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Lettres à sa mère

Extraits

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Littérature française (poches)

Lettres à sa mère

Tout écrivain, tout grand homme a entretenu des relations épistolaires avec sa famille. Mais Saint-Exupéry était lié à la sienne par une affection et une tendresse de chaque instant. La maison et le parc de l'enfance, des êtres chers trop tôt disparus, une mère hors du commun, ouverte à toutes les formes de l'art et de l'esprit, ayant surmonté tout au long de sa vie tant de chagrin et de difficultés, tout a contribué à rapprocher Antoine de Saint-Exupéry de celle à qui il écrivait en 1930 : " Dites-vous bien que de toutes les tendresses la vôtre est la plus précieuse et que l'on revient dans vos bras aux minutes lourdes. Et que l'on a besoin de vous, comme un petit enfant, souvent. Et que vous êtes un grand réservoir de paix et que votre image rassure... ".

09/2006

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Littérature française

Lettre d’une mère à sa mère

A la mort accidentelle de son père, tout est mis en oeuvre pour priver une mère de famille de ses droits et de tout ce qui lui est cher, briser son couple et l'isoler jusqu'au confinement pendant lequel elle pose sur le papier toute la souffrance passée qui l'a conduite à ne plus aimer sa mère et à tout quitter, exception faite de l'amour du cercle familial intime au prix d'un combat risqué. La mère de famille argumente et moralise sa mère au profit d'un fils aîné pervers adulé par ses deux parents. Elle repense à son père, à son humilité face aux humiliations, ses lourdes erreurs et son repentir sincère. Elle pense à poursuivre ses rêves, encore poursuivie par légion d'impressions négatives oppressantes.

11/2021

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Policiers

Lettre à ma mère

Ma chère maman, Voilà trois ans et demi environ que tu es morte à l'âge de quatre-vingt-onze ans et c'est seulement maintenant que, peut-être, je commence à te connaître. J'ai vécu mon enfance et mon adolescence dans la même maison que toi, avec toi, et quand je t'ai quittée pour gagner Paris, vers l'âge de dix-neuf ans, tu restais encore pour moi une étrangère. D'ailleurs, je ne t'ai jamais appelée maman mais je t'appelais mère, comme je n'appelais pas mon père papa. Pourquoi ? D'où est venu cet usage ? Je l'ignore.

09/2009

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Histoire de France

Lettre à la mère

Lettre à la mère, est une lettre qu'Edith Bruck écrit à sa mère assassinée à Auschwitz. C'est pour elle, le moyen d'évoquer son père et surtout de s'adresser à sa mère pour lui dire à la fois son amour sans limites mais aussi sa rage, fruit d'une éducation, ressentie comme oppressante, que cette mère a voulu lui donner. Une manière de s'affranchir pour pouvoir grandir, en disant tout, sans concession. Certains passages relatifs à la féminité et la maternité sont caractéristiques de l'écriture des femmes survivantes des camps. Ils ne sont pas sans rappeler "la lettre" de Marceline Loridan-Ivens à son père, Et tu n'es pas revenu, où, comme Edith Bruck elle évoque le choix douloureux de ne pas avoir d'enfants après Auschwitz. Cette Lettre à la mère d'Edith Bruck est d'une grande densité, une tentative de vivre et non pas de survivre après Auschwitz : De quoi aurais-je voulu te parler ? Je ne le savais pas. Et je ne le sais toujours pas, je n'ai rien programmé, ni le contenu, ni la fin, ni rien, j'avance à l'aveuglette, je te dis n'importe quoi pour te tenir en haleine jusqu'à la fin, qui viendra toute seule. Alors, je te laisserai aller, je te laisserai reposer en paix, et je serai moi aussi en paix avec toi et toi avec moi. La figure de Primo Levi, l'ami et le confident, est présente dans Lettre à la mère comme dans toute l'oeuvre d'Edith Bruck. Elle rend hommage au grand écrivain dont le suicide l'a laissé désemparée à tout jamais.

04/2018

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Littérature française

Lettre à ma mère

Lettre à ma mère c'est l'histoire de l'auteur, l'histoire de la relation d'une petite fille et de sa mère. Les événements commencent dans les années 1980 et se poursuivent jusqu'à nos jours. Tout commence par le divorce de ses parents, les violences de son grand-père, le décès de son grand frère, le rejet de sa mère... et se poursuit par la rencontre de l'homme qui a changé sa vie et l'a aidé à tirer un trait sur son passé.

04/2015

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Correspondance

Lettres à sa mère. (1906-1918)

Jeune bourgeois parisien, Jean Cocteau fréquente les milieux intellectuels et artistes non loin des heureux du monde. Chez lui, déjà, la correspondance est un art de vivre. A sa mère, il confie ses peines, ses enthousiasmes, parle de ses projets. Ses lettres de jeunesse sont traversées par la Grande Guerre, dont il se fait le chroniqueur inattendu, insolent, insolite, donnant à ce spectacle horrible des tonalités légères, drolatiques, voire féeriques.

11/2023

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Couple, famille

Lettre à une mère

René Frydman a aidé des milliers de femmes à devenir mères. Il sait leur force, la lumière qu'elles portent et les inquiétudes qui les traversent. Il n'est pas rassasié de ce mystère-là. Dans une lettre intime et pudique, faite de sentiments et de souvenirs mêlés, il raconte l'émotion d'un homme devant la maternité. Personne n'avait encore parlé ainsi, avec un regard aussi fort et tendre, de cet incomparable voyage à deux. Dans ce texte rare, à lire et à offrir, chacun retrouvera l'écho de son histoire.

05/2005

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Littérature française

Lettre à ma grand-mère

" J'ai été élevé par mes grands-parents maternels. Soixante ans plus tard, j'ai appris totalement par hasard que ma grand-mère avait laissé un journal racontant ses quinze mois de déportation à Ravensbrück, Matricule 38971. En lisant ce manuscrit, j'ai compris que ce n'était pas un journal, mais des souvenirs de déportation. J'ai choisi de raconter ma rencontre avec le récit de Marie Pfister. J'ai laissé mes souvenirs se juxtaposer aux siens jusqu'à lui écrire des choses que je n'avais encore jamais dites. L'émotion de la lire par-dessus les années est, elle, inexprimable. " A travers un texte rédigé par sa grand-mère et longtemps disparu, un homme déjà mûr découvre un passé familial enfoui. Lettre à ma grand-mère est à la fois l'histoire d'un secret de famille, le récit d'une enfance dans l'après-guerre qui s'éclaire a posteriori, et le parcours d'une résistante " ordinaire ". Où comment les convictions se transmettent et les hommes se forgent à partir de l'histoire de leurs parents, même lorsqu'elle est cachée.

02/2008

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Littérature française

Lettre ouverte à ma mère

Depuis mon premier cri, j'ai craint pour toi comme tu craignais pour moi. Depuis mes premières larmes, j'ai craint de te perdre comme tu craignais de me perdre. Durant ce tête-à-tête de neuf mois, nous nous promîmes de ne jamais nous séparer. Durant ce tête-à-tête de neuf mois, nous nous fîmes la promesse de ne jamais sectionner ce lien, ce cordon, vital au-delà de ma mise au monde. Ni avec toi, ni sans toi ! Ce que rien ni personne n'avait réussi jusqu'alors, une monstruosité microscopique y parvint le 29 mars 2020, t'arrachant à moi au forceps, dans cette petite chambre d'un EHPAD où tu étais adorée des soignants, choyée par tous. L'Amour des tiens n'aura pas suffi à te retenir. Tu es partie doucement, sans souffrir, d'épuisement, durant ton sommeil, de celui du juste, me laissant seul au monde, en errance. Condamné à vivre ! Condamné à la peine capitale, car vivre sans toi est une mise à mort annoncée et programmée ! Du Mal d'Amour au Mal de Mère, je vomis cette existence qui m'a exposé à la perte de l'Etre qui m'est le plus cher : Toi !

09/2020

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Critique littéraire

Lettres à sa mère. Tome II, 1919-1938

"Je ne peux écrire qu'à toi, comme si je m'accrochais de la main gauche à une épave et que j'écrivais de la main droite." Un naufragé de la vie ou de la poésie - ce qui pour lui revient au même - dont la mère confidente serait la seule planche de salut, telle est l'image qu'on serait tenté d'emporter de la lecture des 560 lettres, cartes postales ou billets qui jalonnent vingt années de la vie de Jean Cocteau. Car, si elles sont les plus fécondes, elles ne sont pas les plus sereines. L'une apporte même son coup de tonnerre avec la mort de Raymond Radiguet. Loin de le consoler, le recours à l'opium l'asservira jusqu'à la fin de ses jours, sans que le retour à la religion - second remède - ne bouleverse durablement sa vie. C'est dire que le temps des frivolités parisiennes est révolu, mais l'avant-garde à laquelle il les a sacrifiées tarde à le reconnaître pour son pilote. En dépit d'une inlassable activité sur le front de la modernité, Cocteau n'arrive pas à s'imposer, du moins devant ceux qui comptent à ses yeux. Dada le ridiculise et les surréalistes le couvrent d'injures. De Picabia, de Cendrars, voire de Reverdy, il essuie des affronts et le dieu Picasso le renie publiquement sur ses terres espagnoles. S'il signe encore une lettre: "Duc d'Anjou et prince de Paris", ce prince déserte régulièrement sa principauté. "J'étais né pour la campagne, la province, constate-t-il en 1927. Je me suis engagé dans la bataille par erreur." La fuite vers le Sud devient vite règle, hygiène de vie, encore que, pour un créateur, la capitale soit un point de passage obligé : les éditeurs, les théâtres, les lieux et les agents de la consécration sont presque tous là. Un aveu exprime ce nœud de contradictions: "Je suis triste et heureux de rentrer dans cette ville que je n'aime pas et sans laquelle il me serait impossible de vivre." Heureux surtout parce que sa mère, qu'il s'accuse d'abandonner, y vit et qu'elle l'y attend. Félicitons Cocteau d'avoir pris l'habitude de ces mois d'exil: une riche et précieuse correspondance en est le fruit. Faute d'entraîner ou de suivre, comme jadis, sa mère sur les rives de ses longues mais fausses vacances, le fils prodigue lui en tient le journal illustré avec plus ou moins d'assiduité.

07/2007

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Critique littéraire

Lettres à sa mère. Tome 1, 1898-1918

De Jean Cocteau à sa mère, il nous reste quelque neuf cents lettres écrites entre 1898 et 1938, dont voici la première partie. Celles du début sont parfois tracées sur un papier de deuil qui rappelle le suicide du père (1898). Par la suite, cartes postales, papiers à en-tête, supports divers et inattendus y mettent beaucoup de fantaisie. Elles sont envoyées des Côtes-du-Nord (1906, 1907), de chez les Daudet à Chargé (1911), d’Algérie où Jean Cocteau voyage avec Lucien Daudet, de chez J -E Blanche à Offranville, de chez les Rostand à Cambo-les-Bains (1912, 1913), du service de la Croix-Rouge ou du Secours aux blessés (1915, 1916), de Rome où il séjourne avec Picasso, Diaghilev et Massine, puis du bassin d’Arcachon et de Grasse (1917, 1918). On n’y trouve pas seulement les preuves très ferventes de l’amour et de la fidélité, ou les premières évocations magiques - de la Bretagne, de Blida, de la nuit de Noël sur le front -, ou l’air d’une époque dont on aura plus tard l’évocation dans Portraits-souvenir. Ces lettres sont aussi des «notes pour un travail que je compte faire». A cette mère adorante, parfois plaintive, toujours fière de lui, Jean Cocteau confie ses projets, laisse entrevoir la genèse de ses ouvres : Le Cap de Bonne Espérance, Discours du grand sommeil, Vocabulaire, Le Potomak, et la métamorphose d’un David en Parade. Il l’entretient aussi des grandes amitiés naissantes : avec Picasso, avec Stravinski, avec Satie...

04/1989

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Littérature française

Alesia. Lettre ouverte à ma mère

«La littérature, le plus souvent, c'est comme les livres d'histoire. On n'y parle que des puissants, des premiers rôles, des extraordinaires... Moi, j'aime les livres qui regardent les humbles. J'aime Alesia parce qu'Alesia est la mère universelle des petits... Alesia, c'est Mère Courage, sans la mise en scène, sans la rhétorique... Son fils Jean-Paul la couve des yeux... Y a-t-il un plus beau livre que celui où l'on retrouve sa propre mère, où l'on se découvre un frère ?» (Armel Job).

09/2014

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Correspondance

Tant que durera la guerre - Lettres à sa mère pendant la gue. Lettres à sa mère pendant la guerre de Sécession

En 1862, Walt Whitman part à la recherche de son frère, porté disparu sur les champs de bataille de la guerre de Sécession. Il découvre la situation épouvantable des hôpitaux militaires et refuse de rester indifférent. Poète engagé, humaniste, Whitman va mettre ses idéaux en application. Il décide de se consacrer aux blessés, d'accompagner les mourants, plaçant sa vie entre parenthèses durant trois ans. Quels que soient leur camp ou leur couleur, il apporte amitié, écoute et réconfort à ceux qui en ont besoin. Le soir, il écrit : des carnets pour se libérer, des articles pour témoigner, des lettres à sa mère pour s'épancher. Ces trois sources se complètent pour faire de "Tant que durera la guerre" un document intime, littéraire et historique unique.

09/2023

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Littérature française

Lettre à toi-même

Un jour ta vie d'artiste a commencé sans savoir où elle allait s'arrêter. Quand tu as laissé l'île Maurice derrière toi, traversant les océans pour venir échafauder ton rêve sur la place tourbillonnante du show-biz, il fallait bien sûr pousser une porte, trouver un preneur et développeur de talents avec lequel on peut espérer donner promptement rendez-vous au succès et la gloire, même éphémères peuvent-ils être. Et c'est dans une maison d'édition parisienne que tu as posé, un matin d'hiver, ta masse d'oeuvres. De là, toute ta carrière d'auteur-compositeur-interprète a débuté, flanquée à longueur du temps de toutes les péripéties inhérentes au métier. Une aventure palpitante vécue pendant près de deux décennies en osmose avec une équipe bougrement dévouée. Même si elle a pris fin avec, il n'en demeure pas moins qu'aujourd'hui elle laisse au fond de ton âme une petite flamme qui scintille encore.

05/2019

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Littérature française

Lettre à mon père

Après Je ne parle pas la langue de mon père et L'arabe comme un chant secret qui donnent la clé de son oeuvre, le troisième volet, le plus tendre et le plus violent, de la trilogie autobiographique de Leïla Sebbar. Pour la première fois, elle ose, outre-mort, une adresse directe à son père Mohammed dont le silence l'a tenue à distance de son roman familial qu'elle écrit dans la langue de sa mère, le français. Sans fin elle l'interroge, et il ne parle guère. Elle rit, elle pleure, elle tempête. Et elle cherche. Dans ses souvenirs d'enfance algérienne, dans les photographies qu'il a prises, dans les lettres qu'il a écrites à sa femme depuis la prison pendant la guerre... L'alchimie de la littérature opère : nous sommes tous, peu ou prou, des exilés des romans familiaux de nos parents.

06/2021

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Littérature française

Lettre à mon père

Lettre à mon père est le témoignage sans jugement que rend Carole Mader à son père. Homme charismatique, rongé par les démons de son enfance, très affectueux et pourtant absent, elle hérite de lui l'amour, l'écriture et le pouvoir des mots. C'est aussi un hommage qu'elle lui adresse en lissant sur du papier tout ce qu'elle n'a pas pu lui dire afin de mieux faire son deuil. C'est ici une réflexion, avec le recul, à l'âge adulte, sur la vision du père, de l'époux et de l'Homme.

03/2023

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Littérature française

Une lettre à ma mère. Genres liés

Dans Une lettre à ma mère, l'écriture de Carmelle St. Gérard-Lopez se fait tatouage : impossible d'en dissoudre les signes et les images dont elle nous imprègne, inutile même d'essayer, ce serait vouloir faire mentir l'encre ou espérer vainement que celle-ci se dissolve au fil des pages sous la pluie de l'oubli. En dépit de l'horizon de lectures auquel semble nous mettre en garde le sous-titre de cette oeuvre multiple, l'entrelacement intime de ces " genres liés " implique et impacte le lecteur profondément, et ce, malgré la haute teneur autobiographique de l'ouvrage. Lorsque Carmelle écrit, c'est l'ensemble d'une frégate qui jette l'ancre dans les bas-fonds du passé ; ce sont les souvenirs en tête-à-tête avec les hémorragies de l'histoire. La lettre saigne d'une menstruation nécessaire et que nous en parcourions l'ordre chronologique ou que nous en faisions une lecture-pirate, en l'assaillant de tous côtés, il semblerait que nous ne puissions en parer l'abordage. Entre-sang, comme pour nous assainir de nous-mêmes, pour nous permettre de mieux affronter l'avenir par le truchement d'une saignée dans notre passé commun. Jean-Xavier Brager

04/2014

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Littérature étrangère

La vie de merde de mon père, la vie de merde de ma mère et ma jeunesse de merde à moi

Andreas Altmann a passé son enfance à Altötting, un haut lieu de pèlerinage catholique en Bavière. Toutefois, dans le récit de sa vie, il n'est pas question de grâce ni de miracles, mais de violence et de terreur : un père psychiquement détruit par la Seconde Guerre mondiale frappe son fils jusqu'à lui faire perdre connaissance ; une mère trop faible pour protéger ses enfants sombre dans la dépression ; un fils bouc émissaire cherche des stratagèmes pour ne pas succomber. Une histoire (vraie) peuplée de prêtres fanatiques et pédophiles, d'anciens nazis sans remords, de femmes humiliées ou complices. L'ironie et la colère sont les deux armes de cet écrivain allemand qui refuse le statut de victime et montre la voie de la reconquête d'une vie libre et digne.

05/2019

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Poésie

Romano. Les lettres à grand-père

Promenades poétiques, cheminement de vie, questionnement spirituel, les " Lettres à grand-père " sont tout cela ; une réflexion engagée au coeur même de l'instant éternel. "ROMANO", un voyage dans l'écoute et l'accueil des paroles de la nature, un regard qui invite à pénétrer au-delà des apparences.

06/2019

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Littérature française

Lettres à moi-même. Récit épistolaire

Rires sous cape, jubilations de la chose littéraire à la fois sacrée et pas du tout sérieuse, authentique et énigmatique... telle paraît l'entreprise d'Edmond Amran El Maleh dans ces Lettres à moi-même où l'auteur dialogue avec son double pour découvrir les diverses facettes de l'un et de l'autre. Un jeu de voilement-dévoilement qui conduit à l'esquisse du portrait d'un personnage qui ne serait finalement ni l'un ni l'autre ou bien qui serait peut-être l'un et l'autre. Edmond Amran El Maleh souhaite pour ce livre que "le lecteur partage le plaisir qu'il a pris à l'écrire, [...] car ce qui prime avant tout c'est la valeur, la qualité littéraire du texte".

03/2013

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Littérature française

L'aube incertaine. Lettre à une mère

Après avoir entendu à la radio qu'une jeune fille portée disparue depuis dix-huit ans venait d'être retrouvée, une femme décide d'écrire une longue lettre à la mère de l'enfant miraculeusement réapparue. En effet, elle sait au fond d'elle ce que cette mère ressentira, connaît le décalage entre la joie et le bonheur qu'on ne manquera pas de lui prêter et les sentiments inquiets que de telles retrouvailles peuvent provoquer.

10/2012

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Mystique

Lettre à Mère Teresa Maria - Tome 1

Née le 18 février 1900, Mère Teresa Maria fut accueillie au monastère des Carmélites déchaussées à Rome à l'âge de 18 ans. En 1938 elle fut transférée auprès du monastère de Camaiore (Lucca), où elle fut élue prieure 3 ans plus tard. Mère Teresa a été la grande confidente de Maria Valtorta. La cloîtrée par vocation et la cloîtrée par infirmité ne s'étaient jamais rencontrées, mais elles avaient confié à un intense échange de lettres, durant une douzaine d'années environ, leurs inquiétudes sur les péripéties de l'oeuvre et les élans confidentiels de leurs âmes soeurs. La correspondance de Maria Valtorta retrace jour après jour une histoire humaine bouleversante sous le rayon d'une ascèse héroïque. C'est presque le reflet d'un drame qui fut récisément celui de l'Incarnation : faire accepter le don de Dieu par un monde buté et par une caste sacerdotale. Dans ses lettres à la moniale de clôture carmélite qu'elle avait choisie comme mère spirituelle, Maria Valtorta signe "Soeur Maria de la Croix" . C'est le nom que Jésus lui avait attribué, le 14 septembre 1944, lorsqu'elle en était venue à l'aimer avec la perfection d'une véritable épouse.

02/2022

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Littérature française

Désordres. Lettre à un père

"Tu préfères le corps des hommes à celui des femmes. Tu es né ainsi. Tu n'as pas choisi. Mais il y a la société, le poids de son regard. Un regard trop lourd à porter. Celui de la différence. A vingt-trois ans, tu fais le choix de te marier. 1971, je naîtrai de ce mensonge. Pendant neuf ans, une vie ordinaire, la tienne, la nôtre, s'est offerte aux regards, l'honneur était sauf. Dans tes albums, aucune photo de nous trois ensemble, personne n'y croyait. Cette famille n'était qu'une illusion". Dans cette lettre ouverte à son père homosexuel, Elsa Montensi esquisse les contours d'une vie singulière. Elle aborde avec sensibilité des thèmes universels : la différence, le regard de l'autre, la honte, les sensations de l'enfance. Sa voix poétique nous touche et nous emmène avec délicatesse sur ces chemins.

08/2012

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Littérature russe

Merle, merle, mûre

Au fin fond de la Géorgie, dans une ville entourée de collines, Ethéro, quinquagénaire célibataire, s'occupe tranquillement de sa petite épicerie dans un quotidien monotone. Depuis toujours, elle mène une vie sans histoire. Jusqu'au jour où un incident vient bouleverser sa vie bien rangéeâ- En partant à la cueillette de mûres, Ethéro manque tomber dans le fleuve Rioni ! Prise soudain d'une peur bleue de la mort, elle se met à prendre des décisions qu'elle n'aurait jusque-là jamais envisagées. Chaque parcelle de son existence est désormais sens dessus dessous. Elle regarde son entourage avec un oeil nouveau, et notamment le livreur de lessive, qui l'approvisionne régulièrement, et qui semble l'observer avec un drôle intérêt. Ignorant les conventions et les ragots du voisinage, Ethéro va se noyer dans une relation amoureuse passionnelle qu'elle n'espérait plus. Dans ce roman plein de tendresse, Tamta Mélachvili, l'une des plus grandes voix féminines caucasiennes contemporaines, bouscule

10/2023

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Littérature étrangère

Mère à mère

Grand roman de l'apartheid où violence et quête d'humanité demeurent l'héritage de l'histoire. Sindiwe Magona signe un récit bouleversant sous forme de lettre. L'Afrique du Sud y est racontée tout en nuances, complexité et passion. "Elle dit : "Mon fils a tué votre fille". Et c'est cette affirmation d'une simplicité terrifiante qui ouvre le livre. Histoire douloureusement vraie, racontée avec sensibilité et empathie par Sindiwe Magona. Une voix authentique". - Véronique Tadjo "La réussite de Mère à Mère réside dans le fait que Sindiwe Magona ait pu concilier amour et souffrance. Par sa dimension humaine, le roman échappe à la terrible impasse du passé et du présent et ouvre une lueur d'espoir pour l'avenir". - André Brink, Sunday Independent Sindiwe Magona, première écrivaine noire de sa génération, est née en 1943 à Umtata. Romancière, poète, dramaturge, elle vit au Cap, en Afrique du Sud.

08/2020

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Littérature étrangère

Mon père et ma mère

C'est l'été 1938 en Europe centrale. Et comme chaque année ils sont là, sur la rive, en villégiature. Il y a Rosa Klein, qui lit dans les lignes de la main. Mais peut-on se fier à ses prédictions ? Et Karl Koenig, l'écrivain. Pourquoi fréquente-t-il les autres vacanciers au lieu de consacrer toute son énergie au roman qu'il est en train d'écrire ? Qui sont vraiment " l'homme à la jambe coupée " et la jeune femme amoureuse que tous les Juifs appellent par l'initiale de son prénom ? Et le père et la mère d'Erwin, l'enfant si sensible à l'anxiété de ceux qui l'entourent ? Dans ce roman magistral publié quelques années avant sa mort, Aharon Appelfeld tisse les questions intimes, littéraires et métaphysiques qui l'ont accompagné toute sa vie. Sous sa plume, ces dernières vacances avant la guerre sont le moment où l'humanité se dévoile dans ses nuances les plus infimes, à l'approche de la catastrophe que tous redoutent sans parvenir à l'envisager.

10/2020

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12 ans et +

Néva, la mère des mères

Néva est guérisseuse, avec sa peau laiteuse et ses yeux gris, elle est bien différente des gens qu'elle soigne. On la prend pour une nécessiteuse et cela l'arrange bien. Ses secrets sont bien gardés. Qu'est-ce qui pourrait troubler sa vie tranquille ? Sa rencontre avec l'apothicaire ? La mort du vieux centaure ? Son entrée dans la prestigieuse école d'Arts et de Magie ? Le temps est pourtant venu pour Néva d'affronter son passé et de faire face à l'avenir...

06/2017

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Sociologie

Devenir père, devenir mère

Avec la charge émotionnelle qu'il amène en naissant et la possibilité qu'il offre à ses futurs parents de payer une dette à l'égard de leurs propres parents, le bébé réveille bien des souvenirs conscients et inconscients. Les professionnels de la périnatalité doivent donc pour le bébé penser à accueillir ses parents, les soutenir, leur parler, parfois les protéger d'eux-mêmes, bref respecter leur "devenir père, devenir mère".

01/1999

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Littérature française

Une lettre ouverte à mon père

Cette histoire est celle de Kaélya, une adolescente de 16 ans. Elle commence avec une enfance banale, dans une famille comme il en existe beaucoup, et se poursuit avec une adolescence compliquée par un père devenu toxique et les doutes. /Ce récit est celui de ses douleurs, et de son combats pour se trouver, se découvrir, et se comprendre.

12/2023

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Littérature française

La Mère, la Sainte et la Putain. Lettre à Swann

" La Mère la Sainte et la Putain : ce sont les trois visages d'une femme qui raconte la gestation d'un enfant fait de mots, car ici, le texte est sa première mise au monde, avant l'être à venir . On suit toutes les étapes traversées par cette amazone libre, entre le moment où elle tombe amoureuse (l'errance puis la « chute d'organes, le cour tombé dans l'estomac ») et celui où elle va enfanter : ces étapes, ce sont les trois statuts du titre de ce bref roman en forme de cri, violemment imposés au corps féminin dans un monde décrit sans concession.« La faculté d'adaptation de la femelle humaine est un miracle de la nature. C'est à ce jour la seule espèce qui sait muter en quinze jours de prédateur à invertébré. »« Les mots naissent de l'inconfort, de la plaie, de là où ça fait mal. Les mots sont le hurlement de l'animal blessé, le cri du soldat pendant la bataille, le rugissement de la lionne affamée. Les mots ne surgissent pas de la tranquillité. »« Parce que les mots sont plus grands que la chair, parce qu'ils lui préexistent et qu'ils lui survivront, parce que l'odeur d'une peau ça s'oublie, et que les mots ça se relit. Parce que le souvenir se floute, quand les mots ont fixé pour toujours les contours des corps entre les draps. »« La mère porte le fils de l'homme, la sainte lave les péchés. La putain baise la lie de l'humanité. Puis est venue Marie-Madeleine, qui a sanctifié le métier. Depuis elle, les putains jouent les infirmières, essuient les pieds de Jésus condamné, sèchent les larmes, noient dans leur ventre le mal de vivre, les vices et la fureur, consolent le cour des amants empoisonnés. Les putains appartiennent aux hommes, mais ne portent pas leur descendance. À elles la douleur du monde, aux autres celles d'enfanter. »"