Recherche

L'homme de la culture. Une anthropologie du sens à partir de l'Afrique

Extraits

ActuaLitté

Ethnologie

L'homme de la culture. Une anthropologie du sens à partir de l'Afrique

De nos jours, la conscience culturelle s'affine de plus en plus avec un regain d'intérêt pour les recherches en anthropologie culturelle et religieuse. Elle s'approfondit également avec le développement de nouvelles réflexions sur la diversité culturelle, sur l'inculturation, sur l'interculturalité, sur les religions traditionnelles, les mentalités, les rapports entre la croyance religieuse et la culture.... Ce livre est d'une actualité chargée d'avenir. Les textes qui le composent portent profondément la trame d'une anthropologie du sens sur les rapports entre l'homme, le transcendant et la culture. Au moment où l'auteur écrivait isolément ces textes, il était probablement loin de penser à la conscience culturelle qui y transparaît. Fruit d'une longue incubation de recherche qui remonte à un passé peu ou prou lointain, ce livre est un joyau en attente d'une exploitation interculturelle riche et féconde. Sans prétention, ni ambition, l'auteur du livre – professeur d'anthropologie – mène ses réflexions avec maestria, finesse, originalité, méthodologie et rigueur scientifique. La pertinence de ses raisonnements suscite la curiosité intellectuelle et force d'emblée à parcourir le livre. Ce livre revêt notamment une grande portée anthropologico-théologique et satisfait bien à la soif d'interdisciplinarité en vogue dans les normes méthodologiques de recherches scientifiques. Il rendra d'énormes services aux travaux de recherche anthropologique et théologique ultérieurs.

08/2016

ActuaLitté

Sociologie

Repenser le marché de l'Afrique à partir du culturel

Les auteurs de cet ouvrage jettent un regard critique sur les constructions intellectuelles forgées pour le marché de l'Afrique. S'appuyant sur diverses expériences de terrain et sur des bases conceptuelles originales, ils tentent de rendre compte des spécificités et des cohérences propres aux échanges marchands entre Africains et entre Africains et non-Africains. Ce livre donne ainsi à tous ceux qui veulent s'essayer dans les échanges des repères tant méthodologiques que pragmatiques, touchant l'organisation et l'ingénierie culturelles. Il ne prétend pas imposer des règles mais discuter des modalités de mise en acte d'une technologie sociale qui puise dans l'environnement culturel africain. Les principes du marché de l'Afrique "repensé à partir du culturel" ici exposés remettent en question diverses prédictions des rapports des experts de l'économie-monde sur l'Afrique : le tout marché, les espaces imaginaires, le cinéma classique, le renouveau des relations culturelles, le vin, la chinAfrique, l'entrepreneuriat sont rediscutés à l'aune de cette vision originale. L'exposé des faits et cas d'organisation et d'ingénierie culturelles, qui viennent contredire certains faits et cas exposés dans les rapports des organismes internationaux (Banque mondiale, FMI et OMC), étaye cette vision renouvelée du marché de l'Afrique.

12/2012

ActuaLitté

Religion

Anthropologie beti et sens chrétien de l'homme

L'évangélisation d'un peuple est une tâche extrêmement délicate. En effet, l'annonce de la Bonne Nouvelle du salut, pour prendre racine, doit s'effectuer à la lumière de l'amour, car "l'amour seul est digne de foi", l'amour seul possède le pouvoir de changer les coeurs et de produire la conversion véritable. Le processus d'évangélisation consiste donc à atteindre l'homme par l'intérieur, de manière qu'il retrouve les richesses spirituelles de sa personne au contact du message divin. Convertir un peuple à l'Evangile revient finalement à réveiller en lui ce qui s'identifie à l'Evangile parmi les valeurs de sa culture. La parole qui convertit revêt un caractère particulier. Elle dépasse le niveau superficiel de l'audition auriculaire pour pénétrer dans les profondeurs du coeur où l'homme dialogue intimement avec lui-même et avec Dieu, sur les valeurs culturelles marquées du sceau d'éternité. Conscient de cela, en analysant les obstacles liés à son travail apostolique, le missionnaire se rend compte que la séparation entre le message de salut qu'il apporte et la culture du peuple à convertir conduit inévitablement à l'échec total de sa mission. Comme notre organisme rejette toute nourriture inassimilable par ses tissus, ainsi un peuple ne s'accorde jamais avec un message absolument étranger à sa culture. Voilà comment se présente le problème fondamental largement traité dans cet ouvrage. Il s'agit de la rencontre difficile d'une culture donnée (ici l'anthropologie beti) avec la doctrine de la foi chrétienne tirée de l'Evangile de Jésus-Christ.

05/2010

ActuaLitté

Philosophie

L'homme sans image. Une anthropologie négative

Une définition de l'humain est-elle possible ? Chaque homme est singulier. Multiple. Pour saisir tous ses visages, l'image ne suffit pas. A quoi tient la forme humaine. La question est ouverte. Une réflexion critique sur l'humain s'impose.

10/1996

ActuaLitté

Ouvrages généraux

L'esprit de societé. Pour une anthropologie du sens

Les univers contemporains de recherche sur le langage et les signes sont pluriels, les théories souvent parcellaires, les objets et les méthodes resserrés sur des modèles de plus en plus confidentiels. Les auteurs de cet ouvrage proposent une grille d'analyse de cette diversité. Ils font le point sur l'ensemble de ces ouvertures théoriques et méthodologiques, et mettent en évidence les possibilités nouvelles de compréhension de l'activité de langage en société : interlocution, calcul du sens, procès de signification, cognition, sémiotiques non verbales du sens... Anne Decrosse est sémio-linguiste et Professeure associée à l'Université Stanford (Etats-Unis) et enseignante à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales à Paris.

04/2022

ActuaLitté

Ethnologie

Branchements. Anthropologie de l'universalité des cultures

Ce livre, qui procède d'un travail de terrain éclaté, nous promène à travers les capitales de trois pays africains : Bamako au Mali, Le Caire en Egypte et Conakry en Guinée. En cela, il rompt avec l'approche classique de l'anthropologie, qui privilégie le local par rapport au global, et répond au souci de cerner au plus près les contours d'une véritable multinationale culturelle: le N'ko. Fondé en 1949 pour exprimer l'identité d'un peuple opprimé, le peuple mandingue, ce mouvement doit beaucoup à l'Europe et à l'islam - l'alphabet dont il s'est doté évoque ainsi les alphabets latin et arabe, tout en possédant ses caractéristiques propres. A ce titre, le N'ko illustre les " branchements " possibles d'une culture sur une autre, phénomène de dérivations multiples qui montre bien que notre monde globalisé n'est pas une simple juxtaposition d'univers étanches. De la globalisation à l'afrocentrisme, de l'écriture à la philosophie africaine et au génocide, la thématique du branchement permet de décliner les différentes figures qui font de l'Afrique un concept à géométrie variable, un élément essentiel de l'imaginaire planétaire.

03/2005

ActuaLitté

Histoire internationale

L'écriture du roi Njoya. Une contribution de l'Afrique à la culture de la modernité

Le présent ouvrage ressuscite à la mémoire collective un héritage culturel camerounais que l'on croyait enseveli mais qui, comme l'or, a survécu à toutes les vicissitudes du feu grâce à sa pureté inestimable, et se présente aujourd'hui comme un patrimoine national : l'écriture a ka u ku du roi Njoya. En effet, de toutes les guerres linguistiques que le Cameroun a vécues, celle qui opposa l'administration coloniale française au peuple bamoun entre 1916 et 1933 fut la plus insidieuse, la plus acharnée, et la plus pathétique, car s'étant achevée par la mort en déportation d'un souverain, promoteur du système d'écriture de sa langue, le roi Njoya. Toutes les langues camerounaises ont connu les affres de l'interdiction, mais celle-ci fut exacerbée en pays bamoun à cause de la présence d'un système d'écriture autonome, symbole de souveraineté intolérable en territoire soumis. Plus qu'une guerre linguistique, ce fut une guerre de civilisation. Le Cameroun, à travers cette écriture, apporte sur la place du donner et du recevoir un produit exportable, capable de donner une authenticité aux textes en langues africaines, aujourd'hui rédigés dans des alphabets empruntés aux autres civilisations. Telle est la portée des textes rassemblés dans cet ouvrage : un devoir de mémoire, un enjeu de civilisation.

06/2015

ActuaLitté

Ethnologie

L'Homme, une espèce déboussolée. Anthropologie générale à l'âge de l'écologie

Qu'est-ce que l'homme ? Bien des idées préconçues, souvent anciennes, ont détourné du questionnement ou oblitéré des éléments de réponse, et les avancées actuelles des neurosciences cognitives ne remédieront pas seules à ce déficit de connaissance. François Flahault trace une voie nouvelle : l'écologie scientifique, qui étudie le vivant en relation avec ce qui le fait vivre, qui pense ensemble l'organisme et son milieu, ouvre à l'anthropologie générale un nouveau champ d'exploration. Nous commençons à savoir aujourd'hui ce que ce paradigme scientifique implique pour notre vie physiologique (l'air que nous respirons, ce que nous mangeons, etc.). Il reste à comprendre ce qu'il implique quant à notre existence psychique. L'homme, en son activité psychique, est lui aussi soumis à la propension à vivre qui anime tous les vivants et aux contraintes de son environnement : notre je est le fruit d'une symbiose complexe entre biologie, société et culture... Cet ouvrage, mené sous la forme d'une enquête, met en oeuvre une démarche inédite, qui articule sciences humaines et biologie et vise à appréhender ensemble le physiologique et le psychique. Il nous apprend comment nos manières d'être se forgent en amont de nos réflexions conscientes, le versant informationnel et cognitif de nos activités étant inévitablement sous-tendu par l'enjeu vital de nourrir le sentiment d'exister, avec les autres ou contre eux. Il montre enfin comment ce qui rend l'espèce humaine remarquablement adaptable et perfectible l'expose à des dérives et à un déboussolement.

02/2018

ActuaLitté

Beaux arts

Arts et cultures d'Afrique. Vers une anthropologie solidaire

Quels arts, pour quelles Afriques ? Il s'avère difficile aujourd'hui de cerner les contours d'une création plastique et d'une culture africaines, dont le contexte, celui de la mondialisation des échanges, ne cesse d'évoluer : évolutions esthétiques, évolution des marchés culturels pris dans un main stream technologique dominé par les produits anglo-saxons, évolution des relations politiques entre le Nord et le Sud, avec l'impossible dissolution d'une "France-Afrique" décriée par tous. Si les relations économico-politiques actuelles sont vivement remises en question dans la partie introductive, qui tente de définir une nouvelle anthropologie, l'anthropologie solidaire, ce sont les arts, les produits culturels et les réflexions sur les arts d'Afrique qui constituent le coeur de cet ouvrage. Ils sont le prisme à travers lequel la question des violences et des solidarités émergentes de l'Afrique dans le monde est abordée. Ni impartial, ni exhaustif, il donne au lecteur un faisceau de regards, d'analyses inédites et d'images fortes, qui alimenteront, sans dogmatisme, son désir d'Afrique.

03/2014

ActuaLitté

Ouvrages généraux

L'homme, un chantier oublié. Contribution à l'anthropologie de l''architecture

L'auteur de cet ouvrage présente l'homme, cet être insaisissable, comme un chantier infini qui nécessite un certain redémarrage des travaux du point de vue intellectuel, moral, culturel, politique, religieux, social et économique. Il s'agit de cet homme blessé, oublié, détruit dans son humanité et vivant dans " un monde cassé " à réhabiliter. La conjugaison des forces, architectes, sociologues, philosophes et anthropologues, est une réponse adéquate et suffisante aux préoccupations multiples auxquelles est confrontée la société actuelle qui porte l'homme. Si la politique est un art de gouverner, Sante Ortolani estime aussi que " l'architecture est un art de vivre et un symbole de vie ". Voilà pourquoi ce livre doit être considéré comme un tremplin, un guide-solution pour les gouvernants et les différents intervenants dans la construction humaine de l'homme gouverné. Bâtir l'humain demeure ainsi le fil conducteur de notre cogitation pour aménager ingénieusement l'habitat des générations futures.

03/2023

ActuaLitté

Pères de l'Eglise

De l'homme extérieur à l'homme intérieur. L'anthropologie spirituelle de saint Jean Cassien

La spiritualité de Jean Cassien, ses héritages, sa postérité. Voilà le maître-ouvrage incontournable pour rentrer dans la pensée d'un des plus grands Pères de l'Eglise. Cette recherche s'inscrit dans le champ disciplinaire de la théologie patristique. Plus précisément, l'auteur s'intéresse à la pensée anthropologique de saint Jean Cassien (365- 435), telle qu'elle ressort de ses deux ouvrages spirituels, les Institutions cénobitiques et les Conférences. A travers les pages de ce livre, nous sommes amenés à nous interroger sur la place qu'occupe saint Jean Cassien dans la tradition monastique orientale qui lui est antérieure, ainsi que sur l'influence de ses deux ouvrages sur la tradition monastique occidentale postérieure. Grâce à une lecture attentive des textes, l'enjeu est d'identifier le fil conducteur de la vision cassinienne de la progression spirituelle de l'être humain, qui est exposée en quatre grandes étapes : homo exterior - puritas cordis - homo interior - ignita oratio (contemplatio). Diverses notions du vocabulaire spirituel cassinien sont également analysées minutieusement, ce qui constitue une belle occasion pour remettre au jour l'une des dimensions les plus originales de l'oeuvre de saint Jean Cassien à l'intérieur de toute la littérature monastique : sa manière de convertir le vocabulaire ascétique et monastique grec, issu de la tradition égyptienne, et, par là, de créer et de développer une langue spirituelle latine.

11/2021

ActuaLitté

Ethnologie

Anthropologie de la parole en Afrique

" L'homme, c'est la parole ", dit une femme peule du Sahel. " Parlêtre " ou être de parole, l'homme n'est rien sans la parole. Le présent essai est le fruit d'une expérience de près de quarante ans vécus en Afrique dans des tâches de formation et de recherche au Tchad et au Cameroun. Il se situe au confluent de plusieurs disciplines, linguistique, anthropologie et parfois philosophie du langage. C'est une réflexion sur la parole en Afrique, s'appuyant sur les données de nombreuses langues africaines, mais plus particulièrement la langue sar du Tchad. Trois thèmes sont les fils rouges, souvent entrecroisés, qui se déroulent tout au long de ces réflexions : le corps, signifiant primordial de l'homme pour se dire, se situer dans le monde, et situer toute chose par rapport à lui, le sujet parlant, centre du discours, et le langage symbolique, cette manière singulière qu'a l'homme " d'exprimer par le langage plus que ce que ne peut dire le langage ". Le langage symbolique se révèle particulièrement apte à évoquer la relation au Tout Autre, le langage religieux ne pouvant viser l'indicible qu'à partir des réalités visibles. En outre, cette forme de langage comporte un côté énigmatique, propre à respecter la liberté de l'interlocuteur, qui ne comprendra que ce qu'il veut bien comprendre : l'Afrique a su développer cet art de la parole fondé sur le respect pour préserver l'harmonie sociale. Méditant sur la parole, nous ne pouvons échapper au corps. Même si nous l'oublions, parler, c'est d'abord émettre des sons sortis de notre bouche ; écouter, c'est recevoir en notre oreille une onde sonore. Ce n'est pas que cela, mais c'est d'abord cela. La parole, c'est l'esprit dans le corps et par le corps. Et notre nom, par lequel nous existons socialement, c'est d'abord une onde sonore de bouche à oreille. Un Je vocal, un Je incarné. Cet ouvrage reprend en les approfondissant les thèmes abordés par l'auteur dans des articles publiés précédemment, notamment le corps dans la langue, l'anthroponymie en Afrique, réflexion sur les pronoms, écriture et oralité, le nom et le corps, la symétrie concentrique dans les traditions orales. Mais il aborde aussi des questions nouvelles, comme l'énonciation performative, la métaphore et la métonymie, le style oral, le symbole.

07/2010

ActuaLitté

Exégèse

L'anthropologie de l'apôtre Paul. Vieil homme, homme nouveau, une exégèse de Romains 5-8

Cette étude pose la question de l'existence d'une anthropologie de l'Apôtre Paul. A partir de l'exégèse des chapitres 5 à 8 de l'épître aux Romains, elle montre que cette anthropologie est déterminée fondamentalement par l'opposition structurelle entre le vieil homme et l'homme nouveau.

07/2021

ActuaLitté

Sociologie

Afrique, la voie du cannibalisme culturel. A la recherche de la source commune identitaire de l'Afrique

L'Histoire, pour ne pas être simplement événementielle, doit avoir une longueur et une largeur longues et larges à la fois, c'est-à-dire, durée et spatialité. Or, durée et spatialité, la romanité, source commune identitaire de l'Europe, les avait suffisamment eues. L'Europe d'aujourd'hui s'alimente de sa romanité depuis la période républicaine et impériale. Et quelle est la source commune identitaire de l'Afrique identifiable au classicisme européen ? L'absence de groupes ethniques en France, malgré ses nombreux parlers régionaux, par exemple, est la conséquence de la durée et de la spatialité de l'histoire commune de ce pays. Et si "l'Afrique n'a pas d'histoire" visait de tels exemples ? Et, étant donné l'impossibilité qu'Homère et Virgile ne comportent des brins d'éléments venus des Barbares, le classicisme, source commune identitaire de l'Europe, ne peut nullement signifier le propre de l'Europe. Mais l'élite universitaire européenne a compris tout cela et proclame dignement l'inexistence du propre de l'Europe, qui ne peut être que l'appropriation de ce qui lui est étranger, et l'inexistence du non-européen également, le monde entier étant infecté de phénomènes venus d'Europe. D'où la secondarité culturelle qui invite au cannibalisme culturel. Aucune civilisation n'ayant une origine absolue, toute culture se nourrissant de celles qui l'ont précédée et toute civilisation étant également du sclérosé, qui est la fin ultime de toute culture, la disparition de l'une contient en germe la naissance de l'autre. L'Afrique a donc intérêt à être un continent contenant, comme l'Europe. Et l'échec de l'auto-déterminisme linguistique de l'Inde montre à l'Afrique qu'une langue internationale étrangère, fût-elle celle du colonisateur, peut bien faire l'affaire d'une nation en matière d'unité et de cohésion nationales.

01/2012

ActuaLitté

Littérature française

L'anthropologie de Maine de Biran, ou La science de l'homme intérieur

Arthur de Bretagne : drame en quatre actes / Louis TiercelinDate de l'édition originale : 1885Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur sur le site hachettebnf.frhttp://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5813474t

01/2013

ActuaLitté

Psychologie, psychanalyse

Le génie du cerveau humain et ses merveilles. Tome 1, De l'anthropologie quantique comme science ultime de l'homme

Qu'est-ce donc que l'anthropologie quantique ? C'est la science qui pose que l'être humain est au centre de l'interaction de la Matière et de ses multiples structures comme l'Energie. L'Homme est matière/esprit et, sous l'angle de son état d'être d'Energie, il est aussi éternel dans la dimension du continuum de l'Espace-Temps. Il est une composante complexe et essentielle de la Réalité ultime et de ses multiples dimensions. Dans cette perspective, l'anthropologie quantique n'est rien d'autre qu'une nouvelle vision du monde humain en tant qu'elle apporte de nouvelles révélations sur celui-ci par rapport à la conception anthropologique classique. Elle est un pendant des révélations de la structure de l'univers subatomique. Sous cet angle, les sciences des peuples africains subsahariens nous dévoilent des connaissances qui éclairent notre intelligence des dimensions quantiques du vivant, singulièrement de l'espèce humaine. On découvre que tous les secrets de la vie gisent dans son cerveau comme à l'état d'amorphie qu'il suffit de mettre en branle pour que tout s'illumine. Et on saisit mieux le sens des phénomènes qui échappent à notre raison philosophico-scientifique comme les voyages trans-spatio-temporels, les guérisons à distance, les soins et/ ou les miracles par la puissance et l'efficience du verbe ou de la prière : des faits des cerveaux quantiques.

05/2015

ActuaLitté

Ouvrages généraux

L'homme est un remède pour l'homme. L'humanisme de l'Afrique à l'Europe

Qui est l'Homme ? Des esprits consuméristes ont compris que l'être humain est maître de la nature. Cette vision est aussi hasardeuse que celle qui voudrait que l'Homme soit un dieu, omnipotent et omniscient. La divinité présumée de l'Homme exalte sa science et ses techniques qui, difficilement, montrent leurs limites. En même temps, les relations humaines sont toujours déconcertantes : la méchanceté de l'Homme semble surpasser la capacité de nuisance de tous les autres vivants réunis. C'est pourquoi les antiques Romains disent que l'Homme est un loup pour l'Homme. Les attributs de loup ou de dieu, généralement occidentaux, ne peuvent embrasser la totalité de l'Homme dans un contexte de mondialisation. Par une approche africaine, ce livre rappelle à l'Homo deus son devoir sur la terre qui le porte. Une réflexion qui apporte à l'humanisme occidental, la richesse d'une philosophie africaine peu connue, afin de mieux définir l'Homme.

10/2021

ActuaLitté

Ethnologie

Anthropologie de l'athlétisme en Afrique de l'Ouest. La condition d'athlète

Comment peut-on être athlète en Afrique de l'Ouest ? Généralement, l'intérêt porté au phénomène sportif en Afrique se borne au football, à l'Ouest, et à l'athlétisme, à l'Est. Loin des récits épiques et des discours ataviques, cette étude anthropologique met en évidence les facteurs sociaux de la course à pied, de la course pensée à la technologie de la pratique. La course est une activité corporelle, qui varie selon le contexte culturel et les représentations des sociétés. Comment passe-t-on de la sédentarité à la course à pied régulière, et de la course informelle à l'athlétisme ? Là où nous cherchions à savoir, comment des sociétés africaines se représentaient la pratique, nos différents interlocuteurs nous renvoyaient à la question : pourquoi courir ? De prime abord, lorsqu'on évoque la course en Afrique, c'est l'athlétisme qui nous vient à l'esprit. L'enquête de terrain aux confins du Mali, du Burkina Faso et de la Côte d'Ivoire, nous renvoie à une autre idée de la course, celle vécue, celle subie, celle redoutée, une course en phase avec les réalités des habitants. La vie détermine la conscience athlétique, aussi, le courir est tantôt générateur de bien-être, volonté de mobilité sociale, désoeuvrement.

06/2011

ActuaLitté

Religion

Initiation. De l'anthropologie à la théologie

La pratique et la notion d'initiation ont des racines plus vieilles que le christianisme. Elles naissent en milieu païen, dans la Grèce archaïque. Depuis, la notion a été reprise et réinterprétée dans diverses traditions, dès l'Antiquité et jusqu'à nos jours. Actuellement, l'idée d'initiation désigne tout à fait globalement "les premiers pas" dans à peu près n'importe quelle discipline ou activité. Or, à voir de plus près, il s'agit plus précisément "du premier pas" , "le pas décisif" , essentiellement cultuel et communautaire, par lequel un sujet est agrégé à un nouveau corps social. La notion d'initiation n'est pas biblique, et les auteurs chrétiens des premiers siècles paraissent éviter délibérément le vocabulaire typique lié aux pratiques d'un paganisme encore bien vivant, alors qu'à la même époque les modalités d'intégration de la communauté chrétienne - essentiellement rituelles et communautaires - se fixent. Le thème de l'initiation chrétienne est relativement récent : il date de la fin du XIXe siècle. L'un des rituels majeurs de l'Eglise catholique en porte d'ores et déjà le nom. Cette étude se pose trois questions : qu'est-ce que l'initiation en tant qu'acte humain, en-deçà de la polyvalence actuelle du terme ? En quoi la pratique appelée "initiation chrétienne" est-elle une initiation ? Comment la Révélation de Dieu en Jésus Christ appelle-t-elle une pratique de ce genre ? Jean-Marie Brauns (1969) est Docteur en théologie. Prêtre de la Compagnie de Saint-Sulpice, il enseigne au séminaire Saint-Sulpice d'Issy les Moulineaux.

03/2019

ActuaLitté

Philosophie

Les degrés de l'organique et l'Homme. Introduction à l'anthropologie philosophique

Helmuth Plessner (1892-1985) est l'un des fondateurs d'un courant de la pensée allemande encore peu connu en France, l'anthropologie philosophique. Ce mouvement, né dans les années 1920 et illustré par des auteurs comme Max Scheler ou Arnold Gehlen, se propose d'établir le propre de l'homme en le fondant sur une philosophie de la vie. Les Degrés de l'organique et l'Homme, paru en 1928, est l'une de ses expressions majeures. L'ouvrage s'efforce d'identifier la caractéristique essentielle d'un organisme et de rendre intelligible les niveaux d'organisation qu'il est susceptible d'atteindre. Le concept de "positionnalité" permet de mettre en lumière les trois degrés d'activité par rapport au milieu qui correspondent à la plante, à l'animal et à l'homme. Dans cette perspective, le propre de l'homme apparaît tenir à son "excentricité", c'est-à-dire à la façon de faire advenir l'existence d'un "je" capable de tout objectiver sans être lui-même objectivable.

11/2017

ActuaLitté

Beaux arts

Pour une anthropologie de l'espace

Les thuriféraires de la mondialisation, comme ses détracteurs, focalisent identiquement leurs analyses sur la collusion de l'économie et des nouveaux avatars, téléinformatiques, de la technique. Et, pour dresser leurs bilans - positif ou négatif-, ils scrutent et traquent identiquement les effets du processus dans les mêmes champs multiples et hétérogènes de l'écologie et du droit, de la psychologie et de la sexologie, de la linguistique et de la morale, de la politique et des arts figuratifs... Mais, dans cet inventaire borgésien, un domaine demeure, de part et d'autre, absent: celui de la spatialité, autrement dit, des modalités selon lesquelles les sociétés humaines construisent et vivent leur environnement spatial. A l'issue d'une série d'articles, écrits au fil des vingt dernières années, sur les figures multiples de la spatialisation et de son histoire (architecture, urbanisme, aménagement, protection du patrimoine), Françoise Choay découvre progressivement un propre de l'homme, " la compétence d'édifier", et les enjeux majeurs dont cette compétence est dépositaire à l'heure de la mondialisation.

10/2006

ActuaLitté

Ecrits sur l'art

Image et culture. Anthropologie historique de la création

L'objet de ce livre sont les processus, les mécanismes et les dispositifs d'acculturation de l'art, dans le double sens de la reconnaissance des liens complexes et mouvants qui l'attachent à la sphère sociale plus large, et de sa transformation progressive en pièce détachée de l'industrie culturelle. Il s'agit d'un regard archéologique, au sens foucaldien du terme, qui exploite la transdisciplinarité des études visuelles (le tournant de l'art vers l'image) et de l'anthropologie culturelle (le tournant de l'esthétique vers le culturel), mais en même temps vise à réintroduire un esprit critique qui fait défaut, nous semble-t-il, ou bien reste marginal dans le discours théorique contemporain sur l'art.

10/2021

ActuaLitté

Sociologie

Approche de la culture feminine dans l afrique francophone

Après le livre Approche de la culture et littérature féminines francophones sur le continent américain aux XXe et XXIe siècles, notre groupe de recherche désirait se pencher sur ce qui se passe pour la femme, la culture et la littérature en Afrique. Nous avons donc fait appel à divers spécialistes qui ont donné leur point de vue sur la femme, le continent africain et la culture (qui inclut la littérature). Nous retrouvons des échantillons d'analyses qui font découvrir, comme dans le premier volume, la femme africaine, non blanche, donc noire ou basanée, dont la problématique ressemble à celle de l'Amérique. Ces deux livres donnent de la voix à ces femmes par l'intermédiaire de ces chercheur. e. s que sont Mar Pozuelo, Lulu Limu Aluba, Salah Khan, Julie Corsin, Javier García Bresó, María Teresa Pisa Canete, María José Sueza, Martha Alonso Moreno, Laura González, Justine Martin et Claude Duée. Lire ce livre, c'est plonger dans un univers tout à fait fascinant par à la fois sa diversité et son unité. Ceux qui s'intéressent à la femme, à l'Afrique et à la culture et découvriront le concept d'afropéenne en littérature chez Miano, mais aussi l'afro-féminisme et la problématique du corps dans l'audiovisuel chez Amandine Gay, ainsi que dans les photographies de Zanele Muholi ou Aïda Muluneh. C'est aussi une approche anthropologique sur les représentations artistiques de la maternité, maternité que l'on retrouve dans le regard bienveillant de Le Clézio. En bref, ce livre n

05/2021

ActuaLitté

Sociologie

Boubou Dagara. De l'alliance des cultures à la culture de l'amitié et de la cohésion sociale

Dans les rues, on parle de boubous africains. Au Burkina Faso, l'héritage est le "faso dan fani". Au pays dagara (Nord Ghana et Sud-Ouest du Burkina Faso), c'est le "boubou dagara" pour désigner le "bala". Il est spécifique par sa couture, par son tissu, par sa broderie, par sa forme... Quand le "bala", est porté ou exposé, il est un livre ouvert de l'histoire du peuple dagara. Il traduit les sentiments de ses enfants ; il représente leurs relations sur terre et avec le monde invisible ; il indique qui est le Dagara, témoigne de son état d'âme, dessine son habitat, trace son territoire géographique, son espace culturel... Le "bala", en définitif, est un pont culturel construit entre surtout le Ghana et le Burkina. Il est pour la population du "Pays des hommes intègres" une alliance des cultures dont les fruits sont : la culture de l'amitié et de la cohésion sociale. Le "bala" est un instrument de paix dont feu Nuru-cow Claude Somda en a fait sa marque déposée, après "Sankara arrive"

08/2019

ActuaLitté

Ethnologie

La terre de l'insolence. Une anthropologie des conflits

L'avènement de l'Etat islamique a soulevé deux questions majeures, apparemment indépendantes : comment expliquer l'attractivité d'une idéologie djihadiste au sein d'une société tribale ? Comment rendre compte de la fascination que la médiatisation du djihad peut exercer auprès d'une certaine frange de la jeunesse occidentale ? Pour répondre à ces questions, Nicolas Israël se livre à une analyse anthropologique des conflits, mettant en évidence l'importance des structures tribales, des formes idéologiques et des cadres psychiques dans la progression des groupes djihadistes. Face à une telle progression, la réponse occidentale qui s'appuie principalement sur une stratégie de restauration d'un Etat souverain risque d'exacerber les conflits au lieu de les apaiser.

09/2018

ActuaLitté

Littérature française

L'homme de neige. Seconde partie

Es-tu Adelstan, le bon iarl ? répondit Karine. Eh bien ! écoute et regarde : voilà qu'elle a cessé de souffrir, ta bien-aimée ! Elle est partie pour le pays des elfes. Le méchant iarl avait dit : "Elle mourra ici," et elle y est morte ; mais il avait dit aussi : "Si un fils vient à naître, il mourra le premier." Il avait compté sans Karine. Karine était là, elle a reçu l'enfant, elle l'a sauvé, elle l'a donné aux fées du lac, et l'homme de neige n'a jamais su qu'il fût né. Et Karine n'a jamais rien dit, même dans la fièvre et dans la douleur ! A présent elle parle, parce que le beffroi du château sonne la mort. Ne l'entendez-vous pas ? Serait-il vrai ? s'écria le major en ouvrant précipitamment la fenêtre ; non, je n'entends rien. Elle rêve.

06/2012

ActuaLitté

Littérature française

L'homme de neige. Première partie

Il n'est aucun de nous qui, vivement frappé de certaines situations, ne se soit trouvé plongé dans une de ces étranges rêveries où le moment présent nous apparaît simultanément double, c'est-à-dire reflété dans l'esprit comme un objet dans une glace. On s'imagine qu'on repasse par un chemin déjà parcouru, que l'on se retrouve avec des personnes déjà connues dans une autre phase de la vie, et que l'on recommence en tous points une scène du passé. Cette sorte d'hallucination de la mémoire devint si complète chez Christian, qu'il lui sembla avoir déjà entendu clairement cette langue dalécarlienne, tout à l'heure inintelligible pour lui, et qu'en écoutant machinalement la parole douce et grave du danneruan, il se mit en lui-même à achever ses phrases avant lui et à y attacher un sens. Tout à coup il se leva, un peu comme un somnambule, et, raidissant sa main sur l'épaule du major : Je comprends ! s'écria-t-il avec une émotion extrême ; c'est fort étrange,... mais je comprends !

06/2012

ActuaLitté

Ethnologie

La pratique de l'anthropologie. Du décentrement à l'engagement

Composé à partir d'un entretien de Maurice Godelier mené par Michel Lussault dans le cadre du festival "Mode d'emploi", organisé par la Villa Gillet à Lyon en novembre 2014, ce livre propose un texte original où Maurice Godelier évoque tour à tour, avec verve et humour, sa formation à l'anthropologie, ses principales observations de terrain, les outils théoriques qu'il a forgés au fil de ses enquêtes, et enfin l'usage de ses travaux dans les débats sociaux et politiques d'aujourd'hui, du mariage pour tous à la gestation pour autrui. Si sa pratique de l'anthropologie exige un salutaire décentrement, elle permet en retour un authentique engagement. Maurice Godelier, anthropologue de renommée mondiale, est l'auteur de divers ouvrages désormais classiques, parmi lesquels La Production des Grands Hommes : pouvoir et domination masculine chez les Baruya de Nouvelle-Guinée (1982), Métamorphoses de la parenté (2004), Au fondement des sociétés humaines : ce que nous apprend l'anthropologie (2007), ou encore Lévi-Strauss (2013) et L'imaginé, l'imaginaire et le symbolique (2015). Ses travaux ont été récompensés par la médaille d'or du CNRS, le prix de l'Académie française, le prix international von Humboldt en sciences sociales et le grand prix de l'essai de la Société des gens de lettres.

11/2016

ActuaLitté

Géologie

Le feu sur la Terre. De la Terre sans l'Homme à l'Homme sans la Terre

Pour expliquer et comprendre le réchauffement climatique que notre Planète connaît aujourd'hui, trois tableaux de la Terre sont dressés : la Terre sans l'Homme, la Terre avec l'Homme et l'Homme sans la Terre qui est une ouverture sur notre avenir lointain. Le premier nous rappelle les cinq grandes catastrophes qui, étalées sur plus de 400 millions d'années, ont ravagé la Terre en détruisant jusqu'à 95% des familles d'animaux. L'une d'entre elle, – celle du Permien (252 millions d'années) –, présente étrangement certaines caractéristiques de celle qui, qualifiée de sixième extinction, se prépare aujourd'hui sous nos yeux. Le second tableau fait intervenir un acteur majeur dans l'histoire de la Terre, l'Homme qui, du fait de l'exploitation frénétique d'énergies fossiles, contribue, depuis le début du XIXe siècle, au déséquilibre entre ces quatre compartiments de la Planète que sont l'atmosphère, la lithosphère, l'hydrosphère et la biosphère et participe ainsi grandement au réchauffement climatique ainsi, deux nouveaux tueurs entrent en scène : l'activité anthropique et le dégel du permafrost, véritable bombe à retardement climatique. Enfin, le troisième tableau, au travers non plus d'un examen géologique et d'une analyse technicoéconomique mais de considérations "philosophiques", propose à la lumière de la pensée de Teilhard de Chardin, une réflexion sur l'avenir de l'Homme et donc une autre voie de progrès pour l'Humanité.

04/2021

ActuaLitté

Ethnologie

L'esclavage, du souvenir à la mémoire. Contribution à une anthropologie de la Caraïbe

Cet ouvrage propose une étude de grande envergure, première du genre. sur la mémoire et le souvenir de l'esclavage. En analysant les débats politiques et académiques des vingt dernières années, l'auteur dégage deux approches : celle du soupçon politique (victimisation, instrumentalisation, surenchère) et celle du doute anthropologique (fragilité, absence, vide). Ayant établi ce constat, Christine Chivallon part alors à la recherche des traces du souvenir de l'esclavage, ainsi que des témoins qui les transmettent. pour comprendre la teneur des expressions mémorielles issues de l'expérience esclavagiste. L'étude de l'Insurrection du sud, qui a opposé, à la Martinique, anciens maîtres et anciens esclaves, en 1870, au moment de l'instauration de la Troisième République, forme le pivot de ce parcours. Elle permet de reconstituer une scène primordiale de violence et d'en trouver les expressions transmises au sein des descendants des insurgés, témoins d'aujourd'hui. L'approche de cet événement fondateur fournit l'occasion d'aller bien au-delà de la découverte de récits de mémoire minorés pour explorer les différentes manières de transmettre, de s'emparer ou " d'incorporer " le passé, dans un contexte (post)colonial, formé dans la double matrice de l'esclavage et de la République. Pourtant, cette recherche dépasse largement le cadre empirique de la Martinique, en établissant des connaissances sur la Caraïbe et en construisant des interprétations théoriques, autant sur les faits de mémoire que sur les expériences historiques liées aux conditions coloniales esclavagistes et à leurs devenirs.

08/2012