Recherche

Le IIIe Reich et le monde

Extraits

ActuaLitté

Histoire internationale

Le IIIe Reich et le monde

La conquête de " l'espace vital ", voire la domination, avec l'aide de certaines puissances, du monde entier, tel était le rêve fou d'Hitler, objectif final du IIIe Reich dès que le Führer eut consolidé son pouvoir personnel. Pourquoi ce rêve était-il irréalisable, comment l'Allemagne nazie parvint-elle néanmoins à obtenir des succès ? Quels enseignements l'Europe en a-t-elle tirés ? Charles Bloch dans une analyse fine, souvent percutante et toujours objective, étudie du point de vue de la politique étrangère comment le IIIe Reich, héritier d'une longue tradition nationaliste, a d'abord joui d'un consensus quasi général en Allemagne autour de l'abolition du Traité de Versailles, puis usa de l'aide indirecte que lui apporta l'Angleterre jusqu'en 1939 pour atteindre ses trois objectifs : la chute du bolchevisme, l'anéantissement des Juifs et l'asservissement de la France. Si la politique de Londres rendit possible les succès d'Hitler jusqu'à la conflagration, c'est Hitler lui-même, avec Ribbentrop, qui créa l'antagonisme anglo-allemand vouant ainsi son " programme " à l'échec. En forgeant l'unité des peuples contre lui, en commettant des fautes stratégiques et politiques lors de la campagne de Russie, en limitant sa vision militaire à l'Europe, il commit trois erreurs capitales. En effet, le manque de coordination avec le Japon excluait la possibilité - si toutefois elle existait - de faire front à l'Amérique et à ses immenses ressources. 1945 est une profonde rupture dans l'histoire de l'Allemagne. La plupart des principaux acteurs de l'impérialisme allemand ont été définitivement brisés, la mentalité a profondément évolué et la réconciliation franco-allemande est un des résultats les plus spectaculaires de la seconde guerre mondiale.

ActuaLitté

Allemagne

Le IIIe Reich et le monde

Le maître ouvrage sur la politique étrangère nazie. Quelles étaient les conceptions d'Hitler en matière de politique étrangère et comment les a-t-il appliquées ? Quels étaient ses principaux collaborateurs en matière de diplomatie et quels rôles précis jouèrent-ils ? C'est à ces questions cruciales et à bien d'autres que Charles Bloch répond avant de dérouler la riche et dramatique histoire diplomatique - qui se confond avec l'histoire tout court - du IIIe Reich de 1933 à 1945. Ecrit dans une langue limpide, cet immense livre, publié à l'Imprimerie nationale en 1986, n'a pas été remplacé et sa lecture reste indispensable à quiconque s'intéresse à l'histoire de la période. " Le livre de Charles Bloch est l'un des meilleurs écrits sur cette période tumultueuse et il s'imposera vite comme une référence obligée ", écrivait à sa sortie Hervé Coutau-Bégarie.

02/2023

ActuaLitté

Policiers

Le convoyeur du IIIe Reich

Wyoming. Paul Parker, un avocat proche de la retraite, s'apprête à sortir son chien dans l'aube glaciale. Deux hommes surgissent alors de l'ombre et l'embarquent de force à bord d'un vieux pick-up. La route et les kilomètres s'étirent dans un paysage désolé, la tempête guette à l'horizon, et c'est au milieu de nulle part que les ravisseurs vont parler. Un héritage volé, des générations spoliées, un zeppelin allemand... L'histoire, qui remonte à la seconde guerre mondiale, est tellement incroyable que Parker ne la prend pas au sérieux. Et pourtant C J Box livre un récit rude, intense, dans une nature toute-puissante.

05/2014

ActuaLitté

Sciences politiques

Odinisme et christianisme sous le IIIe Reich

Depuis presque un siècle, beaucoup ont voulu voir dans le national-socialisme une manifestation du paganisme des anciens Germains. Or, il est un fait que les tenants du paganisme - partisans d'une foi organique, tolérante et ouverte - ont été persécutés sous le régime hitlérien, qui, en revanche, s'appuyait sur des forces chrétiennes puissantes. C'est cette attitude complexe du régime national-socialiste vis-à-vis, d'une part, du paganisme et, d'autre part, des Eglises chrétiennes que ce livre entend explorer. Avec ce document, c'est un point d'histoire important qui est abordé et éclairé, non, peut-être, pour y apporter un regard définitif, mais pour ouvrir un débat enrichissant.

07/2022

ActuaLitté

Allemagne

Les églises allemandes sous le IIIe Reich

" Que Dieu tout-puissant daigne envelopper notre oeuvre de sa grâce, forger en nous une volonté juste, bénir notre discernement et nous rendre heureux dans la confiance de nos peuples. Amen " Tenus au Palais des sports de Berlin en 1933, ces propos d'Adolf Hitler illustrent toute l'ambiguïté du régime hitlérien à l'égard du christianisme : le nazisme était-il une idéologie fondamentalement hostile à la religion chrétienne ou a-t-il au contraire su exploiter les tendances les plus profondes de l'âme religieuse allemande ? Quant aux Eglises chrétiennes, ont-elles été ces lieux de résistance au totalitarisme dont les historiens d'après-guerre ont si volontiers chanté les louanges ou bien n'ont-elles été finalement que l'un des nombreux rouages d'une société dévouée tout entière à son Führer ? Ce sont ces questions que l'historien allemand Christoph Strohm aborde dans ce petit livre, devenu un classique outre-Rhin depuis sa publication en 2011. Sans compromission mais sans non plus entamer le procès des acteurs historiques, son propos se veut également une introduction simple d'accès à cette page sombre de l'histoire du christianisme au XXe siècle.

10/2022

ActuaLitté

ouvrages généraux

Etre femme sous le IIIe Reich

Les dignitaires nazis voulaient "âémanciper les femmes de l'émancipationâ" , et ils supprimèrent la plupart des libertés qu'elles avaient acquises sous le régime de Weimar. Ils les éloignèrent du travail salarié, les reléguèrent dans la sphère des 3K (Kinder, Küche, Kirche - Enfants, Cuisine, Eglise), et chantèrent les louanges de l'image la plus archaïque des femmes et des mères de famille. Dans cet ouvrage pionnier, Rita Thalmann analyse les mesures liberticides du 3e Reich. Elle dresse un large inventaire des vies et des réactions des femmes sous le nazisme : femmes aryennes indifférentes, sympathisantes, parfois participantes zélées du régime (y compris sous ses aspects les plus criminels), femmes marginalisées, persécutées, déportées, voire exterminées par celui-ci. Maintes questions surgissent à la lecture du livre, sur les différents degrés d'adhésion (ou d'opposition) au totalitarisme. Sur les marges de liberté pour des sujets soumis à un régime de terreur, au contrôle omniprésent des conduites et des pensées. Sur les modes de résistance, ou au contraire de consentement à l'oppression. Toutes questions qui restent, aujourd'hui encore, d'une brûlante actualité.

12/2023

ActuaLitté

Histoire internationale

Les femmes du IIIe Reich

Beaucoup de livres ont été consacrés au nazisme, mais l'on sait moins à quel point les femmes en furent les pivots. Paradoxalement, et à l'opposé de l'idéal national-socialiste du grillon domestique au fourneau, elles jouèrent souvent un rôle clef dans la pratique politique et sociale du régime. Hitler, porté démocratiquement au pouvoir grâce à l'appui massif du vote féminin, fut aussi propulsé mondainement par quelques femmes mécènes et artistes. Par la suite, il s'entoura de femmes capables, chacune à leur façon - "amazones" actives ou muses cachées -, de participer au rayonnement du nazisme. L'historienne Anna Maria Sigmund a sélectionné huit d'entre elles dont le poids fut déterminant dans l'Allemagne du IIIe Reich. La plus célèbre, Leni Riefenstahl, l' "ange du mal" , danseuse, puis actrice avant de devenir la géniale cinéaste officielle que l'on sait, ne fut ni la plus prosélyte, ni la plus fanatique... S'appuyant sur de nombreuses sources issues d'archives longtemps fermées, l'auteur retrace leur situation réelle et leur importance symbolique dans le système de terreur nazi et dévoile un aspect inédit de cette page noire de notre siècle. Philosophe et historienne, Anna Maria Sigmund est membre de l'Institut autrichien de recherches historiques. En dehors de ses travaux scientifiques, elle s'est fait connaître du grand public par ses trois ouvrages consacrés aux femmes nazies, documents best-sellers en Allemagne. Traduit de l'allemand par Janine Bourlois

04/2004

ActuaLitté

Histoire internationale

Les maîtres du IIIe Reich

" Le chroniqueur de cette époque reste perplexe devant le problème qui se pose à lui, de montrer comment tant d'incapacité, de médiocrité et d'absence de caractère a pu provoquer de telles répercussions. Point de grandeur. On ne rencontre, au contraire, que "petites" faiblesses, égoïsmes, prétentions, impulsions dans des caractères aussi parfaitement insignifiants que dépourvus de tout scrupule. Dans le cas tout au moins des dirigeants nationaux-socialistes, l'analyse de la structure psychologique d'un régime totalitaire ne relève pas, comme on l'a souvent cru, de la démonologie et de ses concepts imprécis, mais elle se ramène plutôt à la description des faillites concrètes et individuelles. D'Hitler à Heydrich, de Goebbels à Rosenberg, nous avons affaire à des individus constamment dominés par leurs passions ou leurs instincts, se hissant ainsi au pouvoir ou se laissant entraîner par un mouvement qui les y pousse. La même remarque vaut pour la grande masse du peuple allemand dont les chefs du Troisième Reich furent, en ce sens, les parfaits représentants. Tous avaient un point commun : ils furent poussés dans l'arène politique, non pas d'abord par une idée grandiose, mais par des conflits psychiques. " J.F.

11/2008

ActuaLitté

Histoire internationale

Rire et résistance. Humour sous le IIIe Reich

Est-il permis de rire d'Hitler ? La question fait toujours débat en Allemagne où, à la lumière des horreurs commises, il est difficile pour bon nombre d'Allemands de considérer le IIIe Reich avec humour. Il existe pourtant une longue tradition de blagues sur les nazis. Durant les premières années du Reich, les blagues sur Hitler et ses sbires étaient légion. Elles ont largement participé de ce rire libérateur qui servit de soupape de décompression durant ces noires années. Au fur et à mesure que le régime se durcissait, l'humour, en particulier l'humour juif, se fit plus grinçant, plus cynique. Car tous les Allemands ne furent pas dupes, et Herzog va délibérément à l'encontre de l'argument souvent avancé au lendemain de la guerre, selon lequel les gens ignoraient tout des manoeuvres d'Hitler. La vérité est beaucoup plus trouble : les Allemands savaient beaucoup de choses, ont à l'occasion plaisanté sur le sujet et n'ont cependant rien fait. De la suppression de la scène de cabaret anti-nazie des années 1930 aux "blagues chuchotées" publiées au lendemain de la guerre, Rudolph Herzog retrace l'histoire du comique et de l'humour sous le IIIe Reich et dresse, sous un angle inédit, un tableau passionnant de l'époque la plus sombre de l'Allemagne.

06/2013

ActuaLitté

Histoire internationale

L'extase totale. Le IIIe Reich, les allemands et la drogue

La drogue est la continuation de la politique par d'autres moyens : telle est sans doute l'une des leçons les plus méconnues du IIIe Reich... Découverte au milieu des années 1930 et commercialisée sous le nom de pervitine, la méthamphétamine s'est bientôt imposée à toute la société allemande. Des étudiants aux ouvriers, des intellectuels aux dirigeants politiques et aux femmes au foyer, les petites pilules ont rapidement fait partie du quotidien, pour le plus grand bénéfice du régime : tout allait plus vite, on travaillait mieux, l'enthousiasme était de retour, un nouvel élan s'emparait de l'Allemagne. Quand la guerre a éclaté, trente-cinq millions de doses de pervitine ont été commandées pour la Wehrmacht : le Blitzkrieg fut littéralement une guerre du "speed". Mais si la drogue peut expliquer les premières victoires allemandes, elle a aussi accompagné les désastres militaires. La témérité de Rommel, l'aveuglement d'un Göring morphinomane et surtout l'entêtement de l'état-major sur le front de l'Est ont des causes moins idéologiques que chimiques. Se fondant sur des documents inédits, Norman Ohler explore cette intoxication aux conséquences mondiales. Il met notamment en lumière la relation de dépendance réciproque qui a lié le Dr Morell à son fameux "Patient A", Adolf Hitler, qu'il a artificiellement maintenu dans ses rêves de grandeur par des injections quotidiennes de stéroïdes, d'opiacés et de cocaïne. Au-delà de cette histoire, c'est toute celle du IIIe Reich que Ohler invite à relire à la lumière de ses découvertes.

08/2018

ActuaLitté

Histoire internationale

Tous les secrets du IIIe reich

Dans ce livre rassemblant les deux volumes sur les "Secrets du IIIe Reich", et proposant un chapitre inédit, François Kersaudy et Yannis Kadari revisitent certains épisodes mystérieux de l'histoire du nazisme. Si certains de ces mystères ont déjà fait couler beaucoup d'encre, il restait, pour chacun d'entre eux, des ombres, des interrogations, voire des tabous, qui méritaient qu'on mène à nouveau l'enquête… En racontant et dévoilant les principaux secrets du régime et de ses dignitaires, les auteurs, avec leur sens du détail et leur talent inimitable de conteur, éclaire d'une lumière nouvelle les dessous d'un des moments les plus ahurissants du XXe siècle. Alors qui a écrit Mein Kampf ? Comment les nazis envisageaient-ils de détruire les Etats-Unis ?  Que sait-on des relations féminines du Führer ? Comment Hitler imaginait-il sa nouvelle capitale, Germania ? Quels sont les dessous de l'affaire Rudolf Hess ? Qui est responsable de l'incendie du Reichstag ? Que s'est-il passé dans le bunker d'Hitler en avril 1945 ?

04/2017

ActuaLitté

Histoire internationale

Les dossiers cachés du IIIe Reich

30 avril 1945 : Adolf Hitler se donne la mort aux environs de 14h30 dans son bunker à Berlin, marquant ainsi la fin du IIIe Reich. Il laisse cependant derrière lui un nombre incroyable d'adeptes, de fanatiques, ainsi que des énigmes et des mensonges autour de cette période sombre de l'Histoire. 20 novembre 1945 : les puissances alliées intentent à vingt-quatre grands criminels nazis un procès qui durera plus d'un an. Au cours de cette année, de nombreuses révélations seront faites, de nombreux dossiers seront sortis de l'ombre. Découvrez, parmi les affaires du IIIe Reich longtemps tenues secrètes : - La disparition de Josef Mengele. l'Ange de la Mort, et sa traque durant plus de trente ans. - Les écrits de Monseigneur Alois Hudal, un des principaux organisateurs de la filière d'exfiltration des criminels nazis vers l'Amérique du Sud. - Le témoignage d'Ingrid Rimland, persuadée que les massacres de Berlin en 1945 ont été commis par des juifs communistes, et qui véhiculera les thèses négationnistes jusqu'au Paraguay. - Les liens étroits entre Hergé et Léon Degrelle, fondateur du mouvement Rex, en Belgique, qui ira même jusqu'à déclarer : "Tintin, c'est moi ! " - La Lettre d'adieu de Magda Goebbels à son fils. - Les révélations de Joachim von Ribbentrop, Herman Goering, Rudolf Hess et Albert Speer à quelques heures de Leur condamnation.

01/2019

ActuaLitté

Allemagne

La dénazification. Posthistoire du IIIe Reich

Ni complète ni irréprochable, la dénazification se donnait pour ambition de punir et de rééduquer une population allemande jugée coupable. Si cette politique publique épuratoire fut mise en oeuvre de manière différente selon les zones d'occupation, elle n'en fut pas moins vécue et partagée par des millions d'Allemands. Plus qu'une procédure politico-judiciaire, elle fut ainsi une expérience tant individuelle que collective, sociopolitique, de responsabilisation, de marginalisation et de réintégration. Dans cette enquête, Emmanuel Droit tente de cerner au plus près cette expérience majeure de l'histoire du XXe siècle. Entre exigence de transparence et volonté de soustraire certains faits aux puissances occupantes, puis aux autorités allemandes, de les passer sous silence ou de les travestir, il affronte la difficile question des liens entre vérité et histoire, mais aussi entre justice et pardon. Un travail qui fera date.

02/2024

ActuaLitté

Histoire internationale

Le mythe Hitler. Image et réalité sous le IIIe Reich

Mon Führer que j'adore avec ferveur ! C'est votre anniversaire et nous n'avons que deux voeux ardents : que tout, dans notre patrie, soit aujourd'hui et demain exactement comme vous voulez que cela soit, et que Dieu vous préserve pour nous à jamais ! Votre fidèle EE". Comme cette Berlinoise en 1935, ils furent des milliers à témoigner leur adoration au Führer jusqu'à Stalingrad. Hitler n'était-il pas un génie politique, doublé d'un homme simple et bon, photographié ici embrassant un enfant, là au côté d'ut vieillard hospitalisé ? Un célibataire qui sacrifiait les bonheurs de la vie maritale à la grandeur du destin de l'Allemagne ? Un chef capable d'annexer l'Autriche sans verser une goutte de sang ? Un grand bâtisseur, enfin, qui avait su relever son pays de la misère... Ce culte de la personnalité fut l'élément-clé de l'intégration politique au système nazi. Seule la puissance du mythe était à même de contenir les forces centrifuges du Parti : si ses dignitaires étaient parfois perçus connue des individus cupides et hypocrites, Hitler faisait figure d'incorruptible héros de la nation. Et quand le parti se livrait à des exactions, c'était sans l'assentiment de son Führer. Les enquêtes d'opinion secrètes effectuées par les autorités nazies confirment l'effrayant diagnostic posé par Hitler lui-même : "La grande masse de la population allemande a besoin d'une idole".

08/2013

ActuaLitté

Théâtre

Grande peur et misère du IIIe Reich

Sous le nazisme, la peur et la misère affectaient toutes les couches de la société allemande, l'intelligentsia, la bourgeoisie, la classe ouvrière. Il y a certes le courage de la poignée de militants qui, au mépris de tous les dangers, publient une littérature illégale. Mais il y a aussi la capitulation, face à la terreur, d'une trop grande part de l'intelligentsia. C'est ce qu'a voulu montrer Brecht, d'abord à ses compatriotes exilés, autour des années 1938, en écrivant la trentaine de courtes scènes, inspirées de la réalité même, de Grand-peur et misère du IIIe Reich. La pièce naît en 1934 de la volonté de Brecht et de Margarete Steffin, de rassembler un matériau composé de coupures de presse et de témoignages sur la vie quotidienne en Allemagne sous la dictature hitlérienne. Le titre fait allusion au roman Splendeurs et misères des courtisanes de Balzac, et inscrit donc la pièce dans une lignée de peintures naturalistes de la société allemande de l'avant-guerre, brossant un large tableau allant du monde ouvrier à la magistrature en passant par la petite bourgeoisie. La création de huit scènes aura lieu en mai 1938 à Paris devant un public essentiellement composé d'émigrés. Certaines scènes seront également publiées dans des revues d'émigrés visant à alerter l'opinion publique sur la réalité de la dictature en Allemagne et signalant le danger d'une guerre imminente. On y voit tour à tour la bourgeoisie, le corps médical, la justice, les enfants, les prisonniers, etc. évoluer face au régime. Ce n'est cependant qu'après la Seconde Guerre mondiale que la pièce rencontre son succès, car elle montre, comme le disait Brecht lui-même, "la précarité évidente du IIIe Reich, dans toutes ses ramifications, contenue uniquement par la force". Aujourd'hui encore, Grand-peur et misère du IIIe Reich résonne comme un avertissement contre toute forme de système absolu et reste l'un des textes clés du vingtième siècle et au-delà. C'est un manifeste qui invite à lutter contre toute forme politique basée sur la discrimination et sur la crainte.

10/2014

ActuaLitté

Musique, danse

Entartete Musik. Musiques interdites sous le IIIe Reich

L'expression nazie «Entartete Musik» («Musique dégénérée») qualifie un vaste répertoire musical d'oeuvres et de compositeurs interdits et diffamés sous le IIIème Reich. L'un des symboles reste l'exposition du même nom organisée en 1938 à Düsseldorf. Au nom de la «pureté de la race», le régime nazi glorifia les maîtres de la tradition musicale allemande et bannit les musiques atonales, celles de la seconde Ecole de Vienne (musique sérielle), les musiciens juifs, les opposants politiques et une grande partie des musiques «modernistes» du premier tiers du XXe siècle. Le jazz, le cabaret et la chanson, tantôt autorisés tantôt détournés, subirent également les conséquences de cette politique. De nombreux compositeurs furent mis à l'index, notamment Erich Wolfgang Korngold, Erwin Schulhoff, Kurt Weill ou encore Paul Hindemith, «enfant exemplaire» dans un premier temps mais qui finit par décevoir le régime. Certains réussirent à s'exiler, d'autres moururent en déportation. Mais cet immense catalogue d'oeuvres leur a survécu, terrible témoin de la barbarie nazie, imposant toujours un certain devoir de mémoire. Ce volume de la collection horizons vous propose de mieux comprendre cette période allemande historique et ces musiques à travers une synthèse inédite et illustrée, augmentée d'annexes utiles.

04/2015

ActuaLitté

Histoire internationale

Aspects ignorés des Juifs sous le IIIe Reich

Le Saint-Louis avant l'Exodus : chassés par les nazis et refoulés par les américains. Un luxueux paquebot servant du caviar au menu dont les passagers juifs prennent le soleil sur le pont-promenade, ayant appareillé de Hambourg à destination de la mer des Caraïbes et battant pavillon à croix gammée ! Mais la "croisière de rêve" va tourner au cauchemar. C'est l'odyssée incroyable, mais vraie du Saint-Louis, à l'époque où le IIIe Reich cherchait à faire émigrer ses Juifs, mais où la plupart des pays refusaient de les accueillir. Un hôpital juif chez les nazis : une oasis au milieu de l'enfer. La survie d'un hôpital juif dans le Berlin du IIIe Reich. Lequel a toujours porté fièrement gravé à son fronton l'inscription "Hôpital de la Communauté juive"... Et ceci en toute connaissance de cause de la part de la redoutable Gestapo et de l'énigmatique Adolf Eichmann. Les Juifs du Führer : une fidélité exemplaire au régime. Preuves à l'appui, l'auteur démontre que nombre de Juifs ou de Mischlinge ont occupé des postes élevés dans la Wehrmacht. Plus surprenant encore par rapport aux idées reçues, on découvre que non seulement Hitler n'a pas fermé les yeux sur cette situation, mais qu'il était personnellement impliqué dans ce qui constitue une véritable politique, et que c'est lui-même qui a permis à des individus classés à l'origine "non-aryens" de servir dans les plus hauts grades des forces armées dont il était le chef. Ceux-ci ont témoigné d'une fidélité exemplaire au régime ou du moins à l'Etat, contrairement à de nombreux aristocrates de vieille souche germanique appartenant à la caste militaire prussienne.

06/2019

ActuaLitté

Histoire de la musique

Entartete Musik. Musiques Interdites Sous le IIIe Reich

Nouvelle version corrigée et augmentée

01/2023

ActuaLitté

Histoire internationale

La révolution brune. La société allemande sous le IIIe Reich

Avec La Révolution brune, de David Schoenbaum, l'étude du nazisme est passée au stade scientifique, à la froide objectivité de données sociologiques et quantitatives. 1933, date de l'accession de Hitler au pouvoir, plus que 1918, date de la déposition de Guillaume II, marque le début réel d'un processus de "modernisation" de l'Allemagne traditionnelle. Arrivé au pouvoir avec une idéologie prônant le retour à la terre et à la petite entreprise, plus généralement à une image mythique de l'Allemagne médiévale, féodale ou barbare, le régime nazi accéléra dans la pratique le processus de transformation du pays en une société industrielle moderne, n'empêchant finalement ni l'exode rural, ni la liquidation de la petite entreprise, ni le travail féminin, "démocratisant" , mieux que ne l'avait fait la République, l'armée et les administrations, en noyant les élites aristocratiques et bureaucratiques traditionnelles sous un flot d'arrivisme petit-bourgeois. En 1945, terme du processus, année zéro d'une nouvelle Allemagne, la vieille Prusse a cessé d'exister. Paradoxalement, le nazisme a créé les conditions d'exercice du régime démocratique stable qu'est la République fédérale.

01/2021

ActuaLitté

Histoire internationale

Propaganda Kompanien. Les reporters du IIIe Reich

Les Propagandakompanien, les compagnies de propagande allemandes sont l'outil de communication du IIIe Reich, Ces militaires de la Wehrmacht et de la Waden-SS sont les yeux et les oreilles du ministère de la propagande nazie pour la diffusion des victoires comme des défaites. Alors que leurs photographies, leurs films sont connus, rien n'a été dit sur les hommes qui sont derrière les caméras, les appareils photographiques ainsi que sur tous les techniciens. Ce premier volume présente la mise en place de cette arme psychologique, d'un point de vue organisationnel, technique et humain. Grâce à une documentation riche, les compagnies de propagande de la Wehrmacht sont présentées avec un Focus particulier sur 6 Pk. de la Luftwaffe. Enfin, grâce aux témoignages de reporters sont évoquées les campagnes de Pologne, de Norvège, de France et le début de la campagne de Russie.

04/2014

ActuaLitté

Histoire internationale

Les plus étonnantes histoires du IIIe Reich

L'auteur nous livre ici un nouveau tome d'histoires curieuses consacré pour une large part aux aspects cachés de la vie privée de celui qui, en tant que Führer, conduisit l'Allemagne à sa perte. Grâce à l'exhumation de ces archives, le lecteur découvrira entre autres : L'histoire du premier amour du Führer. La relation de Hitler avec la fille d'un Lord. La suppression du supposé amant d'Eva Braun. Le fils que certains lui prêtent avec Magda Goebels. Que Leni Riefenstahl aurait dansé nue devant lui. La vie de celui qui fut son espion juif. Le véritable récit de sa rencontre avec Jesse Owens. Ses surprenantes confidences dans lesquelles il explique pourquoi il a perdu la guerre. Les questions que l'on s'est posées sur la réalité de sa mort dans son bunker. Ce qu'il en est vraiment du trésor qui lui aurait appartenu. Les déclarations du frère du Führer qui le qualifiait de "démon". La vie de son filleul missionnaire en Afrique. Le retour des cendres de l'Aiglon. Le fils caché de Mussolini. Les sosies de Staline. Les troupes d'occupation qui adoraient le saucisson d'Arles. Oscar, le chat insubmersible.

07/2014

ActuaLitté

Allemagne

Heydrich. L'homme clé du IIIe Reich

Ancien officier de marine, Reinhard Heydrich fut distingué par Himmler et mis à la tête du SD, le service de sécurité de la SS. Ayant ainsi autorité sur les services secrets et la Gestapo, il eut entre les mains une puissance qui n'était guère dépassée que par celle de Hitler lui-même. Il fut avec Himmler l'un des concepteurs de la " solution finale de la question juive " . Nommé protecteur de Bohême-Moravie, le " bourreau de Prague " fut abattu en 1942, à trente-huit ans, par des résistants tchèques. Son voeu ultime fut que la destruction des Juifs soit menée à bien. L'apport essentiel d'Edouard Calic est de dévoiler dans cet ouvrage le rôle joué dans l'ombre par Heydrich dans toutes les provocations et attentats orchestrés par les nazis : l'incendie du Reichstag, qui permit leur prise de pouvoir, la Nuit des longs couteaux, l'assassinat du roi de Yougoslavie à Marseille, la Nuit de cristal, l'affaire de Gleiwitz, prétexte au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, le faux attentat contre Hitler en novembre 1939, etc. Sur tous ces dossiers, Edouard Calic met en lumière ce que fut l'action réelle d'Heydrich. Lorsqu'éclate la Seconde Guerre mondiale, Edouard Calic, est étudiant à Berlin et correspondant d'un journal yougoslave dans la capitale du IIIe Reich. Il a ainsi l'occasion d'approcher des théoriciens du nazisme et des personnalités politiques telles que Heinrich Himmler et ses deux principaux adjoints, Heydrich et Müller.

04/2021

ActuaLitté

Histoire internationale

Fortifications du IIIe Reich. Plans et modèles 3D

Le lecteur découvrira de manière détaillée plus de 100 modèles de fortifications dans cet ouvrage. Chacune est présentée avec un plan 3D détaillé et annotée et de nombreux schémas et photos - Peu d'allemands savaient à quoi ressemblaient les forteresses, mais l'état-major allemand était conscient que sans la sécurisation des frontières de l'État grâce à ces fortifications, l'existence même de l'État pouvait être sérieusement compromise. À partir de 1933, les modestes dépenses allemandes pour la défense permirent la construction de bunkers dont la conception datait car antérieure à la guerre de 14-18. Ce n'est qu'en 1935 que l'idée de fortifications nationales basées sur une technologie relativement moderne émergea. De telles fortifications débutèrent pour renforcer les frontières allemandes à l'Est et au Sud. Jusqu'en 1937, vingt-six lignes fortifiées furent érigées le long des frontières française, tchèque et polonaise atteignant 3 500 km de long. Dans la seconde moitié des années 1930, les Allemands décidèrent de construire leur propre Ligne Maginot. En parallèle, les autres lignes défensives étaient en cours de construction aux frontières du Reich. Le Mur de Poméranie et la Ligne Siegfried furent étendus, ainsi que les lignes de l'Oder et LVZ-West. Les zones de défense aérienne de la ligne Siegfried et de la Prusse-Orientale furent renforcées et des places fortes côtières érigées, dans l'espoir de stopper les ennemis voisins. La diversité des milliers de bunkers construits était telle que sans une mise à jour des index, il était extrêmement difficile de déterminer la fonction et le but de chacun. Il est très difficile de se rendre compte de la diversité des fortifications allemandes.

04/2018

ActuaLitté

Histoire de France

Le monde méditerranéen du VIIe au XIIIe siècle

Du VIIe au XIIIe siècle, le monde méditerranéen est le théâtre des affrontements militaires, politiques et religieux des civilisations chrétiennes occidentale et byzantine, musulmane et juive. Mais ce monde profite de leur complémentarité, et sa culture et son économie s'enrichissent à ces contacts. Les traits événementiels sont toujours à rappeler. Il convient également de réfléchir sur les textes, laissés par les Catalans, les Italiens, les Musulmans, les Croisés et les frères pourchasseurs d'hérésies, tous témoins de ces mondes.

06/2000

ActuaLitté

Histoire de France

Ces français qui ont collaboré avec le IIIe Reich

La poignée de mains de Montoire, le 24 octobre 1940, entre le maréchal Philippe Pétain et le chancelier du IIIe Reich Adolf Hitler, est le symbole d'une collaboration qui s'annonce entre un pays vaincu et son vainqueur. Dans son discours aux Français du 30 octobre 1940, le chef de l'Etat français emploie lui-même le terme de collaboration : "J'ai rencontré, jeudi dernier, le chancelier du Reich. Cette rencontre a suscité des espoirs [... ]. Une collaboration a été envisagée entre nos deux pays. J'en ai accepté le principe [... ]. Cette collaboration doit être sincère". Par ce discours, les bases d'un rapprochement politique entre les deux pays sont bien jetées. Dès lors, certains pousseront très loin leur collaborationnisme avec les nazis, au point d'avoir du sang sur les mains. Ce livre trace le portrait des plus significatifs d'entre eux : hauts ou modestes fonctionnaires, militaires (Raoul Dagostini, Joseph Darnand, René Bousquet...), responsables politiques et économiques (Jacques Doriot, Philippe Henriot dit le "Goebbels" français...), artistes, écrivains, journalistes (Robert Brasillach, Ferdinand Céline, Alphonse de Châteaubriant, Lucien Rebatet...), et voyous (Henri Lafont, André Francis dit "Gueule-Tordue" , Maurice Solnlen...) se mettent, pour beaucoup, au service de l'occupant. Un ouvrage passionnant qui s'intéresse aux individualités afin de comprendre comment ces hommes ont glissé, basculé dans la collaboration. Un travail d'enquête minutieux, s'appuyant sur de nombreux documents d'archives. Surnommé "le détective de l'histoire" , Jean-Paul Lefebvre-Filleau, ancien colonel de gendarmerie, diplômé de l'université en droit, criminologie et théologie, a publié une vingtaine d'ouvrages, dont le dernier, La Franc-maçonnerie au coeur de la République, de 1870 à nos jours, réédité aux éditions De Borée en 2016.

01/2017

ActuaLitté

ouvrages généraux

Sa meilleure ennemie. Les amazones du IIIe Reich

Dans l'Allemagne de l'entre-deux-guerres, devenir pilote d'avion pour une femme s'apparente à une forteresse imprenable. C'est pourtant la profession qu'Hanna Reitsch et Melitta Schiller ont décidé d'embrasser. Au prix de risques insensés, le tourbillon du second conflit mondial les entrainera dans une course à la notoriété et aux honneurs. Alliances, manipulations, trahisons, rien n'arrêtera ces deux héroïnes au caractère trempé dans l'acier, qu'une haine farouche opposera jusqu'à leur mort. Alors embarquez avec elles et surtout, attachez vos ceintures, car le voyage ne manquera pas de turbulences.

04/2022

ActuaLitté

ouvrages généraux

L'aigle et le léopard. Les liaisons dangereuses antre l'Angleterre et le IIIe Reich

Les " cousins germains ". Après la chute de la France, en juin 1940, l'Angleterre a bien failli faire la paix avec le IIIe Reich et accepter le partage du monde qu'Hitler lui proposait depuis son arrivée au pouvoir. Nul doute qu'alors l'issue de la guerre eût été tout autre. En parvenant, sur le fil, à faire échouer ce plan, Churchill n'a pas seulement triomphé des anciens partisans de l'" apaisement ", regroupés derrière son prédécesseur Neville Chamberlain, l'homme des accords de Munich. Les forces qu'il a vaincues in extremis s'activaient depuis deux décennies, tantôt dans l'ombre, tantôt au grand jour, pour répudier l'ancienne " Entente cordiale " entre Londres et Paris au profit d'un accord géopolitique global avec l'Allemagne : à cette dernière, la direction politique du continent, assortie d'une intégration économique et financière poussée avec le monde anglo-saxon ; à l'Empire britannique, un leadership écrasant sur le commerce mondial. Ce rêve n'a pas seulement été poursuivi par de nombreuses figures de l'aristocratie britannique, sans parler d'une partie de la famille régnante, fidèle à ses origines allemandes - à commencer par le roi Edouard VIII, authentiquement nazi. Largement partagé, il avait pour chef de file le gouverneur de la Banque d'Angleterre en personne, Montagu Norman, et ses adeptes se recrutaient dans tous les secteurs de l'opinion, syndicats compris. Quant à Hitler lui-même, c'est peu dire que sa fascination pour l'Angleterre était inséparable de sa doctrine raciste. Cette dernière fut forgée au contact d'un idéologue britannique, Houston Stewart Chamberlain, considéré par les nazis comme leur second " prophète ". Ecrite d'une plume alerte et riche de nombreuses révélations, voici l'histoire inédite et prenante de ces liaisons dangereuses qui faillirent changer la face du monde et perdurèrent jusqu'à la chute du IIIe Reich.

03/2023

ActuaLitté

Sciences politiques

Sionisme et Mondialisme. Le sionisme, de ses origines au IIIe Reich, 1895-1941

Traiter du sionisme et de son évolution depuis l'engagement de Theodor Herzl à promouvoir la renaissance d'un Etat juif lors de son premier Congrès à Bâle en 1897, nécessite de connaître les causes profondes ayant incité cet homme à s'engager dans une telle aventure qui détermina tout le XXe et début XXIe siècles. Cet ouvrage en apporte, pour la première fois, les explications grâce à l'étude des Carnets complets de Theodor Herzl, 1895-1904. C'est tout l'enjeu de la première partie de ce livre d'éclairer les coulisses du monde politique, économique, financier et religieux européen avant la Première Guerre mondiale. Forts de 1600 pages, ces carnets proprement décortiqués donnent les véritables raisons à l'origine de la guerre de 1914. La proclamation de la Déclaration Balfour en 1917, reconnaissant l'existence d'un foyer juif en Palestine dans le cadre d'un mandat britannique, fut une conséquence et une étape de ce travail de fond. Cependant, une accélération du phénomène se fit en août 1933 lors de la conclusion de l'Accord de la Haavara (" transfert " en hébreu) entre les autorités nazies et sionistes. Alors que tout semblait les opposer, cet Accord permit l'élaboration d'une politique de peuplement juif et de modernisation de la Palestine – phénomène qui a perduré jusqu'en avril 1941 – accélérant ainsi la création de l'Etat d'Israël en 1948. Tout l'enjeu de ce livre est de présenter dans sa seconde partie, à l'aide de nombreuses pièces d'archives, ces événements si méconnus dont les répercussions se font toujours sentir dans le cadre d'un mondialisme apparemment triomphant.

05/2020

ActuaLitté

Histoire internationale

Otto Skorzeny. L'homme le plus dangereux du IIIe Reich

Personnage hors du commun, servi par l'Histoire, Otto Skorzeny est devenu dès la fin de la Seconde Guerre mondiale "l'homme le plus recherché d'Europe", si ce n'est "l'homme le plus dangereux du Ille Reich" ! Plusieurs de ses actions commandos, dont l'enlèvement de Mussolini, l'attaque des ponts de Nimègue et Ludendorff sur le Rhin, la "cinquième colonne" derrière les lignes américaines dans les Ardennes ou encore la chute du gouvernement hongrois au coeur de Budapest, l'ont immortalisé à jamais. Voici l'histoire, très illustrée, du chef des commandos allemands de la Seconde Guerre mondiale.

10/2018

ActuaLitté

Esotérisme

Les ovnis du IIIe Reich. La base secrète allemande en Antarctique…

Les ovnis du IIIe Reich ou ovnis nazis ou encore la Légende du V-7 sont un mythe ufologique qui affirme que des ovnis auraient été construits en secret durant la période du Troisième Reich en Allemagne et par la suite depuis des bases secrètes cachées en particulier en Antarctique. Apparu dès le début des années 1950 dans les milieux nazis et néonazis sur le fond de la croyance en la survie du IIIe Reich... Ce mythe a connu depuis des enrichissements successifs dans le cadre d'une propagande visant à séduire en jouant sur l'attrait pour l'ufologie et les théories du complot. L'idée selon laquelle les soucoupes volantes seraient des armes secrètes inventées par le IIIe Reich et cachées en mai 1945 en Arctique, en Antarctique ou en Afrique du Sud apparaît dès le début des années 1950 dans certains cercles nationalistes allemands. Le mythe trouve alors ses racines dans la croyance selon laquelle Adolf Hitler aurait survécu à la défaite et se serait réfugié en Antarctique. Le lien entre les soucoupes volantes et de prétendues révélations selon lesquelles les ingénieurs nazis auraient effectué des recherches dans ce domaine est rapidement affirmé. Qu'en est-il réellement aujourd'hui ?

08/2021