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Cette maladresse maternelle me fait t'aimer davantage. Lettres à sa mère

Extraits

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Correspondance

Cette maladresse maternelle me fait t'aimer davantage. Lettres à sa mère

"Je n'ai que ma plume et ma mère", écrit Baudelaire à son tuteur le 5 mars 1852. Les rapports de Baudelaire à sa condition d'homme et de créateur sont intimement liés à ceux, étranges et passionnels, qu'il entretint toute sa vie avec sa mère. Cette relation étroite est également due à sa condition financière : accumulant les dettes, toujours en manque d'argent, il se plaint en permanence. D'ailleurs, il ne parle pour ainsi dire jamais de poésie ou d'art avec elle. Tout y est affaire de choses matérielles et de soucis intimes. Ce qui donne à ces lettres attachantes la vision d'un Baudelaire se débattant en permanence avec les problèmes du quotidien. Mais par-delà cette apparente trivialité, les formules assassines sur l'humanité et l'ennui qui toujours assaille le poète, se révèle aussi une relation terrible et ambigüe. On y découvre un génie littéraire implorer sa mère de le reconnaître et de l'aimer, alors qu'elle est persuadée qu'il gâche son existence. Cette obsession de gagner l'amour de cette femme adorée et haïe à la fois rend cette correspondance troublante particulièrement singulière.

03/2021

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Littérature française (poches)

Lettres à sa mère

Tout écrivain, tout grand homme a entretenu des relations épistolaires avec sa famille. Mais Saint-Exupéry était lié à la sienne par une affection et une tendresse de chaque instant. La maison et le parc de l'enfance, des êtres chers trop tôt disparus, une mère hors du commun, ouverte à toutes les formes de l'art et de l'esprit, ayant surmonté tout au long de sa vie tant de chagrin et de difficultés, tout a contribué à rapprocher Antoine de Saint-Exupéry de celle à qui il écrivait en 1930 : " Dites-vous bien que de toutes les tendresses la vôtre est la plus précieuse et que l'on revient dans vos bras aux minutes lourdes. Et que l'on a besoin de vous, comme un petit enfant, souvent. Et que vous êtes un grand réservoir de paix et que votre image rassure... ".

09/2006

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Littérature française

J'aurais dû l'aimer davantage

Diana, au crépuscule de sa vie, exprime une dernière volonté à son fils Jean ; enquêter sur l'enfance de son défunt mari, Joseph, abandonné à la naissance dans les années 1930, en pays nantais. Diana, seule, connaît le secret qui se cache derrière cette mission. Jean hésite, mais doit continuer à jouer le rôle du bon fils. Il se lance avec appréhension dans une enquête à l'issue improbable, découvrant la destinée d'un pupille de l'état, ses souffrances, l'injustice réservée à ces enfants, une existence toute entière à rechercher l'illusoire mirage de l'amour maternel. Pour adoucir sa solitude, sa tristesse et ses pleurs, Joseph développe une passion pour les mots. A petit pas, Jean découvre un père qui ne lui avait pas tout dit. De remords en regrets, il ne peut qu'éprouver la culpabilité de ne pas avoir su l'aimer davantage.

02/2019

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Critique littéraire

Cette lettre au Père Noël

Cette lettre, sept fois recommencée témoigne de la persistance du beau et du sacré dans la magie de Noël. Dans la mémoire collective, cette nuit de Noël demeure celle de la naissance d'un tout petit enfant dans la fragilité et le mystère de la vie, cet enfant que nous avons été, que nous sommes restés, et qu'inévitablement, nous redeviendrons dans le crépuscule de nos jours.

12/2019

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Romans de terroir

Une mère à aimer

Abandonnée à l'âge de 3 ans, Jeanne vit depuis lors à l'orphelinat Notre-Dame, à Rodez. Jeune fille jolie et intelligente qui rêve d'être brodeuse, elle est placée en 1905 en apprentissage à Millau, se fait renvoyer par sa patronne et se retrouve bonne sur un domaine isolé du Lévezou. La voilà fille-mère à 18 ans. Va-t-elle reproduire son propre destin et devoir abandonner elle-aussi sa fille ?

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Midi-Pyrénées

Une mère à aimer

Abandonnée à l'âge de trois ans, Jeanne a passé toute son enfance et sa jeunesse à l'orphelinat Notre-Dame, à Rodez. Elle ne sait rien de ses origines. Cette jeune fille aurait été assez intelligente pour poursuivre ses études, mais elle ne rêve que d'une chose, devenir couturière ou brodeuse. Découvrir enfin la vraie vie, elle qui n'a connu qu'une atmosphère confinée, auprès des religieuses de l'orphelinat. En 1905, à l'âge de dix-sept ans, elle est acceptée comme apprentie aux Nouveautés Parisiennes, à Millau, le magasin le plus chic de la ville. Elle y apprend son métier, pour lequel elle est plutôt douée, mais renvoyée injustement par sa patronne, on la place cette fois-ci comme bonne sur un domaine agricole du Lévézou, un plateau isolé et froid de l'Aveyron... Jeanne va connaître bien des péripéties avant de trouver enfin chaleur et soutien auprès d'un jeune couple de notables d'Espalion, chez qui elle travaille comme nourrice. Car entre-temps, elle a donné naissance à une petite Angèle. Devenue mère à son tour, son bonheur serait complet si elle retrouvait la trace de celle qui lui a donné le jour et parvenait enfin à éclaircir le secret de ses origines... Une mère à aimer est un très beau roman sur le destin des femmes au début du xxe siècle. On y découvre la difficile condition des filles-mères, celle des orphelines soumises à leurs employeurs, souvent pour le pire. De Rodez à Espalion, en passant par Millau et le Lévézou, on arpente des paysages aveyronnais contrastés et des milieux très variés, que l'auteur décrit avec toujours autant de bonheur, pour le plaisir de ses lecteurs.

05/2023

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Littérature française

Ma mère, cette inconnue

"Netka, il y a du slave dans ce nom qui sonne clair. Elle a cinquante pour cent de sang polonais dans ses veines. Il me faudra beaucoup de temps pour identifier la Pologne, chercher la trace du père inconnu, éclaircir les mystères, imaginer l'enfant-valise, la petite fille abandonnée. Elle est, elle était ma mère", Philippe Labro.

03/2017

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Psychologie, psychanalyse

Ma mère, cette manipulatrice

On ne choisit pas sa famille, mais on peut se retrouver face à un compagnon ou une compagne avec un comportement bizarre c'est-à-dire un comportement anormal. Autoritaire, méchant, destructeur avec laquelle ou lequel vous ne pouvez pas vous défendre. Toujours prêt à se venger, il ou elle peut faire de votre vie un enfer. Des mots et rien que des mots peuvent vous faire sombrer dans la dépression. Cela s'intitule du harcèlement moral. Beaucoup de gens sont affectés de troubles mentaux. C'est très difficile de s'en séparer. Les thérapeutes sont devenus indispensables pour les victimes., car c'est difficile de se reconstruire soi-même.

01/2021

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Policiers

Lettre à ma mère

Ma chère maman, Voilà trois ans et demi environ que tu es morte à l'âge de quatre-vingt-onze ans et c'est seulement maintenant que, peut-être, je commence à te connaître. J'ai vécu mon enfance et mon adolescence dans la même maison que toi, avec toi, et quand je t'ai quittée pour gagner Paris, vers l'âge de dix-neuf ans, tu restais encore pour moi une étrangère. D'ailleurs, je ne t'ai jamais appelée maman mais je t'appelais mère, comme je n'appelais pas mon père papa. Pourquoi ? D'où est venu cet usage ? Je l'ignore.

09/2009

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Littérature française

Lettre à ma mère

Lettre à ma mère c'est l'histoire de l'auteur, l'histoire de la relation d'une petite fille et de sa mère. Les événements commencent dans les années 1980 et se poursuivent jusqu'à nos jours. Tout commence par le divorce de ses parents, les violences de son grand-père, le décès de son grand frère, le rejet de sa mère... et se poursuit par la rencontre de l'homme qui a changé sa vie et l'a aidé à tirer un trait sur son passé.

04/2015

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Théâtre

Fais que les étoiles me considèrent davantage

"ZAN : à chaque bref instant commence l'être / autour de chaque ici roule la sphère de là-bas / le milieu est partout / le chemin de l'éternité est sourd / les jours nous spolient et se dérobent / nous sommes les jouets du temps"

11/2018

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Littérature française

Lettre d’une mère à sa mère

A la mort accidentelle de son père, tout est mis en oeuvre pour priver une mère de famille de ses droits et de tout ce qui lui est cher, briser son couple et l'isoler jusqu'au confinement pendant lequel elle pose sur le papier toute la souffrance passée qui l'a conduite à ne plus aimer sa mère et à tout quitter, exception faite de l'amour du cercle familial intime au prix d'un combat risqué. La mère de famille argumente et moralise sa mère au profit d'un fils aîné pervers adulé par ses deux parents. Elle repense à son père, à son humilité face aux humiliations, ses lourdes erreurs et son repentir sincère. Elle pense à poursuivre ses rêves, encore poursuivie par légion d'impressions négatives oppressantes.

11/2021

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Histoire de France

Lettre à la mère

Lettre à la mère, est une lettre qu'Edith Bruck écrit à sa mère assassinée à Auschwitz. C'est pour elle, le moyen d'évoquer son père et surtout de s'adresser à sa mère pour lui dire à la fois son amour sans limites mais aussi sa rage, fruit d'une éducation, ressentie comme oppressante, que cette mère a voulu lui donner. Une manière de s'affranchir pour pouvoir grandir, en disant tout, sans concession. Certains passages relatifs à la féminité et la maternité sont caractéristiques de l'écriture des femmes survivantes des camps. Ils ne sont pas sans rappeler "la lettre" de Marceline Loridan-Ivens à son père, Et tu n'es pas revenu, où, comme Edith Bruck elle évoque le choix douloureux de ne pas avoir d'enfants après Auschwitz. Cette Lettre à la mère d'Edith Bruck est d'une grande densité, une tentative de vivre et non pas de survivre après Auschwitz : De quoi aurais-je voulu te parler ? Je ne le savais pas. Et je ne le sais toujours pas, je n'ai rien programmé, ni le contenu, ni la fin, ni rien, j'avance à l'aveuglette, je te dis n'importe quoi pour te tenir en haleine jusqu'à la fin, qui viendra toute seule. Alors, je te laisserai aller, je te laisserai reposer en paix, et je serai moi aussi en paix avec toi et toi avec moi. La figure de Primo Levi, l'ami et le confident, est présente dans Lettre à la mère comme dans toute l'oeuvre d'Edith Bruck. Elle rend hommage au grand écrivain dont le suicide l'a laissé désemparée à tout jamais.

04/2018

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Littérature française

Cent lettres à aimer Maltesa

Sentant que ma vie foutait le camp et m'échappait, je me suis mis à mettre sur du papier mes pensées. Croyant à la thérapie de l'écriture, je me suis mis à me regarder, je me suis mis à regarder l'autre. Je me suis photographier devant un miroir et j'ai essayé de la photographié encore de plus prés. Pourquoi ? Pour voir clair ! Pour être sûr de regardé par la bonne lucarne. Pour être sûr de moi ou pour être sûr de vraiment me trompé. Comprendre, je voulais comprendre ! Pourquoi soudainement le ciel me tombe dessus ? Et j'étais là à disséquer mes moindres gestes, et ses petites phrases. Tout y est passé : des désirs, des contra-dictions, des affabulations, des tempêtes de colère, des bons et de mauvais souvenirs, souvent des pleurs cachés. Et parfois je n'arrivais pas à faire la distinction du vrai et du faux. De sorte, quand je me retrouvais devant une page blanche je souffrais le calvaire, pour elle et pour moi. Si bien que je n'ai pas toujours su contrôler mes attitudes. Au-jourd'hui, encore, flotte en moi plein de points d'interrogations. La vérité absolue n'existe pas, mais est-ce dérangeant ? D'ailleurs ce manuscrit aurait pu s'appeler : Cent lettres à aimer Maltesa ou Des pensées anachroniques. Les histoires de couples deviennent souvent des hémorragies in-ternes.

12/2017

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Correspondance

Lettres à sa mère. (1906-1918)

Jeune bourgeois parisien, Jean Cocteau fréquente les milieux intellectuels et artistes non loin des heureux du monde. Chez lui, déjà, la correspondance est un art de vivre. A sa mère, il confie ses peines, ses enthousiasmes, parle de ses projets. Ses lettres de jeunesse sont traversées par la Grande Guerre, dont il se fait le chroniqueur inattendu, insolent, insolite, donnant à ce spectacle horrible des tonalités légères, drolatiques, voire féeriques.

11/2023

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Littérature française

Lettre à ma grand-mère

" J'ai été élevé par mes grands-parents maternels. Soixante ans plus tard, j'ai appris totalement par hasard que ma grand-mère avait laissé un journal racontant ses quinze mois de déportation à Ravensbrück, Matricule 38971. En lisant ce manuscrit, j'ai compris que ce n'était pas un journal, mais des souvenirs de déportation. J'ai choisi de raconter ma rencontre avec le récit de Marie Pfister. J'ai laissé mes souvenirs se juxtaposer aux siens jusqu'à lui écrire des choses que je n'avais encore jamais dites. L'émotion de la lire par-dessus les années est, elle, inexprimable. " A travers un texte rédigé par sa grand-mère et longtemps disparu, un homme déjà mûr découvre un passé familial enfoui. Lettre à ma grand-mère est à la fois l'histoire d'un secret de famille, le récit d'une enfance dans l'après-guerre qui s'éclaire a posteriori, et le parcours d'une résistante " ordinaire ". Où comment les convictions se transmettent et les hommes se forgent à partir de l'histoire de leurs parents, même lorsqu'elle est cachée.

02/2008

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Littérature française

Lettre ouverte à ma mère

Depuis mon premier cri, j'ai craint pour toi comme tu craignais pour moi. Depuis mes premières larmes, j'ai craint de te perdre comme tu craignais de me perdre. Durant ce tête-à-tête de neuf mois, nous nous promîmes de ne jamais nous séparer. Durant ce tête-à-tête de neuf mois, nous nous fîmes la promesse de ne jamais sectionner ce lien, ce cordon, vital au-delà de ma mise au monde. Ni avec toi, ni sans toi ! Ce que rien ni personne n'avait réussi jusqu'alors, une monstruosité microscopique y parvint le 29 mars 2020, t'arrachant à moi au forceps, dans cette petite chambre d'un EHPAD où tu étais adorée des soignants, choyée par tous. L'Amour des tiens n'aura pas suffi à te retenir. Tu es partie doucement, sans souffrir, d'épuisement, durant ton sommeil, de celui du juste, me laissant seul au monde, en errance. Condamné à vivre ! Condamné à la peine capitale, car vivre sans toi est une mise à mort annoncée et programmée ! Du Mal d'Amour au Mal de Mère, je vomis cette existence qui m'a exposé à la perte de l'Etre qui m'est le plus cher : Toi !

09/2020

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Littérature française

Ma mère, cette Maltaise de Tunisie

Chaque jour, je vais voir ma mère au cimetière du Montparnasse. Je veux rendre vie à cette femme née à Tunis dans une famille de cochers de la Tunisie française de l'entre-deux-guerres. Je me dois de raconter son parcours qui est celui de mes origines. Très jeune, elle est mariée à son cousin germain, un homme autoritaire, artisan-charron de son métier, à qui elle donne quatre enfants. Epouse soumise et mère dévouée, elle consacre son temps et ses forces à sa famille, dans un esprit de sacrifice propre à sa foi. Sicilienne par son père, Maltaise par sa mère, sujet britannique par mariage, elle décide, à l'indépendance tunisienne, contre la volonté de son mari très attaché à la Tunisie, de s'installer en France où l'avenir social de ses enfants est assuré. Elle acquiert la nationalité française. Cette diversité culturelle a-t-elle rendu heureuse ma mère, ou, au contraire, lui aurait-elle fait subir des drames indicibles ? Quels secrets de famille sont à la source de cette existence tourmentée ? Je rends hommage à cette authentique Méditerranéenne qui a été la matrice de ma vie et de mon écriture.

10/2020

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Littérature française

Cette mère, mon enfer

Enfant de la DASS, mon adoption se résumera à une descente aux enfers. Mon père meurt. Victime de maltraitance par la mère, et d'autres agressions au sein de la famille, la justice me placera dans différents établissements. Sombrant dans une profonde dépression, les fugues s'enchaîneront et seront lourdes de conséquences. Meurtrie et écorchée vive, commence alors pour moi un long combat de vie aussi éprouvant que dramatique…

06/2018

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Couple, famille

Lettre à une mère

René Frydman a aidé des milliers de femmes à devenir mères. Il sait leur force, la lumière qu'elles portent et les inquiétudes qui les traversent. Il n'est pas rassasié de ce mystère-là. Dans une lettre intime et pudique, faite de sentiments et de souvenirs mêlés, il raconte l'émotion d'un homme devant la maternité. Personne n'avait encore parlé ainsi, avec un regard aussi fort et tendre, de cet incomparable voyage à deux. Dans ce texte rare, à lire et à offrir, chacun retrouvera l'écho de son histoire.

05/2005

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Multi-matières

Ma journée à la maternelle graphisme couleurs lettres chiffres

Le livre-ardoise effaçable Ma journée à la maternelle est un support pratique et ludique pour apprendre aux enfants à réaliser leurs premiers chiffres et graphismes et reconnaitre leurs premières couleurs de façon progressive. A travers une histoire contant la première journée à la maternelle, ce livre-ardoise initie votre enfant à aux chiffres, graphismes et couleurs de façon ludique et efficace dès 3 ans. Grâce à : Une méthode simple et progressive ; Une histoire à laquelle l'enfant peut s'identifier ; Des illustrations très colorées et des personnages tendres et attachants ; Un repérage visuel rapide grâce aux onglets indiquant les notions abordées ; Des onglets faciles à manipuler pour de petites mains ; L'enfant s'approprie le livre-ardoise et progresse dans l'apprentissage de notions importantes en maternelle, tout en s'amusant ! Pour mémoriser les différents gestes graphiques, l'enfant suit la méthode : j'écris, j'efface, j'apprends sur une zone d'écriture large : J'écris : je m'entraine à tracer suivant les pointillés, puis tout seul J'efface : je n'ai pas peur de me tromper, je peux recommencer autant de fois que je le veux J'apprends : je sais tracer mes premiers chiffres et mes premières lettres ! Inclus dans cet ouvrage : le feutre effaçable 2 couleurs !

01/2023

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Coloriage, gommettes et autoco

Gom maternelle les lettres

Une pochette grand format remplie de gommettes de toutes les formes et de toutes les couleurs : Plus de 200 lettres colorées en gommettes, pour écrire à ses amis, pour préparer une invitation, pour faire un petit mot d'amour à ses parents ... Place à l'imagination !

10/2022

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Littérature française

Avantage à Puce

Traité élémentaire de physiologie : d'après les leçons pratiques de démonstrations, précédé d'une introduction technique à l'usage des élèves / par J. -V. Laborde,... Date de l'édition originale : 1892 Sujet de l'ouvrage : Physiologie humaine -- Ouvrages de référence Contient une table des matièresAvec mode texte Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

01/1954

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Littérature érotique et sentim

T'aimer quand même

Jeune homme séduisant, entrepreneur brillant et riche, Tancredi a tout pour être heureux. Tout, sauf l'essentiel : depuis un drame survenu des années auparavant, il est incapable d'aimer et brûle sa vie dans des aventures sans lendemain. Jusqu'au jour où, au hasard d'une petite église de Rome, il découvre Sofia, une jeune pianiste qui y donne un concert. Subjugué par sa grâce, il sent son coeur battre à nouveau. Toutes ses certitudes volent en éclats : et s'il pouvait encore aimer, malgré tout ? Mais la jeune femme est prisonnière d'une promesse. Elle a juré de s'occuper pour toujours de son mari devenu paraplégique après un accident dont elle se sent responsable. Tancredi et Sofia, ces deux âmes à la dérive qui ont renoncé au bonheur, font face à un choix qui marquera forcément leur destin...

05/2019

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SHOAH,PERSECUTIONS ANTISEMITES

Ma grand-mère, cette jeune polonaise morte à Auschwitz

Dans ce livre, Dominique retrace la mémoire de sa mère, Louise, qui a toujours vécu en pensant avoir été abandonnée par sa mère biologique. Elle découvre que celle-ci était une jeune juive polonaise, déportée à Auschwitz en août 1942. Louise Lewkowitz, rebaptisée Liliane Demeuter, a été recueillie par un couple qui la protégera des nazis. Mais, à 12 ans, fini la clandestinité. L'adolescente doit reprendre sa véritable identité avec pour seule explication " ta mère ne viendra jamais te chercher ". Liliane se sent alors comme une étrangère. Mieux vaut ne pas poser de questions. Liliane répète pourtant souvent à sa propre fille : " tu te rends compte, elle m'a abandonnée. Je mourrai sans savoir à quoi elle ressemblait ". Dominique entame alors des recherches. Des documents attestent bien que Louise a été reconnue par sa mère biologique. Toutes deux ont des dossiers à l'Office des étrangers, aujourd'hui consultables. A 68 ans, " Liliane " y découvre une photo, un visage tant attendu. La sexagénaire visite alors la Pologne, les camps de concentration, arrête même ses antidépresseurs pourtant prescrits à vie... Les médias relateront son histoire touchante et bouleversante.

01/2023

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Littérature française

Alesia. Lettre ouverte à ma mère

«La littérature, le plus souvent, c'est comme les livres d'histoire. On n'y parle que des puissants, des premiers rôles, des extraordinaires... Moi, j'aime les livres qui regardent les humbles. J'aime Alesia parce qu'Alesia est la mère universelle des petits... Alesia, c'est Mère Courage, sans la mise en scène, sans la rhétorique... Son fils Jean-Paul la couve des yeux... Y a-t-il un plus beau livre que celui où l'on retrouve sa propre mère, où l'on se découvre un frère ?» (Armel Job).

09/2014

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Correspondance

Tant que durera la guerre - Lettres à sa mère pendant la gue. Lettres à sa mère pendant la guerre de Sécession

En 1862, Walt Whitman part à la recherche de son frère, porté disparu sur les champs de bataille de la guerre de Sécession. Il découvre la situation épouvantable des hôpitaux militaires et refuse de rester indifférent. Poète engagé, humaniste, Whitman va mettre ses idéaux en application. Il décide de se consacrer aux blessés, d'accompagner les mourants, plaçant sa vie entre parenthèses durant trois ans. Quels que soient leur camp ou leur couleur, il apporte amitié, écoute et réconfort à ceux qui en ont besoin. Le soir, il écrit : des carnets pour se libérer, des articles pour témoigner, des lettres à sa mère pour s'épancher. Ces trois sources se complètent pour faire de "Tant que durera la guerre" un document intime, littéraire et historique unique.

09/2023

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Casterman

Cette maman qui t'aime infiniment

Sur notre planète, il y a plein de mamans, des mamans qui font du yoga, des mamans allergiques aux cacahuètes, des mamans qui jouent de la trompette, des mamans chanteuses d'opéra, et peut-être même quelques mamans parfaites... Et parmi toutes ces mamans, il y en a une, une qui t'aime infiniment.

05/2021

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Critique

La grand-mère, cette femme éternelle

"Qu'on l'appelle Maman Doudou, Mbombo, Née ou Gran'man, qu'elle soit d'ici ou d'ailleurs, toute grand-mère est exceptionnelle pour chacune et pour chacun de nous. Elle demeure à jamais dans nos coeurs et dans nos mémoires ainsi que vous le verrez dans cet ouvrage. Elle est le lien qui nous rattache au passé et nous donne les clés pour affronter l'avenir. Au moment de faire face à une difficulté, c'est sa force qui nous habite. Quand nous sommes blessés, c'est sa philosophie qui nous permet de rester dignes. Quand nous devons choisir un chemin, c'est sa sagesse qui nous guide et nous permet de nous relever lorsque nous tombons. Merci, Grand-mère, femme verticale. C'est grâce à toi que nous avons pu gravir la montagne" . Rose-Marie Taupin Pélican

06/2021

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Littérature étrangère

La vie de merde de mon père, la vie de merde de ma mère et ma jeunesse de merde à moi

Andreas Altmann a passé son enfance à Altötting, un haut lieu de pèlerinage catholique en Bavière. Toutefois, dans le récit de sa vie, il n'est pas question de grâce ni de miracles, mais de violence et de terreur : un père psychiquement détruit par la Seconde Guerre mondiale frappe son fils jusqu'à lui faire perdre connaissance ; une mère trop faible pour protéger ses enfants sombre dans la dépression ; un fils bouc émissaire cherche des stratagèmes pour ne pas succomber. Une histoire (vraie) peuplée de prêtres fanatiques et pédophiles, d'anciens nazis sans remords, de femmes humiliées ou complices. L'ironie et la colère sont les deux armes de cet écrivain allemand qui refuse le statut de victime et montre la voie de la reconquête d'une vie libre et digne.

05/2019