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BD tout public

Nikopol Tome 2 : La femme piège

Le Femme Piège est le deuxième volet de la trilogie Nikopol qui débute avec La Foire aux Immortels et se termine avec Froid Equateur.

09/2005

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Policiers

Le Caire, toile de fond

La quatrième aventure du privé Makana, ex-flic soudanais exilé politique au Caire, démarre dix-huit mois après l'offensive américaine sur l'Irak de Saddam. La rue bruisse de colère, mais dans le milieu de l'art les trafics continuent. Un riche marchand, Aram Kasabian, s'intéresse à des tableaux escamotés par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Une oeuvre inestimable de l'expressionniste allemand Franz Marc aurait été volée à Bagdad par le colonel irakien Khadim al-Samari. Le bruit court qu'il l'aurait introduite clandestinement en Egypte. Kasabian charge Makana de débusquer Samari, porté sur la liste des fugitifs les plus recherchés par les Américains. Makana opère ici loin des quartiers sordides habituels, sur le territoire des escrocs à grande échelle et dans les nightclubs cossus de l'establishment cairote. Jusqu'au moment où son enquête bascule : la politique s'en mêle, et quand on dit politique, on dit corruption...

02/2018

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Policiers

La cité des chacals

Le filet d'un pêcheur sur le Nil a remonté une tête coupée. A en juger par les scarifications sur le front, c'est celle d'un Dinka de la région de Bor : un Soudanais du Sud. Encore un réfugié, pense la police cairote qui s'en désintéresse. Car ils sont plus de deux mille, entassés sur une place de Mohandessin, qui se plaignent de leurs conditions de vie. Ici, le roman rejoint l'Histoire : on est en 2005, à la veille des émeutes de décembre. Exilé soudanais mal intégré dans la société du Caire, le privé Makana se sent particulièrement concerné. Mais il doit privilégier la mission dont l'a chargé Hossam Hafiz, propriétaire du restaurant les jardins de Verdi : retrouver son fils étudiant, disparu depuis trois semaines. Le problème, c'est que d'autres jeunes manquent à l'appel...

02/2020

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Littérature étrangère

Le monde n'a pas de fin

Dans un bus qui mène du centre-ville de Karachi à la mer, trois générations se croisent et racontent leur histoire : le père magicien, l'écolier repenti, le Camarade poète Sukhanza, le caïd amoureux, le diseur de mauvaise aventure. Des fragments de vie pour voir au-delà des apparences et faire surgir des décombres de cette ville meurtrie le monde d'avant l'islamisation forcenée, d'avant les bombes. Le monde n'a pas de fin est une ode au Pakistan et à Karachi, un premier roman coup de poing qui révèle une figure de la jeune littérature pakistanaise.

12/2016

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BD tout public

Coup de sang Tome 3 : La couleur de l'air

Dans un ciel sens dessus dessous ponctué d'immenses masses nuageuses aux allures menaçantes progresse le Zeppelin sinistré Garbage et son équipage incongru : un couple de passagers de hasard embarqués à Tanger, Anders Mikkeli et Esther Roblès, deux jumelles orphelines sujettes à de mystérieuses crises de citations littéraires, leur garde du corps et le cadavre démembré du pilote de l'appareil, suspendu à ce qui reste de sa nacelle détruite. Dans les soutes, un mélange de déchets nucléaires instables et d'armes atomiques en état de marche, indice probable des visées terroristes du Garbage. Balloté au gré de la violence des vents, ses équipements verrouillés sur navigateur automatique, l'aérostat semble totalement livré à lui-même, et pourtant… Pourtant quelque chose suggère qu'il y a peut-être là un dessein, une volonté, une direction. Car au même moment, nombre des personnages croisés au fil des deux précédents volumes de la trilogie – Ana et Lester, Bacon et son dauphin hybride, Julia, Roem et Lawrence, l'ex-aumonier militaire – se sont eux aussi mis en mouvement, comme mûs par un appel secret. Leur périple annonce-t-il le stade terminal du « coup de sang » planétaire ? S'agit-il des prémisses de la troisième guerre mondiale annoncée, qui mettra ainsi un point final à la crise environnementale généralisée ? Ou d'autre chose encore, divergeant de tout ce qu'on pouvait imaginer ? Toujours magistral, tant dans la puissance et l'originalité de son récit que dans son traitement graphique et chromatique exceptionnel, Enki Bilal apporte un point final à la trilogie amorcée dans Animal'z et poursuivie dans Julia et Roem. L'un des titres les plus attendus de la fin d'année.

10/2014

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Littérature française

L'Arche des ombres. Le rêveur de la Neva

Natacha est charmante, Natacha est imprévisible. Jacob est amoureux d'elle. Mais chaque fois qu'il est avec elle, il perd la tête. A Saint-Pétersbourg, où il est venu pour la retrouver, les choses tournent mal. Jacob ne sera-t-il jamais qu'une ombre ? L'ombre de celui qu'il aurait dû devenir ? Ou l'ombre de celui qu'on veut qu'il soit ? A Saint-Pétersbourg, à Paris, en Abkhazie, Jacob recherche la clef de sa folie. D'un docteur à l'autre, parviendra-t-il à retrouver l'Arche des ombres ? Dans les années 1970, l'Etat soviétique (URSS) a recouru massivement aux "hôpitaux psychiatriques" pour confiner les dissidents, les non conformistes, les gêneurs de tous ordres, pour contrôler la société et pour fabriquer "l'homme nouveau". Une plaie qui aujourd'hui n'est pas refermée.

11/2019

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Poésie

Tu peux rêver

Je n'ai jamais mené la vie que j'ai rêvée Je n'ai jamais rêvé la vie que j'ai menée Les narcisses au jardin sont à demi fanés II faudrait que je songe à payer mes P.V.

12/2019

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Policiers

Le mensonge d'une danse

Géraldine, jeune danseuse à l'avenir plein de promesses, est retrouvée assassinée dans l'enceinte de son école. Tous les soupçons se portent sur Luc, un ami aux habitudes réservées... qui porte un lourd secret. Mais quel est-il ? La vérité a un prix, mais cela vaut-il toujours la peine de le payer ? Un nouveau mystère à résoudre pour Myriam et Moustique ! Toute vérité n'est pas bonne à dire. Yoann Belan en fait la preuve dans ce nouvel opus des aventures de son enquêtrice fétiche, déjà rencontrée dans " Une livraison mortelle " et " Un traitement de choc ". Originaire de Bretagne, Yoann Belan s'est installé depuis quelques années à Paris et n'a jamais cessé d'affectionner sa terre d'origine. Passionné de littérature, de musique et de cinéma, l'auteur y puise son inspiration.

10/2020

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Romans policiers

Les divinités

Howard Thwaite, promoteur immobilier arrogant et influent, a lancé à Battersea, face à la Tamise, la construction d'un complexe d'appartements de luxe. A l'aube, arrivé sur le site avant l'embauche des travailleurs clandestins, le gardien kurde découvre au fond d'une vaste excavation deux corps ensevelis sous un monceau de pierres. L'épouse du promoteur et un collectionneur d'art, citoyen français d'origine japonaise, sont identifiés. Le sergent Khal Drake, musulman, enquête, flanqué contre son gré d'une psychologue anglo-iranienne, Ray Crane. Ni l'un ni l'autre ne sont blancs. Crane songe à la lapidation, châtiment prévu par la charia. Drake lorgne du côté de la cité multiraciale de Freetown et de l'incendie d'une mosquée jadis synagogue. Sur fond de tensions communautaires et d'argent nouveau venu d'ailleurs, Bilal dresse le portrait cinglant d'une société anglaise divisée, aux repères traditionnels brouillés.

02/2021

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Littérature française

Madagascar dahalo. Enquête dur les bandits du Grand Sud

Madagascar, mai 2012. Dans le Grand Sud, les vols de zébus sont de plus en plus nombreux et de plus en plus violents. Des opérations musclées de maintien de l'ordre sont lancées depuis la capitale. Morts dans les deux camps, villages incendiés, victimes civiles… la confusion grandit et Remenabila, chef présumé des dahalo, demeure insaisissable. Ce livre est le récit d'un an d'enquête sur les traces des dahalo, à la rencontre des ethnies d'éleveurs d'une région immense, aride et déshéritée.

01/2014

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Fantasy

Les Fragments Réunis. 2 - Chroniques des Terres d'Eschizath

Après avoir subi une cuisante défaite au château d'Arvezende, Morgaste se replie sur les Terres d'Eschizath. Il emporte avec lui Oriana, qu'il a soignée après avoir tenté de la tuer. Peu à peu, cette fière prisonnière va le fasciner. Il s'éprend d'elle de manière inattendue, lui qui n'a jamais réussi à aimer aucune femme, excepté sa mère, Ulva dite "La Meneuse" . Oriana, horrifiée, se permet de le défier : elle le tuera comme ce chien de Gunnolf s'il s'avise de mettre la main sur elle. Sa fière attitude ne fait que renforcer son attirance, au grand désarroi d'Oriana. Comment pourrait-elle se tirer des griffes du tyran amoureux ? Trouvera-t-elle un allié à la cour du despote ?

02/2022

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Littérature Italienne

Tu vis en moi

Tout commence à six heures du matin, quand deux journalistes endormis travaillant pour la même radio échangent sans le savoir leurs téléphones portables. Francesca est une force de la nature, toujours en mouvement, toujours joyeuse : on l'appelle Wondy, de Wonder Woman. Alessandro est joueur et un peu maladroit, il se laisse embarquer par la fougue de Francesca et l'amour qui les lie bientôt. Avec elle, il apprend, jour après jour, à ressentir pleinement chaque émotion, à ne pas reculer devant les difficultés. Ensemble, ils ont à mener le plus terrible des combats : celui qui ne peut être gagné. Elle ne s'en relève pas. Mais c'est une mort qui ouvre sur la vie. Devenu messager de l'optimisme forcené de Francesca, Alessandro incarne aujourd'hui la foi et la résilience qui habitaient leur histoire.

02/2021

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Sciences politiques

L'honneur perdu de la droite

La droite est morte en 2017 parce qu'elle a fait le choix du déshonneur. Figée dans l'habitude, le calcul et la rente, elle n'est plus en capacité de se hisser à la hauteur des évènements. Mais pourquoi la droite, face à des bouleversements majeurs, a-t-elle choisi le renoncement et le cynisme ? Pourquoi refuser d'assumer, d'approfondir et de décliner son socle doctrinal ? Pourquoi quitter le champ du politique pour s'enfermer exclusivement dans celui de la communication et du spectacle ? Toutes ces questions essentielles convergent vers une interrogation centrale : pourquoi la droite a-t-elle cessé d'être le nom de quelque chose ? La droite s'est affaissée parce qu'elle a renoncé à la politique pour se diluer dans un ordre totalitaire inédit, fondé sur l'expansion illimitée du " principe marchand ". Elle s'est effacée devant une structure qui redessine intégralement les contours d'une société et porte atteinte à l'humanité de l'homme. Face au chaos qui en résulte, la droite doit redevenir politique sans céder à la tentation d'une radicalité simplificatrice. Il lui faut assumer sa vocation : préserver en toute circonstance l'équilibre fragile entre liberté et responsabilité, s'opposer à la désagrégation du lien entre communauté et individu, défendre les valeurs de civilisation capables d'associer la grandeur de l'homme et les obligations d'une nation. La droite doit renouer avec l'honneur car le temps nous est compté.

09/2019

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Fantasy

Les Fragments de Discorde. 3 - Chroniques des Terres d'Eschizath

Aux confins des Terres Brûlantes, Alceste trouvera-t-il les réponses à ses origines ? Morgaste accomplira-t-il sa quête des fragments malgré les nombreux obstacles qui se dressent ? Les trois messagers triompheront-ils de leurs adversaires sans dommage ? La fin des aventures en Terres d'Eschizath vous réserve encore beaucoup de surprises.

02/2022

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Littérature étrangère

La vie est ailleurs

L'auteur avait tout d'abord pensé intituler ce roman L'âge lyrique. L'âge lyrique, selon Kundera, c'est la jeunesse. et ce roman est avant tout une épopée de l'adolescence ; épopée ironique qui corrode tendrement les valeurs taboues : l'Enfance, la Maternité, la Révolution et même - la Poésie. En effet, Jaromil est poète. C'est sa mère qui l'a fait poète et qui l'accompagne (immatériellement), jusqu'à ses lits d'amour et (matériellement) jusqu'à son lit de mort. Personnage ridicule et touchant, horrible et d'une innocence totale (l'innocence avec son sourire sanglant " !), Jaromil est en même temps un vrai poète. Il n'est pas salaud, il est Rimbaud. Rimbaud pris au piège de la révolution communiste, pris au piège d'une farce noire.

11/2008

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Romans policiers

Un blaireau dans la ville close. Une enquête du brigadier Limier

Mario Petruccio, le voleur du "bulot céleste" et l'assassin de Fanch Kerbraz, s'est évadé sous le nez du capitaine Le Ballot et de ses subordonnés, dans ce curieux immeuble de la rue Bayard ! C'est le fruit d'une terrible négligence des policiers, et un camouflet pour le commissaire Rochard. Est-il possible de retrouver le fugitif avant que le scandale n'éclate ? Le capitaine Le Ballot et ses subordonnés n'excluent pas que Petruccio soit encore sur place, dans quelque cachette. Mais chaque heure compte, et la course patine⦠alors que Georges Limier, fâché et solidaire de sa fidèle chienne Sherlok, s'est retiré dans son moulin en haut de la rivière du Moros. Reviendra-t-il ? Oui, bien sûr. Pour mettre toute sa science du déterrage au profit d'une chasse souterraine qui les conduira au coeur de la Ville close, et bien loin en arrière pour tenter de percer le terrible secret des Argwinizh. Peut être enfin la vieille Sherlok connaîtra-t-elle la gloire !

06/2022

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Thrillers

Clowns

Clowns est un thriller, un récit de politique fiction qui s'intéresse à l'avenir de l'Europe et à la fascination/répulsion que le non conformisme suscite dans une société très réglée. C'est aussi un regard acéré sur un monde face au chaos et aux dérives des nationalismes. En Europe, une officine cible des personnalités excentriques qui nuiraient à la réalisation voulue d'une société parfaite et idéale. Ces " clowns " sont éliminés discrètement. Mais, ces personnalités, par définition imprévisibles, peuvent donner du fil à retordre à ceux qui les suppriment. L'agent Paul Krafft, fasciné par les " personnages " qu'il cible, commence à montrer des signes de confusion. D'autant plus qu'il a eu le tort de s'abandonner à l'illusion du bonheur et de tomber amoureux. Quand on devient l'un des maîtres du destin, a-t-on encore le droit de vouloir être heureux ? et de céder à la magie d'une femme ? Les bureaucrates avec qui Paul Krafft oeuvre sont, pour la plupart, des gens biens, doués d'un fort sens éthique et dévoués à la chose publique. Ils forment une petite communauté sympathique, que l'on voit s'adonner aux banales actions de la vie de bureau. Car c'est ce qui caractérise les bureaucraties modernes où l'homme n'étant qu'un rouage, plus personne n'est personnellement responsable de rien. Il n'y a plus de coupable. Et on trouve toujours le moyen de se construire les justifications qui vont assurer notre confort moral. Les conséquences de nos actions sont loin, on les voit à peine. Chacun, tout en déplorant tel ou tel aspect " du système ", y contribue de toute sa force et de toute sa peur. Voici comment l'agent Paul Krafft voit sa mission : " Allons, avouez, si de temps à autre une personne disparaissait, vous vous en ficheriez bien, n'est-ce pas ? J'entends des gens que vous ne connaissez pas, avec qui vous n'avez aucun lien. Vous n'êtes pas d'accord ? Allons donc ! Eh bien moi je vous traite d'hypocrite ! D'autant plus si cette disparition, effectuée avec un sens du tact merveilleux et tout en douceur s'accomplissait pour le bien de tous. Arrêtons de tergiverser, notre vieux continent européen porte un rêve, celui d'une société juste et harmonieuse, un rêve transparent qu'il ne tient qu'à nous de rendre réel. Quant à tous ces clowns qui produisent de la frustration, de l'anxiété, qui sont source de souffrance morale et d'infinies désillusions, tant pis pour eux. Imaginez un instant que dans les années 1920, des gens compétents aient fait ce qu'il fallait pour empêcher Hitler, ce clown sinistre, de nuire, et avec lui les quelques philosophes, artistes et idéologues qui l'ont inspiré et qui ont démultiplié la force de sa parole ! si ces quelques personnes avaient été mises à l'écart, que de désastres, que de malheurs aurions-nous pu éviter à notre cher continent européen ! L'exemple de l'Union soviétique est parlant. Des millions de personnes y ont été envoyées au goulag. Regardez comment ça se passe, les gens disparaissent en masse et la société continue de fonctionner. Au fond, la plupart des gens s'en accommodent très bien. Ensuite, la mémoire des disparus disparaît, et le tour est joué ! alors moi ce dont je vous parle, ce n'est que de quelques personnes, une petite poignée d'enquiquineurs, d'empêcheurs de tourner en rond qui sèment la discorde et le chaos et empêchent les gens d'être heureux. Allez, vous me les donnez ces quelques personnes, j'en suis sûr. Non, peut-être que vous n'allez pas le proclamer haut et fort, votre assentiment, vous n'allez pas le crier sur les toits, et d'ailleurs, je ne vous le demande pas, mais dans le fond de votre coeur, je sais que, très volontiers, vous me l'accordez. "

06/2023

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Théâtre - Pièces

L'Avant-scène théâtre N° 1497, 1er février 2021 : Jacques et son maître

Un maître exige de son valet qu'il lui conte son dépucelage dans les moindres détails, mais il ne peut s'empêcher d'y ajouter ses propres fantasmes érotiques. Histoires et anecdotes s'entremêlent, laissant les personnages-narrateurs digresser à l'infini. Jacques et son maître a été créé dans une mise en scène de Nicolas Briançon le 2 septembre 2021 au Théâtre Montparnasse avec la distribution suivante : Stéphane Hillel (Le Maître), Nicolas Briançon (Jacques), Lisa Martino (L'Aubergiste), Pierre-Alain Leleu (Saint-Ouen et le Marquis), Camille Favre-Bulle (Justine et une fille de l'auberge), Maxime Lombard (Le Père Bigre et le Mari de l'aubergiste), Philippe Beautier (Le Fils Bigre et Jean), Elena Terenteva (Agathe et la Fille), Jana Bittnerova (La Mère).

09/2021

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Poésie

Oeuvre. Tomes 1 et 2

"La seule chose que je désirais [...] profondément, avidement, c'était un regard lucide et désabusé. Je l'ai trouvé enfin dans l'art du roman. C'est pourquoi être romancier fut pour moi plus que pratiquer un "genre littéraire" parmi d'autres ; ce fut une attitude, une sagesse, une position ; une position excluant toute identification à une politique, à une religion, à une idéologie, à une morale, à une collectivité ; une non-identification consciente, opiniâtre, enragée, conçue non pas comme évasion ou passivité, mais comme résistance, défi, révolte. J'ai fini par avoir ces dialogues étranges : "Vous êtes communiste, monsieur Kundera ? Non, je suis romancier". "Vous êtes dissident ? Non, je suis romancier". "Vous êtes de gauche ou de droite ? Ni l'un ni l'autre. Je suis romancier". "Milan Kundera, Les Testaments trahis. Dans Le Rideau, Milan Kundera oppose à la "morale de l'archive" , qui justifie la publication de tout ce qu'un auteur a pu écrire, la "morale de l'essentiel" : seuls appartiennent à l'oeuvre les textes que l'auteur juge dignes d'être retenus. Le reste relève de la biographie, peut-être des marges de l'oeuvre, non de l'oeuvre elle-même. La présente édition ne propose donc pas des Oeuvres complètes, mais une Oeuvre, complète dans la mesure où l'auteur en a lui-même dessiné les contours, fixé le titre et arrêté la présentation. Au sommaire de ces deux volumes figurent un recueil de nouvelles, neuf romans, une pièce de théâtre dont le point de départ est un roman et quatre essais consacrés pour l'essentiel à l'art du roman : quinze livres où se réalise pleinement la volonté esthétique de Milan Kundera, mûre, consciente, assumée. Le texte de ces livres, souvent retouché par l'auteur à l'occasion de rééditions ou de simples réimpressions, se veut aussi définitif que possible. On chercherait en vain, dans cette édition, une biographie de Kundera. On y trouvera en revanche la biographie de son oeuvre. En quinze chapitres, un par livre, François Ricard retrace le destin de ces livres et évoque les circonstances de leur publication, de leur diffusion, de leur réception. Ces chapitres sont enrichis d'extraits de déclarations, de notes ou de préfaces dues à Milan Kundera : autant d'écrits jusqu'alors difficilement accessibles, voire inédits en français.

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Littérature française

Oeuvre. Tome 2

"La seule chose que je désirais [...] profondément, avidement, c'était un regard lucide et désabusé. Je l'ai trouvé enfin dans l'art du roman. C'est pourquoi être romancier fut pour moi plus que pratiquer un "genre littéraire" parmi d'autres ; ce fut une attitude, une sagesse, une position ; une position excluant toute identification à une politique, à une religion, à une idéologie, à une morale, à une collectivité ; une non-identification consciente, opiniâtre, enragée, conçue non pas comme évasion ou passivité, mais comme résistance, défi, révolte. J'ai fini par avoir ces dialogues étranges : "Vous êtes communiste, monsieur Kundera ? - Non, je suis romancier". "Vous êtes dissident ? - Non, je suis romancier". "Vous êtes de gauche ou de droite ? - Ni l'un ni l'autre. Je suis romancier". Milan Kundera, Les Testaments trahis. Dans Le Rideau, Milan Kundera oppose à la "morale de l'archive", qui justifie la publication de tout ce qu'un auteur a pu écrire, la "morale de l'essentiel" : seuls appartiennent à l'oeuvre les textes que l'auteur juge dignes d'être retenus. Le reste relève de la biographie, peut-être des marges de l'oeuvre, non de l'oeuvre elle-même. La présente édition ne propose donc pas des Oeuvres complètes, mais une Oeuvre, complète dans la mesure où l'auteur en a lui-même dessiné les contours, fixé le titre et arrêté la présentation. Au sommaire de ces deux volumes figurent un recueil de nouvelles, neuf romans, une pièce de théâtre dont le point de départ est un roman et quatre essais consacrés pour l'essentiel à l'art du roman : quinze livres où se réalise pleinement la volonté esthétique de Milan Kundera, mûre, consciente, assumée. Le texte de ces livres, souvent retouché par l'auteur à l'occasion de rééditions ou de simples réimpressions, se veut aussi définitif que possible. On chercherait en vain, dans cette édition, une biographie de Kundera. On y trouvera en revanche la biographie de son oeuvre. En quinze chapitres, un par livre, François Ricard retrace le destin de ces livres et évoque les circonstances de leur publication, de leur diffusion, de leur réception. Ces chapitres sont enrichis d'extraits de déclarations, de notes ou de préfaces dues à Milan Kundera : autant d'écrits jusqu'alors difficilement accessibles, voire inédits en français.

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Littérature tchèque

Oeuvres. Tome 1

"La seule chose que je désirais [... ] profondément, avidement, c'était un regard lucide et désabusé. Je l'ai trouvé enfin dans l'art du roman. C'est pourquoi être romancier fut pour moi plus que pratiquer un "genre littéraire" parmi d'autres ; ce fut une attitude, une sagesse, une position ; une position excluant toute identification à une politique, à une religion, à une idéologie, à une morale, à une collectivité ; une non-identification consciente, opiniâtre, enragée, conçue non pas comme évasion ou passivité, mais comme résistance, défi, révolte. J'ai fini par avoir ces dialogues étranges : "Vous êtes communiste, monsieur Kundera ? - Non, je suis romancier". "Vous êtes dissident ? - Non, je suis romancier". "Vous êtes de gauche ou de droite ? - Ni l'un ni l'autre. Je suis romancier". " Milan Kundera, Les Testaments trahis. Dans Le Rideau, Milan Kundera oppose à la "morale de l'archive", qui justifie la publication de tout ce qu'un auteur a pu écrire, la "morale de l'essentiel" : seuls appartiennent à l'oeuvre les textes que l'auteur juge dignes d'être retenus. Le reste relève de la biographie, peut-être des marges de l'oeuvre, non de l'oeuvre elle-même. La présente édition ne propose donc pas des Ouvres complètes, mais une Ouvre, complète dans la mesure où l'auteur en a lui-même dessiné les contours, fixé le titre et arrêté la présentation. Au sommaire de ces deux volumes figurent un recueil de nouvelles, neuf romans, une pièce de théâtre dont le point de départ est un roman et quatre essais consacrés pour l'essentiel à l'art du roman : quinze livres où se réalise pleinement la volonté esthétique de Milan Kundera, mûre, consciente, assumée. Le texte de ces livres, souvent retouché par l'auteur à l'occasion de rééditions ou de simples réimpressions, se veut aussi définitif que possible. On chercherait en vain, dans cette édition, une biographie de Kundera. On y trouvera en revanche la biographie de son oeuvre. En quinze chapitres, un par livre, François Ricard retrace le destin de ces livres et évoque les circonstances de leur publication, de leur diffusion, de leur réception. Ces chapitres sont enrichis d'extraits de déclarations, de notes ou de préfaces dues à Milan Kundera : autant d'écrits jusqu'alors difficilement accessibles, voire inédits en français.

03/2011

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Littérature française

La fête de l'insignifiance

Jeter une lumière sur les problèmes les plus sérieux et en même temps ne pas prononcer une seule phrase sérieuse, être fasciné par la réalité du monde contemporain et en même temps éviter tout réalisme, voilà La fête de l'insignifiance. Celui qui connaît les livres précédents de Kundera sait que l'envie d'incorporer dans un roman une part de «non-sérieux» n'est nullement inattendue chez lui. Dans L'Immortalité, Goethe et Hemingway se promènent ensemble pendant plusieurs chapitres, bavardent et s'amusent. Et dans La Lenteur, Véra, la femme de l'auteur, dit à son mari : «Tu m'as souvent dit vouloir écrire un jour un roman où aucun mot ne serait sérieux... je te préviens : fais attention : tes ennemis t'attendent ». Or, au lieu de faire attention, Kundera réalise enfin pleinement son vieux rêve esthétique dans ce roman qu'on peut ainsi voir comme un résumé surprenant de toute son oeuvre. Drôle de résumé. Drôle d'épilogue. Drôle de rire inspiré par notre époque qui est comique parce qu'elle a perdu tout sens de l'humour. Que peut-on encore dire ? Rien. Lisez !

10/2015

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Littérature tchèque

Oeuvres. Tome 2

« La seule chose que je désirais [.] profondément, avidement, c'était un regard lucide et désabusé. Je l'ai trouvé enfin dans l'art du roman. C'est pourquoi être romancier fut pour moi plus que pratiquer un "genre littéraire" parmi d'autres ; ce fut une attitude, une sagesse, une position ; une position excluant toute identification à une politique, à une religion, à une idéologie, à une morale, à une collectivité ; une non-identification consciente, opiniâtre, enragée, conçue non pas comme évasion ou passivité, mais comme résistance, défi, révolte. J'ai fini par avoir ces dialogues étranges : "Vous êtes communiste, monsieur Kundera ? - Non, je suis romancier." "Vous êtes dissident ? - Non, je suis romancier." "Vous êtes de gauche ou de droite ? - Ni l'un ni l'autre. Je suis romancier"». Milan Kundera, Les Testaments trahis. Dans Le Rideau, Milan Kundera oppose à la « morale de l'archive », qui justifie la publication de tout ce qu'un auteur a pu écrire, la «morale de l'essentiel» : seuls appartiennent à l'oeuvre les textes que l'auteur juge dignes d'être retenus. Le reste relève de la biographie, peut-être des marges de l'oeuvre, non de l'oeuvre elle-même. La présente édition ne propose donc pas des Oeuvres complètes, mais une Oeuvre, complète dans la mesure où l'auteur en a lui-même dessiné les contours, fixé le titre et arrêté la présentation. Au sommaire de ces deux volumes figurent un recueil de nouvelles, neuf romans, une pièce de théâtre dont le point de départ est un roman et quatre essais consacrés pour l'essentiel à l'art du roman : quinze livres où se réalise pleinement la volonté esthétique de Milan Kundera, mûre, consciente, assumée. Le texte de ces livres, souvent retouché par l'auteur à l'occasion de rééditions ou de simples réimpressions, se veut aussi définitif que possible. On chercherait en vain, dans cette édition, une biographie de Kundera. On y trouvera en revanche la biographie de son oeuvre. En quinze chapitres, un par livre, François Ricard retrace le destin de ces livres et évoque les circonstances de leur publication, de leur diffusion, de leur réception. Ces chapitres sont enrichis d'extraits de déclarations, de notes ou de préfaces dues à Milan Kundera : autant d'écrits jusqu'alors difficilement accessibles, voire inédits en français.

03/2011

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Littérature tchèque et slovaqu

Le livre du rire et de l'oubli

Tout ce livre est un roman en forme de variations. Les différentes parties se suivent comme les différentes étapes d'un voyage qui conduit à l'intérieur d'un thème, à l'intérieur d'une pensée, à l'intérieur d'une seule et unique situation dont la compréhension se perd pour moi dans l'immensité. C'est un roman sur Tamina et, à l'instant où Tamina sort de la scène, c'est un roman pour Tamina. Elle est le principal personnage et le principal auditeur et toutes les autres histoires sont une variation sur sa propre histoire et se rejoignent dans sa vie comme dans un miroir. C'est un roman sur le rire et sur l'oubli, sur l'oubli et sur Prague, sur Prague et sur les anges.

06/2009

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Littérature tchèque

Kundera, oeuvre, coffret en 2 volumes. Tome 1 et tome 2

"La seule chose que je désirais [...] profondément, avidement, c'était un regard lucide et désabusé. Je l'ai trouvé enfin dans l'art du roman. C'est pourquoi être romancier fut pour moi plus que pratiquer un "genre littéraire" parmi d'autres ; ce fut une attitude, une sagesse, une position ; une position excluant toute identification à une politique, à une religion, à une idéologie, à une morale, à une collectivité ; une non-identification consciente, opiniâtre, enragée, conçue non pas comme évasion ou passivité, mais comme résistance, défi, révolte. J'ai fini par avoir ces dialogues étranges : "Vous êtes communiste, monsieur Kundera ? Non, je suis romancier". "Vous êtes dissident ? Non, je suis romancier". "Vous êtes de gauche ou de droite ? Ni l'un ni l'autre. Je suis romancier". "Milan Kundera, Les Testaments trahis. Dans Le Rideau, Milan Kundera oppose à la "morale de l'archive" , qui justifie la publication de tout ce qu'un auteur a pu écrire, la "morale de l'essentiel" : seuls appartiennent à l'oeuvre les textes que l'auteur juge dignes d'être retenus. Le reste relève de la biographie, peut-être des marges de l'oeuvre, non de l'oeuvre elle-même. La présente édition ne propose donc pas des Oeuvres complètes, mais une Oeuvre, complète dans la mesure où l'auteur en a lui-même dessiné les contours, fixé le titre et arrêté la présentation. Au sommaire de ces deux volumes figurent un recueil de nouvelles, neuf romans, une pièce de théâtre dont le point de départ est un roman et quatre essais consacrés pour l'essentiel à l'art du roman : quinze livres où se réalise pleinement la volonté esthétique de Milan Kundera, mûre, consciente, assumée. Le texte de ces livres, souvent retouché par l'auteur à l'occasion de rééditions ou de simples réimpressions, se veut aussi définitif que possible. On chercherait en vain, dans cette édition, une biographie de Kundera. On y trouvera en revanche la biographie de son oeuvre. En quinze chapitres, un par livre, François Ricard retrace le destin de ces livres et évoque les circonstances de leur publication, de leur diffusion, de leur réception. Ces chapitres sont enrichis d'extraits de déclarations, de notes ou de préfaces dues à Milan Kundera : autant d'écrits jusqu'alors difficilement accessibles, voire inédits en français.

03/2011

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Diététiques

Les aliments de la mer. Se soigner - Rajeunir - Mieux vivre

Dans cet ouvrage, Jean-Claude Secondé aborde la mer sous tous ses aspects. Les éléments vivants, si divers, permettent de guérir, de rajeunir, de se régénérer au plan psychologique. La mer est un miracle de la nature immédiatement accessible. Elle offre ses bienfaits par son eau : c'est la thalassothérapie et ses massages, mais elle peut également être consommée dans un but thérapeutique. Son sel sert autant aux soins de la cuisine qu'à celui des affections du corps : chacun connaît ceux de l'Utah, de Guérande, de l'Himalaya ou de la mer Morte. Les algues sont également de plus en plus utilisées : fucus, spiruline, dulce, lithothamne, laitue de mer... et largement employées en nutrition comme en soins en raison de leurs exceptionnelles propriétés. Chacun sait l'excellence des éléments nutritionnels de l'huître (fer, cuivre, oméga 3, iode, DHA et EPA, sélénium, zinc, vitamine B12, magnésium...) et des poissons (cabillaud, thon, hareng, sardine, morue...). Ne pas oublier, naturellement, les crustacés, les coquillages, les huiles de poisson consommés depuis fort longtemps dans notre pays. Voici l'auteur lancé à la poursuite des nourritures de la mer et de leurs omega 3 aux exceptionnels pouvoirs anti-vieillissement, en raison de la présence du DHA (acide docosahéxaénoïque), sans compter leur impact positif sur le fonctionnement cardiaque et l'excès de cholestérol. De nombreux autres compléments alimentaires proviennent des crustacés et des cartilages de poissons comme la chondroïtine et la glucosamine, mais on trouve également le calcium, le magnésium... L'auteur en dresse la liste, précise leurs effets si bénéfiques et parvient ainsi à établir une véritable pharmacie de la mer. Chacun y trouvera, très concrètement, des moyens de vivre mieux, en meilleure santé, avec moins de douleurs et, très probablement, plus longtemps.

03/2006

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Littérature tchèque

Milan Kundera Coffret en 3 volumes : La lenteur ; L'identité ; L'ignorance

Coffret de trois volumes vendus ensemble

10/2005

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Critique

Une rencontre

I. Le geste brutal du peintre : sur Francis Bacon II. Romans, sondes existentielles III. Les listes noires ou divertimento en hommage à Anatole France IV. Le rêve de l'héritage intégral V. Beau comme une rencontre multiple VI. Ailleurs VII. Mon premier amour VIII. Oubli de Schönberg IX. La Peau : un archi-roman Milan Kundera.

03/2009

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Critique

Les testaments trahis

Au fil des neuf parties indépendantes de cet essai, les mêmes personnages reviennent et se croisent Stravinski et Kafka avec leurs curieux amis ; Janacek et Hemingway ; Rabelais et ses héritiers, les grands romanciers. L'art du roman est le héros principal du livre : l'esprit de l'humour dont il est né ; sa mystérieuse parenté avec la musique ; son histoire qui se déroule (comme celle de la musique) en trois temps ; l'esthétique du troisième temps (le roman moderne). Et la sagesse existentielle du roman. Sous son éclairage sont examinées les grandes situations de notre ère : les procès moraux intentés contre l'art du siècle ; l'indiscrétion généralisée annonçant le crépuscule de l'individualisme ; les testaments trahis (de l'Europe, de l'art, de l'art du roman, des auteurs).

07/2000

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Europe centrale et orientale

Un occident kidnappé. Ou la tragédie de l'Europe centrale

Aussitôt paru dans Le Débat, en novembre 1983, cet article, traduit dans toutes les langues européennes, a sonné comme un plaidoyer et une accusation. Plaidoyer pour la défense de l'Europe centrale (Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie), qui par sa tradition culturelle appartient tout entière et depuis toujours à l'Occident, mais que celui-ci ne voit plus qu'à travers son régime politique, ce qui n'en fait qu'une partie du bloc de l'Est. Une culture qui n'est pas l'apanage d'une élite, mais la valeur vivante autour de laquelle se regroupe le peuple. Une accusation, car la tragédie de ce foyer des "petites nations", qui se savent périssables, est en fait celle de l'Europe elle-même qui ne veut pas le voir et ne s'est même pas aperçue de leur disparition. N'est-ce pas là un des signes de sa propre disparition ? La valeur du texte ne vient pas seulement de son habileté démonstrative, mais de la voix si personnelle, véhémente, angoissée de l'auteur, Milan Kundera, qui apparaît alors comme un des plus grands écrivains européens. Le voilà remis à la disposition du lecteur d'aujourd'hui, présenté par Pierre Nora, et précédé d'un texte inconnu du public français, le discours du jeune Kundera au Congrès des écrivains tchécoslovaques de 1967, en plein Printemps de Prague, présenté par Jacques Rupnik.

11/2021