de la méchanceté des corvées et des peines. Une défense joyeuse de l'art de paresser qui possède entre autres vertus celle de nous ouvrir à cette chose merveilleuse autant que redoutable qu'est la pensée.

03/2024

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Littérature française

Nous nous sommes tant aimés

"On ne sort pas comme l'on entre, au Flore (...). Ce 10 mai 1981 a pris les allures d'un jour de bonheur, parti pour durer éternellement. Je me refuse, en cet instant précis, à penser au futur, à toutes ces années à venir et, m'emparant de ma énième coupe de champagne, j'y trempe les lèvres, formulant ainsi, en silence, une promesse, celle de jamais oublier ce jour."

10/2019

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Littérature française

Nous nous aimons ou Comment vivre avec le langage, l'autre sexe et la nuit qui tombe

C'est la voix d'une femme d'aujourd'hui et parce que nous sommes tous faits des voix des autres, amies ou ennemies, anonymes ou célèbres, ce sont aussi les voix qui peuplent son existence. L'existence humaine n'est-elle pas cette conversation infinie qui mêle ce que nous pensons être des vérités et des hypothèses ? Elle s'appelle Louise. Elle découvre qu'il n'y a pas d'amour sans langage ni sans esprit. Qu'il n'y a rien de vraisemblable qui ne soit pas, d'une certaine façon, absurde. Toute vie humaine se passe en conjectures. Une vie c'est autant ce qui aurait pu être que ce qui a été. Tout ce qui nous arrive est double et incertain. Nous entendons des voix. Nous ne les écoutons pas toujours. C'est ce qu'on appelle la vie civilisée, traversée de sauvagerie, d'incompréhensible. Ces voix parlent depuis l'aube de la pensée et de la culture. Philosophes, poètes, penseurs. Elles accompagnent toute histoire. Ici elles apparaissent par bribes à mesure que Louise se perd dans l'histoire qu'elle ne reconnaît pas et qu'elle doit saluer comme étant la sienne. Ou la nôtre : une histoire faite de rencontres et de divorces, de présences et de fantômes.

09/2004

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Littérature française (poches)

L'Inconnu. Et autres récits

" Une image me poursuit ", écrit Julien Green en mai 1997. " C'est toujours de cette manière que m'apparaît un livre : un personnage, un paysage qui s'imposent et je ne peux commencer que lorsque j'entends le son, un peu comme un film muet qui découvrirait la parole. Cette fois, un garçon de vingt ans tout au plus se trouve au coin d'une rue de Paris, il est immobile et soudain s'écrie "Elle est folle, cette tocante ! ".. . Me voici à mon tour dans ce que je pressens être la réponse à mon Voyageur sur la terre... A ce qu'il appelait son " roman " sont jointes ici des histoires d'époques diverses, presque toutes d'Amérique. Le dénominateur commun de tous ces récits est le style, le beau français d'un auteur dont la simplicité se colore d'humour anglo-saxon.

02/2009

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Poésie

En vous, tant...

Des mots d'amour, des maux d'amour. L'amour des mots qui accompagne des rencontres vécues, imaginaires, à venir... L'amour décliné au sens large : celui qui nous rassemble, celui qui nous lie, des allers et retours dans nos vies. Une ode à la bienveillance pour des rendez-vous... envoûtants.

02/2021

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Pape François

«Nous n'apprenons pas, nous aimons les guerres et l'esprit de Caïn»

"J'ai eu honte, lorsque j'ai lu qu'un groupe d'Etats s'était engagé à consacrer deux pour cent de leur PIB à l'achat d'armes, en réponse à ce qui se passe actuellement. De la folie ! La vraie réponse n'est pas plus d'armes, plus de sanctions, plus d'alliances politico-militaires, mais une autre approche, une autre façon de gouverner le monde désormais globalisé, et non pas en montrant les dents comme aujourd'hui ; une autre façon d'envisager les relations internationales. Le modèle de thérapie est déjà en place, Dieu merci, mais malheureusement il est encore soumis à celui du pouvoir économico-technocratico-militaire" (PF 24 mars 2022). "La guerre ne peut pas être quelque chose d'inévitable : nous ne devons pas nous habituer à la guerre ! . Au contraire, nous devons convertir l'indignation d'aujourd'hui en engagement de demain. Parce que, si nous sortons de cette affaire comme avant, nous serons tous coupables d'une manière ou d'une autre. Face au danger d'autodestruction, que l'humanité comprenne que le temps est venu d'abolir la guerre, de l'effacer de l'histoire humaine avant qu'elle n'efface l'homme de l'histoire" . PF Ce livre regroupe toutes les interventions du Pape François sur la guerre et la recherche de la Paix

10/2022

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Non classé

Vers et Autres Récits

Mohammed Larbi, l'homme, le roc, l'être très humain empli de toutes ses qualités et de toutes ses fragilités. Une mine d'or ! Percutée par la plume alerte de ce grand ami, éclate de mille verbes, de mille accents. Sans artifices, il se livre tel qu'il est, tel qu'il voit, tel qu'il pense, tel qu'il chante ou pleure la vie. Ce passeur infatigable de cultures, de langues, cet amoureux des mots qui sonnent et résonnent, qui s'entrechoquent et percutent, nous offre un recueil de vers et autres récits des plus personnels. Des récits forgés à la très sélecte école de la vie. Alors je ferme les yeux, je nous vois assis dans un petit bar argenteuillais prenant sur le zinc notre petit café matinal tout en échangeant nos états d'âme, défendant nos valeurs, refaisant le monde... Ce recueil est tout cela. Un grand merci l'Ami pour ces instants partagés que tu fais si bien revivre à travers ta poésie. Bénédicte Hébérlé-Dulouard

03/2020

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Littérature étrangère

Berlinestouest. Et autres récits

Ces nouvelles sont le fruit de dix années d'exil, de malaise et de travail. Elles constituent, sur l'histoire récente de l'Allemagne, un témoignage d'une exceptionnelle acuité, et d'une originalité totale dans l'expression. Leurs sujets sont très divers, depuis une querelle d'académiciens jusqu'au vertige d'un funambule, en passant par les euthanasies hitlériennes, l'internement psychiatrique ou les rafles de la Stasi, mais il s'agit toujours de formes d'oppression institutionnelle. Et toujours celle-ci se marque et peut s'analyser dans le langage de ses agents ou de ses victimes, et dans le discours du narrateur lui-même. Jusqu'au mur de Berlin, qui n'était pas seulement une construction de béton et de métal, mais aussi une maladie du langage, et auquel Schädlich dresse pour finir un monument d'un humour terrible, inoubliable.

05/1990

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Littérature française (poches)

Soldats et autres récits

Premier livre de prose de Gilles Ortlieb (né en 1953), Soldats et autres récits était paru en 1991 aux éditions Le temps qu'il fait. Trois récits plus récents accompagnent la présente édition, présentée par l'auteur.

11/2014

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Science-fiction

Paycheck . Et autres récits

Ingénieur de réputation mondiale, Michael Jennings travaille sur des projets top-secrets commandités par des sociétés de haute technologie. A l'issue de chaque mission, sa mémoire à court terme est effacée pour l'empêcher de divulguer la moindre information confidentielle. Puis un chèque substantiel lui est remis. Mais cette fois, l'enveloppe ne contient pas d'argent, juste quelques objets hétéroclites et sans valeur; et à en croire Rethrick, son dernier employeur, Jennings aurait lui-même renoncé par avance à ses honoraires habituels. Harcelé par un ennemi sans visage, Jennings n'a que quelques heures pour recomposer le puzzle de sa vie et découvrir ce qui se cache derrière les murs de Rethrick Corporation...

02/2004

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Littérature française

Afrique et autres récits

En Afrique, j'étais de plain-pied avec les choses et les êtres. Je connaissais intimement tel rocher, je me courbais avec la colline qui surplombait la maison, j'étais les yeux profonds du chien familier, je me dissolvais avec le nuage, à l'aube, dans la clarté montante du jour. Le soleil lui-même était issu de ma poitrine et je connaissais d'avance la splendeur de sa course qui s'achevait en moi. Quant à la terre, verte et rouge, immense et souple, elle ne faisait qu'un avec mon pied nu et chacun de mes pas renouvelait notre alliance. Ainsi, arpentant telle piste, j'en déchiffrais la large écriture faite de bosses, de trous, de cailloux épars et de branches, de mes seuls pieds amoureusement savants.

06/2013

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Poches Littérature internation

Andréas et autres récits

A la fin du XVIIIe siècle, le jeune Andréas de Ferschengelder débarque à Venise, à la recherche du bonheur, sans doute. La ville magicienne lui offrira ses fêtes et ses jeux tragiques, ses ténèbres et sa splendeur, sa paix sérénissime et sa troublante inquiétude. D'autres contes d'amour et de mort déroulent leurs enchantements. Les uns rappellent Les Mille et Une Nuits, un autre les traditions de la cavalerie viennoise, ou encore cette étrange et macabre aventure amoureuse du maréchal de Bassompierre. La morale est que chacun trouve ce qu'il cherche, ce qu'il porte en soi. Tout être accomplit un destin. Personne ne peut tricher impunément. Si l'on méprise la réalité, elle se fait meurtrière.

09/2005

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Littérature étrangère

Hanna. Et autres récits

Hanna (Hanna, 1886) découvre en grandissant le sort réservé aux personnes de son sexe. Lopo la brocanteuse (Kauppa-Lopo, 1889), alcoolique, sale et repoussante, sort enfin de prison, mais pour combien de temps ? Alma Karell (L'Ecueil, 1887), la jeune épouse raffinée, se trouve prise au piège de la séduction. Quant à Mari Holpainen (Pauvres gens, 1886), jusqu'où la conduiront les malheurs qui l'accablent ? Quatre récits qui mettent en scène, sur un ton provocateur, voire scandaleux pour l'époque, la condition de la femme. Souvent comparés à Madame Bovary, à Anna Karénine ou à certains récits de Dostoïevski, ils restent des oeuvres majeures de la littérature finlandaise.

09/2012

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Littérature étrangère

Amras et autres récits

Amras est une commune des environs immédiats d'Innsbruck : mi-village, mi-banlieue résidentielle. Ce texte de 1964 est le récit d'une réclusion et d'une descente aux enfers. Deux frères, adolescents, rescapés d'un suicide collectif où leurs parents ont laissé la vie, survivent cachés dans une tour isolée, aux prises avec la maladie, la folie et la mort. L'un d'eux succombe au bout de quelques semaines, et l'autre, le narrateur, après un essai de «vie saine» avec des bûcherons, va peu à peu sombrer à son tour. Ce que nous lisons, ce sont des extraits de ses lettres, de son journal, ainsi que des citations du journal et de «textes» de son frère, qu'il nous livre par bribes. On y trouve l'univers de Thomas Bernhard, et l'un des premiers essais conséquents de son écriture si particulière, qui s'imposent dans cette ouvre sur un ton encore plus direct, d'une véhémence encore juvénile et déchirante. Le Watten est un jeu de cartes populaire au Tyrol et en Bavière. C'est aussi, dans ce texte de 1969, le symbole dérisoire de l'activité humaine et de sa vanité. Dans un long soliloque implacable et rageur, un vieux fou désabusé y fait un inventaire lucide et délirant de ses échecs. C'est pour tenter d'expliquer pourquoi il n'ira plus faire sa partie hebdomadaire de watten avec les mêmes partenaires depuis vingt ans, que le narrateur se lance en vain dans de longues explications entrecoupées de digressions qui n'en sont qu'en apparence, car, bien entendu, il n'y a d'explication ni de sens à rien, dans la grande partie de cartes universelle où tous les partenaires seront toujours perdants. Ce volume permet de faire connaissance avec l'ensemble des récits de Thomas Bernhard, considéré en Allemagne comme un maître dans ce domaine.

04/1987