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Je ne porte pas mon nom

Extraits

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Romans policiers

Je ne porte pas mon nom

À quarante ans, Dan Sommerdahl est en arrêt maladie pour dépression. Pour lui remonter le moral, son ami Flemming Torp, commissaire, décide de l'associer à une enquête sur le meurtre d'une femme de ménage qui s'est déroulé dans les locaux de son entreprise. Dan, que l'on ne tarde pas à surnommer le " détective chauve ", se passionne pour l'affaire, qui dévoile les sinistres dessous de sa petite ville modèle.

04/2012

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Roman d'amour, roman sentiment

Elle porte mon nom

Les plus belles histoires sont celles qui se vivent. Tout avait commencé un mardi de septembre. La rentrée scolaire était passée et Natacha entamait sa vie de grande écolière. Elle était parmi les plus cultivés et les plus curieux des élèves. C'est donc pour cela que l'arrivée d'un autre original comme elle l'avait tout de suite interpellée. Cet original c'était Guillaume. Il avait des cheveux châtain clair avec une coupe au bol. Ses yeux noisette pétillaient de joie de vivre, comme il se doit quand on a six ans et qu'on entre à l'école élémentaire. Cependant, Natacha n'en avait que faire de ces descriptions. Elle était trop petite pour comprendre ce genre de termes. Elle ne voyait qu'un beau garçon qui faisait battre son coeur plus vite. Ce fut sa première chute vers le monde de l'amour, mais elle n'en avait aucune idée à cet instant-là. Ce fut aussi le début d'une histoire mémorable et exceptionnelle. Cette histoire.

03/2021

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Littérature française

Je porte le nom de l'assassin de mon père

Née des amours interdites de sa mère avec un soldat allemand pendant la Seconde Guerre mondiale, Germaine Le Fennec connaît une vie difficile d'enfant non désirée. C'est la fille d'un double péché, très mal venue auprès du mari de sa mère qui lui a donné son nom. Le père Le Fennec, un planqué qui a fui de l'armée pour ne pas faire la guerre, terrorise sa femme et toute sa famille, leur transmettant sa haine viscérale et son rejet de Germaine, dont la présence lui rappelle qu'il est un assassin et un déserteur, doublé d'un pédophile. Le père Le Fennec a tué, l'amant de sa femme, le père de Germaine. Il a enterré le cadavre dans la cour de sa ferme. Il tente de faire croire qu'il a été résistant alors qu'il a passé son temps à piller les fermes de toute la région. Il n'hésitait pas à torturer ses victimes, voire à les tuer pour leur soutirer leurs économies. Germaine Le Fennec ne trouve ni appui ni réconfort auprès de sa mère et encore moins auprès de sa fratrie, ses deux soeurs et son frère. A côté de Germaine Le Fennec, Cosette et Oliver Twist mènent une vie de rêve. Sa chienne de vie est un cauchemar sans fin. C'est cette histoire hallucinante, le martyre d'une petite fille née au mauvais moment, au mauvais endroit et d'une mauvaise mère, que raconte ce livre.

11/2021

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Loisirs

Mon porte-cartes - ne

Un magnifique porte-cartes en bois fait pour les petites mains ! Placer les cartes bien en éventail en pinçant le porte-cartes. Il est pratique d'utilisation, et plaira aux plus jeunes.

09/2022

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Théâtre

Mon nom est Rom

Une nuit. Toute une nuit. Juste une nuit. Une nuit que Père accorde à la famille pour respecter le rituel des règles tacites venues du fond des temps. Une nuit bien trop brève pour Fils aine à qui revient la lourde tâche de vider le ciel et d'ouvrir toutes grandes les fenêtres de l'univers. Une nuit trop courte aussi pour Fille qui n'aimerait pas que cela finisse ainsi avec Père et voudrait donc réparer ce qui peut l'être. Une nuit infiniment trop longue pour Fils benjamin et Fils cadet, sans aucun rôle immédiat à jouer, et qui ont donc tout le temps de fomenter la vengeance pour mordre l'honneur familial. Une nuit aux apparences presque sereines pour Mère et Grand-Mère qui, à force de n'avoir rien à dire, ont fini par se taire pour de bon. Une nuit étrange de rites symboliques, de silences assourdissants et d'émotion contenue...

01/2020

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Littérature française

Je ne sais pas le nom

Une succession rapide de scènes, d'impressions fulgurantes, de visions froides ou hallucinées. Le narrateur, pourtant, ne participe qu'en étranger. Enfant de l'Holocauste, il ressent sa survie comme une erreur et avec un sentiment de culpabilité qui lui confèrent un pouvoir d'extralucidité. Appartenant à une génération qui ne peut plus témoigner, et ne peut pas non plus se taire, il est réduit à son seul regard sur le monde. Voilà ce qui s'exprime tout au long de quarante-neuf textes, plus ou moins brefs, tous d'une admirable densité. Qu'il s'agisse de l'Inde, de ruines mayas, de la capture d'un éléphant sauvage, de clochards new-yorkais, d'un chien courant derrière un train, ou de scènes plus intimistes, chacun de ces moments creuse un abîme en même temps qu'il semble contenir l'imminence d'une révélation et d'un espoir. Si, dans les marges de la vie, le regard de cet étranger nous est si proche, c'est qu'il est, essentiellement, celui d'un homme d'aujourd'hui.

05/1986

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Contes et nouvelles

Les deux portes. Porte I : Par-delà le geste

A quoi pense une jeune fille qui regarde défiler les stations dans le métro parisien ? A quoi pense un homme qui attend quelqu'un dans un café ? Un enfant qui regarde le ciel ? Qu'y a-t-il derrière un geste, un regard, un sourire ? Une douleur, une réflexion, une résignation ? Méfiez-vous des histoires simples, car les histoires sont comme les gestes, interprétables de multiples manières. Chaque acte, mimique ou posture cache un univers de questions. La jeune fille ne faisait peut-être pas que regarder le défilement des stations. Le jeune homme dans le café avait peut-être une autre idée derrière la tête. Rien n'est moins sûr tant que l'esprit n'aura pas cessé de se tourmenter, tant ces histoires continuent de vivre dans nos têtes. Dans ce recueil de nouvelles, l'auteur agit en marionnettiste, guidant le lecteur, l'entourant de ses ficelles : derrière chaque histoire simple se cachent un imaginaire complexe et des chutes inattendues.

01/2023

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Livres 3 ans et +

Cornebidouille : Non Cornebidouille, pas mon doudou !

Pierre ne veut toujours pas manger sa soupe... et pour cause : il a craché la sorcière Cornebidouille toute rétrécie dedans, la dernière fois ! Condamné à vider la soupière maudite dans les toilettes, Pierre va dormir tranquille. Mais voilà qu'au beau milieu de la nuit il est réveillé par une Cornebidouille en furie, bien décidée à lui infliger la pire souffrance de sa vie : lui voler son doudou !

11/2019

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Littérature française

Sur le pas de la porte

Le Bénin, Alba en a toujours rêvé. Tout naturellement, elle décide de s'y installer quelques mois grâce à une opportunité professionnelle. Mais le rêve ne va pas se dérouler comme elle l'imaginait. Sa mission professionnelle prend du retard. Très isolée, mal dans sa peau, Alba ne comprend pas la société dans laquelle elle vit désormais. Les rencontres qu'elle fait sont toutes plus déstabilisantes les unes que les autres. Elle a des difficultés à voir clair dans le jeu de ses interlocuteurs. Mais sa soif de vivre son rêve et de découvrir son nouveau pays l'emportent. Elle accepte des propositions qui vont l'emmener vers des aventures rocambolesques dans lesquelles la manipulation et le harcèlement ne seront jamais très loin.

05/2022

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Littérature française

Sur le pas de ma porte

Au fond, tout cela n'est pas bien grave. Il faut vivre un jour après l'autre, se laisser émouvoir par un soleil qui se lève, un arbre qui soudain fleurit, un vieux et sa compagne qui se promènent en se tenant par la main, le vent du soir dans le feuillage, un gamin qui joue avec mon chien. Le monde nous réserve encore des splendeurs sans que nous ayons à nous démener. Sur le pas de ma porte, il suffit d'attendre.

03/2023

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Autres éditeurs (P à T)

Réfugié n'est pas mon nom

Un jeune garçon raconte le voyage qu'il s'apprête à faire avec sa mère. Ils vont quitter leur ville, explique-t-il, ce sera triste mais aussi un peu excitant. Ils devront dire au revoir à leurs amis et à leurs proches, et ce sera difficile. Ils devront marcher et marcher et marcher, et même s'ils verront beaucoup de choses nouvelles et intéressantes, ce sera parfois difficile aussi. Une thématique sociétale importante, traitée à hauteur d'enfant.

02/2023

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Faits de société

Maman, je ne suis pas morte

J'ai 34 ans, deux enfants, un merveilleux mari et un bon travail. Je viens d'une famille très aimante et bienveillante. J'aime jouer du piano et la photographie me passionne. Je suis "presque" madame tout le monde : je suis adoptée. J'ose enfin l'écrire. L'histoire dit que ma mère biologique, trop pauvre, m'a abandonnée. Un grand classique pour la mise en adoption et certainement la raison la plus morale et honorable de se séparer de son enfant. L'adoption, c'est aussi, factuellement, ne pas avoir d'autre choix, après avoir porté et donné la vie, que de la livrer à l'inconnu pour lui offrir une chance de survie. C'est en quelque sorte renoncer à son sang pour tromper la fatalité. Pour ma part, il en a été autrement. Un être humain, vivant ou mort, n'a pas de prix. Or la demande crée l'offre. Alors les opportunités apparaissent, les intérêts naissent, les trafics s'ébauchent. D'inestimable, la valeur d'un enfant se réévalue en devises, et j'en ai été, comme des milliers d'enfants de par le monde, une des victimes. Ce récit est mon histoire, un héritage pour mes enfants, la vérité sur notre famille mais aussi sur un des plus grands scandales liés à l'adxoption. C'est une manière de rendre justice à mes parents de sang, d'honorer l'extraordinaire courage de ma mère et la place que mon père m'a faite depuis nos retrouvailles, dans son coeur et dans sa vie. C'est aussi un hommage à mes parents de coeur, de vie, que j'aime profondément, inconditionnellement. C'est, enfin, un devoir de mémoire que je mène avec la Fondation RP-RP, Racines Perdues-Raìces Perdidas, qui représente plusieurs centaines de personnes ayant fait face à l'horreur du trafic d'êtres humains lors de leur adoption et qui cherchent encore leur famille à travers le monde. Empêchons que mon histoire, que "nos" histoires ne se reproduisent. Nunca Mas. Plus jamais ça.

11/2021

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Littérature anglo-saxonne

Je ne suis pas encore morte

Un cri de douleur. De révolte et de rage. Un uppercut. Telle une somnambule, une jeune femme sort d'un immeuble. Elle monte dans sa voiture, prend la direction du commissariat. Kidnappée, violée, menacée de mort, Lacy vient d'échapper à son bourreau. Qui n'est autre que son ex-compagnon, un homme violent, et manipulateur dont l'emprise, comme un étau, s'est peu à peu refermée sur sa vie. A travers un kaléidoscope de souvenirs, d'impressions et de réflexions, Lacy M. Johnson nous raconte son histoire. Refusant la position de victime, elle pulvérise tous les stéréotypes dans ces pages d'une humanité vibrante. Témoignage porté par une poésie brute et une énergie hors du commun, récit d'une reconstruction impossible : ce livre est nécessaire et d'une actualité brûlante. " Une réflexion sur la mémoire, l'amour et sur la manière dont les griffes du traumatisme marquent la chair et l'âme. " Elle.

04/2022

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Manga

Shino ne sait pas dire son nom

Une one-shot plein de sensibilité sur l'acceptation de soi ! Aujourd'hui est un grand jour pour Shino : elle entre au lycée ! Timide et renfermée, c'est l'occasion rêvée de prendre un nouveau départ et de se faire enfin des amis. Mais ce qu'elle redoutait arrive... Au moment de se présenter, elle bute sur son propre nom. Incapable de le prononcer, elle devient la risée de la classe ! Shino est atteinte d'un trouble de la parole. Complexée depuis l'enfance par ce handicap, elle préfère se tenir à l'écart plutôt que d'affronter le jugement des autres. Pourtant, le vent tourne quand elle rencontre Kayo. Avec courage et maladresse, les deux adolescentes vont se lancer dans projet artistique aussi original que libérateur ! Shuzo Oshimi, auteur intimiste des Fleurs du mal et des Liens du sang, nous livre une nouvelle facette de son talent. Atteint à l'adolescence du même trouble de la parole que son héroïne, il dépeint ses émotions avec une délicatesse unique.

03/2020

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Romans, témoignages & Co

La Porte du non-retour

Royaume ashanti, 1860. Kofi vit et rêve au bord de la rivière. Son frère aîné l'avertit cependant de ne jamais s'y attarder après le coucher du soleil. Tu ne connais pas tous les secrets de la rivière. De quoi veux-tu parler ? demande Kofi. Des bêtes. Une nuit, le monde du jeune garçon bascule. Son destin se fond alors dans l'histoire collective de ceux qui, arrachés à leur terre, à leur famille, à leur culture, sont jetés en esclavage.

08/2023

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Littérature française

La Porte du non-retour

Au milieu du XVIIIe siècle, de Bordeaux aux îles d'Amérique en passant par les côtes africaines, un jeune homme découvre l'horreur de la traite négrière. Saint-Domingue, Martinique, Guadeloupe : les plantations ont un besoin sans cesse renouvelé d'esclaves africains pour couper la canne à sucre et travailler dans les sucreries et les champs de tabac. François Dumoulin s'initie avec passion au négoce sucrier au cours de son adolescence. Peu à peu, il s'introduit, à Bordeaux puis à Nantes, dans l'intimité des grandes familles patriciennes réputées impénétrables. Amours compliquées, expéditions maritimes au long cours entre l'Europe, l'Afrique et les Antilles vont jalonner le parcours de François, qui, bientôt, prend conscience de cet odieux trafic d'humains... A l'heure des commémorations de l'abolition de l'esclavage, Michel Peyramaure apporte, avec l'immense talent du romancier et l'érudition précise de l'historien, un éclairage indispensable aux rouages de ce négoce. Un grand roman qui réveille les consciences.

08/2008

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Littérature française

Ce que porte mon dos

Née dans un foyer miné par l'alcool depuis plusieurs générations, Sandra Meunier a connu très tôt la violence et les privations, à la maison comme dans sa famille d'accueil. Les épreuves n'ont cessé de jalonner son enfance et son adolescence, faisant chaque fois vaciller un peu plus sa fragile confiance. Mais toujours la jeune femme a su rester courageuse et digne, gardant secrètement l'espoir de conjurer un jour, enfin, le mauvais sort... Comment réussir à grandir sans repères ni protection ? Comment se construire quand tout est contre nous ? Sandra Meunier témoigne sans détour et délivre, dans ce récit poignant, un formidable message d'espoir à ceux qui, de près ou de loin, connaissent les mêmes tourments.

05/2015

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Littérature française

La mort ne porte pas de talons aiguilles

De la plume révoltée d'un écrivain maudit jaillissent parfois des pensées qui éclaboussent brutalement la bien-pensance ambiante. Tout y est remis en question : la société, la vie, l'amour, l'Etat, la famille... Le plus souvent d'un humour macabre, caustique et malvenu, frisant allégrement l'indécence, les réflexions de Gabriel Noncris choqueront, scandaliseront, mais ne devraient pas laisser indifférent. Chaque aphorisme de ce recueil est un taon qui pique perfidement pour réveiller celui qui dort d'un sommeil conformiste et chaque piqûre vient lui rappeler ce que le sommeil nous fait oublier : notre liberté. La Mort ne porte pas de talons aiguilles, car elle est sauvage, libertaire et sans tabous, c'est pourquoi il est parfois bon de la regarder dans les yeux et de discuter avec elle...

06/2021

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Littérature française

Ne pars pas avant moi

Qu'est-ce qui décide de notre destin ? Pourquoi les choses arrivent-elles ? Quelle est la part de la volonté, du hasard et de la fatalité dans l'accomplissement d'une vie ? Dans ce roman autobiographique, Jean-Marie Rouart s'interroge sur le mystère de la destinée et tente d'en comprendre les rouages secrets. Il met son coeur à nu et avoue ses faiblesses : une adolescence à l'horizon bouché, un bac inlassablement raté, l'amour pour une jeune fille qui ne cesse de le tromper, la médiocrité dans une chambre de bonne à échafauder des rêves au-dessus de ses moyens. Par quel sortilège conjurer le mauvais sort ? Comment passer de la pauvreté parmi les pêcheurs de Noirmoutier à la fréquentation des heureux du monde, de l'humiliation des livres refusés à l'Académie française ? L'amour, sa cruauté et ses ivresses ponctuent un récit alerte et piquant dans lequel alternent romantisme et humour.

08/2014

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Policiers

Ne pars pas sans moi

Bristol, par un beau dimanche d'automne. Rachel et Ben, son petit garçon de 8 ans, se promènent en forêt. Débordant d'énergie, Ben demande à sa mère l'autorisation de courir quelques mètres devant. Rachel accepte sans se méfier. Au bout du chemin, l'angoisse la saisit : Ben a disparu. La police fait des recherches, mais en vain. L'affaire s'emballe et les médias s'en mêlent. Le rôle d'une mère n'est-il pas de protéger son enfant ? Rongée par le doute, assaillie par la violence de ceux qui la croient coupable, Rachel ne sais plus quoi faire. Attendre que les forces de l'ordre lui ramènent son fils ou suivre son instinct de mère et partir d'elle-même à sa recherche ?

06/2017

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Romans, témoignages & Co

Ne pars pas sans moi

Bea et son frère Ezra ont toujours été là l'un pour l'autre. Même dans les moments les plus dificiles où le mot famille semblait vidé de tout sens. Mais un matin, Bea n'est plus là. Elle est partie sans un mot, sans laisser de lettre, juste une adresse mail cachée à l'intention d'Ez...

06/2023

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Albin michel

Porte-moi !

Will est têtu : qu'il pleuve ou qu'il vente, il finit toujours par se faire porter. Après tout, pourquoi s'embêter à marcher ? Sa maman, elle, commence à se sentir très fatiguée. Tellement fatiguée, qu'elle irait bien se reposer dans sa poussette ! Un album drôle et tendre, à partager en famille !

02/2024

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Mystique

Judas, mon ami. Toi qui porte Judas sur tes épaules, porte-moi, moi aussi

L'auteur prend parti très clairement pour une vision d'un Dieu miséricordieux , nul n'échappe au pouvoir de cette miséricorde, même Judas. Lui comme chacun est reconnu comme " ami de Dieu ".

04/2024

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Littérature française

L'histoire qui ne dit pas son nom

Moi c'est Linda. Avant que ma vie ne décide de tourner à l'absurde elle se résumait à deux choses : le boulot et ma jument et je dois dire que ça me convenait plutôt bien. Et puis c'est arrivé, et puis lui aussi a débarqué, et tout ce qui avait du sens a cessé d'en avoir.

05/2014

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BD tout public

Dans les cartons de Où le regard ne porte pas...

La réalisation des deux albums d' Où le regard ne porte pas... connut sa part de doutes, de remises en question, d'atermoiements. Elle s'étira sur plusieurs années durant lesquelles les auteurs accumulèrent des documents restés " dans les cartons ". Voici enfin réunis des dizaines de planches totalement inédites, le story-board de la version originale du tome 2, les premières recherches des personnages, les projets de couvertures, ainsi qu'un passionnant témoignage des auteurs autour de cette aventure éditoriale. Un véritable making of qui permet de mieux comprendre le mécanisme complexe et subtil de la création.

11/2009

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Littérature française

Mon Port de Beyrouth. C'est une malédiction, ton pauvre pays !

Les silos détruits, tout devenait possible, rien n'empêcherait plus Beyrouth de sombrer dans les ténèbres. J'ai ressorti une carte de la ville. Elle est dépliée par terre depuis des semaines. Je mesure les distances. L'appartement de mes parents est à 825 mètres des silos du port. La maison de ma grand-mère, rue Pasteur, à 650 mètres. Sahar, elle, était sur le quai. Elle a filmé la dernière scène.

04/2021

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Littérature française

Non, le diable ne reviendra pas sur ses pas

"... Trop de violences. Oui trop de violences au début même de ma vie de petite fille. Violences, violences, violences sans même que je m'en rende compte. Sans même que ceux qui m'entourent ne s'en rendent compte, tellement habitués à la violence ! Je me demande pourquoi et comment on peut s'habituer à la violence. Est-ce le fait de la sentir présente chaque seconde, tous les jours, qui la rend supportable, invisible même ? Est-ce la répétition de la violence qui anesthésie la souffrance ? Est-ce le fait d'un lieu, d'un pays ? Bah, ces drames se passent dans toutes les sociétés, dans le monde entier. ... Alors je ressens l'immense envie de dire, de crier aussi, ce que l'on m'a appris insidieusement à TAIRE... " Chantal S.

02/2020

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Histoire internationale

Non Nou. Le livre des noms de familles martiniquaises

Avant 1848, près de 60% des Martiniquais n'avaient pas de nom de famille. Un prénom, un surnom et un matricule (à partir de 1839) étaient leur seule identité. Difficile dans ces conditions de fonder une famille, une lignée... Ce "privilège" fut pendant 213 ans celui d'une petite minorité de Blancs puis d'"hommes de couleur" libres. Seuls ces derniers étaient inscrits sur les registres d'état civil, dans les catégories naissances, mariages et décès. Eux seuls avaient le statut d'Homme. En l'an 1848, année de l'abolition de l'esclavage, des officiers d'état civil, parfois anciens maîtres, mandatés par la commission dirigée par Victor Schoelcher, nommèrent les quelque 68 000 "sans-nom" de la Martinique. Ce sont ces noms de famille (le plus souvent des matronymes) que la plupart d'entre nous portons aujourd'hui. Ce sont nos noms de famille. Durant trois ans, des dizaines de Martiniquais et de Guadeloupéens de tous âges ont passé leurs journées et leurs nuits à photocopier et à recopier les "registres d'actes d'invidualité" sur lesquels avaient été notés les prénoms et matricules de femmes, d'hommes et d'enfants nominés après l'abolition de 1848. Ces militants de la mémoire, membres du CM98, sont allés à la rencontre de dizaines de milliers d'aïeux dont nous n'avions pas trace de vie. A la loupe, ils ont déchiffré les lettres des prénoms et les chiffres des matricules de ceux qui étaient nés "marchandises". Ils ont rencontré nos parents, vos parents ! Parce qu'ils ne méritaient pas l'oubli, parce que la meilleure sépulture des disparus est le coeur de leurs descendants, voici les prénoms et matricules de vos aïeux, de ceux que nous avons pu retrouver. Voici donc le livre des Noms qui ranime le souvenir de ceux dont l'oubli était le destin.

05/2012

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Littérature française

Le Nom de mon père

Un roman historique puissant sur le déracinement et la reconstruction par l'amour après la guerre du Liban dans les années 1980. Bassam Al Jallil a 19 ans en juillet 2006, lorsqu'éclatent les bombardements au Liban. Pour le jeune homme et les siens, le temps se fige, la mort s'abat partout. Six ans plus tard, Camille voyage en Italie avec une amie. A Naples, elle rencontre Bassam et est aussi fascinée par lui qu'il l'est par elle. C'est là, loin de ses terres d'origine, que le jeune homme essaie tant bien que mal de survivre au traumatisme qui l'a frappé. Sa rencontre avec Camille bouleverse son fragile quotidien, organisé entre les services à la pizzeria Giulia et les appels vidéo avec sa tante, Rabab, et ses cousins, Assem et Hicham, tous trois restés au Liban. Dès que Camille rentre en France, ils continuent de se découvrir à distance, jusqu'à ce que Bassam change de comportement : en arrêt de travail à la suite d'une blessure et invité au Liban pour le mariage de son cousin, le jeune homme appréhende de renouer avec les traumatismes de son passé et a soudain bien trop de temps libre pour fuir ses pensées. Lorsque Camille revient à Naples pour le voir, les deux jeunes gens remuent le passé douloureux, pour tenter de se construire ensemble. Seize ans après le conflit isréalo-libanais de 2006, l'autrice rend un hommage puissant à ses origines, au courage et à la résilience du peuple libanais.

06/2022

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Autres collections (9 à 12 ans

Je ne suis pas le doudou de mon papa

"Quand j'étais encore petit, la nuit, j'aimais débarquer dans la chambre de mes parents. Même quand il n'y avait pas d'orage. Même quand je n'avais ni cauchemar, ni soif, ni fait pipi au lit. C'était il y a longtemps. Avant. Avant la première nuit".

11/2023