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La revue internationale et stratégique N° 77, printemps 201 : La politique étrangère de Nicolas Sarkozy. Rupture ou continuité ?

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 77, printemps 201 : La politique étrangère de Nicolas Sarkozy. Rupture ou continuité ?

Dossier. La politique étrangère de Nicolas Sarkozy. Rupture ou continuité? Trois ans après l'élection de Nicolas Sarkozy, où en est la diplomatie française? Quelle est la part de rupture et de continuité dans ses grandes orientations? Quelle est la relation de la France avec le monde extérieur? Un premier bilan de la politique étrangère de Nicolas Sarkozy peut d'ores et déjà être dressé. C'est l'objet de ce dossier qui présente, selon une approche régionale et thématique, mais aussi à travers les points de vue d'experts et d'acteurs, les premières conclusions que l'on peut tirer de la diplomatie sarkozienne. Avec le concours d'hommes politiques, de journalistes, de responsables d'ONG, de chercheurs: Xavier Bertrand, Didier Billion, Pascal Boniface, Jean-Vincent Brisset, Jean-Christophe Cambadélis, Jean-Yves Camus, Bruno L. G. Carré, Charles Cogan, Bruce Crumley, Arnaud Dubien, Jean-Marie Fardeau, Jacques-Pierre Gougeon, Olivier Guillard, Philippe Hugon, Charlotte Lepri, Fabio Liberti, Sylvie Matelly, Jean-Pierre Maulny, Barah Mikaïl, Alberto Toscano.

04/2010

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 123, automne 2021 : 1991-2021 : ruptures stratégiques

Dans le cadre de la trentième année d'existence de l'IRIS, La Revue internationale et stratégique s'arrête sur les grandes ruptures stratégiques survenues au cours des trente dernières années. Dans une perspective résolument évolutive, et sur un ensemble non exhaustif de sujets, l'objectif sera de partir des perceptions de l'époque pour interroger les processus qui leur ont succédé, afin de comprendre in fine la manière dont ces questions trouvent à façonner l'état actuel des relations internationales.

09/2021

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 89, printemps 201 : L'international en débat

Langue, culture, valeurs, recherche, accueil des étudiants étrangers dans les universités, sport, médias, Internet apparaissent comme autant de domaines à travers lesquels l'influence des Etats peut s'exercer sur la scène internationale. S'il est parfois difficile d'évaluer concrètement les effets d'une diplomatie d'influence, en revanche, ne pas disposer - ou ne plus disposer - de ces instruments d'actions extérieures est souvent synonyme de déclassement dans la conduite des affaires mondiales. Ce dossier se propose de préciser le concept d'influence et d'explorer les différentes formes que peut prendre une diplomatie d'influence, pour la France, mais également pour d'autres acteurs de la scène internationale.

03/2013

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 97, Printemps 2015 : Sanctionner et punir

Les épisodes syrien, russo-ukrainien, iranien, libyen ou encore nord-coréen ont provoqué une recrudescence des interrogations sur la capacité de la «communauté internationale» à mettre en oeuvre des mesures efficaces de sanction ou de punition à l'encontre de certains acteurs internationaux. Quand une intervention militaire apparaît inutile, inappropriée ou impossible, les Etats doivent faire preuve d'inventivité s'ils sont désireux de montrer qu'ils ne restent pas insensibles à une crise ou à des atteintes au droit international ou aux droits de l'homme. La forme de ces sanctions, leurs rôles, leurs impacts et leur utilité, mais également les principes et valeurs qui les sous-tendent doivent ainsi être questionnés : paraphrasant Michel Foucault, on peut s'interroger sur les contours et les attributs du sanctionner et punir dans les relations internationales.

04/2015

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 105, printemps 2017 : Intérêt national

La notion d'intérêt national, qui a structuré de longue date l'action des Etats en matière de politique étrangère et servi de fondement à l'étude des relations internationales, continue à être mobilisée dans les discours politiques et médiatiques pour soutenir, expliquer et 1 ou justifier des décisions et des actions. Pourtant, sa définition est toujours demeurée floue. En dépit de ces discours lui conférant un caractère d'évidence, il est ainsi toujours incertain de savoir à quelle(s) réalité(s) renvoie l'intérêt national et comment il s'élabore. Comment se définit et se construit ce que les gouvernements continuent d'appeler l'intérêt national ? Des enjeux sécuritaires et stratégiques aux volets éthique, économique, environnemental et technologique, quels sont les facteurs qui conditionnent la manière dont les Etats déterminent ce qu'ils nomment leur intérêt national ? Intérêt national, intérêts nationaux, intérêts de l'Etat, intérêts vitaux, intérêts stratégiques, sécurité nationale : où commencent et où s'arrêtent la catégorie et la définition de l '" intérêt national " ? La notion a-t-elle un contenu fixe ou est-elle par essence mouvante ? N'est-elle qu'un discours, un label censé habiller des choix de politique étrangère d'une aura particulière et ainsi les justifier, ou bien s'appuie-t-elle sur des réalités matérielles ? Partant de l'histoire et des usages faits de cette catégorie, ce dossier tente de réinterroger certains éléments de la notion et d'évaluer son rôle dans les relations internationales actuelles.

03/2017

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 113, printemps 2019 : Géopolitique de la transition énergétique

Dans de nombreuses régions du monde, la décarbonation des mix énergétiques et électriques est devenue une priorité pour permettre de répondre aux objectifs climatiques internationaux et aux problématiques de pollutions locales. Les investissement déjà réalisés dans les énergies renouvelables (ENR) ceux qui seront nécessaires à la réalisation des objectifs définis à Paris en 2015, lors de la COP21, sont ainsi à même de redéfinir la notion de sécurité énergétique. D'un point de géopolitique, toutefois, le déploiement des ENR pose d'avantage de nouvelles questions qu'il n'en résout. En effet, à mesure que les sources d'énergie mobilisées se font plus nombreuses, les enjeux afférent s'additionnent, et se répondent pour former une géopolitique bien plus complexe que celle liée aux seuls hydrocarbures. Pour autant, ces nombreux enjeux géopolitiques demeurent peu exploré. Aussi ce dossier se propose-t-il d'éclairer les problématiques de puissance, de rivalités, de sécurité ou de dépendances associées à ces dynamiques de transition vers un monde bas-carbone.

03/2019

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 121, printemps 2021 : Mondes arabes, dix ans après

Il y a dix ans débutait dans les mondes arabes une séquence politique qui ne s'est pas refermée depuis. Partant d'un puissant mouvement de contestation initié en Tunisie, une profonde onde de choc se propageait dans plusieurs Etats de la région. Partout, la justice sociale, les droits démocratiques et la dignité sont alors au centre des revendications. Mais si les causes de ces mobilisations apparaissent communes, elles se déclinent de manière singulière selon les pays, et ne produisent donc pas les mêmes effets. Rien de mécanique ni d'inéluctable dans ces " printemps " , ni un simple effet domino, mais de volatiles rapports de forces entre les classes sociales qui évoluent de façon heurtée, avec des moments de rapides avancées et des périodes de stagnation, voire de reculs. A la " révolution " puis à la " contre-révolution " ont ainsi succédé de nouveaux élans, en 2019, là encore dans plusieurs pays de la région, preuve que les revendications ne se sont pas éteintes. Les contributions réunies dans ce dossier de La Revue internationale et stratégique tentent d'en fournir la démonstration. Loin de prétendre à l'exhaustivité, elles ouvrent des pistes de réflexion permettant de mieux saisir les dynamiques à l'oeuvre dans les mondes arabes.

03/2021

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Critique littéraire

Bibliothèque. Tome 3, Codices 186-222, Edition bilingue français-grec ancien

186 Conon, Pseudo-Apollodore, 187 Nicomaque de Gérasa, 188 Alexandre de Myndos, Protagoras, 189 Sotion, Nicolas, Acestoridès, 190 Ptolémée Héphestion, Aristonicos de Tarente, 191 Basile, 192-195 Maxime le Confesseur, 196 Saint-Ephrem, 197 Cassien, 198 Vies de saints, 199 Jean Moschus, 200 Marc le Moine, 201, Diadoque de Photicé, Nil d'Ancyre, 202 Hippolyte, 203-205 Théodoret de Cyr, 206-207 Procope le Sophiste, 208, Eulogius, 209 Dion de Pruse, 210 Césaire de Nazianze, 211, Denys d'Egée, 212, Enésidème, 213 Agatharchide, 214 Hiéroclès, 215 Philopon, 216-219 Oribase, 220 Théon d'Alexandrie, 221 Aetius d'Amida, 222 Job

01/1962

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Gestion

La recherche en management international : continuités et ruptures

Les nouvelles formes d'organisation et les pratiques managériales dans les entreprises internationales Ce livre traite la question des continuités et des ruptures en management international, selon une perspective francophone. Il se caractérise par une attention portée aux nouveaux acteurs et aux marchés émergents, aux nouvelles pratiques managériales et aux grilles de lecture possibles. Il aborde également l'internationalisation des PME, les nouvelles firmes internationalisées " born-global " et l'organisation et le management au sein des filiales plus ou moins lourdes appartenant à de grands groupes. Ce livre s'adresse aux étudiants en écoles de management ou préparant un master ou un doctorat dans le vaste domaine des sciences sociales, ainsi qu'aux enseignants, enseignants-chercheurs, consultants, responsables d'organisation et aux cadres concernés par l'interculturel et le développement international des organisations. Partie 1 : Les nouveaux acteurs du management international 1. Les comportements de citoyenneté organisationnelle dans le contexte culturel vietnamien 2. Vers un transfert total des responsabilités aux cadres locaux dans les filiales des multinationales en Afrique : innovation ou réduction des coûts liés à l'expatriation ? 3. Les grands projets scientifiques internationaux Partie 2 : Les nouvelles pratiques engendrées 4. L'innovation ouverte des PME : les effets de l'appartenance à un groupe national ou international 5. L'opportunisme dans les alliances stratégiques : proposition d'une typologie 6. Les nouveaux défis de l'innovation pour l'entreprise internationale Partie 3 : Les nouvelles grilles de lecture 7. Le rôle de l'Histoire dans l'avenir de la gestion internationale 8. Comprendre l'évolution du management interculturel sur la base des revues académiques entre 2001 et 2016 9. La longévité multigénérationnelle, la touche personnelle et l'effet famille d'origine : une étude contextualisée de la société HIPP caractéristique du Mittelstand allemand

09/2020

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Droits de l'homme

Les droits de l'homme en France. Regards portés par les instances internationales - Rapport 2017-2021

Quel regard portent les instances internationales et régionales sur la situation des Droits de l'homme en France ? Cette cinquième édition du rapport sur Les Droits de l'homme en France, constitue un " tableau de bord " unique, objectif et panoramique de l'effectivité des droits humains en France, de la mise en oeuvre du droit international humanitaire et du droit international pénal. Il couvre la période 2017 - 2021 et s'inscrit dans la continuité des rapports précédents publiés en 2017 (période 2014 - 2016), 2015 (période 2012 - 2014), 2013 (période 2010 - 2012) et 2009 (période 2005 - 2009).

02/2023

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Sciences politiques

La politique africaine de la France : entre rupture et continuité

Au moment où les populations africaines s'interrogent de plus en plus, voire s'offusquent de la présence aujourd'hui encore de forces armées françaises dans leurs pays, de l'importance supposée ou réelle de multinationales françaises sur le continent noir, de la dépendance monétaire du Franc CFA vis-à-vis de l'euro, etc., un air nouveau semble souffler sur le "ménage franco-africain", avec des changements subtils mais réels, depuis quelques années. Il devenait alors important de se pencher sur les relations entre l'ancienne puissance coloniale (la France) et ses désormais ex-colonies d'Afrique. C'est à cet exercice complexe d'analyse de la politique africaine de la France, plus connue sous l'expression "Françafrique", que s'est soumis l'auteur du présent ouvrage. Cet ouvrage comprend une introduction revenant sur le contexte historique ayant conduit à la mise en oeuvre de la politique africaine de la France par le général Charles de Gaulle et sur les objectifs qui la sous-tendaient, deux parties portant respectivement sur les prémices d'une réévaluation de cette politique et sur sa persistante continuité, et une conclusion appuyant le nécessaire assainissement qu'elle doit subir et surtout les défis à relever par le continent noir. Ainsi, à travers un langage clair, simple et précis, l'auteur permet de comprendre la genèse de ladite politique datant des années 60, de mieux appréhender son évolution à travers des péripéties saisissantes, et permet d'en saisir la subtilité et les mutations.

10/2017

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 130/2023

Il y a dix ans débutait dans les mondes arabes une séquence politique qui ne s'est pas refermée depuis. Partant d'un puissant mouvement de contestation initié en Tunisie, une profonde onde de choc se propageait dans plusieurs Etats de la région. Partout, la justice sociale, les droits démocratiques et la dignité sont alors au centre des revendications. Mais si les causes de ces mobilisations apparaissent communes, elles se déclinent de manière singulière selon les pays, et ne produisent donc pas les mêmes effets. Rien de mécanique ni d'inéluctable dans ces " printemps " , ni un simple effet domino, mais de volatiles rapports de forces entre les classes sociales qui évoluent de façon heurtée, avec des moments de rapides avancées et des périodes de stagnation, voire de reculs. A la " révolution " puis à la " contre-révolution " ont ainsi succédé de nouveaux élans, en 2019, là encore dans plusieurs pays de la région, preuve que les revendications ne se sont pas éteintes. Les contributions réunies dans ce dossier de La Revue internationale et stratégique tentent d'en fournir la démonstration. Loin de prétendre à l'exhaustivité, elles ouvrent des pistes de réflexion permettant de mieux saisir les dynamiques à l'oeuvre dans les mondes arabes.

07/2023

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Sciences politiques

Un détournement. Nicolas Sarkozy et la "politique de civilisation"

Décembre 2008. Au soir des vœux télévisés, Nicolas Sarkozy promet aux Français de placer sa présidence sous le signe d'une " politique de civilisation ". Coauteur avec Edgar Morin du livre dans lequel le président prétend avoir trouvé son inspiration (Une politique de civilisation), Sami Naïr rappelle ici le sens de cette formule, et l'oppose point à point à l'idéologie conservatrice, au confessionnalisme occidentaliste, à la pratique libérale inégalitaire incarnés par le président Sarkozy. Soulignant nombre de désaccords fondamentaux - sur les notions de laïcité et d'universalité, sur la politique sociale, la politique internationale, la politique d'immigration -, Sami Naïr s'interroge sur la signification du " sarkozysme ", conception postmoderniste de style américain qui rompt avec l'héritage gaulliste comme avec la tradition républicaine. On ne saurait fonder une politique de civilisation sur ce qui est, en réalité, une opération de privatisation du lien social.

05/2008

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 98, Eté 2015 : Devenirs humanitaires

Le secteur humanitaire a connu de nombreuses mutations entre le XlXe et le XXe siècles, pour finalement sembler se cristalliser autour d'un modèle unique, inspiré par des valeurs et modes opératoires occidentaux. En proie à une crise identitaire profonde, il apparaît aujourd'hui arrivé à une période charnière de son histoire. Les mutations de la scène internationale et du secteur lui-même conduisent, en effet, les organisations de solidarité internationale à repenser leur positionnement et leur rôle. L'heure du bilan et de la remise à plat de l'action humanitaire, de son sens et de sa finalité est donc venue. Comment les ONG se prépareront-elles à répondre aux grands enjeux du XXIe siècle ? De leur capacité à se remettre en question et à redéfinir un nouveau cadre d'engagement dépendra l'avenir de l'humanitaire.

06/2015

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 133, printemps 2024 : Afrique : un sentiment antifrançais ?

Il y a dix ans débutait dans les mondes arabes une séquence politique qui ne s'est pas refermée depuis. Partant d'un puissant mouvement de contestation initié en Tunisie, une profonde onde de choc se propageait dans plusieurs Etats de la région. Partout, la justice sociale, les droits démocratiques et la dignité sont alors au centre des revendications. Mais si les causes de ces mobilisations apparaissent communes, elles se déclinent de manière singulière selon les pays, et ne produisent donc pas les mêmes effets. Rien de mécanique ni d'inéluctable dans ces " printemps " , ni un simple effet domino, mais de volatiles rapports de forces entre les classes sociales qui évoluent de façon heurtée, avec des moments de rapides avancées et des périodes de stagnation, voire de reculs. A la " révolution " puis à la " contre-révolution " ont ainsi succédé de nouveaux élans, en 2019, là encore dans plusieurs pays de la région, preuve que les revendications ne se sont pas éteintes. Les contributions réunies dans ce dossier de La Revue internationale et stratégique tentent d'en fournir la démonstration. Loin de prétendre à l'exhaustivité, elles ouvrent des pistes de réflexion permettant de mieux saisir les dynamiques à l'oeuvre dans les mondes arabes.

04/2024

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 127, été 2022

Il y a dix ans débutait dans les mondes arabes une séquence politique qui ne s'est pas refermée depuis. Partant d'un puissant mouvement de contestation initié en Tunisie, une profonde onde de choc se propageait dans plusieurs États de la région. Partout, la justice sociale, les droits démocratiques et la dignité sont alors au centre des revendications. Mais si les causes de ces mobilisations apparaissent communes, elles se déclinent de manière singulière selon les pays, et ne produisent donc pas les mêmes effets. Rien de mécanique ni d'inéluctable dans ces "  printemps " , ni un simple effet domino, mais de volatiles rapports de forces entre les classes sociales qui évoluent de façon heurtée, avec des moments de rapides avancées et des périodes de stagnation, voire de reculs. À la "  révolution " puis à la "  contre-révolution " ont ainsi succédé de nouveaux élans, en 2019, là encore dans plusieurs pays de la région, preuve que les revendications ne se sont pas éteintes. Les contributions réunies dans ce dossier de La Revue internationale et stratégique tentent d'en fournir la démonstration. Loin de prétendre à l'exhaustivité, elles ouvrent des pistes de réflexion permettant de mieux saisir les dynamiques à l'oeuvre dans les mondes arabes.

09/2022

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 114, été 2019 : Changer ou être changé ?

Eu égard à leur poids diplomatique et économique et à leur dimension universelle, difficile d'imaginer que les organisations sportives internationales sont de simples associations. Cette singularité structurelle a constitué une force pour le mouvement sportif, qui a pu se protéger des évolutions politiques et géopolitiques tout en revendiquant une autonomie d'action. Pourtant, ce mouvement se trouve désormais confronté à des remises en question qui secouent ses fondements, voire sa légitimité. Diffuse, cette crise s'articule autour de nouvelles problématiques économiques, juridiques, technologiques, géopolitiques, liées à la régulation du sport. De sorte que le statut particulier des organisations sportives internationales apparaît à présent comme une fragilité, les poussant à se transformer pour espérer maintenir et développer leur influence. Par les enjeux qu'elle comporte, cette transition inédite doit être suivie au-delà de la seule communauté sportive. L'évolution de la régulation du sport peut ainsi servir de modèle à celle d'autres problématiques transnationales exacerbées par la mondialisation.

06/2019

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 110, été 2018 : Géopolitique et technologie

De l'intelligence artificielle aux fake news, des GAFA aux ordinateurs quantiques, quelles sont les conséquences de la troisième révolution industrielle sur les enjeux de puissance qui font et défont l'ordre international ? Quelle redistribution de la puissance ces bouleversements provoquent-ils à l'échelle nationale, régionale et mondiale ? Les logiques politiques peuvent-elles et doivent-elles reprendre la main, si tant est que la rapidité et la technicité de ces évolutions permettent encore de faire de la technologie un objet politique ? Ou les ramifications de cette révolution sont-elles vouées à se soustraire au contrôle démocratique ? Les mutations violentes qu'elle occasionne font entrer les Etats dans une ère de transition qui les oblige à repenser les notions de puissance, de pouvoir, de gouvernance et de démocratie. Ces évolutions sont cependant perçues aujourd'hui encore selon une grille de lecture binaire, qui semble opposer optimistes technophiles et technophobes catastrophistes. Une analyse plus nuancée, critique et différenciée des effets politiques et stratégiques de la troisième révolution industrielle paraît tant souhaitable que possible. Ce dossier se propose d'apporter des éléments de réponse à cet éventail d'interrogations et de déconstruire la manière dont est traditionnellement posé le problème.

07/2018

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 103, automne 2016 : Emergence(s)

Fruit d'un long processus, la fin du monopole occidental sur la puissance est une réalité largement admise. Symbole de cette remise en cause, le phénomène de l' "émergence" va bien au- delà des simples BRICS. Mais alors qu'un avenir radieux leur semblait promis, ces pays dits "émergents" traversent depuis quelques années une crise. Tantôt les pouvoirs sont contestés, tantôt leurs diplomaties sont en difficulté, tantôt leurs économies vacillent. Au point de s'interroger : le rééquilibrage a-t-il pris fin, va-t-il s'inverser ou marque-t-il simplement une pause ? En réalité, c'est la notion même d'émergence qui pose question. Issue du monde de la finance, que recoupe-t-elle et en quoi est-elle éclairante pour saisir les réalités internationales ? Comment se traduit- elle en termes de développement ou d'aspiration à la puissance ? L'étude de cas nationaux permet-elle de dégager des points communs ?

09/2016

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Géopolitique

Politique américaine N° 37/2021 : La présidence Trump : de la politique étrangère à la politique de l'étranger

Le 20 janvier 2021 a marqué la fin officielle de la présidence Trump - une présidence controversée qui se voulait être celle de la rupture, notamment en matière de politique étrangère. Sur ce point, comment peut-on appréhender les diverses actions menées par Donald Trump à l'international au cours de ses années au pouvoir ? Surtout, dans quelle mesure sa politique étrangère représente-t-elle un tournant pour les Etats-Unis ? Ce dossier se propose ainsi d'analyser la politique extérieure conduite par Trump non seulement en tant que telle, mais aussi à travers un prisme plus large permettant de la mettre en perspective par rapport aux présidences précédentes. Il s'agit donc bien, en d'autres termes, de porter un regard sur ce "moment Donald Trump" : quatre années qui, indéniablement, continuent de peser dans le débat politique américain.

12/2021

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 109, printemps 2018 : Agir pour le climat. Arènes, enjeux, pouvoirs

Longtemps réduit à sa dimension environnementale, le changement climatique s'est imposé ces dernières années comme un sujet d'étude incontournable en relations internationales. Objet scientifique mais également politique, le réchauffement planétaire charrie en effet de multiples enjeux géopolitiques. Négociations onusiennes, transition énergétique, adaptation, questions de sécurité et de défense, migrations, recrudescence des catastrophes naturelles constituent ainsi autant de sujets ayant favorisé l'intégration du climat dans la réflexion stratégique de nombre d'acteurs. Ces processus d'appropriation et de diffusion soulèvent de nombreuses interrogations. A quelles opportunités et à quels obstacles sont confrontés les acteurs étatiques et non étatiques ? Que nous disent les négociations climatiques de l'évolution des rapports de forces entre pays ? Comment agissent les ONG ou encore les peuples autochtones dans la régulation internationale des problèmes climatiques ? Les acteurs de la santé sont-ils au fait des enjeux soulevés par le changement climatique ? Comment les acteurs de la défense l'intègrent-ils à leur réflexion stratégique ? C'est, entre autres, à ces questions que ce dossier vise à apporter des réponses.

03/2018

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 124, hiver 2021 : Géopolitique de la nature

Quel est le statut de la nature en géopolitique ? Ce dossier se propose de poser la double question de la nature comme objet (géo)politique et du vivant comme potentiel acteur (géo)politique. Du point de vue politique, l'écologie a migré de la périphérie vers le centre du débat d'idées. Elle ne se définit plus uniquement au regard du projet politique des différents partis. Elle définit désormais à l'inverse leur projet politique. En Europe comme ailleurs, elle interroge en effet la possibilité même du modèle politique moderne et de l'invention d'une société post-industrielle. L'écologie sera notamment un enjeu crucial des élections fédérales de 2021 en Allemagne et de la présidentielle de 2022 en France. Elle est au centre des négociations du Green Deal sur le plan européen et des COP sur le climat ou la biodiversité au niveau mondial. Si la politique de l'objet "nature" concerne classiquement la manière dont la nature s'intègre dans les processus politiques nationaux, la géopolitique de la nature interroge la manière dont la nature s'intègre dans les processus politiques nationaux et internationaux. Que veut dire l'écologie pour les relations internationales ? A l'inverse, il est désormais devenu concevable d'interroger la nature comme non plus seulement comme objet mais comme acteur du politique. Dans cette acception, la politique de la nature mobilise de nouvelles approches qui tentent de penser la manière dont la nature fait effraction de plein droit dans les processus politiques. Dans des arrêts judiciaires comme celui qui concerne la rivière Vilcabamba, en Equateur, des entités naturelles ont déjà acquis un statut juridique. Mais les lacs, les forêts, les animaux peuvent-ils avoir un statut politique ? Si non, le devraient-ils ? Est-il possible enfin de penser leur statut géopolitique ? Une géopolitique de la nature se doit de penser tant la manière dont la nature s'intègre comme un objet dans les processus politiques nationaux et internationaux, que la manière dont elle y fait effraction comme un acteur. Ces deux (géo)politiques de la nature sont-elles malaisément compatibles, ou sont-elles au contraire mutuellement nécessaires ?

12/2021

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 122, été 2021 : Une Europe géopolitique ?

L'Union européenne (UE) a d'abord constitué une intégration économique parce qu'il fallait parvenir à instaurer une paix durable et oublier les guerres du passé, réconcilier et reconstruire les pays, puis en intégrer et soutenir d'autres libérés des dictatures. Diverses crises, notamment au cours des dix dernières années, sont venues rappeler à ce projet à visée d'abord interne qu'il ne pouvait toutefois faire l'impasse sur le monde extérieur. Aussi cette intégration, qui s'est avant tout pensée comme la fin de puissance, ne peut-elle faire l'économie des rapports des forces. En outre, malgré les divisions et les limites qu'elle connaît, et au fil des crises et des aléas, l'Union européenne s'est montrée particulièrement résiliente. Au point que d'aucuns avancent que la construction européenne n'avance précisément qu'en temps de crise. Vu de l'extérieur, par certains aspects, l'UE peut aussi être perçue comme un tout et un acteur-clé des relations internationales : un marché important donc attractif, une puissance économique et financière, un modèle social et une zone où la liberté de l'individu et le respect de sa vie privé sont parmi les plus aboutis au monde. Elle dispose de réels atouts pour se positionner, voire s'affirmer dans une perspective géopolitique. La récente crise du Covid l'a une fois de plus montré, même si elle a également souligné les divisions habituelles entre Etats membres. Lors de son discours au Forum de Paris sur la Paix en novembre 2019, la nouvelle présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, expliquait qu'elle souhaitait construire une "Commission géopolitique" . Elle faisait ainsi suite au changement de cap déjà amorcé par les Européens depuis 2016, et la combinaison du Brexit et de l'élection de Donald Trump aux Etats- Unis, conduisant à questionner des thématiques jusque-là quasiment taboues comme l'autonomie stratégique, la souveraineté et /ou la défense européennes. Si la première année d'exercice de cette Commission aura donc été traversée par la pandémie, elle a aussi été marquée par une posture et des initiatives européennes novatrices, à commencer par la communication de la Commission publiée le 13 mars et invitant les Etats membres à renforcer leurs propres mécanismes de filtrage des investissements étrangers dans le domaine de la santé, de la recherche médicale et des biotechnologies. Le plan de relance et la possibilité offerte à la Commission de contracter ellemême des dettes et le fait même que les Européens soient restés relativement unis face aux représentants britanniques dans le cadre des négociations sur la relation future avec le Royaume- Uni sont autant d'éléments allant dans ce sens. Sur le plan extérieur, l'élection de Joe Biden comme président des Etats-Unis conduit déjà certains en Europe à penser que la parenthèse pourrait se refermer très vite - comme en témoigne l'entretien accordé par Annegret Kramp-Karrenbauer à Politico début novembre 2020. Mais les difficultés n'ont pas disparu pour autant. Les pays européens restent encore divisés sur de nombreux sujets : quelle position européenne face aux Etats-Unis ou à la Chine et dans leur compétition de puissance ? Quelles menaces pour quelle défense européenne ? Comment définir une souveraineté européenne ? Quelle politique migratoire ?

06/2021

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 95, automne 2014 : Mers et océans

Bien qu’ils recouvrent l'essentiel de la surface du globe, les mers et les océans demeurent des espaces naturels encore largement inconnus. Voies de circulation majeures pour le commerce international, réservoirs de ressources naturelles aussi bien énergétiques qu'alimentaires, l'avantage que confèrent leur connaissance et leur maîtrise en font le théâtre d'une compétition intense entre Etats, qui se renforcera à l'avenir. Les opportunités offertes sont, en effet, nombreuses (réchauffement de l'Arctique, énergies renouvelables ultramarines, hydrocarbures offshore, stocks halieutiques inexploités) et sont désormais stimulées par la raréfaction des ressources terrestres ou côtières. Cet état de fait pousse les acteurs économiques et politiques à tourner plus encore vers les mers et océans, qui constituent ainsi de véritables espaces stratégiques.

09/2014

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 128, hiver 2022

Il y a dix ans débutait dans les mondes arabes une séquence politique qui ne s'est pas refermée depuis. Partant d'un puissant mouvement de contestation initié en Tunisie, une profonde onde de choc se propageait dans plusieurs Etats de la région. Partout, la justice sociale, les droits démocratiques et la dignité sont alors au centre des revendications. Mais si les causes de ces mobilisations apparaissent communes, elles se déclinent de manière singulière selon les pays, et ne produisent donc pas les mêmes effets. Rien de mécanique ni d'inéluctable dans ces " printemps " , ni un simple effet domino, mais de volatiles rapports de forces entre les classes sociales qui évoluent de façon heurtée, avec des moments de rapides avancées et des périodes de stagnation, voire de reculs. A la " révolution " puis à la " contre-révolution " ont ainsi succédé de nouveaux élans, en 2019, là encore dans plusieurs pays de la région, preuve que les revendications ne se sont pas éteintes. Les contributions réunies dans ce dossier de La Revue internationale et stratégique tentent d'en fournir la démonstration. Loin de prétendre à l'exhaustivité, elles ouvrent des pistes de réflexion permettant de mieux saisir les dynamiques à l'oeuvre dans les mondes arabes.

12/2022

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 126, 2/2022

Il y a dix ans débutait dans les mondes arabes une séquence politique qui ne s'est pas refermée depuis. Partant d'un puissant mouvement de contestation initié en Tunisie, une profonde onde de choc se propageait dans plusieurs Etats de la région. Partout, la justice sociale, les droits démocratiques et la dignité sont alors au centre des revendications. Mais si les causes de ces mobilisations apparaissent communes, elles se déclinent de manière singulière selon les pays, et ne produisent donc pas les mêmes effets. Rien de mécanique ni d'inéluctable dans ces " printemps " , ni un simple effet domino, mais de volatiles rapports de forces entre les classes sociales qui évoluent de façon heurtée, avec des moments de rapides avancées et des périodes de stagnation, voire de reculs. A la " révolution " puis à la " contre-révolution " ont ainsi succédé de nouveaux élans, en 2019, là encore dans plusieurs pays de la région, preuve que les revendications ne se sont pas éteintes. Les contributions réunies dans ce dossier de La Revue internationale et stratégique tentent d'en fournir la démonstration. Loin de prétendre à l'exhaustivité, elles ouvrent des pistes de réflexion permettant de mieux saisir les dynamiques à l'oeuvre dans les mondes arabes.

06/2022

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 132, hiver 2023

Il y a dix ans débutait dans les mondes arabes une séquence politique qui ne s'est pas refermée depuis. Partant d'un puissant mouvement de contestation initié en Tunisie, une profonde onde de choc se propageait dans plusieurs Etats de la région. Partout, la justice sociale, les droits démocratiques et la dignité sont alors au centre des revendications. Mais si les causes de ces mobilisations apparaissent communes, elles se déclinent de manière singulière selon les pays, et ne produisent donc pas les mêmes effets. Rien de mécanique ni d'inéluctable dans ces " printemps " , ni un simple effet domino, mais de volatiles rapports de forces entre les classes sociales qui évoluent de façon heurtée, avec des moments de rapides avancées et des périodes de stagnation, voire de reculs. A la " révolution " puis à la " contre-révolution " ont ainsi succédé de nouveaux élans, en 2019, là encore dans plusieurs pays de la région, preuve que les revendications ne se sont pas éteintes. Les contributions réunies dans ce dossier de La Revue internationale et stratégique tentent d'en fournir la démonstration. Loin de prétendre à l'exhaustivité, elles ouvrent des pistes de réflexion permettant de mieux saisir les dynamiques à l'oeuvre dans les mondes arabes.

12/2023

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Sciences politiques

La revue internationale et stratégique N° 117, 1/2020

Dans les années 1990, la création de tribunaux pénaux ad hoc (ex-Yougoslavie, Rwanda) et l'adoption du Statut de Rome instituant la Cour pénale internationale (CPI) avaient fait naître de nombreux espoirs concernant l'émergence d'une justice pénale internationale et la lutte pour mettre fin à l'impunité des individus auteur des crimes les plus graves à l'échelle internationale. Depuis lors, le mode de fonctionnement de la CPI (difficultés du bureau du procureur à enquêter, faiblesses des pratiques d'investigation, etc.), les actions adoptées et les décisions rendues ont fait l'objet de nombreuses critiques, tant de la part de certains Etats que de certaines organisations de défense et de protection des droits humains, qui y ont vu, pour les uns, un acharnement contre les pays africains et une atteinte à la souveraineté des Etats, et, pour les autres, un renoncement à punir les crimes sous sa juridiction : volonté de punir certains dignitaires pour les uns, incapacité à punir les auteurs des crimes les plus graves pour les autres ; justice de vainqueurs et instruments aux mains des grandes puissances pour d'autres encore. L'acquittement de Laurent Gbagbo par la CPI en janvier 2019 a mis en lumière ce que d'aucuns appellent les errements ou les limites de cette institution. Les commentaires qui ont suivi la décision de la CPI ont ainsi ravivé et renforcé les critiques contre l'institution au point de la voir parfois remise en cause, ce dont atteste par exemple la multiplication récente du nombre d'Etats se retirant du Statut de Rome. Toutefois, derrière ces critiques tous azimuts, et pour certaines justifiées, pointe une autre problématique, celle de la remise en cause de la légitimité d'une justice pénale internationale. Ce qui se joue, dès lors, n'est pas seulement la question de l'efficacité de la CPI, mais aussi celle de la légitimité de l'idée même d'une justice pénale internationale. Indirectement, il semblerait que cette dernière se trouve délégitimée et affaiblie. Le dossier tentera d'apporter un éclairage à cette problématique en évaluant les critiques, en offrant des perspectives d'action et en défense d'une justice pénale internationale peut-être encore à venir.

04/2020

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Géopolitique

La revue internationale et stratégique N° 129, hiver 2023

Il y a dix ans débutait dans les mondes arabes une séquence politique qui ne s'est pas refermée depuis. Partant d'un puissant mouvement de contestation initié en Tunisie, une profonde onde de choc se propageait dans plusieurs Etats de la région. Partout, la justice sociale, les droits démocratiques et la dignité sont alors au centre des revendications. Mais si les causes de ces mobilisations apparaissent communes, elles se déclinent de manière singulière selon les pays, et ne produisent donc pas les mêmes effets. Rien de mécanique ni d'inéluctable dans ces " printemps " , ni un simple effet domino, mais de volatiles rapports de forces entre les classes sociales qui évoluent de façon heurtée, avec des moments de rapides avancées et des périodes de stagnation, voire de reculs. A la " révolution " puis à la " contre-révolution " ont ainsi succédé de nouveaux élans, en 2019, là encore dans plusieurs pays de la région, preuve que les revendications ne se sont pas éteintes. Les contributions réunies dans ce dossier de La Revue internationale et stratégique tentent d'en fournir la démonstration. Loin de prétendre à l'exhaustivité, elles ouvrent des pistes de réflexion permettant de mieux saisir les dynamiques à l'oeuvre dans les mondes arabes.

03/2023

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Critique littéraire

La revue des revues N° 61, printemps 2019

La romancière et essayiste Linda Lê et ses revues : "Promontoire des possibles" ; la revue l'Ephémère ; un article qui retrace l'histoire de L'Age nouveau ; "De Prospero à ses Cahiers" : évolution d'une revue et d'une institution ; Dada, la première revue pour les enfants ; "L'Inclassable Daily Bul" ; Chronique d'un lecteur-libraire : Hugues Robert de Charybde (Paris 12e) ; Chroniques et lectures ; compte rendus de nouvelles revues. Validation La romancière et essayiste Linda Lê et ses revues : "Promontoire des possibles" ; la revue l'Ephémère ; un article qui retrace l'histoire de L'Age nouveau ; "De Prospero à ses Cahiers" : évolution d'une revue et d'une institution ; Dada, la première revue pour les enfants ; "L'Inclassable Daily Bul" ; Chronique d'un lecteur-libraire : Hugues Robert de Charybde (Paris 12e) ; Chroniques et lectures ; compte rendus de nouvelles revues.

08/2019