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Les fiancés suivi de Histoire de la colonne infâme

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Littérature étrangère

Les fiancés suivi de Histoire de la colonne infâme

Cette édition des Fiancés de Manzoni propose une traduction entièrement revue du roman et de son appendice Histoire de la colonne infâme, ainsi qu'un apparat critique permettant de situer l'oeuvre dans son contexte européen et d'en comprendre les enjeux littéraires, linguistiques, idéologiques.

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Littérature Italienne

Les fiancés suivi de Histoire de la colonne infâme

Cette édition des Fiancés de Manzoni propose une traduction entièrement revue du roman et de son appendice Histoire de la colonne infâme, ainsi qu'un apparat critique permettant de situer l'oeuvre dans son contexte européen et d'en comprendre les enjeux littéraires, linguistiques, idéologiques.

12/2022

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Littérature étrangère

Histoire de la colonne infâme

L'oeuvre d'essayiste de Manzoni est un peu moins connue, mais sa Storia della colonna infame (Histoire de la colonne infâme), qui fait l'objet de ce projet de nouvelle traduction, est cependant elle aussi couramment (quoique moins systématiquement) étudiée à l'école, à l'instar de L'affaire Calas de Voltaire, texte avec lequel celui-ci a quelque parenté. La "colonne infâme" du titre désigne un monument qui fut édifié, par la volonté des juges, pour commémorer le procès (mené à grand renfort de terrifiants supplices), la condamnation et l'exécution, en 1630 à Milan, de plusieurs hommes accusés d'avoir propagé délibérément la peste par des "onctions pestifères" , c'est-à-dire en barbouillant les murs d'un certain quartier d'une substance empoisonnée, supposément mortifère. Cet atroce fait divers avait déjà inspiré à Pietro Verri, un représentant milanais de la philosophie des Lumières versant italien, un texte mémorable, Observations sur la torture, paru en 1769 (retraduit en français en 1992 et publié par les Editions Viviane Hamy), où l'auteur dresse un réquisitoire inflexible contre cette pratique intolérable. En 1764, un autre philosophe, Cesare Beccaria , avait publié Dei delitti e delle pene (dont il existe, sous le titre Des délits et des peines, plusieurs éditions françaises récentes), un magnifique petit essai, très en avance sur son temps, contre la torture et la peine de mort. C'est dans ce contexte intellectuel que se situe l'Histoire de la colonne infâme. Mais, tandis que Verri et Beccaria publient leurs essais à une époque où la torture est encore en vigueur dans nombre de pays et régions d'Europe, et notamment à Milan , quand le texte de Manzoni paraît, en 1840, elle a été abolie - du moins officiellement - à peu près partout. L'intention de Manzoni n'est donc pas tout à fait la même que celle qui animait ses devanciers, lesquels visaient avant tout à démontrer le caractère exécrable et inutile de la torture et à la voir disparaître des codes de procédure. Pour Manzoni, cependant, il s'agit d'abord, sans doute, de consolider dans les esprits l'usage récent de ne plus mettre à la question les prévenus. On sait combien les progrès de ce genre sont fragiles et peuvent être abandonnés au détour de l'histoire ; quant à la torture, notamment, il serait naïf ou de mauvaise foi de prétendre qu'elle n'appartient qu'au passé lointain et aux civilisations archaïques. Sous des formes diverses, qui disent rarement leur nom, la torture demeure une réalité contemporaine, y compris dans nos démocraties avancées. On peut, d'autre part, supposer que Manzoni entend oeuvrer à son tour à l'amélioration, toujours possible, de la justice humaine : même sous une législation imparfaite, sinon coupable, les juges gardent la faculté de juger honnêtement. Mais, plus encore, il s'agit pour Manzoni de soulever une question générale, à la fois philosophique et politique : celle de la liberté de choix des individus, mise en regard de ce qu'on pourrait appeler, dans un anachronisme calculé, les conditionnements socio-historiques. Pour Verri, tous les juristes et criminalistes du passé sont coupables d'avoir toléré, cautionné et même encouragé la torture. Dès lors, les juges qui condamnèrent les supposés propagateurs de peste commirent, certes, une affreuse erreur judiciaire, mais dont la responsabilité incombe à la science juridique dans son ensemble, au système pénal en tant que tel - et même à l'état général de la connaissance et de la culture propres à leur temps. La faute des juges en tant qu'individus se dissout ou en tout cas s'estompe dans la mauvaiseté des lois et dans la cruauté à quoi conduirait invinciblement l'ignorance. La faute des juges n'est pas tant personnelle que collective, et indissociable d'une époque dont Verri - et avec lui tous les philosophes des Lumières italiennes - appelle le dépassement. Verri, en d'autres termes, travaille à éclairer son temps, pour le réformer dans le sens de la raison et de ce qu'on appellerait aujourd'hui les droits de l'homme . C'est sur cette question de la responsabilité des juges que Manzoni croise le fer avec son illustre prédécesseur. Dans l'Histoire de la colonne infâme, il s'attache à montrer que, même en des temps d'ignorance et dans un système pénal qui prévoit qu'on puisse infliger à un accusé - y compris en amont de la certitude de sa culpabilité - des sévices atroces, les juges conservaient la possibilité, la liberté morale de ne pas le faire. Aussi, reprenant en main les textes des juristes que Verri cite pour les accabler, Manzoni s'efforce-t-il de montrer que tous, bien que n'étant pas opposés par principe à la torture, recommandaient cependant de n'en user qu'avec discernement et modération, et jamais pour obtenir des aveux. Manzoni entend ainsi rendre justice aux criminalistes du passé, que Verri blâme selon lui injustement, au prix d'incompréhensions voire de distorsions des textes qu'il produit pour preuves de sa thèse. Mais il veut surtout convaincre que les juges qui, en 1630, firent torturer et exécuter ces malheureux, puis firent construire un monument en leur éternel déshonneur, disposaient, dans les traités juridiques de référence de leur époque, d'éléments qui leur auraient permis, qui auraient dû leur permettre de juger dignement. Selon Manzoni, si la torture était régulièrement en vigueur dans les affaires criminelles, et couramment pratiquée dès la phase d'instruction du procès, cela n'imposait pourtant pas à des esprits éclairés et probes d'y recourir. Les juges sont donc comptables à titre personnel de leur jugement, qui s'apparente à un crime. Manzoni défend ainsi l'idée que, de tout temps, jusque dans le pire des systèmes politico-juridiques, les individus conservent une part d'autonomie, la faculté de s'affranchir des préjugés de leur époque, et de se comporter selon ce qui est juste et bon. Ce qui est en jeu, implicitement, c'est donc aussi la question, ancienne et débattue depuis des siècles dans la théologie chrétienne, du libre arbitre. Mais tout autant, si l'on veut, avant l'heure, sa version plus moderne, celle du déterminisme - social, historique, politique, culturel. Sommes-nous libres de nos actions, de nos décisions, de nos pensées ? Ou sommes-nous si profondément (et inconsciemment) modelés par notre temps, par notre culture, par nos institutions, que nos "choix" ne sont, au vrai, que les conséquences inéluctables de ces divers conditionnements ? Pour l'écrivain italien, récuser l'idée que, malgré les aberrations de leur temps, malgré les vices de la forma mentis du monde auquel ils appartenaient, les juges de 1630 auraient pu juger justement reviendrait à admettre, ni plus ni moins, l'impossibilité générale et affreuse d'espérer que des hommes qui commettent un crime abominable puissent jamais agir différemment ; cela obligerait, en somme, à reconnaître que les pires scélérats ne peuvent aucunement, par principe, être tenus pour responsables de leurs forfaits : "Si, dans un ensemble de faits atroces commis par l'homme contre l'homme, nous croyons voir un effet des temps et des circonstances, nous éprouvons, en même temps que de l'horreur et de la compassion, un découragement, une sorte de désespérance. Il nous semble voir la nature humaine poussée invinciblement au mal par des facteurs indépendants de sa volonté, et comme enchaînée dans un rêve pervers et fébrile, dont elle n'a nul moyen de se déprendre, dont elle ne peut pas même se rendre compte". La question demeure d'une parfaite actualité. Il n'est que de songer aux polémiques qui ont entouré telles tentatives d'explication d'attentats terroristes récents en France. En réponse aux sociologues qui tentaient de comprendre ces actes dans un tableau causal complexe, des personnages politiques de premier plan objectèrent qu'expliquer, c'était déjà justifier. Plus que jamais, il nous semble au contraire requis, pour inconfortable que cela puisse être, d'enquêter inlassablement sur les raisons de la violence. L'Histoire de la colonne infâme nous est une invitation à ne pas refermer trop vite le questionnement sur les racines du mal.

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Littérature Italienne

Histoire de la colonne infâme

L'oeuvre d'essayiste de Manzoni est un peu moins connue, mais sa Storia della colonna infame (Histoire de la colonne infâme), qui fait l'objet de ce projet de nouvelle traduction, est cependant elle aussi couramment (quoique moins systématiquement) étudiée à l'école, à l'instar de L'affaire Calas de Voltaire, texte avec lequel celui-ci a quelque parenté. La "colonne infâme" du titre désigne un monument qui fut édifié, par la volonté des juges, pour commémorer le procès (mené à grand renfort de terrifiants supplices), la condamnation et l'exécution, en 1630 à Milan, de plusieurs hommes accusés d'avoir propagé délibérément la peste par des "onctions pestifères" , c'est-à-dire en barbouillant les murs d'un certain quartier d'une substance empoisonnée, supposément mortifère. Cet atroce fait divers avait déjà inspiré à Pietro Verri, un représentant milanais de la philosophie des Lumières versant italien, un texte mémorable, Observations sur la torture, paru en 1769 (retraduit en français en 1992 et publié par les Editions Viviane Hamy), où l'auteur dresse un réquisitoire inflexible contre cette pratique intolérable. En 1764, un autre philosophe, Cesare Beccaria , avait publié Dei delitti e delle pene (dont il existe, sous le titre Des délits et des peines, plusieurs éditions françaises récentes), un magnifique petit essai, très en avance sur son temps, contre la torture et la peine de mort. C'est dans ce contexte intellectuel que se situe l'Histoire de la colonne infâme. Mais, tandis que Verri et Beccaria publient leurs essais à une époque où la torture est encore en vigueur dans nombre de pays et régions d'Europe, et notamment à Milan , quand le texte de Manzoni paraît, en 1840, elle a été abolie - du moins officiellement - à peu près partout. L'intention de Manzoni n'est donc pas tout à fait la même que celle qui animait ses devanciers, lesquels visaient avant tout à démontrer le caractère exécrable et inutile de la torture et à la voir disparaître des codes de procédure. Pour Manzoni, cependant, il s'agit d'abord, sans doute, de consolider dans les esprits l'usage récent de ne plus mettre à la question les prévenus. On sait combien les progrès de ce genre sont fragiles et peuvent être abandonnés au détour de l'histoire ; quant à la torture, notamment, il serait naïf ou de mauvaise foi de prétendre qu'elle n'appartient qu'au passé lointain et aux civilisations archaïques. Sous des formes diverses, qui disent rarement leur nom, la torture demeure une réalité contemporaine, y compris dans nos démocraties avancées. On peut, d'autre part, supposer que Manzoni entend oeuvrer à son tour à l'amélioration, toujours possible, de la justice humaine : même sous une législation imparfaite, sinon coupable, les juges gardent la faculté de juger honnêtement. Mais, plus encore, il s'agit pour Manzoni de soulever une question générale, à la fois philosophique et politique : celle de la liberté de choix des individus, mise en regard de ce qu'on pourrait appeler, dans un anachronisme calculé, les conditionnements socio-historiques. Pour Verri, tous les juristes et criminalistes du passé sont coupables d'avoir toléré, cautionné et même encouragé la torture. Dès lors, les juges qui condamnèrent les supposés propagateurs de peste commirent, certes, une affreuse erreur judiciaire, mais dont la responsabilité incombe à la science juridique dans son ensemble, au système pénal en tant que tel - et même à l'état général de la connaissance et de la culture propres à leur temps. La faute des juges en tant qu'individus se dissout ou en tout cas s'estompe dans la mauvaiseté des lois et dans la cruauté à quoi conduirait invinciblement l'ignorance. La faute des juges n'est pas tant personnelle que collective, et indissociable d'une époque dont Verri - et avec lui tous les philosophes des Lumières italiennes - appelle le dépassement. Verri, en d'autres termes, travaille à éclairer son temps, pour le réformer dans le sens de la raison et de ce qu'on appellerait aujourd'hui les droits de l'homme . C'est sur cette question de la responsabilité des juges que Manzoni croise le fer avec son illustre prédécesseur. Dans l'Histoire de la colonne infâme, il s'attache à montrer que, même en des temps d'ignorance et dans un système pénal qui prévoit qu'on puisse infliger à un accusé - y compris en amont de la certitude de sa culpabilité - des sévices atroces, les juges conservaient la possibilité, la liberté morale de ne pas le faire. Aussi, reprenant en main les textes des juristes que Verri cite pour les accabler, Manzoni s'efforce-t-il de montrer que tous, bien que n'étant pas opposés par principe à la torture, recommandaient cependant de n'en user qu'avec discernement et modération, et jamais pour obtenir des aveux. Manzoni entend ainsi rendre justice aux criminalistes du passé, que Verri blâme selon lui injustement, au prix d'incompréhensions voire de distorsions des textes qu'il produit pour preuves de sa thèse. Mais il veut surtout convaincre que les juges qui, en 1630, firent torturer et exécuter ces malheureux, puis firent construire un monument en leur éternel déshonneur, disposaient, dans les traités juridiques de référence de leur époque, d'éléments qui leur auraient permis, qui auraient dû leur permettre de juger dignement. Selon Manzoni, si la torture était régulièrement en vigueur dans les affaires criminelles, et couramment pratiquée dès la phase d'instruction du procès, cela n'imposait pourtant pas à des esprits éclairés et probes d'y recourir. Les juges sont donc comptables à titre personnel de leur jugement, qui s'apparente à un crime. Manzoni défend ainsi l'idée que, de tout temps, jusque dans le pire des systèmes politico-juridiques, les individus conservent une part d'autonomie, la faculté de s'affranchir des préjugés de leur époque, et de se comporter selon ce qui est juste et bon. Ce qui est en jeu, implicitement, c'est donc aussi la question, ancienne et débattue depuis des siècles dans la théologie chrétienne, du libre arbitre. Mais tout autant, si l'on veut, avant l'heure, sa version plus moderne, celle du déterminisme - social, historique, politique, culturel. Sommes-nous libres de nos actions, de nos décisions, de nos pensées ? Ou sommes-nous si profondément (et inconsciemment) modelés par notre temps, par notre culture, par nos institutions, que nos "choix" ne sont, au vrai, que les conséquences inéluctables de ces divers conditionnements ? Pour l'écrivain italien, récuser l'idée que, malgré les aberrations de leur temps, malgré les vices de la forma mentis du monde auquel ils appartenaient, les juges de 1630 auraient pu juger justement reviendrait à admettre, ni plus ni moins, l'impossibilité générale et affreuse d'espérer que des hommes qui commettent un crime abominable puissent jamais agir différemment ; cela obligerait, en somme, à reconnaître que les pires scélérats ne peuvent aucunement, par principe, être tenus pour responsables de leurs forfaits : "Si, dans un ensemble de faits atroces commis par l'homme contre l'homme, nous croyons voir un effet des temps et des circonstances, nous éprouvons, en même temps que de l'horreur et de la compassion, un découragement, une sorte de désespérance. Il nous semble voir la nature humaine poussée invinciblement au mal par des facteurs indépendants de sa volonté, et comme enchaînée dans un rêve pervers et fébrile, dont elle n'a nul moyen de se déprendre, dont elle ne peut pas même se rendre compte". La question demeure d'une parfaite actualité. Il n'est que de songer aux polémiques qui ont entouré telles tentatives d'explication d'attentats terroristes récents en France. En réponse aux sociologues qui tentaient de comprendre ces actes dans un tableau causal complexe, des personnages politiques de premier plan objectèrent qu'expliquer, c'était déjà justifier. Plus que jamais, il nous semble au contraire requis, pour inconfortable que cela puisse être, d'enquêter inlassablement sur les raisons de la violence. L'Histoire de la colonne infâme nous est une invitation à ne pas refermer trop vite le questionnement sur les racines du mal.

03/2024

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Littérature Allemande

La Métamorphose. Suivi de Dans la colonie pénitentiaire

"Et si je redormais encore un peu et oubliais toutes ces sottises ? " Lorsque Gregor Samsa s'éveille un matin après une nuit agitée, il doit se rendre à l'évidence : il est bel et bien métamorphosé. Doté d'une épaisse carapace d'où s'échappent de pitoyables petites pattes. Lugubre plaisanterie ? Hélas ! Plutôt une ultime défense contre ceux qui, certes, ne sont pas des monstres, mais de vulgaires parasites. Les siens, en somme - père, mère, soeur -, dont l'ambition est de l'éliminer après avoir contribué à l'étouffer. Dans la seconde nouvelle, l'expérimentation se fait en direct : un soldat est le jouet d'une machine infernale.

06/2022

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Généralités

Traîtres. Nouvelle histoire de l'infamie

Où commence et où s'achève un acte de trahison ? L'histoire regorge d'exemples plus ou moins édifiants, qu'ils soient individuels ou d'ordre collectif. Plus d'un événement marquant a pu être occasionné par la décision d'un personnage, de son entourage ou de son environnement, de changer de camp, ou de refuser d'obéir. Parfois, la trahison est devenue par la force de l'histoire un acte de bravoure... le plus souvent, elle éclaire un caractère, met en valeur une faiblesse très humaine ou exprime un sentiment blessé. En bousculant l'ordre social, la trahison est un geste fort et, d'une certaine manière, un sacrifice personnel qui demeure complexe à comprendre, surtout avec le recul. Pour tenter, justement, de comprendre les enjeux que soulève la question de la trahison, les auteurs de ce livre original par la qualité de son propos, sur un sujet souvent abordé de manière caricaturale et sans nuance, font le portrait de grands " traîtres " depuis le XVe siècle. Ils dessinent ainsi une nouvelle histoire de l'infamie à travers les vies de ces hommes et femmes hauts-en-couleur dont les aventures parfois rocambolesques trouvent une conclusion souvent tragique.

02/2023

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Littérature sud-américaine

Histoire universelle de l'infamie. Histoire de l'éternité

" Les exercices de prose narrative qui composent ce livre furent exécutés de 1933 à 1934. Ils proviennent, je crois, de mes relectures de Stevenson et de Chesterton, et même des premiers films de von Sternberg et d'une certaine biographie d'Evaristo Carriego. Ils abusent de certains procédés : les énumérations hétérogènes, les brusques solutions de continuité, la réduction de toute la vie d'un homme à deux ou trois scènes (perspective visuelle qui régit également le conte de l'" Homme au coin de la maison rose "). Ces exercices ne sont pas, ne prétendent pas être psychologiques. Quant aux exemples de magie qu'on trouve à la fin du livre, je n'ai aucun autre droit sur eux que ceux de traducteur et de lecteur. Je pense parfois que les bons lecteurs sont des oiseaux rares, encore plus ténébreux et singuliers que les bons auteurs. " J. L. B. Buenos Aires, 27 mai 1935.

09/1999

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Droit

Histoire des finances publiques

Cet ouvrage synthétise ce qu'il faut savoir pour comprendre la formation et le développement des finances publiques en France. Il éclaire d'une part le perfectionnement des techniques administratives et comptables, d'autre part la consolidation des principes budgétaires. Une place centrale est accordée au modèle "classique", de son émergence à ses altérations. Des indications chiffrées accompagnent l'approche administrative et juridique et permettent les ouvertures économiques nécessaires. Par son approche globale cette Histoire des finances publiques est tout autant destinée à ceux qui souhaitent s'initier à la matière qu'aux spécialistes et professionnels à la recherche d'approfondissements.

03/1997

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Limousin

Les fiancés de la Briance

Pierre LOUTY vous conte une aventure romanesque inoubliable des années 60 tirée d'un fait divers authentique. Hélène et Marc avaient vu le jour et grandi sur les bords de la belle rivière. A l'école, ils avaient appris vite et bien... Un jour, ils seraient instituteurs. A l'amitié, avait succédé l'amour. Ils s'aimaient tant les fiancés de la Briance ! Seulement voilà la guerre d'Algérie qui n'osait avouer son nom les sépara...

04/2022

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Littérature française

Histoire des chats. Suivi de Histoire des rats

Ouvre savante et drôle, riche d'anecdotes, de portraits, de fables, de mythes qui, de l'Antiquité aux salons du XVIIIe siècle, mettent en scène les petits félins, l'Histoire des chats passionnera les amoureux des chats mais aussi les gens d'esprit. Dans l'Histoire des rats, érudite et paradoxale, Sigrais, sous la même forme épistolaire que Moncrif, à qui il répond, nous incite à la bienveillance pour une créature maudite qu'il se pique de réhabiliter. On regardera d'un autre oeil les chats et les rats après lecture de ces textes oubliés, mais très actuels, qui rendent à l'animal ses droits tout en reconnaissant ce que nous lui devons. Edition établie, présentée et annotée par François Raviez.

10/2021

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Poches Littérature internation

Le duel. (suivi de) Lueurs. Une banale histoire. Ma vie. La fiancée

Un soir, il neigea. En rentrant du travail je trouvai Mlle Maria dans ma chambre. " Pourquoi ne venez-vous pas à la maison ? Puisque vous ne vouliez plus venir chez moi, c'est moi qui suis venue chez vous. " Elle fondit en larmes : " La vie m'est pénible, très pénible, et je n'ai personne d'autre que vous au monde ! Ne m'abandonnez pas ! " Tandis qu'elle cherchait un mouchoir pour essuyer ses larmes elle esquissa un sourire ; nous restâmes un moment silencieux, puis je la serrai dans mes bras et je l'embrassai en m'égratignant la joue jusqu'au sang contre l'épingle piquée dans son chapeau. Et nous nous mîmes à parler comme si notre intimité datait de très, très longtemps...

12/1982

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Décoration

La fabuleuse histoire de l'eau de Cologne

Fraîche, légère, tonifiante, mais aussi universelle et intergéné-rationnelle, l'eau de Cologne est ici racontée à travers trente compositions qui ont jalonné son histoire, de Jean Marie Farina à Frédéric Malle, en passant par Roger & Gallet, Hermès, Lubin, Chanel ou encore les populaires Bien-Etre ou Mont St Michel. A la fois classique et indémodable, elle n'a jamais cessé d'évoluer, de se transformer, de se réinventer, tout en restant fidèle à son héritage. C'est là, sans doute, la raison de son succès. En refermant ce livre, vous n'aurez qu'une envie : vous asperger d'eau de Cologne !

05/2019

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XXe siècle

Le petit fiancé. Suivi de Circonstances

New York, début du vingtième siècle. Les Juifs de Russie et d'Europe centrale immigrent par milliers. Certains fuient les pogromes, tous espèrent un avenir meilleur. Ils ont pour point de chute le quartier du Lower East Side, qualifié à l'époque de ghetto. C'est là qu'est née Flora, jeune fille juive dont le rêve est d'épouser le médecin qui fera d'elle une vraie New-Yorkaise. Mais son père adoré mijote tout autre chose. L'Amérique et les dollars ne l'ont-ils par détourné du Dieu de ses ancêtres ? Seul un gendre talmudiste pourrait lui assurer le salut, et ce gendre sera importé de Russie. Comment dès lors convaincre Flora qui découvre avec consternation le jeune immigré timide et maladroit ? Dans ce court roman, Le Petit Fiancé, comme dans la nouvelle Circonstances, Abraham Cahan met en scène, avec drôlerie et férocité, les drames ordinaires de toute immigration, les rêves brisés ou trop chèrement exaucés, les trahisons, les renoncements, les regrets...

11/2021

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Littérature française

Les infâmes

Les Infâmes, par Ange de Keraniou... . Pierre Durfer Date de l'édition originale : 1863 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2023

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Romans historiques

Les fiancés de Bordemalle

Simone et Jeannot pensaient leurs vies liées l'une à l'autre pour toujours. Mais, quand la montée des périls européens des années 1930 atteint leur village ariégeois, leurs destinées se séparent face aux combats idéologiques de leur temps. La guerre qui embrase l'Espagne sera une première rupture, l'Occupation en sera une plus déterminante encore. Pourtant, par-delà les camps désormais opposés et les sentiments déchirés, Jeannot croit encore l'amour possible avec celle qu'il n'a jamais cessé d'adorer. Après le soleil brûlant du Sud tunisien et l'accablant désert de Syrie, il revient finalement à Bordemalle où les retrouvailles tant espérées vont se sceller dans le sang et la mort.

02/2006

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Autres collections (6 à 9 ans)

L'Infâme

Tana est une jeune fille qui débute une formation de couture en apprentissage. Elle a quitté le domicile maternel et vit chez son employeuse, en échange d'heures supplémentaires à l'atelier. Elle a fuit une mère qui la rendait malade. Elle a coupé les ponts. Se terre dans le silence et le travail à l'atelier. Tana n'a pas spécialement d'appétence pour ces techniques dont elle ignore tout. Elle sauve ou tente de sauver ce qui peut encore l'être, comme le ferait le rescapé d'une grande catastrophe. Avec l'aide de sa patronne et de sa meilleure amie, Apolline, dans le silence de l'atelier et du travail manuel solitaire, elle va quitter les terreurs de l'enfance pour affronter sa vie. Pour affronter sa mère. La figure de sa mère. L'Infâme est une pièce d'émancipation. Elle débute dans la honte de soi, dans le sentiment d'humiliation et de désagrégation. Elle s'achève avec la victoire de la guerrière, ferme dans sa volonté de vivre et de se construire un avenir, pleine de force pour demain. Elle s'achève loin de l'amertume et du ressentiment. Entre les deux, des histoires de brodeuses, de couturières, de tisseuses ; des histoires de fils noués et de fils coupés. L'Infâme est une histoire de liens. Ceux qui nous brisent. Ceux dont on se libère. Ceux que l'on tisse.

05/2023

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12 ans et +

Les fiancés de la Grande Guerre

"Alphonsine et Camille étaient tout juste fiancés, lorsque le jeune homme fut mobilisé en août 1914. Elle l'accompagna jusqu'à la gare du Nord. Paris était encombré de toute une foule, composée pour la plupart de familles qui, comme elle, tenaient à être auprès d'un des leurs qui était mobilisé. Les jeunes gens durent se séparer devant les grilles, car un officier ne laissait passer que les militaires. Ils s'embrassèrent une dernière fois, longuement, puis Camille dut se diriger vers son train, avec les autres soldats." Quand se reverront-ils ? Une belle histoire d'amour malgré la fureur des canons et la folie des hommes.

11/2014

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Histoire de la médecine

Du pronostic des déviations de la colonne vertébrale

Du pronostic des déviations de la colonne vertébrale considéré au point de vue de leur curabilité / par le Dr J. -C. -Th. Pravaz,... Date de l'édition originale : 1884 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

07/2021

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Romans historiques

La cavale des fiancés

A la fin du XVIe siècle, pendant les guerres de religion, Grenoble, l'ultra catholique, lutte contre les nombreux Dauphinois acquis à la Réforme. François de Lesdiguières, chef des huguenots, s'apprête à conquérir la cité alpine et l'avenir des Grenoblois demeure très incertain. Lucas Arthaud, compagnon cordonnier, quitte Mens la protestante afin de retrouver son chef-d'oeuvre disparu, le privant d'accéder à la maîtrise. Le jeune homme sera confronté bien malgré lui à un univers déroutant et farouche où règnent les trahisons et les malentendus permanents. Condamné à faire équipe avec une femme de son âge qui lui est hostile, Elise Ougier, le Mensois devra sans cesse faire preuve d'imagination pour tenter de survivre face aux malveillances constantes d'une intrigante Suédoise, d'un tueur à gage milanais, d'un illuminé grenoblois et de bien d'autres adversaires. Ces épreuves périlleuses seront-elles une chance pour ces deux jeunes gens, que tout oppose ? Parviendront-ils à échapper aux nombreux obstacles qui se dressent sur leur chemin ?

03/2018

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Histoire urbaine

Les rats de Paris. Une brève histoire de l'infamie (1800-1939)

L'histoire de Paris et des rats est liée. De la construction des égouts et du métro parisien, à la relocalisation hors la ville des cimetières et des abattoirs, ou de la structuration de l'administration sécuritaire à la création de la SPA, les transformations de Paris au 19e siècle ont travaillé la relation aux rats. Insignifiants en 1800, ces petits êtres finiront par devenir une vulnérabilité épidémique de la capitale à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Quelles furent les configurations historiques qui façonnèrent non seulement cette relation, mais encore leur existence au cours de cette période qui vit naître la ville moderne et dont nous sommes, aujourd'hui, les héritiers ?

10/2021

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Poches Littérature internation

Un chat sous la pluie et autres nouvelles. Suivi de La cinquième colonne

Couples à la dérive, récits de guerre, de blessures, règlements de compte, naufrages et chasses en tout genre : peu importe le sujet, les nouvelles d'Hemingway, tout en retenue et précision, appuient là où ça fait mal. Essentiel.

05/2017

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Religion

Les Dieux de la terre . Suivi de Iram, cité des Hautes Colonnes et de Lazare et sa bien-aimée

L'homme, ce point de convergence entre le temporel et l'éternel... Au soir de sa vie, malade, Khalil Gibran (1883-1931) s'interroge sur l'humanité, la divinité, l'amour, la mort. Il décide de reprendre certains de ses textes de jeunesse et de revenir aux sources " pour trouver une autre aube ". Plongeant au cœur des deux grands livres sacrés, piliers de son univers et de sa poésie, il prolonge sa rêverie biblique et coranique : exaltation d'un pèlerinage au cœur de ses origines (Iram, cité des Hautes Colonnes), soif de rencontrer l'âme sueur ici-bas ou dans l'au-delà (Lazare et sa bien-aimée) et naissance de l'amour dans un couple sous le regard des Dieux (les Dieux de la terre).

03/2003

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Littérature française

De la fin des temps. Suivi de Espérance et histoire

L'attitude du chrétien face à l'histoire est double. D'un côté il doit se préparer à la "fin des temps", c'est-à-dire à l'avènement de l'Antichrist ; de l'autre, et en dépit des circonstances dramatiques qui entoureront cet avènement, il ne doit pas séparer "espérance et histoire". Pour Josef Pieper, ce paradoxe constitue l'ethos authentique du christianisme. Pourquoi faut-il aimer le monde et son histoire ? Parce que l'Antichrist est aussi l'ennemi de la création. C'est pourquoi l'annonce de l'Evangile s'accompagne de la défense de la dignité de l'homme. La "terre nouvelle" attendue veut dire que rien ne sera perdu de ce qu'il y a de bon dans l'histoire. Platon rêvait d'un festin métaphysique auquel participe l'âme comme commensal des dieux, hors de l'histoire. Le chrétien y communie déjà. Non pas dans un "arrière-monde", mais dans la communion eucharistique. Dans cette perspective, les réalisations sécularisées de cette aspiration à une commensalité universelle ("démocratie", "règne de la liberté", "société sans classe") signalent toujours un lien implicite avec l'espérance chrétienne. Mais ce désir peut être dévoyé et devenir le creuset de la société totalitaire de l'Antichrist. Si l'activité du chrétien dans la cité veut être dotée d'une vraie fécondité, elle doit sourdre d'une veille intérieure. Josef Pieper (1904-1997) a consacré sa vie à la recherche de la vérité par l'exercice de la philosophie. Il fut en Allemagne l'un des grands connaisseurs de Platon, Aristote et saint Thomas d'Aquin. Opposant au régime nazi et réduit au silence, ce n'est qu'après la guerre qu'il trouva une consécration universitaire. On lui doit plus de soixante ouvrages, remarquables par leur concision. Une belle filiation philosophique relie Romano Guardini, inspirateur de Josef Pieper, à Benoît XVI, qui a reconnu en Pieper un maître en philosophie.

09/2013

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Littérature française

Observations sur les difformités de la colonne dorsale

Socialisme rationnel, ou Association universelle des amis de l'humanité... par Colins,...Date de l'édition originale : 1849Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site hachettebnf.fr

08/2017

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Littérature française

Les fiancés

Un roman d'une grande efficacité narrative, qui mêle avec brio, sur fond d'évocations de souvenirs d'enfance et de guerre, le motif romanesque des retrouvailles amoureuses et celui de l'usurpation (involontaire) d'identité. Madeleine retrouve soixante ans après son premier fiancé qu'elle croyait mort à la guerre d'Indochine, mais il s'avère que le vieux René qu'elle serre dans ses bras est un autre... Un traitement très fin et subtil du malentendu tragique entre des êtres qui étaient voués à s'aimer et que la vie a destiné à se perdre.

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Autres collections (9 à 12 ans

Les fiancés

Un homme travaille dans l'ombre pour que ce beau mariage n'ait jamais lieu. Une histoire extraordinaire racontée par un grand écrivain d'aujourd'hui pour de jeunes lecteurs.

03/2021

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Littérature française

Les fiancés

A quels mensonges l'amour peut-il mener ? Madeleine retrouve Max, son premier fiancé, qu'elle croyait mort à la guerre d'Indochine. Mais elle se trompe : l'homme qu'elle prend pour lui s'appelle René. Celui-ci accepte de jouer le jeu, au risque d'y perdre sa propre identité. Pourquoi tient-il tant à l'amour de cette inconnue ? Quel souvenir ancien et troublant Madeleine réveille-t-elle en lui ? Un roman subtil et lumineux sur les retrouvailles amoureuses, où les traces de trois guerres se mêlent aux contes de fées, revisitant les chemins enchantés de l'enfance.

04/2023

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Sciences de la vie

A propos de l'infâme capital

A propos de l'infâme capital / par le Dr J. Rames Date de l'édition originale : 1894 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

07/2021

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XXe siècle

La marche des nuages Tome 3 : L'infâme

1933. Désormais aveugle, Damase n'est plus que l'ombre de lui-même. Sa jeune femme Flore gère tant bien que mal la ferme familiale tandis qu'elle rêve d'un avenir meilleur pour sa fille unique Elizabeth De leur côté, Edwina et Gérald, parents de trois enfants, mènent une vie tranquille et prospère. Encore une fois, le destin capricieux fera se croiser les chemins de ces êtres dont les aspirations deviennent plus pressantes. Flore sera hantée par le fantôme surgi d'un passé qu'elle croyait mort et enterré. De là à ce qu'un drame malheureux bouleverse la vie de son couple et, par ricochet. celle de Gérald et d'Edwina, il n'y a qu'un pas...

05/2021

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Criminalité

Les fiancés de Fontainebleau. La faillite de la justice

LES FIANCES DE FONTAINEBLEAU Par Christian Porte Lundi 31 octobre 1988, Anne-Sophie Vandamme et Gilles Naudet, âgés de vingt-cinq ans, et leur jeune chien Dundee, disparaissent lors d'une randonnée pédestre en forêt de Fontainebleau. Leur corps, criblé de balles 22 Long Rifle, sont retrouvés deux mois plus tard... Bavure de chasseurs, braconniers, entraînements de groupes paramilitaires, réseau terroriste, amateurs de vaudou, rassemblement de sectes et autres cérémonies ésotériques, durant treize ans, gendarmes et juges accumulent 200 000 heures d'audition, établissent 4 000 procès-verbaux, interrogent 1 500 personnes. Une enquête-fleuve qui conduit à l'arrestation d'un " présumé coupable ", un adolescent de 17 ans finalement acquitté par la cour d'assises des mineurs de l'Essonne ! Aujourd'hui l'affaire est entrée dans le domaine de la prescription. L'AUTEUR : Christian Porte, journaliste qui a suivi depuis plus de 30 ans cette affaire au jour le jour, pointe les zones d'ombre de ce dossier avec une intime conviction : la justice n'a pas voulu trouver les coupables ! A PROPOS DE LA COLLECTION Jacques Pradel, homme de radio et de télévision, observateur passionné et unanimement reconnu du monde judiciaire. Il est l'un des animateurs vedettes de RTL où il a présenté pendant plus de 10 années l'émission " L'heure du crime ? ". Il raconte également chaque samedi, en prime-time sur TFX, les grands faits divers dans l'émission " Chroniques criminelles ".

10/2021