Recherche

rue Valois concessionnaire

Extraits

ActuaLitté

Policiers

Cabine 288, rue Brigal

L' histoire tourne autour de la cabine téléphonique 288, rue Brigal, à Bruxelles, prête à être démantelée par Belgacom. Elle revêt une importance capitale pour l'héroïne du roman, Jacotte Tripatin, pour de multiples raisons. C'est l'histoire d'un cadavre découvert dans la cabine, d'un enlèvement, d'une bande de mafieux russes et d'une ferme avec ses deux habitants, la fermière Iris et son fils, Bébert. Jacotte et Jef, deux seniors retraités, s'ennuient et se voient propulsés dans une enquête pas comme les autres, tout en ne perdant pas de vue leur projet " cabine " à valeur socio-culturelle et l'avenir de Bébert, fort compromis par les circonstances.

03/2019

ActuaLitté

Littérature française

3 Bis, rue Riquet

3 bis, rue Riquet, Toulouse, un immeuble banal. Enfin pas tout à fait : Cécile, au rez-de-chaussée, traductrice agoraphobe, ne quitte jamais son appartement. Elle surveille les allées et venues de ses voisins par le judas de sa porte et s'invente des vies rocambolesques. Au premier, Lucie aime sortir et boire dans les bars en espérant le grand amour, via Internet. En face, Madeleine, la comtesse Mado des trottoirs, a connu ses heures de gloire dans le quartier. L'âge venu, il ne lui reste plus guère de clients et les fins de mois sont difficiles. Seul homme de l'immeuble, Marc est un quadragénaire arriviste qui a spéculé en achetant le dernier étage. La présence d'une prostituée qui travaille à domicile dérange ses plans, il aimerait bien s'en débarrasser. Mais la comtesse Mado a du répondant, et la crudité de son langage cloue le bec du jeune cadre sans scrupule. Pourtant, la vieillesse est cruelle, et le métier exige d'avoir les idées claires. Alors Mado bat le rappel de ses amies tapineuses et de ses voisines. C'est le combat de la dernière chance, elle le gagnera !

04/2018

ActuaLitté

BD tout public

La rue Cases-Nègres

A la rue Cases-Nègres, à Petit-Morne, bourg de Rivière Salée, José et ses amis vivent dans l'insouciance tandis que leurs parents, de pauvres gens, triment dans les plantations de canne à sucre pour gagner leur vie. C'est dans ce contexte que commence La Rue Cases- Nègres, ce grand classique de la littérature antillaise. A travers le récit de sa propre enfance, Joseph Zobel y décrit la Martinique des années 1930, en peignant avec la mémoire du coeur et des blessures, la vaillance, la dureté et la tendresse des descendants d'esclaves, acharnés à bâtir pour leurs enfants un pays plus libre et plus généreux.

03/2018

ActuaLitté

Littérature française

Côté chaire, côté rue

En sortant des sentiers battus de l'histoire des grands réformateurs, ce livre présente l'impact de la Réforme sur la vie quotidienne genevoise. Si la protestation de Martin Luther (1483-1536) contre les indulgences par ses 95 thèses en octobre 1517 n'a en effet pas eu de véritables répercussions sur Genève avant le début des années 1530, les idées luthériennes ont engendré une agitation religieuse qui n'est pas le fait de l'action individuelle d'un réformateur, mais qui émane d'une mobilisation collective. A travers vingt-deux courts chapitres assortis d'illustrations et de documents d'archive retranscrits et modernisés, on comprend comment les Genevoises et les Genevois se sont impliqués dans le processus de Réforme et la manière dont la conversion religieuse de la ville a affecté leur quotidien. Les archives se font l'écho de l'activisme, des résistances ou de l'adaptation des hommes, des femmes, comme des enfants et témoignent des changements qu'impose la pratique du nouveau culte, qui ont parfois donné lieu à des représentations mythifiées. L'ouvrage couvre l'ensemble du XVIe siècle, jusqu'aux premières commémorations de la Réforme qui interviennent en 1617.

06/2018

ActuaLitté

Lecture 6-9 ans

Rue des petits singes

Intriguée par les propos de sa mamie qui jure avoir vu un singe se promener dans sa rue, Lucie passe quelques jours chez elle. Que de mystères ! Maminou a un voisin qui se dit le roi des voleurs. Il y a aussi le perroquet Gaston, une vraie concierge et... un petit sapajou, Babiole ! Lucie fait-elle face à un singe fugueur ou à la victime de redoutables trafiquants d'animaux exotiques ?Intriguée par les propos de sa mamie qui jure avoir vu un singe se promener dans sa rue, Lucie passe quelques jours chez elle. Que de mystères ! Maminou a un voisin qui se dit le roi des voleurs. Il y a aussi le perroquet Gaston, une vraie concierge et... un petit sapajou, Babiole ! Lucie fait-elle face à un singe fugueur ou à la victime de redoutables trafiquants d'animaux exotiques ?

05/2018

ActuaLitté

Policiers

Rue du Dragon-Couché

Professeur de théâtre en crise devenu détective privé cherche à s'innocenter après s'être mis dans de beaux draps. Que faire à Taipei quand on adore le roman policier, la philosophie et le Kung-fu sinon s'installer Rue du Dragon couché, au coeur du quartier des pompes funèbres, et y devenir détective privé ? C'est ainsi que Wu-cheng, dramaturge raté qui en veut à tout le monde après que son couple s'est désagrégé, décide de tout envoyer valser : il quitte son poste à l'université, déménage et devient détective privé par amour des intrigues. Très vite, il reçoit la visite d'une certaine Mme Lin, inquiète que sa fille ne parle plus à son père. Une histoire a priori anodine mais qui, une fois réglée, lui redonne des ailes : le voilà convaincu de pouvoir traquer le premier serial killer de Taïwan, un bouddhiste fou. Passionné, il se donne corps et âme dans l'enquête, se déplaçant sur les scènes de crime... jusqu'à éveiller les soupçons de la police. RDV étranges, caméras de surveillance et ragots divers, tout l'incrimine. Une seule solution : débusquer ce meurtrier qui semble très bien le connaître...

01/2019

ActuaLitté

Littérature française

Rue de la gare

"Puis, un jour, apparurent sur des motos des soldats gris qui firent pleurer ma mère. L'un d'eux s'arrêta près de nous, ôta son gant et nous indiqua, avec les doigts de la main, le nombre de "Kinder" qu'il avait laissés dans son pays. Il fit alors vrombir son moteur et s'éloigna en lançant : "Malheur, la guerre ! " Des larmes qui coulaient, des expressions comme "Boches", "Prussiens", "conflagration", lâchées dans la consternation générale, surtout par mon grand-père, atteignaient peu, je dois dire, le petit bonhomme de huit ans à peine que j'étais". Dans les années trente et quarante, Michel n'est qu'un gamin de la Somme essayant de comprendre le monde des grandes personnes. Avec un regard naïf, ou faussement naïf, il raconte ses bonheurs de "gosse des rues" que ses parents, commerçants, préfèrent ne pas avoir dans leurs jambes, sa terreur d'assister aux combats pour la libération du village, la joie indicible de voir surgir dans la rue des tanks anglais, ou encore ses émois d'adolescent lorsque les filles - ce mystère - viendront poser leurs jupes sur les bancs du même collège. Au cinéma "Eden" on découvre la vie, mais dans la rue de la gare, avec les copains, on "fait son cinéma" à partir des petites scènes de la vraie vie.

01/2019

ActuaLitté

Littérature française

Rue du Chemin Vert

En lisant ce nouveau récit de Michel-Olivier Dury, le lecteur, comme avec son premier ouvrage La vie comme ça, retrouvera une part de lui-même par les émotions que l'auteur a su distiller tout au long du livre. Le héros qui est "je" , en entrant en pension, va découvrir l'amitié fraternelle à travers deux autres pensionnaires, tout aussi émouvants que contradictoires l'un et l'autre. Il va faire l'apprentissage de la vie, tant à travers le plaisir de l'étude que de la transgression, jusqu'à découvrir l'amour. Véritable initiation pour ce jeune garçon qui vivra des moments inouïs et qui le marqueront à jamais. Un vrai plaisir de lecture grâce au style de l'auteur tout en musicalité qui peut tous nous émouvoir. Enfin, oui il faut le dire, la fin est bouleversante car elle porte tout le livre en elle.

12/2018

ActuaLitté

Littérature française

36, rue des ivrognes

Arthur, ingénieur, la cinquantaine avancée, se découvre soudain une passion pour la peinture. Celle-ci va s'avérer si forte qu'elle va l'amener à quitter son travail confortable pour se consacrer entièrement à elle. Il installe son atelier à Sète où il commence à avoir un certain succès, avec l'aide d'Evelyne, ancienne peintre, qui va l'aider à progresser dans son art pour atteindre un niveau international. Malheureusement un accident va stopper cette ascension. Evelyne décide alors de continuer l'oeuvre d'Arthur pour la faire perdurer. C'est sans compter sur des forces obscures qui se mettent en travers de sa route, et qui vont utiliser sa notoriété à des fins géostratégiques qui vont très vite la dépasser. Ce roman est l'occasion d'une réflexion amusée sur l'art, et sur son utilisation politico-médiatique. L'artiste est-il vraiment libre et désintéressé, telle est la question sous-jacente, au-delà d'une intrigue bien menée ?

10/2017

ActuaLitté

Romans historiques

Rue Freta. Varsovie 1920

11 novembre 1918. L'Europe célèbre la fin de la guerre. A Varsovie, le général Pilsudski proclame l'indépendance de la Pologne. Jack Tarnowski, journaliste américain d'origine polonaise, ancien combattant de l'escadrille Lafayette, part à la découverte du pays. 123 années après les partages, la Pologne est à reconstruire : à l'intérieur du pays, les divisions sont profondes et sur les frontières, les voisins, Russie bolchevique et Allemagne révolutionnaire, contestent l'existence même du pays. Au cours de ses reportages, Jack va découvrir que la guerre n'est pas terminée en Europe. Il va rencontrer le général Pilsudski, et son premier ministre, découvrir la force et la détermination des Polonais à vivre libres, croiser les soldats perdus combattant dans les corps francs en Courlande, et les hommes de la Tchéka, la terrible police politique des nouveaux maîtres de Moscou. Il deviendra l'ami d'un patriote polonais et rencontrera l'amour. Il combattra aux côtés de ses nouveaux amis pour que la Pologne puisse exister. Et devra choisir dans quel pays construire sa vie, en Pologne ou aux Etats Unis.

05/2016

ActuaLitté

Actualité et médias

Quatrième étage, rue Réaumur

Après le verdict implacable que le principal avait rendu en présence de ses parents, Ronan Gauvain augurait avec pessimisme de l'avenir. Son renvoi du collège n'allait-il pas le poursuivre un fichu bout de temps ? Naturellement, Ronan était encore trop jeune pour connaître au mieux tous les ressorts existentiels qui accompagnent la vie d'un homme. De surcroît, comme tout être au monde, personne ne lui avait remis les clefs de son destin. Les mois qui suivirent sa mise à la porte du collège avec perte et fracas, seront en vérité l'opportunité pour Ronan de découvrir un espace féminin enchanteur, édénique ; un lieu qui, durant près de deux années, ne cessera de le fasciner. Aussi, Ronan y fera l'apprentissage d'un libertinage tout à fait inattendu.

06/2015

ActuaLitté

Littérature française

Rue d'la Dé

"Enfin te voilà ! " Sur le seuil de la maison familiale, ma mère, qui ne l'est pas encore, peut enfin hurler sa colère intégrale : "Dix mois, dix mois que je suis seule, que j'attends chaque jour de tes nouvelles". "Vergongne per té ! (Honte à toi ! )" Comme un anthropologue, je tente de percer le mystère des vestiges de mon enfance et de ma propre histoire. Je fouille dans la crypte des mémoires pour retrouver mon passé dissimulé dans les souvenirs recomposés de mes proches. Comment survivre au sordide ? Que peut-on opposer à la solitude et à la honte, à l'abandon et à la misère ? Ma mère travestissait la réalité pour la rendre acceptable à ses yeux, ou alors aux nôtres. Je ne l'ai jamais bien su... La rue de la Défense à Issy-les-Moulineaux, malgré tous ses défauts, suffisait à résumer ce qu'on entend par "vie de quartier" .

04/2021

ActuaLitté

Critique

Rue de la Justice

"Rue de la Justice" , telle fut la dernière adresse d'une de mes arrière-grands-mères, laveuse sur un bateau-lavoir dans une petite ville des bords de Loire. Née en 1863, elle avait un peu plus de vingt ans à la mort de Victor Hugo et toute sa vie conserva sur sa cheminée une gravure des obsèques nationales du poète. Symbole de la confiance des gens d'en bas en la toute jeune république, dont ils attendent justice, progrès, instruction. Revenant sur ma terre d'origine, l'Anjou, j'ai donc tenté de retracer le cadre de leur vie, d'évoquer leur difficile existence de travail, le poids de l'Eglise et des châteaux, leur foi dans le progrès scientifique et technique. Mais aussi de faire entendre, les soutenant, les accompagnant, les voix de Victor Hugo, de Louise Michel, et celles des républicains et républicaines d'une province qui l'était si peu. Avec en fond de décor, un paysage, le bocage de la "Vendée angevine" , la vallée de la Loire, la rumeur et les colères du grand fleuve. Cette confiance en la république pourrait-elle renaître aujourd'hui ? En 2018, il m'a semblé entendre chez les Gilets jaunes quelque chose des très anciennes revendications dont étaient porteurs mes ancêtres, journaliers agricoles, vignerons, artisans, tous ceux que Gracchus Babeuf nommait "les impropriétaires" . Egalité, justice, reconnaissance. Faisant retour vers ce petit peuple disparu avec ses modestes et farouches espoirs, attentive à sa leçon, émue par son courage quotidien, je me disais : ce passé-là a de l'avenir. D. S.

ActuaLitté

Autres collections (6 à 9 ans)

Une rue merveilleusement imparfaite

Quand Alice découvre l'invitation de son meilleur ami Arthur dans son cartable, elle saute de joie ! Cependant, l'heureuse nouvelle est de courte durée et Alice hésite. Il est vrai que l'on entend des choses très étranges au sujet de la rue Toute-tordue... Une histoire pleine de couleurs et de douceur, qui met en avant la peur de la différence, et invite à la tolérance.

09/2022

ActuaLitté

Policiers

Rue Crébillon sous Terre

Un navire fantôme accosté quai de la Fosse, des groupuscules et des personnages troubles qui s'agitent dans l'ombre, sa compagne Elisabeth qui a disparu... Nantes n'a jamais paru si inquiétante à Mériadec L'Hostis, journaliste atypique. Alors que les ombres du passé resurgissent, le héros de Rue du Port au Vin tente de démêler des intrigues qui le mèneront jusqu'aux sous-sols et aux plus profonds secrets de la cité des Ducs de Bretagne. Un thriller haletant et inquiétant.

05/2013

ActuaLitté

Littérature française

Rue des petites écuries

Deux femmes vivent leur vie sentimentale à deux époques différentes. Eva d'abord, la jeune Autrichienne réfugiée en France, rencontrera un bel inconnu pendant la 2nde guerre mondiale, une histoire qui ne restera pas sans suite, une fois arrivée à Paris. L'autre femme est la narratrice qui vit aujourd'hui dans une quête permanente de relations amoureuses qui n'existent que dans son imagination. Amours ou illusions d'amour, la rue des Petites Ecuries sert de décor à ces liens qui se font et se défont au gré du temps qui passe. Et si les histoires d'amour finissent mal en général ... celles de l'auteure n'ont peut-être jamais vraiment commencé !

10/2020

ActuaLitté

Thèmes photo

Une rue Les enfants

Des voyages à travers le monde. Ici le temps ne compte pas. Peu importe l'origine, les enfants sont rois. C'est à travers des rues étroites, des immeubles dévastées ou des terrains vagues faisant office de rues, des enfants qui jouent, qui vivent ou qui travaillent que le photographe nous balade.

04/2023

ActuaLitté

Poésie

Rue des Blancs-Manteaux

Alger-Paris-Alger, tel pourrait être le titre de ce recueil, tant sont présentes ces deux capitales dans la poésie de Mohamed Touati. Il débarque à Paris à 22 ans et tombe aussitôt sous le charme du quartier du Marais. Erato et Euterpe l’attendent au coin de la rue des Blancs-Manteaux. Elles ne le lâcheront plus... La majesté du Tassili illumine sa plume et lui inspire des vers à la fulgurance saharienne. L’amour, mais aussi les tragédies algériennes, guident une écriture passionnée, reflet de ses joies et de ses tristesses.

04/2021

ActuaLitté

Littérature française

32 rue Paul Bert

Durant la Seconde Guerre mondiale, Edmond et sa famille vivent l'occupation allemande à Saint-Etienne dans un immeuble situé au 32 de la rue Paul Bert. Malgré les privations de toutes sortes, les alertes, les bombardements, le couvre-feu, la délation..., dans leur cour les enfants jouent et parviennent à être heureux. Au travers du regard d'un enfant de sept ans, ce livre scrupuleusement autobiographique relate, parfois avec humour, la dure réalité de cette époque. Loin d'être triste, il peut être un message d'espoir destiné à la jeunesse.

03/2021

ActuaLitté

Critique littéraire

5, rue Sébastien Bottin

"J'avais le désir de faire de la NRF un centre, un lieu, plutôt qu'une maison de commerce, et ce commerce, je n'en faisais que pour arriver à créer ce lieu", écrivait Gaston Gallimard. Deux familiers du lieu nous convient à une singulière visite guidée du siège historique des Editions Gallimard, situé au 5, rue Sébastien-Bottin depuis 1930. De la cave des archives au salon du comité de lecture, à l'entour comme en ses jardins et terrasses, tout bruit à cette adresse des souvenirs, murmures et rencontres d'un siècle d'édition - passé et présent s'entremêlant avec subtilité dans les dessins de Georges Lemoine et le texte de Roger Grenier.

06/2011

ActuaLitté

Littérature française

Rue de la gaité

Rue de la gaité, ce jour-là, en fin d'après-midi... une femme en chemise de nuit s'écroule sur la chaussée. Rien qu'un banal fait-divers. Derrière la chute du corps se dérobe l'effondrement secret de toute une existence. Toute sa vie le personnage a craint de choir et de déchoir, de ne pas sauver ce qu'elle prenait pour une richesse, l'apparence. Dès lors enroulement et déroulement de la trame espace-temps recoupe l'enchaînement des faits, anecdotiques ou plus conséquents qui tissent l'histoire de la famille à laquelle appartient la dame de la rue de la Gaité et donnent du sens aux raisons, à priori non visibles, de s'affaisser dans de telles circonstances. L'ensemble des événements, détails, relevés dans leurs contextes historiques, culturels, sociétaux, personnels, concentrent et consolident le tissu particulier et les ressorts psychologiques de ce récit qui n'a d'autre ambition que de prouver que rien ne commence à partir de chacun mais tient beaucoup à une mémoire profonde, irréfutable, ineffaçable : la mémoire ancestrale. Elle se transmet. Elle façonne le besoin de chacun de retenir quelque chose de ce qu'on lui lègue, et à contrario de chercher ailleurs, de se créer ou de s'inventer un héritage fabuleux, bref, de se fabriquer son roman. On s'émancipe des conformismes, on se libère de quelques principes moraux, on s'échappe par la pensée et l'action des geôles du quotidien.

11/2013

ActuaLitté

Littérature française

Rue Monsieur-le-Prince

Hiver 1986. Dans toutes les villes de France, les étudiants se révoltent contre le projet Devaquet sur la réforme des universités. Dans le Sud, puis à Paris, Hervé prend part aux manifestations, persuadé d'être au coeur de l'Histoire en marche. Mais dans la nuit du 5 au 6 décembre, derrière la porte du 20, rue Monsieur-le-Prince, Malik Oussekine meurt sous les coups de la police après une course-poursuite. Le mouvement étudiant se termine dans la sidération. Trente ans plus tard, Hervé revient sur ce moment dont les échos l'obsèdent. Il restitue l'émotion d'un élan collectif, réinvente l'indicible, cherche à percevoir l'invisible derrière le fait divers. Le récit, porté par une écriture minutieuse et fluide, circule entre 1986 et aujourd'hui, entre faits et fiction, certitudes et doutes. Un roman inquiet, fiévreux, d'une grande humanité.

03/2017

ActuaLitté

Littérature française

Rue des quarante euros

"Rue des quarante euros" est un roman social, inspiré de personnages et de situations réels, une tragi-comédie dont les héroïnes sont deux prostituées, Isabelle et Valérie, louant leurs charmes dans un quartier de Saint-Pierre de La Réunion. Au fil d'une intrigue truculente et non conformiste, l'auteur dénonce l'hypocrisie de la société, les lois démagogiques, les excès moralistes issus du machisme ou de la religion.

05/2021

ActuaLitté

Romance et érotique LGBT

La bibliothèque de rue

Elliott Thompson était un historien de renommée, jusqu'à ce qu'un scandale lui fasse perdre son emploi, sa dignité et son compagnon. Se réfugiant dans sa ville natale de Californie, où il donne des cours en ligne, Elliott accumule obsessivement des livres tout en se questionnant sur son avenir. Simon Odisho a lui aussi perdu son emploi ; une balle dans le genou lui a valu sa carrière dans les forces de l'ordre. Alors qu'il se rétablit doucement, il se met en quête d'un nouveau métier tout en cherchant le courage de faire son coming out à sa famille. Pour tenter d'organiser son immense collection de livres, Elliott construit une bibliothèque de rue sur sa pelouse. Une initiative qui lui permet de rencontrer le charmant Simon. Mais Elliott refuse de vivre dans le mensonge et pourrait bien renoncer à cet amour naissant pour une perspective de carrière plus florissante. Si les livres ont beaucoup à lui apprendre sur l'histoire passée, ils ne contiennent pas un mot sur un avenir incertain avec Simon.

05/2021

ActuaLitté

Littérature française

Rue du rendez-vous

Porté par une narration complice et une magie douce, Rue du Rendez-Vous est une merveilleuse invitation au dialogue et au rapprochement entre les êtres. Rien ne prédestinait Alice Beausoleil et Marcel Dambre à se rencontrer. Pour que le vieil homme ouvre sa porte à la jeune femme trempée, il aura fallu une grève des transports, un GPS capricieux et un terrible orage. De leur tête-à-tête inattendu va naître ce qui ressemble à une seconde chance. Un nouveau rendez-vous avec l'existence, peu importe le temps qui reste... Marcel, quatre-vingt-sept ans, vit rue du Rendez-Vous, reclus dans son atelier de bottier menacé par les bulldozers. Vendeuse en boulangerie, Alice offre son sourire à tous ceux qu'elle croise. En réalité, depuis deux ans, trois mois et quatre jours, en proie à une profonde tristesse, elle s'empêche de vivre. A mesure que la pluie et les heures s'écoulent, le passé resurgit. Sous l'impulsion de la jeune femme qui l'écoute sans se dévoiler, Marcel raconte la guerre, sa carrière et son amour fou pour sa mère. Et s'il trouvait à son tour la clé pour délivrer Alice de son silence ?

05/2021

ActuaLitté

Littérature française

Rue de l'Ourcq

Le récit d'une enfance malmenée en banlieue ouvrière dans les années 60 en parallèle avec la mort de la mère du personnage principal dans les années 2000. Jean-Pierre Largillière, ancien professeur de lettres et de théâtre a déjà écrit plusieurs recueils de poèmes : Il faut que quelque chose craque, Couleurs de Bretagne et Baiser rouge en collaboration avec Joëlle Bobbio. Travaille actuellement sur un projet retraçant le parcours de son arrière grand-père flamand arrivé en France dans les années 1860.

05/2021

ActuaLitté

Policiers

Rue du Chat Crevé

Les puces ? Vous connaissez, n'est-ce pas ? Biron Vernaison, Paul Bert n'ont plus de secrets pour vous ? Tandis que, coincé entre un buffet Henri II et une ceinture de chasteté du XIIe siècle, Nino et ses copains cherchent eux aussi le mouton à cinq pattes, le nerf de la guerre, l'objet rare : l'argent. Mais la mort, elle aussi, rôde dans Saint-Ouen. Du côté de la rue du Chat Crevé.

01/1983

ActuaLitté

Littérature française

La rue de Blanche

L'histoire de Blanche est un conte moderne. Celui du monde d'une enfant qui se limite à une rue habitée par une mosaïque de personnages que l'auteure étale comme autant de sentiments que le ferait un peintre avec une palette de couleurs. La description subtile et délicate des femmes de vie dont elle ne précise jamais leur vraie fonction, mais l'évoque tout en subtilité. On pénètre en douceur dans le monde de Blanche qui est à la fois tout en délicatesse et violent. Le monde dur et ingrat de "La rue de Blanche" vu à travers le filtre édulcoré d'une enfant rêveuse. La vie la rattrapera plus tard et la confrontera à la face de la réalité.

01/2022

ActuaLitté

Littérature Allemande

Rue à sens unique

Reviens ! Tout est pardonné!

01/2023

ActuaLitté

Récits de voyage

Kaboul, rue des Fleurs

C'est par désoeuvrement qu'Anne Amzallag est partie pour Kaboul en 2004 munie de sa caméra. Cette destination était arbitraire (si ce n'était le fruit du pur hasard). Elle est reçue par Warren, un Anglais qu'elle découvre en même temps que la ville. Il est à Kaboul pour une mission de reconstruction. Anne va rencontrer un grand nombre de militaires et de civiles qui pour la plupart travaillent pour un programme des Nations Unis visant à désarmer les Moudjahidines et les rendre à la vie civile. Cette mission a pour nom DDR (Démobilisation, Désarmement et Réinsertion). Anne prétend être journaliste grand-reporter, et on la prendra pour telle. Son regard cependant, et sa situation même, en porte­à-faux, font qu'elle porte un regard entièrement personnel sur le monde qui l'entoure, depuis le petit peuple afghan de la rue des fleurs, jusqu'aux hauts fonctionnaires internationaux. Sa vision et le récit qu'elle rapporte de son expérience intense sont faits d'ironie, voire de dérision, mais témoignent aussi d'une véritable capacité à nouer des liens sincères. A l'issue de son séjour, un film naîtra, DDR, à propos duquel le journal Le Monde (5 juillet 2005) écrira "qu'il constitue un bon exemple de ce qui distingue le cinéma de la télévision ou du journalisme". Kaboul, rue des fleurs est un récit vif et audacieux sans équivalent dans la littérature d'aujourd'hui.

03/2018