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Normandie 1944. L'infanterie, reine des batailles

Extraits

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Documentaires jeunesse

Au fil de la Seine normande

Je viens de Bourgogne, mes jolies boucles en impressionnent plus d'un, je traverse les époques sans prendre une ride, de gigantesques navires me parcourent, je me jette dans la Manche... qui suis-je ? La Seine, bien sûr ! Pars à la découverte de mon histoire, de mes habitants et des activités qui m'animent !

05/2018

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Histoire de France

La bataille du Cotentin. L'enfer des haies 6 juin - 15 août 1944

De juin à août 1944, la bataille du Cotentin est un enjeu crucial pour les Alliés : s'ancrer définitivement sur le sol français. Après deux mois d'une lutte acharnée, elle met un point final au Débarquement. Pendant deux mois, l'armée allemande impose à son adversaire une terrible guerre d'usure dans le bocage et les marais du Cotentin : chaque haie, chaque bosquet est un nid de résistance. Les villes et villages bombardés par les Alliés, notamment Saint-Lô, sont en ruine et la population en exode. Finalement, l'opération Cobra explose sous un " tapis de bombes " la ligne de front allemande. Le Débarquement est achevé.

05/2019

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Religion

La véritable histoire des évêques sous Vichy (1940-1944)

La guerre révèle une société à elle-même, en même temps qu’elle l’a fait changer : elle éclaire les mentalités, témoigne de forces d’inertie, provoque des évolutions. Ceci est vrai dans le domaine religieux comme dans celui de la politique et de l’économie. Eglises et chrétiens dans la Seconde guerre mondiale n’ont pas échappé à cette règle, que ce soit en France, en Allemagne, en Belgique ou en Hollande. Quelles furent leur vie et leur attitude durant cette période ? Que saisirent-ils de la «montée» des périls et de la «marche» vers la guerre ? Quelle fut la capacité des évêques et des chrétiens à déchiffrer les signes des temps ? C’est à partir de ces questions que Christian Terras (directeur de la revue Golias) a mené l’enquête sur l’attitude des hiérarchies catholique française sous l’Occupation. Pourquoi cette place particulière accordée aux évêques . Parce que dans les Eglises où le principe d’autorité est encore puissant, la composition de l’épiscopat, ses tendances principales, l’état de ses organisations sont des données importantes pour comprendre comment s’est joué le «destin» du christianisme durant la guerre.

04/2010

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Déportation

Paroles et images des enfants d'Izieu (1943-1944)

A travers des documents d'archives (photos, lettres, dessins...) et de nombreux témoignages, ce livre retrace en en images l'histoire des enfants réfugiés à la Maison d'Izieu jusqu'au drame de leur déportation, le 6 avril 1944 " cher papa, je viens de recevoir ta carte qui ma fait un grand plaisir et le colis. Je suis bien arrivé à Izieu il fait très beau ici a Izieu et ici c'est joli " Georges Halpern, 7 ans En mai 1943, avec une quinzaine d'autres enfants juifs, le petit Georgy s'installe à la villa Anne-Marie, une grande bâtisse située sur les contreforts du Jura, dans l'Ain, commune d'Izieu. Grâce à l'action de l'Ouvre de Secours aux enfants et en particulier de l'une de ses membres, Sabine Zlatin, qui en prend la direction, la maison va offrir en ces temps de guerre un refuge temporaire à 105 jeunes âgés de 3 à 17 ans, originaires de toute l'Europe, pour quelques semaines ou mois : c'est la " colonie des enfants réfugiés de l'Hérault ". Un an plus tard, le 6 avril 1944, sur ordre de Klaus Barbie, la Gestapo de Lyon rafle la maison : 44 enfants et 7 adultes sont arrêtés et déportés. Seule l'une des encadrantes reviendra d'Auschwitz. Derrière eux, les pensionnaires d'Izieu ont laissé des dessins, cahiers d'écolier, lettres, photos... Ces témoignages, d'autant plus fragiles et bouleversants qu'ils sont rares, disent le traumatisme de la vie à l'écart, loin des proches, mais aussi les moments de complicité partagés, les rêves et les espoirs d'alors : les jeux, les repas, les soins, les promenades, les rencontres... A travers la reproduction de ces documents, rassemblés après le drame par Sabine Zlatin puis confiés à la Bibliothèque nationale de France en 1994, ce livre retrace ainsi, au fil des images qui nous sont parvenues, l'aventure humaine que fut la Maison d'Izieu, au plus près de ceux qui y ont pris part.

03/2022

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Livres 3 ans et +

Les Reines Mimis. La Reine BisouBisou; La Reine Chipie Chipie; La Reine RoseRose

Les aventures de trois jolies reines plus féminines et plus charmantes les unes que les autres ; et pourtant, lorsqu'elles jettent leur dévolu sur leurs rois préférés, ceux-ci ne s'en réjouissent pas autant qu'on pourrait l'imaginer!

10/2010

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Histoire de France

La France à l'heure allemande. 1940-1944

Pendant quatre ans, les Français ont vécu sous la domination de l'Allemagne nazie. A cette situation extraordinaire, ils se sont adaptés de différentes façons, quelques-uns en refusant, la majorité en pliant et en subissant, d'autres, assez nombreux, en faisan des accommodements ou en recherchant une entente avec le vainqueur. Voici un ouvrage qui embrasse pour la première fois l'ensemble des réactions de la société française à la présence de l'occupant : le gouvernement de Vichy, les groupements politiques, l'opinion, l'Eglise, les patrons, les banquiers, les éditeurs, les écrivains... On y voit la diversité et l'évolution des comportements, de l'engagement dans la collaboration jusqu'aux formes quotidiennes, affichées ou subreptices, de la cohabitation avec le vainqueur - la recherche de travail ou de commandes, l'apprentissage de l'allemand, les contacts avec l'occupant, la fréquentation des concerts, des conférences, des expositions qu'il organise. Placés dans une situation extraordinaire, les Français ont dû tracer la ligne de l'acceptable et de l'inacceptable, faire le départ du digne et de l'indigne, du bon et du mauvais, en se référant à l'image qu'ils avaient d'eux-mêmes, de leur pays, de ses intérêts, de leurs intérêts. De ce que leur réponse a été hésitante, divisée, sanglante au débouché de l'Occupation, il est resté une déchirure à vif.

12/1995

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Histoire de France

Les déportés de France vers Aurigny (1942-1944)

Le 2 juillet 1940, les forces allemandes posent le pied sur l'île d'Aurigny, l'île anglo-normande la plus au nord de l'archipel, d'une superficie d'environ six kilomètres sur quatre. Après la campagne de France et la prise de Jersey et Guernesey, les Allemands ont la surprise de trouver une île désertée par ses habitants. Rapidement, elle devient un symbole de la propagande nazie pour Hitler qui peut ainsi avancer qu'il a déjà le pied en terre britannique. Après l'échec de la Bataille d'Angleterre, l'île est incluse dans le processus de protection des côtes, connu plus tard sous l'appellation de "mur de l'atlantique" . Une main d'oeuvre importante doit être mobilisée pour oeuvrer à la réussite de l'édification des fortifications. Au départ concentrée sur une population raflée sur le front de l'est pendant l'hiver 1941-1942, l'île diversifie la provenance de ces déportés en incluant des hommes arrêtés en France. Des républicains espagnols arrêtés parfois dès 1939 sous la IIIème République, des résistants basnormands appréhendés en mai 1944, des étrangers raflés à Marseille en janvier 1943 mais aussi et surtout des Juifs, à la base "non déportables" car "conjoints d'aryennes" , arrêtés pour la majorité dans les premières rafles d'israélites opérées dans la capitale au cours de l'année 1941. A l'hiver 1943, le nombre maximum des déportés présents est estimé à environ 5 000. 855 hommes qui viennent de France sont recensés, dont près de 600 de religion juive. Ils sont détenus dans le camp n°2, celui de Norderney, d'une île qui en compte quatre. Sur place, des détachements SS surveillent les camps pendant que les travaux s'effectuent sous le contrôle de l'Organisation Todt. Les déportés sont évacués pour les derniers à la fin du mois de juin 1944 et retrouvent la liberté avant la fin de l'été. Comment ces hommes aux provenances si différentes se retrouvent sur ce petit bout de terre au large des côtes françaises ? Quelles sont les conditions de vie dans le camp de Norderney ? A travers cet ouvrage Benoît Luc nous fait aussi comprendre pourquoi cet épisode de l'histoire anglo-normand est souvent occulté, parfois oublié

01/2010

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Histoire de France

L'internement des Nomades, une histoire française (1940-1946)

L'internement des Nomades en France s'inscrit dans le cadre d'une politique de persécution mise en oeuvre par les autorités françaises contre une population surveillée, contrôlée et identifiée depuis le début du XXe siècle. Durant la Seconde Guerre mondiale, d'octobre 1940 à mai 1946, au moins 6500 personnes, hommes. femmes et enfants, en grande majorité françaises, sont spoliées de leurs biens et enfermées dans des camps d'internement. Ces familles nomades, foraines ou itinérantes traversent la guerre derrières les barbelés dans des conditions inhumaines. Sous-alimentés, exposés aux maladies, contraints aux travaux forcés, de nombreux internés décèdent dans les camps ou dans les hôpitaux environnants. A partir de 1943, certains internés sont déportés vers l'Allemagne dans le cadre d'une nouvelle politique répressive de l'occupant allemand. D'autres, libérés des camps français, sont raflés dans le Nord et le Pas-de-Calais, sous administration militaire allemande, et déportés vers Auschwitz-Birkenau avec le convoi "Z" du 15 janvier 1944.

07/2019

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Histoire de France

La vie des Français sous l'Occupation. 1940-1945

Les Français ? Ils sont plus de 40 millions en juin 1940 lorsque les Allemands occupent la France. Et ce livre raconte leur vie quotidienne. Au moment d'entamer de longues recherches, Henri Amouroux s'est aperçu lorsqu'il évoquait les années d'occupation, que ceux-là mêmes qui doutaient de l'opportunité d'un tel travail étaient très vite emportés par leurs souvenirs et qu'ils multipliaient alors les anecdotes. L'entreprise valait donc d'être tentée. Ce que les historiens ont fait pour les humbles contemporains de Jules César, de Louis XIV ou de Napoléon, pour ce peuple anonyme dont l'histoire, tout attachée aux rois et généraux, oublie souvent l'existence, Henri Amouroux l'a réalisé pour les acteurs encore vivants de l'une des périodes les plus dramatiques qui puisse s'imaginer. En effet, la tentation était grande de se faire l'historien de ces millions d'anonymes. Pourquoi ne pas raconter non seulement les aventures sanglantes des Français sur les routes de l'exode, mais aussi leurs difficultés à se procurer leur pain quotidien, leurs ruses, leurs expéditions et leurs batailles dans les campagnes nourricières ? Pourquoi ne pas dire les ersatz, le faux tabac, le faux café, le faux savon, les faux témoins, les divertissements d'une époque, qui n'a pas été " noire " pour tout le monde, mais aussi les souffrances des femmes des prisonniers de guerre, le martyre de tous ceux que la Gestapo traquait et attaquait ? Pourquoi ne pas évoquer les nuits d'alerte, les lendemains de bombardements, le climat de ces villes dont les rafles, le couvre-feu dépeuplent les rues, l'écoute de la radio anglaise dans l'odeur des rutabagas, la vie des maquisards, pour qui le combat n'est qu'une brève lumière dans la suite des jours ternes et dangereux ? Le livre d'Henri Amouroux est un livre neuf, car jamais pareil travail n'avait été mené avec autant d'application dans la recherche, autant d'aisance journalistique dans le récit. Très différent de tous les livres qui ont paru sur les années 1940-1944, La vie des Français sous l'Occupation complète les meilleurs et se révèle d'un intérêt passionnant pour ceux et celles qui vécurent sous l'Occupation... comme aussi pour leurs fils et leur petits fils.

11/2018

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Vichy

Le procès Bousquet. Haute cour de justice 20-23 juin 1949

" Il advient que la justice transforme un innocent en coupable. Mais il est plus rare que l'institution judiciaire transforme un coupable en innocent. Ce fut pourtant le cas de René Bousquet, ancien secrétaire général de la police de Vichy, d'avril 1942 à décembre 1943, et proche de Pierre Laval. Envoyé en Allemagne par ses amis de la Gestapo en juin 1944, Bousquet choisit de rentrer en France en mai 1945 pour y être jugé par la Haute Cour de justice. Comme il l'avait annoncé à ses proches, tout se passa bien pour lui. René Bousquet fut mis en liberté provisoire en juillet 1948 et jugé par la Haute Cour du 21 au 23 juin 1949. Il bénéficia d'un quasi-acquittement. La Haute Cour, composée de parlementaires, pour certains résistants, le releva même de l'indignité nationale pour services rendus à la Résistance... Il put alors entreprendre le front haut une nouvelle carrière dans le monde des affaires. Dénoncé en 1978 par Darquier de Pellepoix, ancien commissaire général aux questions juives, Bousquet se vit rattrapé par son passé, notamment par le drame de la rafle du Vel' d'Hiv en juillet 1942, à laquelle il avait fait procéder par la police française. Une nouvelle plainte ayant été déposée contre lui en 1991, Bousquet fut, avant un nouveau procès, abattu par un dément, à Paris, en juin 1993. Sa mort a interdit à la justice de se prononcer à nouveau. Au-delà de l'intérêt historique de ce déni de justice que fut son procès, demeure une question essentielle : comment la Haute Cour de justice a-t-elle pu acquitter René Bousquet et lui délivrer un véritable brevet de Résistance ? C'est l'énigme que cet ouvrage présente. " Robert Badinter Robert Badinter et Bernard Le Drezen ont retrouvé aux Archives nationales le compte rendu sténographique du procès de René Bousquet en juin 1949. Nous publions ici l'intégralité de ce texte, véritable enregistrement écrit des audiences.

10/2022

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Histoire de France

La France de Vichy. 1940-1944

Est-il aujourd'hui possible d'écrire une histoire politique du régime de Vichy ? Un universitaire américain, Robert O. Paxton, répond ici par l'affirmative : refusant de prendre au pied de la lettre la kyrielle des témoignages pro domo dont la littérature politique s'est enrichie, passé La guerre et la libération, il a appuyé toute son étude sur les écrits contemporains des événements et surtout mise à profit la richesse des archives allemandes et américaines qui remettent en question, sur tant de points, les assertions de ceux qui avaient voulu, à la faveur d'une défaite nationale et sous l'œil de l'occupant, entreprendre une nouvelle restauration. Cet ouvrage iconoclaste est devenu un classique. La présente édition a été revue, corrigée et augmentée en fonction des recherches les plus récentes.

11/1999

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Histoire de France

La ligne de démarcation. 1940-1944

La ligne de démarcation, imposée en juin 1940 par les Allemands sur près de 1 200 kilomètres, a constitué l'un des signes les plus insupportables de l'Occupation pour les Français, littéralement renvoyés dos à dos dans leur propre pays. Tour à tour assouplie ou durcie, elle devint également un élément de chantage politique envers le régime de Vichy. A l'aide de sources multiples, françaises et étrangères, et d'une cartographie renouvelée, l'auteur éclaire toutes les implications de la ligne de démarcation dans les domaines politique, économique et social. Au fil des pages s'enchaînent des centaines de récits mettant en scène aussi bien les passeurs clandestins qui ont risqué leur vie que les résistants et les Juifs traqués, ou les gens ordinaires dont les familles séparées s'efforçaient de survivre.

03/2010

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Histoire de France

Résistance et liberté. Dieulefit 1940-1944

On a beaucoup parlé du Chambon-sur-Lignon, rien n'a jamais été écrit sur Dieulefit. À Dieulefit, deux femmes sont à l'origine de la Résistance: Marguerite Soubeyran et Jeanne Ramier. Marguerite Soubeyran, fondatrice de l'école de Beauvallon avec Catherine Krafft, responsable de cette école pendant la guerre avec Simone Monnier, accueille dès 1939 des Allemands juifs, des enfants juifs et des intellectuels réfugiés. L'école de la Roseraie, avec Pol Arcens, prolonge l'oeuvre de Beauvallon. Jeanne Barnier, secrétaire de la mairie de Dieulefit, devient une virtuose des faux papiers dès janvier 1941 et permet le sauvetage d'un grand nombre d'" exclus ". Dieulefit est une "terre d'asile" pour plus de mille cinq cents réfugiés, juifs en majorité, et l'unanimité des habitants explique le succès de cette aventure. A l'automne 1943, Emmanuel Mounier fonde à Beauvallon une " Université libre" où se retrouvent intellectuels, poètes, peintres, musiciens, journalistes. Dieulefit devient "une des capitales intellectuelles de France". Marguerite Soubeyran crée en février 1943 le premier maquis des réfractaires au STO; les parachutages sont nombreux, et les protestants participent aux équipes de réception. En août 1944, Marguerite Soubeyran fait partie du Comité local de Libération. Durant cette période, Dieulefit a été en même temps "un nid de Juifs et de terroristes" et une "oasis de paix" car il n'y a jamais eu d'intervention allemande, ce qui constitue ce que l'on appelle généralement le " miracle dieulefitois".

06/2010

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Suisse

Boncourt, un dilemme suisse 1942-1944

A l’été 1942, la borne 239 de Boncourt (JU) à la frontière entre la France et la Suisse devient pour les autorités fédérales la porte du refoulement des «indésirables», notamment des juifs fuyant la barbarie nazie. Une poignée d’habitants de ce village n’écoutant que leur conscience, facilite leur passage clandestin. A l’automne 1944, par un retournement surprenant de la politique envers les réfugiés, la même borne frontière 239 devient la porte d’entrée de 13 500 enfants français réfugiés de guerre, en provenance du Territoire de Belfort et du Doubs, venus chercher asile en Suisse. A travers la mise en miroir de ces deux faits historiques contraires qui se sont déroulés à Boncourt, ce récit nous plonge au coeur des dilemmes partagés autant par l’administration bernoise, la Croix-Rouge suisse, que de simples citoyens durant les années noires de la Seconde Guerre mondiale.

11/2022

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Vichy

Le régime de Vichy. 1940-1944

Né de l'écrasement des armées françaises par les troupes allemandes, l' "Etat français" apparu à l'été 1940 sous la figure tutélaire du maréchal Pétain imposa à la France coupée en deux sa "Révolution nationale" . Celle-ci reposait sur une idéologie composite, pour partie inspirée par la pensée d'extrême droite. Le rejet de la démocratie et l'antisémitisme d'Etat furent deux marqueurs de cette dictature unique dans l'histoire du XXe siècle en France. Le régime de Vichy opta pour la collaboration avec une Allemagne nazie perçue comme maîtresse du continent européen. Des rafles de juifs de l'été 1942 à l'Etat milicien du premier semestre 1944, la dérive fascisante de Vichy était comme inscrite dans ce choix premier. En montrant la complexité d'un régime aux acteurs multiples et aux orientations parfois contradictoires, cet ouvrage saisit l'ensemble de la vie politique, économique et sociale de la période, depuis les réformes portées par le régime jusqu'aux conditions de vie des Français occupés.

06/2023

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Histoire internationale

Le Ghetto de Wilno. 1941-1944

Il y avait plus de 60 000 Juifs à Wilno (actuelle Vilnus) à l'arrivée des nazis en 1941. Trois ans plus tard, ils n'étaient plus que 2 000. Avrom Sutzkever était l'un d'eux. Le 27 février 1946, il témoigna devant le tribunal de Nuremberg des atrocités commises par les nazis dans le ghetto de Wilno. Chef-d'oeuvre oublié de la littérature yiddish et témoignage de première importance, Le Ghetto de Wilno est une contribution essentielle à l'histoire des Juifs d'Europe de l'Est entre 1941 et 1944. Sutzkever y raconte l'horreur et la mort, avec le souci de restituer la sincérité du témoin tout en gardant le recul de l'observateur neutre. Il donne à voir les tentatives désespérées d'une poignée de résistants pour sauvegarder les trésors de la Jérusalem de Lituanie.

04/2014

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Histoire de France

Un convoi de femmes. 1944-1945

Le 31 janvier 1944, sur le quai de la gare de Compiègne, un millier de femmes attendent. Membres d'organisations secrètes, simples proches de résistants, passantes raflées dans la rue, prostituées soupçonnées d'avoir voulu contaminer l'armée allemande, elles forment un convoi à destination du camp de Ravensbrück. Dès lors, leur identité se résumera à un simple matricule. Pour les plus déterminées, les travaux forcés seront encore l'occasion d'actions de sabotage infimes permettant, à leur échelle, d'enrayer l'effort de guerre du Reich. Les plus faibles disparaîtront dans ce mouroir à ciel ouvert. Les plus âgées seront enfin, devant l'avance des armées alliées, exterminées dans des chambres à gaz. Pour la première fois, une étude reconstitue le destin individuel de chacune de ces détenues. Leurs parcours croisés apportent un précieux éclairage sur le fonctionnement de la machine de destruction nazie.

06/2014

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Histoire internationale

Le ghetto de Wilno. 1941-1944

Le 27 février 1945, Avrom Sutzkever témoignait devant le tribunal de Nuremberg des atrocités commises par les nazis dans le ghetto de Wilno. Son témoignage, capital, entrera dans l'histoire, tant la parole des victimes fut rare lors du procès. C'est dire l'importance que revêt le récit qu'il a laissé de sa vie quotidienne entre 1941 et 1944. Jeune poète, il décrit dans ce texte l'horreur et la mort comme faisant partie de l'ordinaire, avec la volonté de restituer la sincérité du témoin tout en gardant le recul d'un observateur neutre. Avrom Sutzkever donne notamment à voir les tentatives désespérées d'une poignée de résistants pour sauvegarder les trésors de la Jérusalem de Lituanie tandis que subsiste au sein du ghetto une vie culturelle foisonnante mais clandestine, ultime rempart devant la barbarie. Chef-d'ouvre oublié de la littérature yiddish et document historique de première importance, Le Ghetto de Wilno mêle une écriture de l'immédiateté, guidée par l'urgence de raconter, à l'évocation sensible et dramatique d'un monde plongé dans l'abîme.

04/2013

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Pléiades

Oeuvres complètes. Tome 2, 1944-1948

Au lendemain de la mort de Camus (1960), les Éditions Gallimard souhaitent inscrire son ouvre au catalogue de la Pléiade. Deux volumes sont prévus. Roger Quilliot, chargé d'établir l'édition, fait ouvre de pionnier ; il consulte tous les manuscrits alors disponibles et rassemble quantité de « Textes complémentaires ». Le premier volume, Théâtre, récits, nouvelles, paraît dès 1962 ; le second, Essais, en 1965. Mais dans son introduction de 1962 Quilliot songe déjà à l'avenir : « Je me suis seulement efforcé de rendre à Camus, pour les années à venir, l'homme vivant qui lui était dû et que d'autres, sans nul doute, voudront parfaire. » De fait, la connaissance de l'ouvre de Camus n'a cessé de progresser. Des textes épars ont été rassemblés et édités. Les Carnets, mais aussi des récits restés inédits, comme La Mort heureuse et Le Premier Homme, ont été révélés. Bien des questions soulevées par Camus se posent toujours, mais si leur thématique (la décolonisation, le terrorisme et sa répression, etc.) nous paraît familière, le rappel du contexte historique est de plus en plus indispensable à leur compréhension. D'autre part, les informations apportées par les publications posthumes incitent à s'interroger sur la meilleure organisation possible de l'ouvre de Camus. L'édition des années 1960 plaçait d'un côté la « fiction », de l'autre la « réflexion », mais comment, par exemple, ne pas tenir compte du fait que l'on trouve dans les Carnets plusieurs plans structurant l'ouvre en « séries » (l'Absurde, la Révolte, etc.), chacune de ces séries comprenant des ouvrages appartenant à des genres littéraires différents, fictionnels ou réflexifs ? Une édition des Ouvres complètes devait donc être présentée au plus près de ce que nous savons des intentions de l'auteur. C'est la chronologie de publication des ouvres, tous genres confondus, qui a été retenue comme principe de classement, et ce sont les ouvrages publiés du vivant de Camus qui figurent en premier lieu dans chaque tome. Enfin, des écrits posthumes sont rassemblés à la fin de chaque volume, en fonction de leur date de rédaction.

04/2006

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Critique littéraire

Lettres au petit Franz (1943-1944)

François Sentein raconte dans les Nouvelles minutes d'un libertin, publiées aux mêmes éditions, sa rencontre avec un improbable voleur de livres, en particulier d'éditions originales des classiques, surnommé Corneille. Avec Jean Genet, alias Corneille, se noue très vite une relation amicale, et Sentein discerne immédiatement les capacités littéraires d'un jeune malfrat qui n'a jusqu'alors rien publié. Il lira tout le premier théâtre, détruit depuis, de Genet, et assistera à la composition de Notre-Dame-des-Fleurs qu'il corrigera et ponctuera. Dans les quelques années qui précèdent sa gloire littéraire, Genet est comme l'on sait menacé de relégation, et c'est de prison qu'il s'adresse surtout à Sentein, seul à l'aider ou presque, prenant soin des moindres demandes d'un ami plutôt exigeant. Annotées par Claire Degans avec l'aide de François Sentein, ces lettres offrent pour la première fois une vision directe, et extrêmement émouvante, des débuts d'un des plus grands écrivains de notre siècle.

10/2000

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Histoire régionale

Jura 1940-1944. Territoires de Résistance

Le Jura fait partie de ces rudes terres, symbole des bastions qui, à toutes les époques, ont lutté contre l'envahisseur. Comme les contreforts alpins, le Haut Jura et ses forêts de résineux ont été lieu de refuge pour les maquis. Ils s'y sont développés et ont tenu en échec l'occupant. Les espaces ruraux peu peuplés et isolés ont été eux aussi propice à la clandestinité. Cette diversité géographique était encore amplifiée par la ligne de démarcation ; le Jura fut le seul département français divisé en trois entités : zone libre, zone occupée et zone interdite. La Résistance, qui s'y est développée au cours de la Seconde Guerre mondiale, est la pierre angulaire de cette recherche dans laquelle les territoires jurassiens ont été largement pris en compte. La Résistance a été, ici comme ailleurs, bien antérieure aux emblématiques maquis. Elle a commencé dans le tissu urbain et dans les nombreux bourgs et villages qui constituent le socle de la Franche-Comté. Ce livre met en exergue des partisans, souvent méconnus, qui dans leurs territoires ont fait que la Résistance soit avant tout populaire. Cet ouvrage, loin des clichés, est une réflexion sur ce que furent les résistants, avec leurs grandeurs et leurs faiblesses, leurs organisations, leurs combats, leurs drames et enfin leurs espoirs. La maîtrise de l'ouvrage et la richesse de sa documentation permettent de renouveler la connaissance de la Résistance dans le Jura. Pour ces raisons, ce livre, que les Jurassiens devront lire, mérite d'être connu bien au-delà du département. FRANCOISMARCOT

03/2023

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occupation

Crimes nazis en Bretagne. 1941-1944

A la fin de l'été 1944, des enquêteurs de la Psychological Warfare Division de la IIIe US Army interrogèrent de nombreux témoins civils et militaires qui racontèrent par le détail l'horreur de ce qui s'était passé. Jour après jour, mois après mois, de 1941 à 1944, c'est une terrible comptabilité appuyée par des rapports de police et de gendarmerie, témoins administratifs d'une répression implacable que les Bretons ont subie pendant l'Occupation de la part de certains soldats allemands ou russes ainsi que de membres de la police allemande qui est détaillée ici.

05/2023

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Théâtre

Registres VIII, Les dernières batailles (1929-1949)

Le projet des Registres, à la fois oeuvre des souvenirs et souvenirs de l'oeuvre, tel que Jacques Copeau l'avait envisagé, répondait au besoin de questionner le sens de sa vie et de se racheter du sentiment de "n'avoir produit que des choses périssables, éphémères" . Les années qui vont de 1929 à la Seconde Guerre mondiale sont marquées par la profonde solitude de Copeau. A mesure que ses projets deviennent irréalisables, son regard sur l'état général du théâtre se fait lucide et incisif. La théorie de Copeau cherche à redessiner la place du théâtre et de ses institutions dans une culture du spectacle qui évolue rapidement (avènement du cinéma parlant et de la radiodiffusion, impulsion de grands mouvements sociaux et politiques culturelles des régimes autoritaires). L'ouvrage expose les rapports de Copeau avec la culture italienne des années 1930 - les mises en scène au Mai musical florentin - et revient sur la partie la plus controversée de sa carrière : la direction intérimaire de la Comédie-Française dans les premiers mois de l'Occupation de mai 1940 à janvier 1941. Après ce chapitre amer, de retour en Bourgogne, Copeau réalise en 1943 sa dernière tentative, réussie, d'expérimenter le modèle d'une représentation chorale et rituelle.

07/2019

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Histoire de France

Sois sage, c'est la guerre. Souvenirs d'enfance de l'exode à la bataille de Normandie, 1939-1945

"J'avais quatre ans en 1940. Mes impressions et mes émotions de ce temps-là sont restées intactes dans ma mémoire : celles d'un petit garçon qui traversa la guerre plus qu'il ne la subit. Durant cinq années, je ne l'éprouvai que par petites touches : la mélodie du brouillage de Radio Londres, l'expression de mon père à l'annonce du bombardement de Pearl Harbor, quelques uniformes allemands, une tache de sang sur le trottoir... Une autre chose hante mes souvenirs de ces années noires : le parfum de la vie dans le giron de deux mondes, celui, clérical, du plus profond des bocages français, dans les collines de Normandie, et, à l'occasion des grandes vacances, celui de l'orée du Perche, moins fervent. Deux mondes différents mais arrimés de la même façon au XIXe siècle par des moeurs ancestrales. Deux mondes aujourd'hui disparus. Me plonger dans ces souvenirs, c'est faire revivre cette France d'autrefois qui, au lendemain du débarquement, ouvrit ses ruines à l'Amérique et à la modernité". Alain Corbin.

11/2016

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ouvrages généraux

Les silencieux des Services spéciaux. 1940-1945

Plus de trois cent vingt noms figurent sur le mémorial érigé à Ramatuelle en hommage à des héros particulièrement discrets : des agents et honorables correspondants des Services spéciaux (les services de renseignement et de contre-espionnage qui ont fait le choix de la Résistance dès le 14 juin 1940). Ceux qui en faisaient partie étaient une cible spécialement visée par le service de renseignement allemand, l'Abwehr. Militaires ou civils recrutés qui ont donné leur vie étaient pour la plupart très jeunes. Pour retrouver la trace de chacun d'eux, Marie Gatard a effectué une longue plongée dans les archives. C'est cette expérience particulièrement impressionnante qu'elle évoque.

06/2022

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Histoire de France

La France des Trente Glorieuses. 1945-1974

Avec les Trente Glorieuses (1945-1974), la France entre dans l' "ère de la consommation de masse", de la fameuse croissance et de la "société d'abondance". Si Jean Fourastié a écrit, en définissant en 1979 la période, "ces trente années sont glorieuses", ce manuel démontre que son point de vue est beaucoup plus nuancé qu'on ne l'a généralement dit. Car ces Trente Glorieuses ne l'ont pas été pour tous, en particulier les personnes âgées, travailleurs immigrés ou handicapés. L'auteur nous livre une synthèse sur la société de ces années, où l'Etat-providence ne peut empêcher les inégalités sociales et les transformations environnementales déjà décriées par les écologistes. Le temps de la France de la IVe et de la Ve République, celle du capitalisme, de la décolonisation et de la Françafrique, sera brutalement clos par la grande dépression de la fin du siècle dernier.

06/2015

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Histoire de France

Souvenir de G.I.'s de la bataille de Normandie au coeur du IIIe reich

Du 6 juin 1944 au 8 mai 1945, l'armée américaine va combattre des plages de Normandie aux montagnes bavaroises. Au cours de ces combats, les G.I.'s vont récolter une multitude d'objets qu'ils ramèneront au pays. Un homme, Attilio Basso, a eu l'idée de récupérer l'ensemble des souvenirs de ces combattants. Il mettait ainsi en place, avant tout le monde, la notion de grouping. Dans cet ouvrage nous avons sélectionné près de cinquante grouping comprenant l'uniforme du G.I. ainsi que ses prises de guerre et autres souvenirs glanés sur les routes d'Europe. La plupart des unités de l'armée américaine sont représentées (infanterie, génie, blindés, armée de l'air, police militaire etc.) et une large part est consacrée aux unités parachutistes.

06/2012

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Musique, danse

Normandie 1944 - 2 Panzer-Division formation et combat. Tome 1

La 2. (Wiener) Panzer-Division allemande a été créée en 1935 comme rouage du Blitzkrieg. Engagée dans les campagnes européennes, l'unité (Dreizak Division ou Division au trident depuis 1943) a été totalement restructurée dans le nord de la France entre janvier et juin 1944 après avoir combattu durement sur le front russe depuis 1941. La fin de la période de reformation de l'unité de la Wehrmacht a coïncidé avec le débarquement allié en Normandie. Le Generalleutnant von Lüttwitz, Kommandeur de la 2. Panzer-Division, après avoir reçu la lourde charge de rendre opérationnelle sa Division, reçoit l'ordre de venir déployer ses forces à l'ouest de Caen dans le secteur de Caumont-l'Eventé à partir du 12 juin face à la 1st US Infantry Division et à la 7th Armoured Division. Les combats s'engagent lesquels vont durer jusqu'à la défaite de l'armée allemande dans la "Poche de Falaise" en août 1944 avant un repli douloureux des survivants vers la frontière allemande. Frédéric Deprun propose une étude en deux tomes couvrant la période - Reformation et combats de janvier à juin 1944 et - Défaites et repli de juillet à septembre 1944 - en s'appuyant sur de nombreuses photographies, cartes et témoignages pour une grande partie inédits dans deux ouvrages qui offrent un large panoramique des combats et une chronologie précise de l'unité sur les lignes de front.

07/2019

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Histoire de France

WN 62. Mémoires d'Omaha Beach, Normandie, 6 juin 1944

Heinrich Severloh, dans son émouvant récit autobiographique, raconte la plus grande opération du débarquement amphibie de toute l'histoire, lorsque les Alliés, au Jour-J, le 6 juin 1944, lancèrent à l'aube devant le côte normande leur offensive contre le Mur de l'Atlantique avec 7 000 navires et 13 000 avions. A son poste de combat, sur le point d'appui WN 62 (Widerstandnest 62). Pendant neuf heures, il fit feu de sa mitrailleuse et de son fusil sur les GI's qui se trouvaient sur la plage (plus de 2 000 d'entre eux ne se relèveront pas). D'une manière impitoyable et saisissante, Severloh décrit ces heures dramatiques au cours desquelles, dans son secteur baptisé Omaha la Sanglante, débarquèrent 34 000 GI's se heurtant à seulement 350 soldats allemands qui se défendirent avec acharnement. Severloh survécut à ce déluge de feu dans des circonstances aussi effrayantes que mouvementées, devant le marquer pour le reste de sa vie. Un grand nombre de publications dues à des historiens de guerre, ainsi que des articles de presse et des émissions télévisées l'ont immortalisé sous le nom de Hein Severloh. Jusqu'à la parution de cette triste confession, les Américains ne connaissaient pas le nom de celui qui fit de leur débarquement cette terrible catastrophe.

05/2015

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Histoire de France

U-boote ! La Rochelle. Les sous-marins allemands à la Pallice (1941-1945)

A partir de novembre 1941, des sous-marins allemands arrivent à La Pallice après avoir terminé leur mission de combat. Leurs équipages sont logés dans la ville de La Rochelle, point d'appui de la 3e Flottille de U-Boote, alors que leur bâtiment est entretenu dans la base sous-marine. Durant le premier semestre 1942, ces sous-mariniers obtiennent de nombreux succès en s'attaquant aux navires alliés devant les côtes américaines. Ils patrouillent ensuite à l'ouest de l'Afrique mais n'empêchent pas les Alliés d'y mener leur débarquement le 8 novembre. Début 1943, les sous-marins qui partent de La Pallice participent aux plus grosses attaques de meutes contre les convois alliés traversant l'Atlantique Nord. En mai 1943, au plus fort de la bataille, cette base accueille jusqu'à 19 U-Boote simultanément. Mais ce mois marque aussi le tournant de la Bataille de l'Atlantique, avec 41 sous-marins allemands coulés, tant par la marine que par l'aviation alliée. Ce secteur est momentanément abandonné, le temps que les U-Boote reçoivent de nouveaux canons antiaériens et un détecteur capable de les avertir si un avion s'approche. En attendant, les sous-marins quittant La Rochelle sont envoyés patrouiller face aux côtes africaines, dans les Caraïbes ou face à la Guyane ; d'autres vont mouiller des mines devant les côtes américaines ou sont préparés pour rejoindre la Méditerranée. A partir de septembre 1943, dotés d'un nouveau détecteur de radar et surtout de torpilles acoustiques destinées à éliminer les destroyers escortant les convois, les U-Boote tentent de reprendre la lutte dans l'Atlantique Nord. Mais les Alliés, toujours en avance tant du point de vue technologique que numérique, restent les plus forts. Au printemps 1944, les sous-marins de La Pallice sont équipés du schnorchel et envoyés vers Brest. Le 6 juin, ils partent vers la Normandie pour essayer de contrer l'immense ?otte de débarquement alliée. En août 1944, La Pallice retrouve une forte activité.

06/2019